Visite au sex shop
SAMEDI AU SEX SHOP
Ce samedi, il faisait un temps magnifique, jâavais passĂ© une bonne partie de lâaprĂšs-midi Ă faire du lĂšche vitrine. Le soir arrivait et jâavais prĂ©vu de faire un petit tour dans un sex shop quâune amie trans comme moi mâavait recommandĂ©. Le patron Ă©tait parait-il super beau mec et dâaprĂšs ma dĂ©licieuse copine, superbement montĂ©. ArrivĂ©e Ă lâentrĂ©e du sex-shop, jâentrai. Comme il Ă©tait tard la boutique Ă©tait plutĂŽt dĂ©serte.
Le patron Ă©tait Ă son comptoir occupĂ© sur son ordinateur. Je me dirigeai vers le rayon jouets pour adultes pour Ă©ventuellement y trouver un article intĂ©ressant. Le rayon Ă©tait copieusement achalandĂ©, des plugs en quantitĂ©, dont certains Ă©taient Ă©normes Jâexaminai la collection, en prenant certains en main. Il y en avait de magnifiques. Mon petit clito frĂ©missait dĂ©jĂ de plaisir et mon petit trou commençait Ă me chatouiller. JâhĂ©sitai entre deux modĂšles, lâun couleur rose dâune bonne vingtaine de centimĂštres, superbement reproduit, veinĂ© Ă souhait, un beau gland parfait pour rĂ©galer mon petit trou, lâautre Ă©tait identique, mais en noir. Jâai toujours une petite faiblesse pour les bites black. IndĂ©cise je les prenais lâun aprĂšs lâautre, quand une voix me fit sursauter.
-Alors ma belle on trouve son affaire ?
-Hum jâhĂ©site, les deux me plaisent beaucoup. -Prenez les deux, je vous ferais un prix, sinon jâai un modĂšle que vous pouvez mĂȘme essayer.
InterloquĂ©e, je le regardai, puis je suivis son regard. A ma grande surprise je vis que son sexe Ă©tait entiĂšrement sorti. Lâengin Ă©tait magnifique, vingt bons centimĂštres de long, et une grosseur plus quâintĂ©ressante.
-Wow ! elle âŠelle est superbe
- Et si vous la preniez en main.
-Je peux ?
-Bien sĂ»r, cette petite chĂ©rie adore quâon sâoccupe dâelle.
-Mais il y a peut-ĂȘtre du monde.
-TâinquiĂštes, tu es ma seule cliente et la boutique est fermĂ©e. Alors tu fais quoi ?
Sans rĂ©pondre, je me laissai glisser Ă genoux, empoignai la queue offerte, puis commençai Ă la branler. Elle Ă©tait bien dure, une petite goutte perlait dĂ©jĂ au bout du mĂ©at. Dâun coup de langue je lapai le prĂ©cieux liquide. Puis tout doucement je me mis Ă lĂ©cher le gland bien dĂ©couvert. Sa bite sentait bon, exhalant un lĂ©ger parfum de sexe. Depuis mes 16 ans jâai toujours adorĂ© sucer des bites. Mes copains de pension en avaient dâailleurs amplement profitĂ©, mâoffrant leurs queues juvĂ©niles, et dĂ©versant leurs foutres dans ma bouche accueillante. A lâĂ©poque ils mâavaient mĂȘme surnommĂ©e « Sucette ». LĂ jâavais un sĂ©rieux morceau, qui ne demandait quâĂ servir, superbe engin pour une folle du cul de mon acabit. AprĂšs avoir copieusement lĂ©chĂ© le gland, je commençai Ă avaler son sexe, Hum ! quel rĂ©gal, tout doucement je mâempalai, jâavais dĂ©jĂ les deux tiers de sa queue dans la bouche. Puis je recrachai doucement sa bite, Une fois sa queue libĂ©rĂ©e, elle Ă©tait dĂ©jĂ couverte de ma salive, jâaime saliver un maximum pour offrir au male un dĂ©licieux Ă©tui chaud et humide. Puis Ă nouveau jâenfournai sa bite dans ma bouche, tout en regardant lâhomme dans les yeux, afin dây lire le plaisir que je lui procurai. Je pompai doucement sa queue, chaque fois que je la relĂąchai, elle dĂ©goulinait de bave, reliant le gland Ă ma bouche.
