Jeux de jambes
LĂ normalement, cela devrait tenir ! Un dernier tour de vis et je me mis Ă rassembler le petit outillage que jâavais dĂ» prendre avec moi pour mâenfoncer sous la vieille table normande accolĂ©e au mur et fermĂ©e de chaque cĂŽtĂ© par deux petits meubles rajoutĂ©s.
Il faudrait que jâarrive Ă ne plus accepter ces menus travaux, ce nâest plus de mon Ăąge pensais-je tout en essayant, dans lâespace restreint qui restait, de me retourner pour regagner lâair libre.
Dâun autre cĂŽtĂ© je nâavais pu lui refuser de venir voir ce qui la mettait dans un tel Ă©tat de nervositĂ© ! "Je nâai plus rien qui fonctionne ! Venez dĂšs que vous pourrez" mâavait-elle confiĂ© la veille.
Câest au moment oĂč jâallais pouvoir me dĂ©plier, que je la vis.
Assise sur la chaise placĂ©e Ă cĂŽtĂ© de la fenĂȘtre, avec sa jupe Ă©cossaise et son chemisier clair, jambes croisĂ©es en collant gris dans la lumiĂšre du soleil, mon regard se coinça entre elles sans vraiment vouloir sâen sortir.
- Alors ⊠?
Sa voix se tut. A mon arrivĂ©e, elle mâavait indiquĂ© la direction de lĂ oĂč je devais opĂ©rer mais par la suite je ne lâavais pas entendue venir sâasseoir, la pensant hors de la piĂšce.
Je relevais la tĂȘte et son regard bleu mâimmobilisa. Pensant que je nâavais pas entendu sa question, elle reprit :
- Alors ⊠?
- Eh bien ⊠heu .. câĂ©tait, je âŠenfin ⊠mais ⊠finalement âŠ
Je mâarrĂȘtais, la laissant incliner lentement sa tĂȘte sur le cĂŽtĂ© comme si elle voulait dĂ©coller quelques mĂšches rousses de sa joue. Elle pencha lĂ©gĂšrement le buste vers ma direction, son visage toujours dans ma direction, ses sourcils, en remontant, fronçant le front. Ses lĂšvres sâentrouvrir laissant sa bouche marquer dâun sourire bienveillant son intĂ©rĂȘt Ă la rĂ©ponse.
Devais-je reprendre mon explication ? Silence ! Seul son visage rassurant mâindiquait quâelle Ă©tait toute entiĂšre avec moi Ă mâencourager. Que je rĂ©ussirai certainement Ă finir ma phrase. Que je ne devais pas rester ainsi dans cette premiĂšre tentative qi venait dâĂ©chouer. Que cela arrivait Ă tout le monde. Que je devais seulement reprendre ma respiration et que tout irait bien.
Je suivis ce que je compris ĂȘtre son dernier conseil en reprenant une large inspiration et stoppa net, car elle reprit doucement :
- Alors, si je vous comprends bien âŠ
Mon regard retomba sur sa jambe croisĂ©e! Le galbe du mollet avec les courbes du talon et du pied ⊠la teinte rosĂ©e par la lumiĂšre sur le bas de sa cuisse dĂ©couverte contrastant avec la jupette dans lâombre qui interdisait pudiquement dâaller plus loin.
- ⊠Câest ⊠? poursuivit-elle dĂ©cidĂ©e Ă bien tout comprendre de mon explication.
- Câest ⊠câest ⊠câest rĂ©glĂ© ! ⊠enfin je pense.
- Tant mieux ! fit-elle dans un sourire, le regard vers ses jambes avant dâaccrocher le mien.
Je compris quâelle avait compris ce qui le retenait. Elle dĂ©croisa ses jambes comme pour le faire se dĂ©crocher et dans un lent bruissement de collant et se leva.
