Le gamin du pensionnat

Chapitre 4 : le gamin les veut toutes sur sa queue

Je me suis approchĂ©. J’ai envie une folle putain d’envie de caresser le cul de ma mĂšre, de plonger mes doigts entre ses fesses si dĂ©licieusement exposĂ©es. Tout au contraire, pour mon pĂšre, je n’avais qu’une sale envie, lui faire aussi mal, si ce n’est plus, que la fois oĂč il m’avait fouettĂ© pour avoir oubliĂ© un mot dans une priĂšre. Et c’est exactement ce que je fais en commençant par son entrecuisse velu et moche. Je le frappe aussi fort que mon bras le peut et il le peut par esprit de vengeance. La ceinture s’abat et sur son cul, ses couilles et s’achĂšve sur sa bite. Il serre les dents pour ne pas crier le bougre, mais il va crier, j’en fais le serment. Puis, c’est autour de ma mĂšre, cela laisse le temps Ă  la douleur de s’estomper sur mon pĂšre. Je frappe aussi durement que je le peux. J’entends ses larmes, ses gĂ©missements, ses pardons. DerriĂšre moi, une main se glisse dans mon pantalon, elle caresse mes fesses et la bouche se dĂ©pose sur ma nuque. Une douce voix me susurre d’y aller franco en pensant Ă  mes supplices subis en pension. Oooh, ma sƓur, que voilĂ  une bien belle suggestion. Il n’y a pas Ă  dire, il est des demandes qu’on ne peut dĂ©cemment refuser. Je sais que cette nonne se branle et l’idĂ©e me fait bander que davantage.

Je frappe violemment mon pĂšre, un violent gĂ©missement sort de sa bouche, je devine aussi des larmes et ça me fait bander Ă  un point, vous ne vous imaginez mĂȘme pas. La main de sƓur Clothilde se fait bien plus voluptueuse encore. Je frappe ma mĂšre, je bande davantage, comme si c’était possible. Vingt coups que j’assĂšne Ă  tour de rĂŽle et Ă  chacun. Peu avant le dernier sur l’entrecuisse de ma mĂšre, sƓur Clothilde m’embrasse tendrement. Si mes vieux pouvaient nous voir
 Mais bon, il me faut assĂ©ner cet avant dernier coup. Il est le plus puissant, je crois. Ma mĂšre en tombe Ă  plat ventre, en pleure, son corps tremble de partout. Comme bonus, c’est mon pĂšre qui reçoit le tout dernier. Sauf que j’ai tournĂ© la ceinture et c’est la boucle qui tape ses couilles bien bleues dĂ©jĂ  et sa petite bite violette et enfle. Il pousse un de ces hurlements qui me fait Ă©jaculer quand sƓur Clothilde me caresse la bite. De sa langue, elle lĂšche sa main, nous nous embrassons dans le dos de mes vieux. Enfin, pas ma mĂšre, elle me parait encore si jeune. C’est que nous n’avons que seize petites annĂ©es de diffĂ©rence et quand on sait qu’elle n’a que trente-deux ans...

- Mes enfants, la volontĂ© du tout puissant s’est accomplie par la main de votre enfant. Mes enfants, vos pĂȘchĂ©s vous sont pardonnĂ©s. Relevez-vous et prenez place que nous bavardions de votre enfant. Non mon fils, sans le remettre. S’il pardonne, il tient Ă  vous voir comme au premier jour de votre vie, vous aussi, ma fille

- Ma mĂšre, permettez que je baise la main de celui qui m’a, Ă  trĂšs juste titre, punie avec toute la sĂ©vĂ©ritĂ© que ma faute requĂ©rait.

- Ma fille, il ne peut en ĂȘtre autrement, baisez donc. Mais aprĂšs ses mains, ses joues mĂ©ritent votre tendresse de fille du tout puissant.

- Amen, s’écrie mon pĂšre.

SƓur Clothilde fusille mon pùre du regard alors que ma mùre m’embrasse tendrement mes joues en m’enlaçant de ses bras. Une main perdue me guide sur son sexe endolori.

- Mille merci, mon fils, tu viens de me faire jouir.

Et c’était vrai ! l’humiditĂ© de son sexe, me le prouvait.

- Ma chĂšre mĂšre, vous vous doutez qu’un tel aveu Ă©quivaut Ă  quĂ©mander une autre punition tout aussi mĂ©chante. Elle doit mĂȘme ĂȘtre loin des yeux de ce monde de pĂȘcheur.

- Oui mon fils, et je la mĂ©rite amplement si c’est vous qui me l’administrer. Vous ne pourrez que me sauver.