-Putain ! on voit que tu aimes ça, jâadore les bonnes salopes comme toi, une vraie pro de la turlute.
Tout en le suçant je caressai les grosses couilles bien lisses et prometteuses de jus dĂ©licieux. ExcitĂ© par ma bouche gourmande, lâhomme se saisit de ma tĂȘte, puis se mit Ă me baiser. A chaque va et vient ma bouche remplie de salive produisait un bruit dâeau.
Je kiffe un max quand on mâutilise comme ça, ĂȘtre un vrai trou Ă bites, toujours prĂȘte Ă satisfaire les bandeurs. Bien quâil agisse en dominant, il me baisait la bouche sans brutalitĂ©. Son petit jeu dura encore une bonne dizaine de minutes, puis il sâarrĂȘta.
-Bon, ben il est temps de passer aux choses sĂ©rieuses, je suis sĂ»r que ton cul a bien besoin dâun bon ramonage, nâest-ce pas ma belle salope ?
-Oui mon chou jâadore .
AussitĂŽt je me retournai, puis prenant appui sur un meuble bas, je me penchai en creusant les reins, offrant ma croupe au mĂąle. Bien offerte, lâhomme retroussa ma mini-jupe, comme Ă mon habitude je nâavais pas de culotte, mon petit appendice, ultime reliquat de ma virilitĂ©, Ă©tait si petit quâil nâavait aucun besoin dâĂȘtre contenu.
-Tâes vraiment une chienne, mĂȘme pas de petite culotte.
-Jâadore avoir le cul Ă lâair et ĂȘtre disponible de suite.
AussitĂŽt je me retournai, puis prenant appui sur un meuble bas, je me penchai en creusant les reins, offrant ma croupe au mĂąle. Bien offerte, lâhomme retroussa ma mini-jupe, comme Ă mon habitude je nâavais pas de culotte, mon petit appendice, ultime reliquat de ma virilitĂ©, Ă©tait si petit quâil nâavait aucun besoin dâĂȘtre contenu.
-Tâes vraiment une chienne, mĂȘme pas de petite culotte.
-Jâadore avoir le cul Ă lâair et ĂȘtre disponible de suite.
Je sentis ses deux mains Ă©carter mes globes charnus, puis Ă ma grande surprise, une langue humide se mit Ă me lutiner la rondelle. Wow ! trop bon. Apparemment mon baiseur Ă©tait un bouffeur de rondelle, en ce qui me concerne câest aussi le genre de chose que jâaime pratiquer avec mes amants. Souvent quand je suce, il mâarrive de lĂ©cher lâanus de mes amants, et mĂȘme de les doigter pour les faire jouir plus vite. En tous cas lâhomme avait lâair dây prendre plaisir. Sa langue forçait mon Ćillet, puis de temps en temps sây enfonçait. Sâil continuait ce genre de traitement, il allait me rendre folle. Mon petit clito Ă©tait devenu tout raide, affichant fiĂšrement ses cinq petits centimĂštres. Sa langue dĂ©laissa mon petit trou, puis aussitĂŽt remplacĂ©e par un doigt. Bien humidifiĂ©, le doigt sâenfonça dĂ©licieusement en moi, puis un deuxiĂšme doigt me pĂ©nĂ©tra, aussi facilement que le premier. AprĂšs quelques va et vient, un troisiĂšme rejoignit les deux autres dans mon fondement. Les trois doigts du male allaient et venaient, ouvrant superbement ma petite chatte de trave. Mon petit Ćillet souvent visitĂ© ne demandait quâĂ sâouvrir. Jâavais hĂąte que sa queue me pĂ©nĂštre, je la voulais toute en moi, je voulais quâil me baise comme une chienne, je voulais ĂȘtre sa pute.
-Je crois que ton petit trou est prĂȘt, tu la veux ma queue ?
-Oh oui jâen meurs dâenvie, prends-moi Ă fond.