- Peut-ĂȘtre pourrions-nous faire un essai tant que vous ĂȘtes lĂ ? fit-elle timidement comme si mon expertise pouvait se trouver choquer quâelle dĂ©cide Ă ma place
- Tout Ă fait ⊠un essai pourrait ĂȘtre ⊠en plus Ă©tant là ⊠jâallaisâŠ
Sans attendre la fin improbable de ce que je disais, elle vint en glissant sur la carrelage clair se placer devant la table. Ses jambes devant moi mâempĂȘchĂšrent de mâĂ©vader. Ce dont je nâavais nullement lâintention dâailleurs.
Pendant que je la sentais affairĂ©e Ă rallumer son ordinateur, je me retrouvais si prĂšs de ses jambes que je pouvais en respirer un lĂ©ger parfum sucrĂ©. DiscrĂštement, je descendais ma tĂȘte le long de ses mollets en les frĂŽlant. Ainsi ma bouche, enfin, pouvait accompagner mes yeux dans leurs glissades enivrantes. Je remontais jusquâĂ ses genoux et plus haut encore que je me cognais au plateau en chĂȘne et indĂ©formable de la table.
- Que je suis maladroite ! Jâaurais dĂ» vous laisser faire ! Je vous fais perdre du temps⊠bon je recommence !
- Pas de souci ! soufflai-je. ProjetĂ© dans une autre galaxie, quelles sensations dĂ©licieuses je vivais Ă cet instant ! Etre lĂ ainsi Ă pouvoir frĂŽler ses jambes, de la bouche et des yeux en mĂȘme temps ⊠rien Ă voir avec celles ressenties quand jâen avais que la vue glacĂ©e sur lâĂ©cran et de loin en plus⊠trĂšs vite la chaleur de cet instant se propagea aux bas du ventre⊠Ding-tong ! - Oooh ! - Hello ! - Ne bougez pas ! âŠÂ»
-------
- Excuse-moi mais lĂ jâai du mal Ă te suivre !
- Câest sĂ»r ! Moi-mĂȘme sur le moment, je vivais la situation sans rĂ©flĂ©chir. Et le fait de te le raconter, mâexcite de nouveau ! Tu ne peux pas voir la scĂšne comme je la vois, lĂ tout de suite ! Encore moins comme je lâai vĂ©cue. JâĂ©tais sous une table normande qui servait de bureau Ă une jeune femme qui mâavait demandĂ© de voir pourquoi elle avait des soucis de connexion. Le travail fini, je mâapprĂȘte Ă sortir de dessous la table et elle vient se mettre debout, juste devant, avec sa petite jupette Ă mi-cuisse et ses jambes à ⊠à âŠje ne sais pas ! A mĂȘme pas dix centimĂštres de mon visage ! Peux-tu faire lâeffort un instant de tâimaginer ce que je vivais ?
- Je comprends ton excitation en effet ! Je tâoffre une autre biĂšre pour que tu mâexpliques ce « Ding-tong ! Ooh ! Hello ! Ne bougez pas » ?
- Euh oui avec plaisir ! Je lui avais dis de faire un essai tant que jâĂ©tais lĂ âŠ
- âŠ. ??
- Oui enfin ! bref ! Elle Ă©tait lĂ debout contre le bord de la table, je me demande si elle avait vraiment conscience que jâĂ©tais encore dessous : ses jambes tout naturellement se passaient de lâune Ă lâautre lâappui de son corps. Une fois dĂ©gagĂ©e, lâune ou lâautre soit avançaient vers moi presque Ă me toucher ou bien au contraire reculait pour aller pudiquement se cacher derriĂšre lâautre en la croisant⊠je ne sais pas ce qui mâa pris mais bien sĂ»r jâai commencĂ© Ă bander !
- Ah Nous y sommes ! Et tu tâes âŠ
- Jâen avais vraiment envie mais je nâosais pas.
« Ca y est ! Ca marche ! Vous ĂȘtes un as ⊠» Au ton de sa voix, elle Ă©tait toute guillerette et au mouvement de recul de ses jambes je compris quâelle allait se pencher vers le dessous de table car quelques mĂšches rousses dĂ©passĂšrent tout Ă coup du bas du plateau :
- Vous ĂȘtes encore lĂ ? je ne vous vois pas, vous âŠ.â Ding tonnnng - Oooh souffla-t-elle avec un ton de ravissement en se redressant rapidement!