- Ma sƓur, pardon, ma mùre, que faire aprùs cet aveu envers moi ? demandais-je

- Que vous, mon fils, son Ă©poux, son pĂšre, vous filiez prier pour votre salut jusqu’à l’aube. Allez, dĂ©laissez-nous, mon fils. Je vous conseille d’aller visiter le pĂšre Cutteur. Il se trouve ĂȘtre d’excellent conseil. Il siĂšge non loin, Ă  l’église Notre Dame du Purgatoire. Il sera vous remettre sur le droit chemin, mon fils. Donnez-lui le bonjour de ma part.

- Grand merci, ma mùre. J’ai à parler, à confesser, le moment m’apparait comme bien choisi. Adieu, mon fils.

Cet adieu avait une sonoritĂ© de non-retour, de dĂ©finitif. Mon pĂšre nous quitte dans la prĂ©cipitation. Je devine la peur que cette nonne lui inspire Puis, seul devant ma mĂšre, sƓur Clothilde entreprend d’achever de la dĂ©nudĂ© sans douceur. Nue, ma mĂšre laisse ses mains se croiser dans son dos, sa tĂȘte se pencher en avant et de tomber Ă  genou devant mes pieds.

- Ma mÚre, serait-ce mon vit qui vous intéresse donc de voir ?

- Oui mon fils, je le devine tendu, long, Ă©pais. Il me plairait que vous me fourriez aprĂšs m'avoir sĂ©vĂšrement punie comme la pĂȘcheresse que je suis le mĂ©rite.

- Mais ce serait pĂȘcher que de poser votre regard dessus mon sexe.

- Oui, je le concĂšde. Mais vous venez vous aussi de pĂȘcher en faisant jouir votre mĂšre, ma merveilleuse progĂ©niture. Ma mĂšre, il est grand temps de lui dĂ©voiler mon passĂ©, ne croyez-vous pas ?

- Oh que oui, ma fille. Je vais mĂȘme le faire pour toi pendant que ta bouche engloutira son superbe chibre. Tu vois, Christian, ta mĂšre et moi, nous sommes cousines germaines et du mĂȘme Ăąge Ă  deux mois prĂšs. Nous avons mĂȘme fait toutes nos Ă©tudes dans ce pensionnat. TrĂšs vite, ta mĂšre nous a montrĂ© des signes Ă©vident de docilitĂ© malgrĂ© son caractĂšre bien tempĂ©. Non pas qu’elle Ă©tait faible, pas du tout. Aussi, je ne me suis jamais privĂ©e de l’humilier en public, de la punir parfois, de la dĂ©noncer pour des fautes que moi, je commettais. Si tu l’avais vue jouir Ă  chaque fois je m’attaquais Ă  elle. Sa jeunesse n’en Ă©tait que plus magnifique. Soumise, elle est devenue l’esclave du pensionnat, des nonnes s’entend. Seulement, promise Ă  cet homme, ton pĂšre, elle dĂ»t se rĂ©soudre Ă  renoncer Ă  ses pieux vƓux, le principal Ă©tant de nous servir d’esclave. VoilĂ , maintenant, tu sais pourquoi tu y es et pourquoi tu t’y trouve encore. Seulement, il nous faut te dire que si tu as si souvent Ă©tĂ© puni, c’est Ă  cause de ton mĂ©crĂ©ant de pĂšre. Il a expressĂ©ment exigĂ© la plus grande sĂ©vĂ©ritĂ© Ă  ton Ă©gard auprĂšs de la mĂšre sup. Pour ta mĂšre, elle n’avait Ă©mis qu’un dĂ©sir, prendre son fils, en faire un homme, un vrai, pas un homme pervers comme ton pĂšre. Elle voulait surtout t’éloigner de ton pĂšre en signant. Maintenant, dis-moi qu’elle te suce bien, elle ne veut que ça, n’est-ce pas ma fille !

- Oui ma mĂšre et qu’il m’encule comme je le mĂ©rite, Ă  sec et aussi brutalement qui lui sera possible. Mon fils, je me donne Ă  vous afin de me faire pardonner de toutes les humiliations que vous avez subies jusqu’à peu. Aussi, vous me voyez heureuse de savoir que depuis peu vous n’ĂȘtes plus l’humiliĂ©. Mais celui que j’ai rĂȘvĂ© de voir, un homme qui sera faire jouir ses compagnes que je vous souhaite aussi nombreuse au pensionnat ainsi qu’en dehors de ce lieu. Oui, je sais tout de vous, jour aprĂšs jour, par ma trĂšs sainte cousine.