Je sentis une queue dure sâinsinuer dans le sillon de mes fesses. Impatiente, je la saisis, la plaçai sur ma petite chatte de trave. Dâun coup de reins le mĂąle sâenfonça en moi.
-Ah ! vas-y salaud mets moi tout, bourre-moi comme une chienne. -Tu vas ĂȘtre servie ma cochonne. JâĂ©tais empalĂ©e Ă fond, lâhomme se retira, puis sâenfonça Ă nouveau, brutalement. Ses deux mains cramponnant fermement mes hanches, il se mit Ă me pilonner avec son gros dard.
-Ăa te plait, salope ?
-Oh oui, continue prends ton pied mon gros salaud. ramone-moi le cul.
Il me baisait comme un taureau en rut, ma copine Carole ne mâavait pas menti, câĂ©tait un super coup.
Ăa faisait bien dix bonnes minutes quâil me baisait, quand jâaperçus un deuxiĂšme homme Ă quelques mĂštres de nous.
Mon baiseur lâaperçut lui aussi.
-Putain max quâest-ce que tu fais lĂ , je te croyais parti.
-JâĂ©tais aux toilettes, et je ne mâattendais pas Ă voir un tel spectacle. Quâest-ce que tu lui mets Ă cette gonzesse.
-Puisque que tu es lĂ , profites en pour te faire sucer. Je suis sĂ»r que Madame nây verra pas dâinconvĂ©nient.
Sans hĂ©siter, lâhomme sâapprocha, puis sorti sa queue. Hum ! belle verge, pas aussi grosse que celle de mon baiseur, mais de taille honorable. Il Ă©tait dĂ©jĂ bien bandĂ©, son prĂ©puce dĂ©gageait bien le gland dâune jolie couleur violine. Encore une belle sucette pour toi ma chĂ©rie, me dis-je. Lâhomme approcha sa bite, puis caressa mes lĂšvres avec son gland. Il sentait le foutre, lâhomme avait dĂ» se branler en matant des pornos. Pour moi câest une odeur aphrodisiaque qui mâenivre. Sans hĂ©siter ma bouche sâouvrit, avalant le gland. Le male continua Ă sâenfoncer jusquâĂ ce que ses couilles frappent mon menton. Trop bon mes chĂ©ries. JâĂ©tais maintenant totalement empalĂ©e par ces deux baiseurs. Le kif total.
-Putain ! câest une vĂ©ritable avaleuse de sabre. Elle a tout avalĂ© sans piper.
-Ya pas Ă dire , rien de mieux quâun trans pour la baise. -Quoi ?tu veux dire que câest un trans ?
-Ouais mon pote, mais un trans de luxe, des nichons magnifiques, un cul superbe et un tempérament de femelle en chaleur.
-Jâaurai jamais crĂ». Dit max. De toutes façons du moment quâelle baise et quelle suce câest aussi bien quâune gonzesse.
Sur ces bonnes paroles, les deux mĂąles se mirent Ă me bourrer sans mĂ©nagement. EnfilĂ©e des deux cĂŽtĂ©s par ces deux bandeurs, je nâĂ©tais pas loin du paradis.
-Alors ma belle ça te fait du bien quand on tâencule dit max.
Dans ma situation, la bouche pleine je ne pus Ă©mettre quâun son Ă©touffĂ©.
-Mmmmmpfff ! Mmmmmpff !
Pendant un bon quart dâheure je dus subir les vigoureux assauts des mĂąles. La queue de mon suceur dĂ©goulinait de bave, ma chatte aussi Ă©tait trempĂ©e, vu que mon sodomite prenait soin rĂ©guliĂšrement de cracher sur sa queue, lubrifiant Ă merveille son outil. JâĂ©tais comme une poupĂ©e de son, secouĂ©e dans tous les sens. La piĂšce rĂ©sonnait des bruits de baise. Sous moi je sentais mon petit clito couler comme une fontaine, il dĂ©goulinait tellement quâune petite mare sâĂ©tait formĂ©e.
-Quâest-ce que tu mouilles salope !