Une voix fĂ©minine enjouĂ©e vint de lâentrĂ©e :« Hellooo !»
- Ne bougez-pas ! restez-lĂ oĂč vous ĂȘtes⊠vous mâavez entendue ? me fit-elle sĂšchement Ă voix presque basse et en se retournant vers la porte en restant sur place et en sâappuyant sur le bord de table pour accueillir sa visiteuse.
- Oui, fis-je doucement. Les pas sur le carrelage blanc firent irruption dans la piĂšce comme un souffle chaud venant de lâItalie! Des jambes fines revĂȘtues dâun collant clair sâavancĂšrent vers la table au fond de laquelle jâĂ©tais tapi, recroquevillĂ© presque douloureusement mais tellement ravi de ce qui se passait. Les voix qui mâarrivaient me permettant de donner du sens aux jeux de jambes qui se dĂ©roulaient dans lâencadrure de la table.
- âŠmais tu ne mâavais pas dit que tu ne rentrais que âŠ
- Tu es déçue ?
- Ne dis pas de bĂȘtise !
Les deux paires de collant se mĂ©langĂšrent dans un frĂ©missement lĂ©ger pendant que, provenant dâen haut, jâentendis les deux respirations sâarrĂȘter avec le son doux de bouches qui fusionnent !
- Bon ça va ! Ne me fais pas un dessin ! Elles sâembrassaient, câest ça ?
- Sâembrasser ??? Je vois bien que tu nây Ă©tais pas ! CâĂ©tait plus que ça ! Sur le rythme de plus en plus lent des lĂšvres humides, des respirations sâarrĂȘtant puis reprenant ensemble ou sĂ©parĂ©ment ⊠leurs baisers furent interminables et les souffles de leur respiration sâaccĂ©lĂ©rĂšrent. A un moment, Ă peine dĂ©collĂ©es lâune de lâautre, jâentendis Ă peine un :
- On ne va pas faire ça ici !
- Pourquoi tu as peur quâon nous voit ⊠Ah ! Câest Ă cause de ton voisin, toujours Ă te mater derriĂšre la fenĂȘtre ! ⊠Tiens je ne le vois pas ! Il te tromperait en matant vicieusement une autre voisine ?
- Ne dis pas de mal de lui ! Il est toujours prĂȘt Ă me rendre service ! Il mâa mĂȘme rĂ©parĂ© ma panne dâinternet ! ⊠mais tu as raison, je crois que mes jambes lui font le meilleur effet!
-Pff ! ça le fait bander, câest tout ! et ça te plait ? Alors il nâa pas tout vu !
A ce moment, deux mains relevĂšrent la jupe Ă©cossaise qui dĂ©passait du rebord Ă©pais de la table et le tissu relevĂ©, tel un lever de rideau, je pus me dĂ©lecter de la vue de ses cuisses. Au vu du mouvement du collant je compris quâelles sâĂ©taient faufilĂ©es dessous pour aller palper les fesses que je ne pouvais malheureusement pas voir malgrĂ© mes efforts, tout en restant invisible, Ă regarder par dessous
- Viens Ă la fenĂȘtre quâil te voit !
- Non ! Je préfÚre ici !
------
- HĂ© ! charmante ta voisine ! Elle aime que tu la mates, alors !
- Non ! elle consent ! Cela ne veut pas rien dire de plus !
- En plus je ne mâen Ă©tais pas rendu compte sur le moment quâelle avait pu le dire en pensant en effet que jâĂ©tais encore sous la table !
- Et aprĂšs, que sâest-il passĂ© ?
