La Sodomie :
La Sodomie :
(Version n°2)
Précision l’endroit de mon corps qui me procure le plus immense plaisir l’extase est mon anus, mon sexe de derrière mon sexe de femme trans. Je préfère dire mon anus. Il me suffit de le contracté un peu pour que l’envie d’être prise m’envahisse.
Je ne raconterais pas ici les préliminaires qui peuvent être très variés. Je n’évoquerais pas non plus l’absence de préliminaire à une sodomie. La sodomie consentie bien sur.
Surprise attendue ou après quelques secondes d’attentes, c'est-à-dire que je suis en attente de leurs désirs que j’y ai consentie que cela soit à mon initiative ou à celle de mon ou de mes partenaires, lorsque le gland de la verge de mon amant presse plus ou moins vivement l’entrée de mon sexe. Lorsque la tete de ce gland contrôlé par mes muscles qui s’écartent s’écartent pour se refermer quelques secondes après le passage du gland et avant que la verge m’ouvre m’écarte et que je sente en moi toute cette tige précédé par ce gland.
Oui la seconde la micro-seconde avant le relâchement après le passage du gland qui inaugure la suite cette verge à laquelle appartient cette extrémité, cette micro-seconde je ne l’échangerais pour rien.
Mes amants lorsqu’ils sont plusieurs à me partager, toujours avec mon consentement ou sous contrôle d’un de mes amants je ne me l’accordent pas systématiquement. Lorsqu’ils me partagent il est rare qu’il ne faille pas que je les prenne en moi à la suite sans autres transitions probablement pour qu’ils me prouvent (ou se prouvent) chacun leurs virilités, ou parce que témoins du précédent ils n’en peuvent plus et veulent à tous prix me faire partager leurs semences tièdes. Certes c’est autres choses que je ne voudrais pas perdre certes j’y prends un plaisir immense ne serais ce que parce que les satisfaire me comble de plaisirs, parce qu’un premier trop rapide est compensé par un suivant un peu moins. Mais un petit temps d’arrêt pour mieux apprécier le passage de chacun de ces glands ne nuirait pas.
Chacune de ces expériences est unique, elles ne dépendent pas que de la forme de la taille du volume de la chaleur. Le moment est magiquement différent même pour une même verge. Peut etre est ce l’inattendu d’un gland souvent connu buccalement , la sensation anale envisagée après avoir pris connaissance par la bouche qui s’avère sans lien avec mes sphincters . Un gland agréable en bouche n’est pas forcément extra-ordinaire à l’ouverture de mon intimité. Jamais anodin.
Il n’est jamais arrivé que le moment soit décevant, soit je ressens peu mais jamais rien de spéciale lors du passage et dans ce cas je m’abandonne au glissement progressif ou aux coups de pistons effrénés.
Il m’est arrivé qu’ayant avoué à un amant ce péché mignon, il s’applique particulièrement, le moment confirmait mes préférences mais il n’a pas pour autant été plus exceptionnel.
Il doit y avoir un lien entre bord des lèvres et bords de mon sexe. Oui lorsque prenant en bouche une verge dressée lorsque ma commissure de lèvres enfourne le gland proposé c’est le même frisson plaisir que s’il m’ouvrait entre les fesses mais moins intense.
Il se pourrait que synchronisant parfaitement ces deux absorptions l’effet, les effets cumulés ne soient pas à la hauteur je n’ai jamais essayé.
Le « reste » le après ne me laisse pas indifférente. Ce sont des moments moins solitaire que dans le moment précédent. Des moments partagés ils sont à vivre dans l’attachement à vivre les efforts déployer pour qu’il cherche à conjuguer son plaisir et le votre (ce qu’il croit etre le votre). Les mots crus sont assez révélateur. C’est à vivre..
La longueur d’une verge
Le diamètre d’une verge
L’action longue brutale ou alternée
J’aime à me concentrer sur une seule chose.
