Visite au sex shop
SAMEDI AU SEX SHOP
Ce samedi, il faisait un temps magnifique, j’avais passé une bonne partie de l’après-midi à faire du lèche vitrine. Le soir arrivait et j’avais prévu de faire un petit tour dans un sex shop qu’une amie trans comme moi m’avait recommandé. Le patron était parait-il super beau mec et d’après ma délicieuse copine, superbement monté. Arrivée à l’entrée du sex-shop, j’entrai. Comme il était tard la boutique était plutôt déserte.
Le patron était à son comptoir occupé sur son ordinateur. Je me dirigeai vers le rayon jouets pour adultes pour éventuellement y trouver un article intéressant. Le rayon était copieusement achalandé, des plugs en quantité, dont certains étaient énormes J’examinai la collection, en prenant certains en main. Il y en avait de magnifiques. Mon petit clito frémissait déjà de plaisir et mon petit trou commençait à me chatouiller. J’hésitai entre deux modèles, l’un couleur rose d’une bonne vingtaine de centimètres, superbement reproduit, veiné à souhait, un beau gland parfait pour régaler mon petit trou, l’autre était identique, mais en noir. J’ai toujours une petite faiblesse pour les bites black. Indécise je les prenais l’un après l’autre, quand une voix me fit sursauter.
-Alors ma belle on trouve son affaire ?
-Hum j’hésite, les deux me plaisent beaucoup. -Prenez les deux, je vous ferais un prix, sinon j’ai un modèle que vous pouvez même essayer.
Interloquée, je le regardai, puis je suivis son regard. A ma grande surprise je vis que son sexe était entièrement sorti. L’engin était magnifique, vingt bons centimètres de long, et une grosseur plus qu’intéressante.
-Wow ! elle …elle est superbe
- Et si vous la preniez en main.
-Je peux ?
-Bien sûr, cette petite chérie adore qu’on s’occupe d’elle.
-Mais il y a peut-ĂŞtre du monde.
-T’inquiètes, tu es ma seule cliente et la boutique est fermée. Alors tu fais quoi ?
Sans répondre, je me laissai glisser à genoux, empoignai la queue offerte, puis commençai à la branler. Elle était bien dure, une petite goutte perlait déjà au bout du méat. D’un coup de langue je lapai le précieux liquide. Puis tout doucement je me mis à lécher le gland bien découvert. Sa bite sentait bon, exhalant un léger parfum de sexe. Depuis mes 16 ans j’ai toujours adoré sucer des bites. Mes copains de pension en avaient d’ailleurs amplement profité, m’offrant leurs queues juvéniles, et déversant leurs foutres dans ma bouche accueillante. A l’époque ils m’avaient même surnommée « Sucette ». Là j’avais un sérieux morceau, qui ne demandait qu’à servir, superbe engin pour une folle du cul de mon acabit. Après avoir copieusement léché le gland, je commençai à avaler son sexe, Hum ! quel régal, tout doucement je m’empalai, j’avais déjà les deux tiers de sa queue dans la bouche. Puis je recrachai doucement sa bite, Une fois sa queue libérée, elle était déjà couverte de ma salive, j’aime saliver un maximum pour offrir au male un délicieux étui chaud et humide. Puis à nouveau j’enfournai sa bite dans ma bouche, tout en regardant l’homme dans les yeux, afin d’y lire le plaisir que je lui procurai. Je pompai doucement sa queue, chaque fois que je la relâchai, elle dégoulinait de bave, reliant le gland à ma bouche.
-Putain ! on voit que tu aimes ça, j’adore les bonnes salopes comme toi, une vraie pro de la turlute.
Tout en le suçant je caressai les grosses couilles bien lisses et prometteuses de jus délicieux. Excité par ma bouche gourmande, l’homme se saisit de ma tête, puis se mit à me baiser. A chaque va et vient ma bouche remplie de salive produisait un bruit d’eau.
Je kiffe un max quand on m’utilise comme ça, être un vrai trou à bites, toujours prête à satisfaire les bandeurs. Bien qu’il agisse en dominant, il me baisait la bouche sans brutalité. Son petit jeu dura encore une bonne dizaine de minutes, puis il s’arrêta.