- Le genou repliĂ© de sa visiteuse apparut entre les jambes que je voyais de dos et remonta lentement jusquâĂ ce quâil disparaisse derriĂšre le bord de la table ! Les jambes « encollantĂ©es » se flĂ©chirent un peu en laissant les genoux sâĂ©carter et jâentendis un « han » retenu dans un souffle. TrĂšs certainement quand la cuisse fut en contact avec son intimitĂ©. Cela ne dura pas longtemps car, au vu dâune manche de corsage qui mâapparut, je devinai quâelle fut remplacĂ©e par la main ⊠et lĂ âŠ. Pauvre ! Entre ce que jâentendais des bouches, des souffles, du mouvement des jambes ⊠câĂ©tait lâivresse totale ! Le collant fut baissĂ© jusquâĂ mi-cuisse laissant dĂ©couvrir sa peau claire mouchetĂ©e dâune myriade de lucioles rosĂ©es ⊠le halĂštement des respirations, les petits gĂ©missements de plaisir, je nâai pu me retenir plus longtemps. Je mâapprochais le plus possible du bord, mon visage tout prĂšs Ă humer ces jambes dans leurs mouvements de va et vient, les yeux fermĂ©s jâai ouvert ma braguette et jâai commencĂ© Ă me branler⊠le contact soudain et involontaire du creux de son genou droit contre ma bouche me fit reculer. Mais je compris dâinstinct en le voyant maintenant immobile que ⊠et de moi-mĂȘme, en prenant un peu sur moi pour ma timiditĂ©, je rapprochai ma bouche pour baiser sa peau ..
- Eh beh ! tu devais ĂȘtre dans quel Ă©tat sur le moment ! Tout de suite, tu te verrais ! Jâai lâimpression que tu y es !
- Non mais tu te rends compte de ce que je te dis ? Pendant quâelle se faisait faire lâamour par son amie, debout contre la table sous laquelle jâĂ©tais, elle mâabandonnait sa jambe pour que je puisse la caresser de mes lĂšvres ! Non, mais tu te rends compte ?? Je mâappliquais Ă bisouter tous les petits centimĂštres carrĂ©s de son mollet quand je compris Ă ses tremblements et aux cris retenus quâelle allait jouir, lĂ devant moi sur la main de son amie ! La table en trembla presque⊠⊠⊠⊠âŠ
- Eh oh ! Yâa quelquâun ? EtâŠ?
- et câest montĂ© dâun seul coup ! une envie irrĂ©pressible. Jâai rĂ©ussi en me contorsionnant Ă rapprocher le bassin de sa jambe et en Ă©touffant ma jouissance, je me rĂ©pandis sur sa jambe un peu partout. DĂšs que je fus soulagĂ©, je me rĂ©-enfonçais dans ma grotte, me demandant ce qui avait bien mâarriver. Au-dessus de moi, cela sâĂ©tait calmĂ© et seuls des petits rires me parvenaient au rythme de leurs bouche qui devaient de temps en temps se dĂ©coller lâune de lâautre.
Jâai pris un mouchoir pour lui essuyer les gouttes blanches et collantes qui perlaient ça et lĂ sur le bas de sa cuisse, sur son collant repliĂ© sur lui-mĂȘme, sur son mollet âŠ
- Bref tu lui en avais mis partout !
- AprĂšs un long moment, je compris quâelles avaient dĂ©cidĂ© de se sĂ©parer. Pendant que son amie quittait la piĂšce, elle remonta ses collants et quand elle fut sortie, elle me dit dâun ton neutre comme si de rien ne sâĂ©tait passĂ© ;
- Houhou, lĂ -dessous ? Yâa-t-il encore quelquâun ? Jâaimerais bien pouvoir mâasseoir Ă ma table et travailler tranquillement.
Il faudrait que jâarrive Ă ne plus accepter ces menus travaux, ce nâest plus de mon Ăąge pensais-je tout en essayant, dans lâespace restreint qui restait, de me retourner pour regagner lâair libre.
Dâun autre cĂŽtĂ© je nâavais pu lui refuser de venir voir ce qui la mettait dans un tel Ă©tat de nervositĂ© ! "Je nâai plus rien qui fonctionne ! Venez dĂšs que vous pourrez" mâavait-elle confiĂ© la veille.