J’avoue que ces nouvelles me font sacrĂ©ment plaisirs. L’envie de baiser ma mĂšre est puissante depuis qu’elle me montrait son cul. PrĂšs de moi, sƓur Clothilde, aprĂšs avoir soigneusement fermĂ© l’appartement Ă  double tour, retire sa robe. Nue, elle attire brutalement le visage de ma mĂšre sur mon sexe tendu.

- Mon fils, dĂ©sormais, ne vois plus en cette femme comme ta mĂšre, mais une soumise qui dĂ©sire subir le pardon dans la soumission la plus dure. Tu n’es plus son enfant, mais son MaĂźtre, tel est la volontĂ© profonde de ta mĂšre. Aussi, j’ai pris la peine de communiquer cela au prĂȘtre qui va accueillir ton pĂšre. Si cela se trouve, Ă  l’aube, il pĂ©nĂ©trera Ă  genou, baisera tes pieds avant de se soumettre Ă  tes sĂ©vices. Ta nouvelle soumise est-elle bonne suceuse ?

- Mouais, j’ai vu mieux, tu sais, Martine ou la future sƓur Marie-Gabrielle de Saint-Eutrope par exemple. Et puis, il y a sƓur Gisùle de la Compassion.

- Ah, celle-lĂ , mon fils, c’est une belle cochonne bien dans son rĂŽle d’esclave de notre congrĂ©gation. On en voudrait tellement d’autres comme elle.

- Je crois savoir que la future Marie-Gabrielle n’est pas loin de le devenir aprĂšs l’avoir enculĂ©e pendant les matines.

- Ainsi c’est vrai, tu l’as fait ! EnfoirĂ©, lĂ , tu mĂ©rites tout mon respect, mon fils.

- Merci ma cousine ou tantine.

- Hein ! Oh oui, c’est vrai que je suis un peu ta tante. Une bien mĂ©chante tante qui n’a eu de cesse que de te punir et tout le reste. Dis-toi que c’était pour ton bien futur.

- Si tu commençais ton pardon en exposant ton cul à cette ceinture. Aprùs ça, on pourrait envisager l’avenir, tu ne crois pas ?

Et elle se met en position. Mais avant d’appliquer la sentence, il me faut enculer ma mĂšre comme suppliĂ©, Ă  sec et sauvagement. Si elle ne crie pas, son regard humble et en larme est un rĂ©gal Ă  regarder. Ma ceinture en main, je vois sƓur Clothilde prĂȘte Ă  me subir. DĂšs le premier coup, je rĂ©unis les deux cousines par leurs bouches et je frappe encore plus fort. Ma mĂšre retient le visage de sa cousine tout contre le sien. Durant toute la punition, jamais les visages ne se sĂ©parent. Mais aprĂšs mon trĂšs violent dernier coup. Je jouis dans le cul maternel. Une divine victoire pour moi, son fils.

- Alors, chienne, ma bite te plait ?

- Oui mon MaĂźtre. Si ma cousine, mon confesseur et guide m’y autorise, je voudrais rejoindre le pensionnat et y finir ma vie en esclave de la congrĂ©gation.

- Mais le divorce n’est pas autorisĂ© par notre chrĂ©tienne Ă©glise.

- Je le sais que trop ma cousine. Mais il le faut, mon mari ne parvient plus Ă  me satisfaire dans le devoir conjugal et pire que tout, je sais maintenant qu’il dĂ©tourne de jeunes adolescents du droit chemin, sans aucune distinction de sexe en de sadique sĂ©vices du temps oĂč il officiait en tant que diacre d’une paroisse.

- Au passage, apprenez que jouir, vous n’y ĂȘtes autorisĂ©e que si votre Ă©poux vous le permet. Ma fille, en ce qui te concerne, je me dois d’en rĂ©fĂ©rer Ă  notre mĂšre supĂ©rieure. Et puis, au pensionnat, je ne suis qu’une sƓur parmi les autres. Il n’y a qu’en dehors que je deviens mĂšre supĂ©rieure. Je vais tĂ©lĂ©phoner immĂ©diatement.

- Quoi, Ă  plus de minuit ?

- Non, tu as raison, mon fils, il est bien trop tard. Baise ta cousine et s’il t’en reste, tu rendras heureuse ta mùre.

- Si tu me le demande, ma cousine, je vais obtempérer.