-Bon, ben il est temps de passer aux choses sérieuses, je suis sûr que ton cul a bien besoin d’un bon ramonage, n’est-ce pas ma belle salope ?
-Oui mon chou j’adore .
Aussitôt je me retournai, puis prenant appui sur un meuble bas, je me penchai en creusant les reins, offrant ma croupe au mâle. Bien offerte, l’homme retroussa ma mini-jupe, comme à mon habitude je n’avais pas de culotte, mon petit appendice, ultime reliquat de ma virilité, était si petit qu’il n’avait aucun besoin d’être contenu.
-T’es vraiment une chienne, même pas de petite culotte.
-J’adore avoir le cul à l’air et être disponible de suite.
Aussitôt je me retournai, puis prenant appui sur un meuble bas, je me penchai en creusant les reins, offrant ma croupe au mâle. Bien offerte, l’homme retroussa ma mini-jupe, comme à mon habitude je n’avais pas de culotte, mon petit appendice, ultime reliquat de ma virilité, était si petit qu’il n’avait aucun besoin d’être contenu.
-T’es vraiment une chienne, même pas de petite culotte.
-J’adore avoir le cul à l’air et être disponible de suite.
Je sentis ses deux mains écarter mes globes charnus, puis à ma grande surprise, une langue humide se mit à me lutiner la rondelle. Wow ! trop bon. Apparemment mon baiseur était un bouffeur de rondelle, en ce qui me concerne c’est aussi le genre de chose que j’aime pratiquer avec mes amants. Souvent quand je suce, il m’arrive de lécher l’anus de mes amants, et même de les doigter pour les faire jouir plus vite. En tous cas l’homme avait l’air d’y prendre plaisir. Sa langue forçait mon œillet, puis de temps en temps s’y enfonçait. S’il continuait ce genre de traitement, il allait me rendre folle. Mon petit clito était devenu tout raide, affichant fièrement ses cinq petits centimètres. Sa langue délaissa mon petit trou, puis aussitôt remplacée par un doigt. Bien humidifié, le doigt s’enfonça délicieusement en moi, puis un deuxième doigt me pénétra, aussi facilement que le premier. Après quelques va et vient, un troisième rejoignit les deux autres dans mon fondement. Les trois doigts du male allaient et venaient, ouvrant superbement ma petite chatte de trave. Mon petit œillet souvent visité ne demandait qu’à s’ouvrir. J’avais hâte que sa queue me pénètre, je la voulais toute en moi, je voulais qu’il me baise comme une chienne, je voulais être sa pute.
-Je crois que ton petit trou est prĂŞt, tu la veux ma queue ?
-Oh oui j’en meurs d’envie, prends-moi à fond.
Je sentis une queue dure s’insinuer dans le sillon de mes fesses. Impatiente, je la saisis, la plaçai sur ma petite chatte de trave. D’un coup de reins le mâle s’enfonça en moi.
-Ah ! vas-y salaud mets moi tout, bourre-moi comme une chienne. -Tu vas être servie ma cochonne. J’étais empalée à fond, l’homme se retira, puis s’enfonça à nouveau, brutalement. Ses deux mains cramponnant fermement mes hanches, il se mit à me pilonner avec son gros dard.
-Ça te plait, salope ?
-Oh oui, continue prends ton pied mon gros salaud. ramone-moi le cul.
Il me baisait comme un taureau en rut, ma copine Carole ne m’avait pas menti, c’était un super coup.
Ça faisait bien dix bonnes minutes qu’il me baisait, quand j’aperçus un deuxième homme à quelques mètres de nous.
Mon baiseur l’aperçut lui aussi.
-Putain max qu’est-ce que tu fais là , je te croyais parti.
-J’étais aux toilettes, et je ne m’attendais pas à voir un tel spectacle. Qu’est-ce que tu lui mets à cette gonzesse.
-Puisque que tu es là , profites en pour te faire sucer. Je suis sûr que Madame n’y verra pas d’inconvénient.