Puis je sentis mon enculeur se raidir, ses mains crispĂ©es sur mes hanches. Dans un rugissement de bĂȘte il se mit Ă jouir, dĂ©versant son foutre dans ma grotte. Le liquide chaud tapissait lâintĂ©rieur de mon cul. Les dĂ©charges se succĂ©daient, ponctuĂ©e Ă chaque fois par un vigoureux coup de reins. ExcitĂ© , Max se mit aussi Ă jouir emplissant ma bouche de nectar. Lui aussi jouissait abondamment. Tant bien que mal jâavalai la dĂ©licieuse provende. AprĂšs une dizaine dâĂ©jaculations, lâhomme se retira. Jâempoignai aussitĂŽt sa bite et la nettoyai consciencieusement. Jâaime le travail bien fait. Puis sans demander son reste, lâhomme se rajusta et quitta le magasin. Mon enculeur Ă©tait toujours fichĂ© dans moi. Il me redressa, puis me roula un superbe patin, profitant en mĂȘme temps dâun reste de foutre.
-CâĂ©tait super ma belle, tu as aimĂ© ?
-Jâai adorĂ©, rien de mieux que de me faire baiser par deux mĂąles bien pourvus.
Enfin il se retira. Sa bite Ă©tait encore toute dĂ©goulinante, pas question de le laisser sâessuyer. A nouveau jâembouchai sa bite, et la nettoyai avec application.
-Tâes un sacrĂ© numĂ©ro toi, tu reviens quand tu veux. Une superbe baiseuse.
-Merci mon chou, tu nâes pas mal non plus dis-je avant de lâembrasser Ă nouveau.
-Au fait, tu te rappelles avoir baisée une autre trans la semaine derniÚre ?
-Oui tu la connais ?
-Câest ma copine Carole, comme elle avait adorĂ© que tu la baises, elle mâa donnĂ© son plan cul.
-Les filles vous ĂȘtes trop bonnes, il va falloir que nous organisions un petit plan Ă trois.
-Avec grand plaisir mon chou, mais tu auras intĂ©rĂȘt assurer et avoir tes jolies couilles bien pleines. Dis-je en lui caressant les boules.
END
SolĂšne salope trave
Ce samedi, il faisait un temps magnifique, jâavais passĂ© une bonne partie de lâaprĂšs-midi Ă faire du lĂšche vitrine. Le soir arrivait et jâavais prĂ©vu de faire un petit tour dans un sex shop quâune amie trans comme moi mâavait recommandĂ©. Le patron Ă©tait parait-il super beau mec et dâaprĂšs ma dĂ©licieuse copine, superbement montĂ©. ArrivĂ©e Ă lâentrĂ©e du sex-shop, jâentrai. Comme il Ă©tait tard la boutique Ă©tait plutĂŽt dĂ©serte.
Le patron Ă©tait Ă son comptoir occupĂ© sur son ordinateur. Je me dirigeai vers le rayon jouets pour adultes pour Ă©ventuellement y trouver un article intĂ©ressant. Le rayon Ă©tait copieusement achalandĂ©, des plugs en quantitĂ©, dont certains Ă©taient Ă©normes Jâexaminai la collection, en prenant certains en main. Il y en avait de magnifiques. Mon petit clito frĂ©missait dĂ©jĂ de plaisir et mon petit trou commençait Ă me chatouiller. JâhĂ©sitai entre deux modĂšles, lâun couleur rose dâune bonne vingtaine de centimĂštres, superbement reproduit, veinĂ© Ă souhait, un beau gland parfait pour rĂ©galer mon petit trou, lâautre Ă©tait identique, mais en noir. Jâai toujours une petite faiblesse pour les bites black. IndĂ©cise je les prenais lâun aprĂšs lâautre, quand une voix me fit sursauter.
-Alors ma belle on trouve son affaire ?
-Hum jâhĂ©site, les deux me plaisent beaucoup. -Prenez les deux, je vous ferais un prix, sinon jâai un modĂšle que vous pouvez mĂȘme essayer.
InterloquĂ©e, je le regardai, puis je suivis son regard. A ma grande surprise je vis que son sexe Ă©tait entiĂšrement sorti. Lâengin Ă©tait magnifique, vingt bons centimĂštres de long, et une grosseur plus quâintĂ©ressante.
