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Porn Lover
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« Déshabille-toi, il fait chaud. Garde tes sous-vêtements, c’est bon. Allonge toi. Ensuite, tu fermes les yeux. »
Des instructions saccadées de sa voix rauque et suave, je ne retins d’abord que le tutoiement. Immédiat et sans compromis. Comme si, en acceptant son invitation à entrer, je l’avais de mon côté implicitement convié à la familiarité. Je frémis. Déjà.
L’ambiance, tamisée – les volets étaient mi-clos – et l’atmosphère chargée d’humidité et lourde de chaleur estivale, corroboraient son exhortation à poser un à un mes habits. N’étais-je pas venue en toute connaissance de cause ?
Chaussures d’abord, repoussées le long du mur. Jupe sommairement repliée sur le dossier de la chaise et tee-shirt ramassé en boule sur mon sac, à même le sol.
J’y étais. Avec mon soutien-gorge neuf et ma culotte de dentelle assortie.
Immobile au milieu de la pièce, la plante des pieds foulant la moquette de bouclettes rases, j’attendais qu’il me fasse signe. Raide, contractée, sur le qui-vive même. Une vague tentative de contraction des abdominaux, me tenir un peu plus droite aussi.
« Allonge-toi. On dirait que je te fais peur. »
Je crois qu’il y avait effectivement un peu de ça dans mon empressement maladroit à obéir. Je repoussais le moment de croiser son regard qu’on disait translucide et intense. Je le sentais cependant posé sur moi, balayant mon corps presque nu. Scrutant le galbe de mes mollets, la douce indolence des cuisses, les fesses, subrepticement mon ventre délicatement rond de jeune femme et le chapelet de vertèbres le long de mon dos.
L’emplacement qu’il indiquait de sa main tendue n’était pas une table, ni un fauteuil à proprement parler. Plutôt un lit étroit et surélevé en cuir ébène. Certainement approprié à ce qu'il s’y déroulait habituellement.
Désormais allongée, soumise, je n’avais d’autre alternative que le regarder enfin, penché au-dessus de mon visage.
Nos regards se croisèrent, se mêlèrent. Le sien me foudroya, comme prévu, et le sol se déroba sous mon corps pourtant raidi par l’angoisse. Ma peau se couvrit de chair de poule et il caressa doucement mon avant-bras dans une vaine tentative de m’apaiser.
Sa stature massive au-dessus de moi dissimulait désormais totalement l’infime filet de lumière qui perçait dans l’interstice des volets. Mon audace m’avait mise à sa merci désormais. Il inclina encore davantage son visage vers le mien et je sentis sa masculine odeur corporelle.
Il passa la main dans sa chevelure qu’il arborait brune et abondante :
« Je sais pourquoi tu es venue. Ça va te faire du bien, arrête de t’inquiéter » souffla-t-il enfin tout bas à mon oreille.
Il passa sa main sur mon visage : la racine des cheveux, le front qu’il recouvrit totalement de sa large paume, mes paupières qu’il referma délicatement sur le monde puis les joues, la bouche qu’il effleura à peine.
Je l’entendis marcher et s’éloigner.
Des bruissements de tissus d’abord, puis un bruit de bouteille qu’on débouche.
Les pas se rapprochèrent à nouveau alors que mon cœur semblait sur le point de rompre et lorsque ses mains douces, chaudes, se posèrent sur mes épaules avec une tendre fermeté, je frémis d’un bonheur convoité.
Puis, je sentis l’odeur.
L’odeur camphrée dont m’avaient parlé les copines du lycées, que tendinites, entorses ou contusions avaient toutes conduites vers le nouvel ostéopathe du quartier
Des instructions saccadées de sa voix rauque et suave, je ne retins d’abord que le tutoiement. Immédiat et sans compromis. Comme si, en acceptant son invitation à entrer, je l’avais de mon côté implicitement convié à la familiarité. Je frémis. Déjà.
L’ambiance, tamisée – les volets étaient mi-clos – et l’atmosphère chargée d’humidité et lourde de chaleur estivale, corroboraient son exhortation à poser un à un mes habits. N’étais-je pas venue en toute connaissance de cause ?
Chaussures d’abord, repoussées le long du mur. Jupe sommairement repliée sur le dossier de la chaise et tee-shirt ramassé en boule sur mon sac, à même le sol.
J’y étais. Avec mon soutien-gorge neuf et ma culotte de dentelle assortie.
Immobile au milieu de la pièce, la plante des pieds foulant la moquette de bouclettes rases, j’attendais qu’il me fasse signe. Raide, contractée, sur le qui-vive même. Une vague tentative de contraction des abdominaux, me tenir un peu plus droite aussi.
« Allonge-toi. On dirait que je te fais peur. »
Je crois qu’il y avait effectivement un peu de ça dans mon empressement maladroit à obéir. Je repoussais le moment de croiser son regard qu’on disait translucide et intense. Je le sentais cependant posé sur moi, balayant mon corps presque nu. Scrutant le galbe de mes mollets, la douce indolence des cuisses, les fesses, subrepticement mon ventre délicatement rond de jeune femme et le chapelet de vertèbres le long de mon dos.
L’emplacement qu’il indiquait de sa main tendue n’était pas une table, ni un fauteuil à proprement parler. Plutôt un lit étroit et surélevé en cuir ébène. Certainement approprié à ce qu'il s’y déroulait habituellement.
Désormais allongée, soumise, je n’avais d’autre alternative que le regarder enfin, penché au-dessus de mon visage.
Nos regards se croisèrent, se mêlèrent. Le sien me foudroya, comme prévu, et le sol se déroba sous mon corps pourtant raidi par l’angoisse. Ma peau se couvrit de chair de poule et il caressa doucement mon avant-bras dans une vaine tentative de m’apaiser.
Sa stature massive au-dessus de moi dissimulait désormais totalement l’infime filet de lumière qui perçait dans l’interstice des volets. Mon audace m’avait mise à sa merci désormais. Il inclina encore davantage son visage vers le mien et je sentis sa masculine odeur corporelle.
Il passa la main dans sa chevelure qu’il arborait brune et abondante :
« Je sais pourquoi tu es venue. Ça va te faire du bien, arrête de t’inquiéter » souffla-t-il enfin tout bas à mon oreille.
Il passa sa main sur mon visage : la racine des cheveux, le front qu’il recouvrit totalement de sa large paume, mes paupières qu’il referma délicatement sur le monde puis les joues, la bouche qu’il effleura à peine.
Je l’entendis marcher et s’éloigner.
Des bruissements de tissus d’abord, puis un bruit de bouteille qu’on débouche.
Les pas se rapprochèrent à nouveau alors que mon cœur semblait sur le point de rompre et lorsque ses mains douces, chaudes, se posèrent sur mes épaules avec une tendre fermeté, je frémis d’un bonheur convoité.
Puis, je sentis l’odeur.
L’odeur camphrée dont m’avaient parlé les copines du lycées, que tendinites, entorses ou contusions avaient toutes conduites vers le nouvel ostéopathe du quartier
Comments
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Mia_the_Sissy 6 years ago
thanks for the invite 

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hotmanataol 6 years ago
no thank you
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A
Altruiste89 Host 6 years ago
Merci à toi pour ce plaisir !
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roaver59 6 years ago
Thanks for the invite 

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Wantingone2
Thanks for the invite!
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123ba456 6 years ago
Thank you for the add
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