Sans hésiter, l’homme s’approcha, puis sorti sa queue. Hum ! belle verge, pas aussi grosse que celle de mon baiseur, mais de taille honorable. Il était déjà bien bandé, son prépuce dégageait bien le gland d’une jolie couleur violine. Encore une belle sucette pour toi ma chérie, me dis-je. L’homme approcha sa bite, puis caressa mes lèvres avec son gland. Il sentait le foutre, l’homme avait dû se branler en matant des pornos. Pour moi c’est une odeur aphrodisiaque qui m’enivre. Sans hésiter ma bouche s’ouvrit, avalant le gland. Le male continua à s’enfoncer jusqu’à ce que ses couilles frappent mon menton. Trop bon mes chéries. J’étais maintenant totalement empalée par ces deux baiseurs. Le kif total.
-Putain ! c’est une véritable avaleuse de sabre. Elle a tout avalé sans piper.
-Ya pas à dire , rien de mieux qu’un trans pour la baise. -Quoi ?tu veux dire que c’est un trans ?
-Ouais mon pote, mais un trans de luxe, des nichons magnifiques, un cul superbe et un tempérament de femelle en chaleur.
-J’aurai jamais crû. Dit max. De toutes façons du moment qu’elle baise et quelle suce c’est aussi bien qu’une gonzesse.
Sur ces bonnes paroles, les deux mâles se mirent à me bourrer sans ménagement. Enfilée des deux côtés par ces deux bandeurs, je n’étais pas loin du paradis.
-Alors ma belle ça te fait du bien quand on t’encule dit max.
Dans ma situation, la bouche pleine je ne pus émettre qu’un son étouffé.
-Mmmmmpfff ! Mmmmmpff !
Pendant un bon quart d’heure je dus subir les vigoureux assauts des mâles. La queue de mon suceur dégoulinait de bave, ma chatte aussi était trempée, vu que mon sodomite prenait soin régulièrement de cracher sur sa queue, lubrifiant à merveille son outil. J’étais comme une poupée de son, secouée dans tous les sens. La pièce résonnait des bruits de baise. Sous moi je sentais mon petit clito couler comme une fontaine, il dégoulinait tellement qu’une petite mare s’était formée.
-Qu’est-ce que tu mouilles salope !
Puis je sentis mon enculeur se raidir, ses mains crispées sur mes hanches. Dans un rugissement de bête il se mit à jouir, déversant son foutre dans ma grotte. Le liquide chaud tapissait l’intérieur de mon cul. Les décharges se succédaient, ponctuée à chaque fois par un vigoureux coup de reins. Excité , Max se mit aussi à jouir emplissant ma bouche de nectar. Lui aussi jouissait abondamment. Tant bien que mal j’avalai la délicieuse provende. Après une dizaine d’éjaculations, l’homme se retira. J’empoignai aussitôt sa bite et la nettoyai consciencieusement. J’aime le travail bien fait. Puis sans demander son reste, l’homme se rajusta et quitta le magasin. Mon enculeur était toujours fiché dans moi. Il me redressa, puis me roula un superbe patin, profitant en même temps d’un reste de foutre.
-C’était super ma belle, tu as aimé ?
-J’ai adoré, rien de mieux que de me faire baiser par deux mâles bien pourvus.
Enfin il se retira. Sa bite était encore toute dégoulinante, pas question de le laisser s’essuyer. A nouveau j’embouchai sa bite, et la nettoyai avec application.
-T’es un sacré numéro toi, tu reviens quand tu veux. Une superbe baiseuse.
-Merci mon chou, tu n’es pas mal non plus dis-je avant de l’embrasser à nouveau.
-Au fait, tu te rappelles avoir baisée une autre trans la semaine dernière ?
-Oui tu la connais ?
-C’est ma copine Carole, comme elle avait adoré que tu la baises, elle m’a donné son plan cul.
-Les filles vous ĂŞtes trop bonnes, il va falloir que nous organisions un petit plan Ă trois.
-Avec grand plaisir mon chou, mais tu auras intérêt assurer et avoir tes jolies couilles bien pleines. Dis-je en lui caressant les boules.