-Wow ! elle âŠelle est superbe
- Et si vous la preniez en main.
-Je peux ?
-Bien sĂ»r, cette petite chĂ©rie adore quâon sâoccupe dâelle.
-Mais il y a peut-ĂȘtre du monde.
-TâinquiĂštes, tu es ma seule cliente et la boutique est fermĂ©e. Alors tu fais quoi ?
Sans rĂ©pondre, je me laissai glisser Ă genoux, empoignai la queue offerte, puis commençai Ă la branler. Elle Ă©tait bien dure, une petite goutte perlait dĂ©jĂ au bout du mĂ©at. Dâun coup de langue je lapai le prĂ©cieux liquide. Puis tout doucement je me mis Ă lĂ©cher le gland bien dĂ©couvert. Sa bite sentait bon, exhalant un lĂ©ger parfum de sexe. Depuis mes 16 ans jâai toujours adorĂ© sucer des bites. Mes copains de pension en avaient dâailleurs amplement profitĂ©, mâoffrant leurs queues juvĂ©niles, et dĂ©versant leurs foutres dans ma bouche accueillante. A lâĂ©poque ils mâavaient mĂȘme surnommĂ©e « Sucette ». LĂ jâavais un sĂ©rieux morceau, qui ne demandait quâĂ servir, superbe engin pour une folle du cul de mon acabit. AprĂšs avoir copieusement lĂ©chĂ© le gland, je commençai Ă avaler son sexe, Hum ! quel rĂ©gal, tout doucement je mâempalai, jâavais dĂ©jĂ les deux tiers de sa queue dans la bouche. Puis je recrachai doucement sa bite, Une fois sa queue libĂ©rĂ©e, elle Ă©tait dĂ©jĂ couverte de ma salive, jâaime saliver un maximum pour offrir au male un dĂ©licieux Ă©tui chaud et humide. Puis Ă nouveau jâenfournai sa bite dans ma bouche, tout en regardant lâhomme dans les yeux, afin dây lire le plaisir que je lui procurai. Je pompai doucement sa queue, chaque fois que je la relĂąchai, elle dĂ©goulinait de bave, reliant le gland Ă ma bouche.
-Putain ! on voit que tu aimes ça, jâadore les bonnes salopes comme toi, une vraie pro de la turlute.
Tout en le suçant je caressai les grosses couilles bien lisses et prometteuses de jus dĂ©licieux. ExcitĂ© par ma bouche gourmande, lâhomme se saisit de ma tĂȘte, puis se mit Ă me baiser. A chaque va et vient ma bouche remplie de salive produisait un bruit dâeau.
Je kiffe un max quand on mâutilise comme ça, ĂȘtre un vrai trou Ă bites, toujours prĂȘte Ă satisfaire les bandeurs. Bien quâil agisse en dominant, il me baisait la bouche sans brutalitĂ©. Son petit jeu dura encore une bonne dizaine de minutes, puis il sâarrĂȘta.
-Bon, ben il est temps de passer aux choses sĂ©rieuses, je suis sĂ»r que ton cul a bien besoin dâun bon ramonage, nâest-ce pas ma belle salope ?
-Oui mon chou jâadore .
AussitĂŽt je me retournai, puis prenant appui sur un meuble bas, je me penchai en creusant les reins, offrant ma croupe au mĂąle. Bien offerte, lâhomme retroussa ma mini-jupe, comme Ă mon habitude je nâavais pas de culotte, mon petit appendice, ultime reliquat de ma virilitĂ©, Ă©tait si petit quâil nâavait aucun besoin dâĂȘtre contenu.
-Tâes vraiment une chienne, mĂȘme pas de petite culotte.
-Jâadore avoir le cul Ă lâair et ĂȘtre disponible de suite.
AussitĂŽt je me retournai, puis prenant appui sur un meuble bas, je me penchai en creusant les reins, offrant ma croupe au mĂąle. Bien offerte, lâhomme retroussa ma mini-jupe, comme Ă mon habitude je nâavais pas de culotte, mon petit appendice, ultime reliquat de ma virilitĂ©, Ă©tait si petit quâil nâavait aucun besoin dâĂȘtre contenu.