Câest au moment oĂč jâallais pouvoir me dĂ©plier, que je la vis.
Assise sur la chaise placĂ©e Ă cĂŽtĂ© de la fenĂȘtre, avec sa jupe Ă©cossaise et son chemisier clair, jambes croisĂ©es en collant gris dans la lumiĂšre du soleil, mon regard se coinça entre elles sans vraiment vouloir sâen sortir.
- Alors ⊠?
Sa voix se tut. A mon arrivĂ©e, elle mâavait indiquĂ© la direction de lĂ oĂč je devais opĂ©rer mais par la suite je ne lâavais pas entendue venir sâasseoir, la pensant hors de la piĂšce.
Je relevais la tĂȘte et son regard bleu mâimmobilisa. Pensant que je nâavais pas entendu sa question, elle reprit :
- Alors ⊠?
- Eh bien ⊠heu .. câĂ©tait, je âŠenfin ⊠mais ⊠finalement âŠ
Je mâarrĂȘtais, la laissant incliner lentement sa tĂȘte sur le cĂŽtĂ© comme si elle voulait dĂ©coller quelques mĂšches rousses de sa joue. Elle pencha lĂ©gĂšrement le buste vers ma direction, son visage toujours dans ma direction, ses sourcils, en remontant, fronçant le front. Ses lĂšvres sâentrouvrir laissant sa bouche marquer dâun sourire bienveillant son intĂ©rĂȘt Ă la rĂ©ponse.
Devais-je reprendre mon explication ? Silence ! Seul son visage rassurant mâindiquait quâelle Ă©tait toute entiĂšre avec moi Ă mâencourager. Que je rĂ©ussirai certainement Ă finir ma phrase. Que je ne devais pas rester ainsi dans cette premiĂšre tentative qi venait dâĂ©chouer. Que cela arrivait Ă tout le monde. Que je devais seulement reprendre ma respiration et que tout irait bien.
Je suivis ce que je compris ĂȘtre son dernier conseil en reprenant une large inspiration et stoppa net, car elle reprit doucement :
- Alors, si je vous comprends bien âŠ
Mon regard retomba sur sa jambe croisĂ©e! Le galbe du mollet avec les courbes du talon et du pied ⊠la teinte rosĂ©e par la lumiĂšre sur le bas de sa cuisse dĂ©couverte contrastant avec la jupette dans lâombre qui interdisait pudiquement dâaller plus loin.
- ⊠Câest ⊠? poursuivit-elle dĂ©cidĂ©e Ă bien tout comprendre de mon explication.
- Câest ⊠câest ⊠câest rĂ©glĂ© ! ⊠enfin je pense.
- Tant mieux ! fit-elle dans un sourire, le regard vers ses jambes avant dâaccrocher le mien.
Je compris quâelle avait compris ce qui le retenait. Elle dĂ©croisa ses jambes comme pour le faire se dĂ©crocher et dans un lent bruissement de collant et se leva.
- Peut-ĂȘtre pourrions-nous faire un essai tant que vous ĂȘtes lĂ ? fit-elle timidement comme si mon expertise pouvait se trouver choquer quâelle dĂ©cide Ă ma place
- Tout Ă fait ⊠un essai pourrait ĂȘtre ⊠en plus Ă©tant là ⊠jâallaisâŠ
Sans attendre la fin improbable de ce que je disais, elle vint en glissant sur la carrelage clair se placer devant la table. Ses jambes devant moi mâempĂȘchĂšrent de mâĂ©vader. Ce dont je nâavais nullement lâintention dâailleurs.
Pendant que je la sentais affairĂ©e Ă rallumer son ordinateur, je me retrouvais si prĂšs de ses jambes que je pouvais en respirer un lĂ©ger parfum sucrĂ©. DiscrĂštement, je descendais ma tĂȘte le long de ses mollets en les frĂŽlant. Ainsi ma bouche, enfin, pouvait accompagner mes yeux dans leurs glissades enivrantes. Je remontais jusquâĂ ses genoux et plus haut encore que je me cognais au plateau en chĂȘne et indĂ©formable de la table.