END
Solène salope trave
Ce samedi, il faisait un temps magnifique, j’avais passé une bonne partie de l’après-midi à faire du lèche vitrine. Le soir arrivait et j’avais prévu de faire un petit tour dans un sex shop qu’une amie trans comme moi m’avait recommandé. Le patron était parait-il super beau mec et d’après ma délicieuse copine, superbement monté. Arrivée à l’entrée du sex-shop, j’entrai. Comme il était tard la boutique était plutôt déserte.
Le patron était à son comptoir occupé sur son ordinateur. Je me dirigeai vers le rayon jouets pour adultes pour éventuellement y trouver un article intéressant. Le rayon était copieusement achalandé, des plugs en quantité, dont certains étaient énormes J’examinai la collection, en prenant certains en main. Il y en avait de magnifiques. Mon petit clito frémissait déjà de plaisir et mon petit trou commençait à me chatouiller. J’hésitai entre deux modèles, l’un couleur rose d’une bonne vingtaine de centimètres, superbement reproduit, veiné à souhait, un beau gland parfait pour régaler mon petit trou, l’autre était identique, mais en noir. J’ai toujours une petite faiblesse pour les bites black. Indécise je les prenais l’un après l’autre, quand une voix me fit sursauter.
-Alors ma belle on trouve son affaire ?
-Hum j’hésite, les deux me plaisent beaucoup. -Prenez les deux, je vous ferais un prix, sinon j’ai un modèle que vous pouvez même essayer.
Interloquée, je le regardai, puis je suivis son regard. A ma grande surprise je vis que son sexe était entièrement sorti. L’engin était magnifique, vingt bons centimètres de long, et une grosseur plus qu’intéressante.
-Wow ! elle …elle est superbe
- Et si vous la preniez en main.
-Je peux ?
-Bien sûr, cette petite chérie adore qu’on s’occupe d’elle.
-Mais il y a peut-ĂŞtre du monde.
-T’inquiètes, tu es ma seule cliente et la boutique est fermée. Alors tu fais quoi ?
Sans répondre, je me laissai glisser à genoux, empoignai la queue offerte, puis commençai à la branler. Elle était bien dure, une petite goutte perlait déjà au bout du méat. D’un coup de langue je lapai le précieux liquide. Puis tout doucement je me mis à lécher le gland bien découvert. Sa bite sentait bon, exhalant un léger parfum de sexe. Depuis mes 16 ans j’ai toujours adoré sucer des bites. Mes copains de pension en avaient d’ailleurs amplement profité, m’offrant leurs queues juvéniles, et déversant leurs foutres dans ma bouche accueillante. A l’époque ils m’avaient même surnommée « Sucette ». Là j’avais un sérieux morceau, qui ne demandait qu’à servir, superbe engin pour une folle du cul de mon acabit. Après avoir copieusement léché le gland, je commençai à avaler son sexe, Hum ! quel régal, tout doucement je m’empalai, j’avais déjà les deux tiers de sa queue dans la bouche. Puis je recrachai doucement sa bite, Une fois sa queue libérée, elle était déjà couverte de ma salive, j’aime saliver un maximum pour offrir au male un délicieux étui chaud et humide. Puis à nouveau j’enfournai sa bite dans ma bouche, tout en regardant l’homme dans les yeux, afin d’y lire le plaisir que je lui procurai. Je pompai doucement sa queue, chaque fois que je la relâchai, elle dégoulinait de bave, reliant le gland à ma bouche.
-Putain ! on voit que tu aimes ça, j’adore les bonnes salopes comme toi, une vraie pro de la turlute.
Tout en le suçant je caressai les grosses couilles bien lisses et prometteuses de jus délicieux. Excité par ma bouche gourmande, l’homme se saisit de ma tête, puis se mit à me baiser. A chaque va et vient ma bouche remplie de salive produisait un bruit d’eau.
Je kiffe un max quand on m’utilise comme ça, être un vrai trou à bites, toujours prête à satisfaire les bandeurs. Bien qu’il agisse en dominant, il me baisait la bouche sans brutalité. Son petit jeu dura encore une bonne dizaine de minutes, puis il s’arrêta.