-Tâes vraiment une chienne, mĂȘme pas de petite culotte.
-Jâadore avoir le cul Ă lâair et ĂȘtre disponible de suite.
Je sentis ses deux mains Ă©carter mes globes charnus, puis Ă ma grande surprise, une langue humide se mit Ă me lutiner la rondelle. Wow ! trop bon. Apparemment mon baiseur Ă©tait un bouffeur de rondelle, en ce qui me concerne câest aussi le genre de chose que jâaime pratiquer avec mes amants. Souvent quand je suce, il mâarrive de lĂ©cher lâanus de mes amants, et mĂȘme de les doigter pour les faire jouir plus vite. En tous cas lâhomme avait lâair dây prendre plaisir. Sa langue forçait mon Ćillet, puis de temps en temps sây enfonçait. Sâil continuait ce genre de traitement, il allait me rendre folle. Mon petit clito Ă©tait devenu tout raide, affichant fiĂšrement ses cinq petits centimĂštres. Sa langue dĂ©laissa mon petit trou, puis aussitĂŽt remplacĂ©e par un doigt. Bien humidifiĂ©, le doigt sâenfonça dĂ©licieusement en moi, puis un deuxiĂšme doigt me pĂ©nĂ©tra, aussi facilement que le premier. AprĂšs quelques va et vient, un troisiĂšme rejoignit les deux autres dans mon fondement. Les trois doigts du male allaient et venaient, ouvrant superbement ma petite chatte de trave. Mon petit Ćillet souvent visitĂ© ne demandait quâĂ sâouvrir. Jâavais hĂąte que sa queue me pĂ©nĂštre, je la voulais toute en moi, je voulais quâil me baise comme une chienne, je voulais ĂȘtre sa pute.
-Je crois que ton petit trou est prĂȘt, tu la veux ma queue ?
-Oh oui jâen meurs dâenvie, prends-moi Ă fond.
Je sentis une queue dure sâinsinuer dans le sillon de mes fesses. Impatiente, je la saisis, la plaçai sur ma petite chatte de trave. Dâun coup de reins le mĂąle sâenfonça en moi.
-Ah ! vas-y salaud mets moi tout, bourre-moi comme une chienne. -Tu vas ĂȘtre servie ma cochonne. JâĂ©tais empalĂ©e Ă fond, lâhomme se retira, puis sâenfonça Ă nouveau, brutalement. Ses deux mains cramponnant fermement mes hanches, il se mit Ă me pilonner avec son gros dard.
-Ăa te plait, salope ?
-Oh oui, continue prends ton pied mon gros salaud. ramone-moi le cul.
Il me baisait comme un taureau en rut, ma copine Carole ne mâavait pas menti, câĂ©tait un super coup.
Ăa faisait bien dix bonnes minutes quâil me baisait, quand jâaperçus un deuxiĂšme homme Ă quelques mĂštres de nous.
Mon baiseur lâaperçut lui aussi.
-Putain max quâest-ce que tu fais lĂ , je te croyais parti.
-JâĂ©tais aux toilettes, et je ne mâattendais pas Ă voir un tel spectacle. Quâest-ce que tu lui mets Ă cette gonzesse.
-Puisque que tu es lĂ , profites en pour te faire sucer. Je suis sĂ»r que Madame nây verra pas dâinconvĂ©nient.
Sans hĂ©siter, lâhomme sâapprocha, puis sorti sa queue. Hum ! belle verge, pas aussi grosse que celle de mon baiseur, mais de taille honorable. Il Ă©tait dĂ©jĂ bien bandĂ©, son prĂ©puce dĂ©gageait bien le gland dâune jolie couleur violine. Encore une belle sucette pour toi ma chĂ©rie, me dis-je. Lâhomme approcha sa bite, puis caressa mes lĂšvres avec son gland. Il sentait le foutre, lâhomme avait dĂ» se branler en matant des pornos. Pour moi câest une odeur aphrodisiaque qui mâenivre. Sans hĂ©siter ma bouche sâouvrit, avalant le gland. Le male continua Ă sâenfoncer jusquâĂ ce que ses couilles frappent mon menton. Trop bon mes chĂ©ries. JâĂ©tais maintenant totalement empalĂ©e par ces deux baiseurs. Le kif total.