Putain, je rencontre une femme qui est la cause de mon internement dans ce pensionnat, qu’elle fut responsable de mes punitions, jouissances et je dĂ©couvre qu’en plus d’ĂȘtre une nonne sensĂ©e ĂȘtre en Afrique, elle est ma petite cousine, ma tante de substitution. Alors, si c’est la baiser aprĂšs l’avoir magistralement punie, autant sauter sur l’occasion. Je la baise, collant le visage de ma mĂšre entre mes fesses. La belle se sent soudainement rajeunie et nous le rugit. Ma douce amante du moment me sourit, me dit merci pour elle. Moi, je veux juste qu’elle jouisse, cette mĂ©chante nonne. Pour ma mĂšre, enfin, comme elle le dit, ma soumise, je ne sais encore que penser. Je baise une chatte Ă©troite mais si chaude, si humide que je dois faire de gros effort pour ne pas Ă©jaculer sur le champ. Mais quand cela survient, pour moi, c’est l’un des moments les plus intenses de ma vie. Puis, je passe Ă  ma mĂšre, elle se montre encore meilleure que sa cousine. À elle, je lui fais l’amour parce qu’elle est ma mĂšre. Son manque visible de sexe n’est pas pour me contrarier, bien au contraire, il m’encourage Ă  l’aimer davantage, Ă  lui donner plus encore.

- Mon fils se montre tendre avec sa mĂšre, sois bĂ©nit mon fils et pardonne tout ce manque d’affection que ton pĂšre m’a imposĂ©e.

- Je te pardonne toutes tes fautes, mÚre. Je souhaite sincÚrement que tu puisses rejoindre le pensionnat pour y vivre intégralement tes fantasmes.

- LĂ , il me faut appeler, Christian, il faut que ta mĂšre puisse divorcer.

- Parce que mon pĂšre est un fanatique religieux ?

- C’est ça, mais si le pùre Cuteur fait bien son travail, cela devrait nous faciliter la tñche.

- Alors appelle sans tarder.

Alors que ma mĂšre jouit, je lui donne tout de mon encore jeune ĂȘtre. Elle va jouir bien des fois avant je ne m’achĂšve dans son corps, incapable de lui en donner davantage.

DĂšs l’aube, mon pĂšre rentre, ne trouve rien, aucune trace des plaisirs vĂ©cus. Comme j’ai laissĂ© mon lit Ă  sƓur Clothilde, je dors sur le canapĂ©, donc mal. J’entends mon pĂšre vaquer dans l’appartement. Puis, dans le salon, il Ă©crit une longue lettre sans voir que je l’observe d’un Ɠil. AprĂšs son dĂ©part, je m’assure dĂ©jĂ  qu’il est bien loin de la maison et, seulement en suite, je vais lire sa missive. Ce que je lis me fait presque vomir. Mon pĂšre n’est qu’un monstre encore plus pervers que toutes mes nonnes rĂ©unies. C’est aussi un sadique de la pire espĂšce puisque qu’il confesse avoir battu des enfants alors qu’il Ă©tait diacre dans une paroisse. Sans oublier qu’il en profitait pour se faire jouir par eux, filles et garçons, sans autre considĂ©ration que son seul plaisir, Grand dieu, c’est exactement ce que me disait ma mĂšre et c’est Ă  peine si je l’ai crue. Il me faut rĂ©veiller ma mĂšre, ma nonne de cousine, leur montrer cet immonde lettre. Cependant, si je ne l’ai tenue entre mes doigts, je la prends maintenant avec une pince. Ben oui, je rĂ©flĂ©chis divorce vu qu’il semblerait que mon pĂšre va se rendre Ă  la justice des hommes d’aprĂšs son Ă©crit. Il me faudra remercier ce prĂȘtre, il fut d’une aide inestimable.

Devant la lettre, au tĂ©lĂ©phone, sƓur Clothilde la lit Ă  la mĂšre sup. AussitĂŽt aprĂšs, ma mĂšre file en faire une copie. C’est ensemble que nous allons trouver une avocate pour mettre en route cette longue procĂ©dure, celle du divorce. Mais devant la lettre, la confirmation que mon pĂšre est bel et bien en cellule sous les accusations de pĂ©dophilie, de v******e sur mineurs et j’en oublie, la procĂ©dure n’en sera que plus courte. Deux semaines suffisent pour que ma mĂšre fasse ses valises et quitte cet appartement en abandonnant notre passĂ©. Dans un taxi, nous gagnons la gare oĂč nous attend sƓur Clothilde. Dans notre compartiment, aprĂšs le contrĂŽle des billets, les rideaux sont tirĂ©s.