-Bon, ben il est temps de passer aux choses sérieuses, je suis sûr que ton cul a bien besoin d’un bon ramonage, n’est-ce pas ma belle salope ?
-Oui mon chou j’adore .
Aussitôt je me retournai, puis prenant appui sur un meuble bas, je me penchai en creusant les reins, offrant ma croupe au mâle. Bien offerte, l’homme retroussa ma mini-jupe, comme à mon habitude je n’avais pas de culotte, mon petit appendice, ultime reliquat de ma virilité, était si petit qu’il n’avait aucun besoin d’être contenu.
-T’es vraiment une chienne, même pas de petite culotte.
-J’adore avoir le cul à l’air et être disponible de suite.
Aussitôt je me retournai, puis prenant appui sur un meuble bas, je me penchai en creusant les reins, offrant ma croupe au mâle. Bien offerte, l’homme retroussa ma mini-jupe, comme à mon habitude je n’avais pas de culotte, mon petit appendice, ultime reliquat de ma virilité, était si petit qu’il n’avait aucun besoin d’être contenu.
-T’es vraiment une chienne, même pas de petite culotte.
-J’adore avoir le cul à l’air et être disponible de suite.
Je sentis ses deux mains écarter mes globes charnus, puis à ma grande surprise, une langue humide se mit à me lutiner la rondelle. Wow ! trop bon. Apparemment mon baiseur était un bouffeur de rondelle, en ce qui me concerne c’est aussi le genre de chose que j’aime pratiquer avec mes amants. Souvent quand je suce, il m’arrive de lécher l’anus de mes amants, et même de les doigter pour les faire jouir plus vite. En tous cas l’homme avait l’air d’y prendre plaisir. Sa langue forçait mon œillet, puis de temps en temps s’y enfonçait. S’il continuait ce genre de traitement, il allait me rendre folle. Mon petit clito était devenu tout raide, affichant fièrement ses cinq petits centimètres. Sa langue délaissa mon petit trou, puis aussitôt remplacée par un doigt. Bien humidifié, le doigt s’enfonça délicieusement en moi, puis un deuxième doigt me pénétra, aussi facilement que le premier. Après quelques va et vient, un troisième rejoignit les deux autres dans mon fondement. Les trois doigts du male allaient et venaient, ouvrant superbement ma petite chatte de trave. Mon petit œillet souvent visité ne demandait qu’à s’ouvrir. J’avais hâte que sa queue me pénètre, je la voulais toute en moi, je voulais qu’il me baise comme une chienne, je voulais être sa pute.
-Je crois que ton petit trou est prĂŞt, tu la veux ma queue ?
-Oh oui j’en meurs d’envie, prends-moi à fond.
Je sentis une queue dure s’insinuer dans le sillon de mes fesses. Impatiente, je la saisis, la plaçai sur ma petite chatte de trave. D’un coup de reins le mâle s’enfonça en moi.
-Ah ! vas-y salaud mets moi tout, bourre-moi comme une chienne. -Tu vas être servie ma cochonne. J’étais empalée à fond, l’homme se retira, puis s’enfonça à nouveau, brutalement. Ses deux mains cramponnant fermement mes hanches, il se mit à me pilonner avec son gros dard.
-Ça te plait, salope ?
-Oh oui, continue prends ton pied mon gros salaud. ramone-moi le cul.
Il me baisait comme un taureau en rut, ma copine Carole ne m’avait pas menti, c’était un super coup.
Ça faisait bien dix bonnes minutes qu’il me baisait, quand j’aperçus un deuxième homme à quelques mètres de nous.
Mon baiseur l’aperçut lui aussi.
-Putain max qu’est-ce que tu fais là , je te croyais parti.
-J’étais aux toilettes, et je ne m’attendais pas à voir un tel spectacle. Qu’est-ce que tu lui mets à cette gonzesse.
-Puisque que tu es là , profites en pour te faire sucer. Je suis sûr que Madame n’y verra pas d’inconvénient.