- Que je suis maladroite ! Jâaurais dĂ» vous laisser faire ! Je vous fais perdre du temps⊠bon je recommence !
- Pas de souci ! soufflai-je. ProjetĂ© dans une autre galaxie, quelles sensations dĂ©licieuses je vivais Ă cet instant ! Etre lĂ ainsi Ă pouvoir frĂŽler ses jambes, de la bouche et des yeux en mĂȘme temps ⊠rien Ă voir avec celles ressenties quand jâen avais que la vue glacĂ©e sur lâĂ©cran et de loin en plus⊠trĂšs vite la chaleur de cet instant se propagea aux bas du ventre⊠Ding-tong ! - Oooh ! - Hello ! - Ne bougez pas ! âŠÂ»
-------
- Excuse-moi mais lĂ jâai du mal Ă te suivre !
- Câest sĂ»r ! Moi-mĂȘme sur le moment, je vivais la situation sans rĂ©flĂ©chir. Et le fait de te le raconter, mâexcite de nouveau ! Tu ne peux pas voir la scĂšne comme je la vois, lĂ tout de suite ! Encore moins comme je lâai vĂ©cue. JâĂ©tais sous une table normande qui servait de bureau Ă une jeune femme qui mâavait demandĂ© de voir pourquoi elle avait des soucis de connexion. Le travail fini, je mâapprĂȘte Ă sortir de dessous la table et elle vient se mettre debout, juste devant, avec sa petite jupette Ă mi-cuisse et ses jambes à ⊠à âŠje ne sais pas ! A mĂȘme pas dix centimĂštres de mon visage ! Peux-tu faire lâeffort un instant de tâimaginer ce que je vivais ?
- Je comprends ton excitation en effet ! Je tâoffre une autre biĂšre pour que tu mâexpliques ce « Ding-tong ! Ooh ! Hello ! Ne bougez pas » ?
- Euh oui avec plaisir ! Je lui avais dis de faire un essai tant que jâĂ©tais lĂ âŠ
- âŠ. ??
- Oui enfin ! bref ! Elle Ă©tait lĂ debout contre le bord de la table, je me demande si elle avait vraiment conscience que jâĂ©tais encore dessous : ses jambes tout naturellement se passaient de lâune Ă lâautre lâappui de son corps. Une fois dĂ©gagĂ©e, lâune ou lâautre soit avançaient vers moi presque Ă me toucher ou bien au contraire reculait pour aller pudiquement se cacher derriĂšre lâautre en la croisant⊠je ne sais pas ce qui mâa pris mais bien sĂ»r jâai commencĂ© Ă bander !
- Ah Nous y sommes ! Et tu tâes âŠ
- Jâen avais vraiment envie mais je nâosais pas.
« Ca y est ! Ca marche ! Vous ĂȘtes un as ⊠» Au ton de sa voix, elle Ă©tait toute guillerette et au mouvement de recul de ses jambes je compris quâelle allait se pencher vers le dessous de table car quelques mĂšches rousses dĂ©passĂšrent tout Ă coup du bas du plateau :
- Vous ĂȘtes encore lĂ ? je ne vous vois pas, vous âŠ.â Ding tonnnng - Oooh souffla-t-elle avec un ton de ravissement en se redressant rapidement!
Une voix fĂ©minine enjouĂ©e vint de lâentrĂ©e :« Hellooo !»
- Ne bougez-pas ! restez-lĂ oĂč vous ĂȘtes⊠vous mâavez entendue ? me fit-elle sĂšchement Ă voix presque basse et en se retournant vers la porte en restant sur place et en sâappuyant sur le bord de table pour accueillir sa visiteuse.