-Putain ! câest une vĂ©ritable avaleuse de sabre. Elle a tout avalĂ© sans piper.
-Ya pas Ă dire , rien de mieux quâun trans pour la baise. -Quoi ?tu veux dire que câest un trans ?
-Ouais mon pote, mais un trans de luxe, des nichons magnifiques, un cul superbe et un tempérament de femelle en chaleur.
-Jâaurai jamais crĂ». Dit max. De toutes façons du moment quâelle baise et quelle suce câest aussi bien quâune gonzesse.
Sur ces bonnes paroles, les deux mĂąles se mirent Ă me bourrer sans mĂ©nagement. EnfilĂ©e des deux cĂŽtĂ©s par ces deux bandeurs, je nâĂ©tais pas loin du paradis.
-Alors ma belle ça te fait du bien quand on tâencule dit max.
Dans ma situation, la bouche pleine je ne pus Ă©mettre quâun son Ă©touffĂ©.
-Mmmmmpfff ! Mmmmmpff !
Pendant un bon quart dâheure je dus subir les vigoureux assauts des mĂąles. La queue de mon suceur dĂ©goulinait de bave, ma chatte aussi Ă©tait trempĂ©e, vu que mon sodomite prenait soin rĂ©guliĂšrement de cracher sur sa queue, lubrifiant Ă merveille son outil. JâĂ©tais comme une poupĂ©e de son, secouĂ©e dans tous les sens. La piĂšce rĂ©sonnait des bruits de baise. Sous moi je sentais mon petit clito couler comme une fontaine, il dĂ©goulinait tellement quâune petite mare sâĂ©tait formĂ©e.
-Quâest-ce que tu mouilles salope !
Puis je sentis mon enculeur se raidir, ses mains crispĂ©es sur mes hanches. Dans un rugissement de bĂȘte il se mit Ă jouir, dĂ©versant son foutre dans ma grotte. Le liquide chaud tapissait lâintĂ©rieur de mon cul. Les dĂ©charges se succĂ©daient, ponctuĂ©e Ă chaque fois par un vigoureux coup de reins. ExcitĂ© , Max se mit aussi Ă jouir emplissant ma bouche de nectar. Lui aussi jouissait abondamment. Tant bien que mal jâavalai la dĂ©licieuse provende. AprĂšs une dizaine dâĂ©jaculations, lâhomme se retira. Jâempoignai aussitĂŽt sa bite et la nettoyai consciencieusement. Jâaime le travail bien fait. Puis sans demander son reste, lâhomme se rajusta et quitta le magasin. Mon enculeur Ă©tait toujours fichĂ© dans moi. Il me redressa, puis me roula un superbe patin, profitant en mĂȘme temps dâun reste de foutre.
-CâĂ©tait super ma belle, tu as aimĂ© ?
-Jâai adorĂ©, rien de mieux que de me faire baiser par deux mĂąles bien pourvus.
Enfin il se retira. Sa bite Ă©tait encore toute dĂ©goulinante, pas question de le laisser sâessuyer. A nouveau jâembouchai sa bite, et la nettoyai avec application.
-Tâes un sacrĂ© numĂ©ro toi, tu reviens quand tu veux. Une superbe baiseuse.
-Merci mon chou, tu nâes pas mal non plus dis-je avant de lâembrasser Ă nouveau.
-Au fait, tu te rappelles avoir baisée une autre trans la semaine derniÚre ?
-Oui tu la connais ?
-Câest ma copine Carole, comme elle avait adorĂ© que tu la baises, elle mâa donnĂ© son plan cul.
-Les filles vous ĂȘtes trop bonnes, il va falloir que nous organisions un petit plan Ă trois.
-Avec grand plaisir mon chou, mais tu auras intĂ©rĂȘt assurer et avoir tes jolies couilles bien pleines. Dis-je en lui caressant les boules.
END
SolĂšne salope trave
3 months ago