Sodomie et fellation. Je ne précise pas qui est sodomisée et qui fait la fellation. Se concentrer sur la fellation en attendant l’explosion du plaisir de l’autre. Se concentrer sur la sodomie c’est abandonner la fellation en attendant l’explosion du plaisir de l’autre. Se concentrer sur les deux m’est impossible. Comme dit plus haut sauf peut etre à synchroniser les deux pénétration.
Ce qui limite mon plaisir c’est que mon inutile sexe d’homme soit engagé dans la partie. Ne me procurant aucun plaisir et surtout pas l’éjaculation il serait mieux qu’il soit oublié. Sauf à procurer du plaisir à l’autre. Aucun partenaire n’a jamais insisté sauf à m’imposer cette forme d’humiliation me voulant ainsi et augmentant son plaisir. Le mien ne pouvant y etre autrement que par lui.
Vivre de l’autre
C’est d’ailleurs pour moi une étrangeté que de voir sur des vidéos des trans ou des homos éjaculés alors que sodomisés, leurs partenaires en faisait de m^me dans leurs intérieurs. Un espèce d’écho ils jouissent ensemble de la même manière. Pas moi.
Je n’éjacule pas quand je joui pendant une sodomie . Le plus souvent je ne suis m^me pas en pleine érection. Je peux avoir d’énorme perte mais il ne s’agit pas de sperme.
Le plaisir de l’autre est’il si moteur que cela après de tels aveux. Oui
Elsa
(Version n°2)
Précision l’endroit de mon corps qui me procure le plus immense plaisir l’extase est mon anus, mon sexe de derrière mon sexe de femme trans. Je préfère dire mon anus. Il me suffit de le contracté un peu pour que l’envie d’être prise m’envahisse.
Je ne raconterais pas ici les préliminaires qui peuvent être très variés. Je n’évoquerais pas non plus l’absence de préliminaire à une sodomie. La sodomie consentie bien sur.
Surprise attendue ou après quelques secondes d’attentes, c'est-à-dire que je suis en attente de leurs désirs que j’y ai consentie que cela soit à mon initiative ou à celle de mon ou de mes partenaires, lorsque le gland de la verge de mon amant presse plus ou moins vivement l’entrée de mon sexe. Lorsque la tete de ce gland contrôlé par mes muscles qui s’écartent s’écartent pour se refermer quelques secondes après le passage du gland et avant que la verge m’ouvre m’écarte et que je sente en moi toute cette tige précédé par ce gland.
Oui la seconde la micro-seconde avant le relâchement après le passage du gland qui inaugure la suite cette verge à laquelle appartient cette extrémité, cette micro-seconde je ne l’échangerais pour rien.
Mes amants lorsqu’ils sont plusieurs à me partager, toujours avec mon consentement ou sous contrôle d’un de mes amants je ne me l’accordent pas systématiquement. Lorsqu’ils me partagent il est rare qu’il ne faille pas que je les prenne en moi à la suite sans autres transitions probablement pour qu’ils me prouvent (ou se prouvent) chacun leurs virilités, ou parce que témoins du précédent ils n’en peuvent plus et veulent à tous prix me faire partager leurs semences tièdes. Certes c’est autres choses que je ne voudrais pas perdre certes j’y prends un plaisir immense ne serais ce que parce que les satisfaire me comble de plaisirs, parce qu’un premier trop rapide est compensé par un suivant un peu moins. Mais un petit temps d’arrêt pour mieux apprécier le passage de chacun de ces glands ne nuirait pas.
Chacune de ces expériences est unique, elles ne dépendent pas que de la forme de la taille du volume de la chaleur. Le moment est magiquement différent même pour une même verge. Peut etre est ce l’inattendu d’un gland souvent connu buccalement , la sensation anale envisagée après avoir pris connaissance par la bouche qui s’avère sans lien avec mes sphincters . Un gland agréable en bouche n’est pas forcément extra-ordinaire à l’ouverture de mon intimité. Jamais anodin.