- Oui, fis-je doucement. Les pas sur le carrelage blanc firent irruption dans la piĂšce comme un souffle chaud venant de lâItalie! Des jambes fines revĂȘtues dâun collant clair sâavancĂšrent vers la table au fond de laquelle jâĂ©tais tapi, recroquevillĂ© presque douloureusement mais tellement ravi de ce qui se passait. Les voix qui mâarrivaient me permettant de donner du sens aux jeux de jambes qui se dĂ©roulaient dans lâencadrure de la table.
- âŠmais tu ne mâavais pas dit que tu ne rentrais que âŠ
- Tu es déçue ?
- Ne dis pas de bĂȘtise !
Les deux paires de collant se mĂ©langĂšrent dans un frĂ©missement lĂ©ger pendant que, provenant dâen haut, jâentendis les deux respirations sâarrĂȘter avec le son doux de bouches qui fusionnent !
- Bon ça va ! Ne me fais pas un dessin ! Elles sâembrassaient, câest ça ?
- Sâembrasser ??? Je vois bien que tu nây Ă©tais pas ! CâĂ©tait plus que ça ! Sur le rythme de plus en plus lent des lĂšvres humides, des respirations sâarrĂȘtant puis reprenant ensemble ou sĂ©parĂ©ment ⊠leurs baisers furent interminables et les souffles de leur respiration sâaccĂ©lĂ©rĂšrent. A un moment, Ă peine dĂ©collĂ©es lâune de lâautre, jâentendis Ă peine un :
- On ne va pas faire ça ici !
- Pourquoi tu as peur quâon nous voit ⊠Ah ! Câest Ă cause de ton voisin, toujours Ă te mater derriĂšre la fenĂȘtre ! ⊠Tiens je ne le vois pas ! Il te tromperait en matant vicieusement une autre voisine ?
- Ne dis pas de mal de lui ! Il est toujours prĂȘt Ă me rendre service ! Il mâa mĂȘme rĂ©parĂ© ma panne dâinternet ! ⊠mais tu as raison, je crois que mes jambes lui font le meilleur effet!
-Pff ! ça le fait bander, câest tout ! et ça te plait ? Alors il nâa pas tout vu !
A ce moment, deux mains relevĂšrent la jupe Ă©cossaise qui dĂ©passait du rebord Ă©pais de la table et le tissu relevĂ©, tel un lever de rideau, je pus me dĂ©lecter de la vue de ses cuisses. Au vu du mouvement du collant je compris quâelles sâĂ©taient faufilĂ©es dessous pour aller palper les fesses que je ne pouvais malheureusement pas voir malgrĂ© mes efforts, tout en restant invisible, Ă regarder par dessous
- Viens Ă la fenĂȘtre quâil te voit !
- Non ! Je préfÚre ici !
------
- HĂ© ! charmante ta voisine ! Elle aime que tu la mates, alors !
- Non ! elle consent ! Cela ne veut pas rien dire de plus !
- En plus je ne mâen Ă©tais pas rendu compte sur le moment quâelle avait pu le dire en pensant en effet que jâĂ©tais encore sous la table !
- Et aprĂšs, que sâest-il passĂ© ?
- Le genou repliĂ© de sa visiteuse apparut entre les jambes que je voyais de dos et remonta lentement jusquâĂ ce quâil disparaisse derriĂšre le bord de la table ! Les jambes « encollantĂ©es » se flĂ©chirent un peu en laissant les genoux sâĂ©carter et jâentendis un « han » retenu dans un souffle. TrĂšs certainement quand la cuisse fut en contact avec son intimitĂ©. Cela ne dura pas longtemps car, au vu dâune manche de corsage qui mâapparut, je devinai quâelle fut remplacĂ©e par la main ⊠et lĂ âŠ. Pauvre ! Entre ce que jâentendais des bouches, des souffles, du mouvement des jambes ⊠câĂ©tait lâivresse totale ! Le collant fut baissĂ© jusquâĂ mi-cuisse laissant dĂ©couvrir sa peau claire mouchetĂ©e dâune myriade de lucioles rosĂ©es ⊠le halĂštement des respirations, les petits gĂ©missements de plaisir, je nâai pu me retenir plus longtemps. Je mâapprochais le plus possible du bord, mon visage tout prĂšs Ă humer ces jambes dans leurs mouvements de va et vient, les yeux fermĂ©s jâai ouvert ma braguette et jâai commencĂ© Ă me branler⊠le contact soudain et involontaire du creux de son genou droit contre ma bouche me fit reculer. Mais je compris dâinstinct en le voyant maintenant immobile que ⊠et de moi-mĂȘme, en prenant un peu sur moi pour ma timiditĂ©, je rapprochai ma bouche pour baiser sa peau ..