Sans hésiter, l’homme s’approcha, puis sorti sa queue. Hum ! belle verge, pas aussi grosse que celle de mon baiseur, mais de taille honorable. Il était déjà bien bandé, son prépuce dégageait bien le gland d’une jolie couleur violine. Encore une belle sucette pour toi ma chérie, me dis-je. L’homme approcha sa bite, puis caressa mes lèvres avec son gland. Il sentait le foutre, l’homme avait dû se branler en matant des pornos. Pour moi c’est une odeur aphrodisiaque qui m’enivre. Sans hésiter ma bouche s’ouvrit, avalant le gland. Le male continua à s’enfoncer jusqu’à ce que ses couilles frappent mon menton. Trop bon mes chéries. J’étais maintenant totalement empalée par ces deux baiseurs. Le kif total.
-Putain ! c’est une véritable avaleuse de sabre. Elle a tout avalé sans piper.
-Ya pas à dire , rien de mieux qu’un trans pour la baise. -Quoi ?tu veux dire que c’est un trans ?
-Ouais mon pote, mais un trans de luxe, des nichons magnifiques, un cul superbe et un tempérament de femelle en chaleur.
-J’aurai jamais crû. Dit max. De toutes façons du moment qu’elle baise et quelle suce c’est aussi bien qu’une gonzesse.
Sur ces bonnes paroles, les deux mâles se mirent à me bourrer sans ménagement. Enfilée des deux côtés par ces deux bandeurs, je n’étais pas loin du paradis.
-Alors ma belle ça te fait du bien quand on t’encule dit max.
Dans ma situation, la bouche pleine je ne pus émettre qu’un son étouffé.
-Mmmmmpfff ! Mmmmmpff !
Pendant un bon quart d’heure je dus subir les vigoureux assauts des mâles. La queue de mon suceur dégoulinait de bave, ma chatte aussi était trempée, vu que mon sodomite prenait soin régulièrement de cracher sur sa queue, lubrifiant à merveille son outil. J’étais comme une poupée de son, secouée dans tous les sens. La pièce résonnait des bruits de baise. Sous moi je sentais mon petit clito couler comme une fontaine, il dégoulinait tellement qu’une petite mare s’était formée.
-Qu’est-ce que tu mouilles salope !
Puis je sentis mon enculeur se raidir, ses mains crispées sur mes hanches. Dans un rugissement de bête il se mit à jouir, déversant son foutre dans ma grotte. Le liquide chaud tapissait l’intérieur de mon cul. Les décharges se succédaient, ponctuée à chaque fois par un vigoureux coup de reins. Excité , Max se mit aussi à jouir emplissant ma bouche de nectar. Lui aussi jouissait abondamment. Tant bien que mal j’avalai la délicieuse provende. Après une dizaine d’éjaculations, l’homme se retira. J’empoignai aussitôt sa bite et la nettoyai consciencieusement. J’aime le travail bien fait. Puis sans demander son reste, l’homme se rajusta et quitta le magasin. Mon enculeur était toujours fiché dans moi. Il me redressa, puis me roula un superbe patin, profitant en même temps d’un reste de foutre.
-C’était super ma belle, tu as aimé ?
-J’ai adoré, rien de mieux que de me faire baiser par deux mâles bien pourvus.
Enfin il se retira. Sa bite était encore toute dégoulinante, pas question de le laisser s’essuyer. A nouveau j’embouchai sa bite, et la nettoyai avec application.
-T’es un sacré numéro toi, tu reviens quand tu veux. Une superbe baiseuse.
-Merci mon chou, tu n’es pas mal non plus dis-je avant de l’embrasser à nouveau.
-Au fait, tu te rappelles avoir baisée une autre trans la semaine dernière ?
-Oui tu la connais ?
-C’est ma copine Carole, comme elle avait adoré que tu la baises, elle m’a donné son plan cul.
-Les filles vous ĂŞtes trop bonnes, il va falloir que nous organisions un petit plan Ă trois.
-Avec grand plaisir mon chou, mais tu auras intérêt assurer et avoir tes jolies couilles bien pleines. Dis-je en lui caressant les boules.
END
Solène salope trave
3 months ago