Il n’est jamais arrivé que le moment soit décevant, soit je ressens peu mais jamais rien de spéciale lors du passage et dans ce cas je m’abandonne au glissement progressif ou aux coups de pistons effrénés.
Il m’est arrivé qu’ayant avoué à un amant ce péché mignon, il s’applique particulièrement, le moment confirmait mes préférences mais il n’a pas pour autant été plus exceptionnel.
Il doit y avoir un lien entre bord des lèvres et bords de mon sexe. Oui lorsque prenant en bouche une verge dressée lorsque ma commissure de lèvres enfourne le gland proposé c’est le même frisson plaisir que s’il m’ouvrait entre les fesses mais moins intense.
Il se pourrait que synchronisant parfaitement ces deux absorptions l’effet, les effets cumulés ne soient pas à la hauteur je n’ai jamais essayé.
Le « reste » le après ne me laisse pas indifférente. Ce sont des moments moins solitaire que dans le moment précédent. Des moments partagés ils sont à vivre dans l’attachement à vivre les efforts déployer pour qu’il cherche à conjuguer son plaisir et le votre (ce qu’il croit etre le votre). Les mots crus sont assez révélateur. C’est à vivre..
La longueur d’une verge
Le diamètre d’une verge
L’action longue brutale ou alternée
J’aime à me concentrer sur une seule chose.
Sodomie et fellation. Je ne précise pas qui est sodomisée et qui fait la fellation. Se concentrer sur la fellation en attendant l’explosion du plaisir de l’autre. Se concentrer sur la sodomie c’est abandonner la fellation en attendant l’explosion du plaisir de l’autre. Se concentrer sur les deux m’est impossible. Comme dit plus haut sauf peut etre à synchroniser les deux pénétration.
Ce qui limite mon plaisir c’est que mon inutile sexe d’homme soit engagé dans la partie. Ne me procurant aucun plaisir et surtout pas l’éjaculation il serait mieux qu’il soit oublié. Sauf à procurer du plaisir à l’autre. Aucun partenaire n’a jamais insisté sauf à m’imposer cette forme d’humiliation me voulant ainsi et augmentant son plaisir. Le mien ne pouvant y etre autrement que par lui.
Vivre de l’autre
C’est d’ailleurs pour moi une étrangeté que de voir sur des vidéos des trans ou des homos éjaculés alors que sodomisés, leurs partenaires en faisait de m^me dans leurs intérieurs. Un espèce d’écho ils jouissent ensemble de la même manière. Pas moi.
Je n’éjacule pas quand je joui pendant une sodomie . Le plus souvent je ne suis m^me pas en pleine érection. Je peux avoir d’énorme perte mais il ne s’agit pas de sperme.
Le plaisir de l’autre est’il si moteur que cela après de tels aveux. Oui
Elsa
5 years ago
Récit de Rachida la pute de Villepinte.
Je ne bande donc plus ou presque mais j'ai des écoulements.
Mais j'éprouve plus souvent et de manière plus intense et beaucoup plus prolongé des plaisirs qui me rende folle. Et ce avec ou sans écoulements.
Lors de pénétration et m^me avant lorsque cette perspective m'envahit
Ces écoulements ne sont pas proportionnel à mon plaisir. Je n'ai pas trouvé de cause d'effet proportionnel.
Je crois que cela dépend de mon partenaire.
Il m'est arrivée que mon partenaire veuille me voir éjaculer. Il s'est mis à me masturber (il m'a imposé de prendre le relais) cela a durer je n'étais en erection totale ni totalement moi. J'ai éprouvée une douce douleur au bout d'un certain temps et j'ai biensur fini par éjaculer. Cela ma fait souffrir mais eprouvé un plaisir dans une douce douleur physique et mentale.
Bises
Elsa
Ce que je vis le mieux c'est aucune nécessité a bander a devoir etre quelque chose. Je jouie point à la ligne et sans bander Elsa