- Eh beh ! tu devais ĂȘtre dans quel Ă©tat sur le moment ! Tout de suite, tu te verrais ! Jâai lâimpression que tu y es !
- Non mais tu te rends compte de ce que je te dis ? Pendant quâelle se faisait faire lâamour par son amie, debout contre la table sous laquelle jâĂ©tais, elle mâabandonnait sa jambe pour que je puisse la caresser de mes lĂšvres ! Non, mais tu te rends compte ?? Je mâappliquais Ă bisouter tous les petits centimĂštres carrĂ©s de son mollet quand je compris Ă ses tremblements et aux cris retenus quâelle allait jouir, lĂ devant moi sur la main de son amie ! La table en trembla presque⊠⊠⊠⊠âŠ
- Eh oh ! Yâa quelquâun ? EtâŠ?
- et câest montĂ© dâun seul coup ! une envie irrĂ©pressible. Jâai rĂ©ussi en me contorsionnant Ă rapprocher le bassin de sa jambe et en Ă©touffant ma jouissance, je me rĂ©pandis sur sa jambe un peu partout. DĂšs que je fus soulagĂ©, je me rĂ©-enfonçais dans ma grotte, me demandant ce qui avait bien mâarriver. Au-dessus de moi, cela sâĂ©tait calmĂ© et seuls des petits rires me parvenaient au rythme de leurs bouche qui devaient de temps en temps se dĂ©coller lâune de lâautre.
Jâai pris un mouchoir pour lui essuyer les gouttes blanches et collantes qui perlaient ça et lĂ sur le bas de sa cuisse, sur son collant repliĂ© sur lui-mĂȘme, sur son mollet âŠ
- Bref tu lui en avais mis partout !
- AprĂšs un long moment, je compris quâelles avaient dĂ©cidĂ© de se sĂ©parer. Pendant que son amie quittait la piĂšce, elle remonta ses collants et quand elle fut sortie, elle me dit dâun ton neutre comme si de rien ne sâĂ©tait passĂ© ;
- Houhou, lĂ -dessous ? Yâa-t-il encore quelquâun ? Jâaimerais bien pouvoir mâasseoir Ă ma table et travailler tranquillement.
5 years ago
Bizarrement, cela fonctionne exactement dans le sens inverse que si je restais trop longtemps Ă rĂȘvasser devant votre avatar!
En ne voyant que ses jambes, mon imaginaire est en mesure de voir le haut!
Et pour vous, en voyant le haut, il me permet de voir le bas!
En fait qu'importe le sens de la visite!
Je n'ai vraiment pas la prĂ©tention de savoir Ă©crire car c'Ă©tait juste pour illustrer ce que mon 'imaginaire (Ă force de rĂȘvasser devant la photo d'une paire de jambes fĂ©minines appartenant Ă un de "mes" contacts sur le rĂ©seau) m'avait permis de "voir"!
Je ne pensais pas pouvoir le "montrer" Ă quelqu'un d'autre qu'elle!
Merci de votre retour.
Fantaisie, tout Ă fait; chaude, tant mieux!
En fait, c'est une jeune femme dont j'admire les jambes depuis longtemps. Un de ses photos me l'a inspirĂ©e: c'Ă©tait Ă son intention. Mais ce qui me surprend le plus, c'est que j'ai tellement fini par y croire d'ĂȘtre sous la table, c'est que ... ça m'excitait! Va comprendre les fantasmes!