Sur les siĂšges couchette, la nonne et moi couchons ma mĂšre enfin libre de jouir de son corps Ă  sa guise. Nous la baisons jusqu’à qu’elle nous supplie de la laisser mourir de plaisir. Puis, pouvant encore avoir une belle et derniĂšre Ă©rection, je fais jouir ma nouvelle amie adorĂ©e, ma nonne de cousine. Du train, nous passons au car, ce vieux car postal qui nous conduit jusqu’au terme de notre voyage de retour, le pensionnat. Une fois en ses murs, ma mĂšre est immĂ©diatement prise Ă  part pour revĂȘtir son dernier habit, celui de nonne esclave. Moi et sƓur Clothilde, nous nous retrouvons dans le bureau de la mĂšre sup, une novice, oh, une nouvelle, entre ses cuisses, cul nu qui suce son chibre, lĂšche sa chatte.

- Tu peux, mon fils, si tu le dĂ©sires, enculer cette petite. LĂ , elle me suce la bite, elle n’en oublie pas de me laper ma chatte. Fais-toi plaisir, tu viens d’accomplir un exploit avec ta mĂšre.

- Je ne crois pas avoir rien fait de telle, ma mùre. Je l’ai juste sortie de son piùge. Maintenant, je veux juste qu’elle puisse vivre pleinement tous ses fantasmes.

- C’est ce Ă  quoi nous allons rĂ©pondre, mon cher Christian. Alors, comment ce petit cul ?

- Étroit mais diaboliquement accueillant.

- Et toi, ma chùre sƓur, comment est ce jeune homme.

- Baiseur infatigable, bourreau sans cƓur quand il s’agit de punir, il a tout pour plaire, nous plaire.

- Oui, c’est aussi notre conclusion. Ce soir, c’est le dernier avant la rentrĂ©e, dimanche, ils seront en grande partie de retour, les derniers arriveront lundi matin. Oh, nous avons fait quelques modifications qui te concernent, jeune Christian. Mais il te faudra ĂȘtre encore plus discret. Pour commencer, nous t’avons changĂ© de chambre. Elle se trouve au fond de l’aile Ouest. SƓur Emmanuelle t’y attend, c’est elle qui t’expliquera le pourquoi. Mais du calme, jouis dans son cul auparavant. Ce serait pĂȘchĂ© que d’abandonner pareil cul sans en jouir.

- Je regrette juste de n’avoir pas votre bite dans le mien, ma mùre.

- Ne t’inquiĂšte donc de rien, ce soir est notre avant-derniĂšre nuit sans Ă©lĂšve. Oh, mauvaise nouvelle, oui, il s’agit de Martine, elle ne pourra nous rejoindre, il parait que la voilĂ  mariĂ©e Ă  un homme.

- Hein ?!?

- Oui, un mariage arranger de longue date. Je crains que sa vie ne soit ainsi gĂąchĂ©e Ă  tout jamais. De plus, il apparait qu’elle ne vit plus dans notre pays.

- Mais oĂč alors ?

- Ça, mon fils, nous l’ignorons, ses parents ne nous rĂ©pondent plus depuis qu’ils nous ont Ă©crit pour nous signifier ce mariage.

- Les enfoirĂ©s. Je voudrais bien les tenir et te les fouetter jusqu’au sang.

- Miam, j’en connais qui devrait adorer, mon fils.

Je jouis dans ce cul en imaginant fouetter ce couple jusqu’à voir leurs culs en sang et les enculer encore plus sauvagement aprĂšs. Je crois que je deviens encore plus sadique, plus vicieux jour aprĂšs jour au sein mĂȘme de cette congrĂ©gation du Saint Supplice. Martine partie, il ne me reste que mes nonnes et mes larmes. C’est ainsi que je rejoins sƓur Emmanuelle. AuprĂšs d’elle, je trouve la compassion, la tendresse, le rĂ©confort aussi. Elle a bien changĂ©, cette nonne, envers moi. Puis, me guidant telle une amante dĂ©vouĂ©e, elle me montre ma nouvelle chambre et sa diffĂ©rence. Quand elle pousse une porte dissimulĂ©e dans le mur du fond, je dĂ©couvre un passage qui me conduit directement dans l’infirmerie, lĂ  oĂč tout avait dĂ©butĂ© si merveilleusement. Rien que de voir cette table, mes larmes coulent Ă  nouveau quand je la caresse. SƓur Emmanuelle me les lĂšchent d’autant plus tendrement que sa main caresse mon chibre.

- Ne te fais pas de tracas, nous avons une fille qui devrait beaucoup te plaire. Viens, suis-moi à la réception, bel étalon.

C’est par ma bite tendue qu’elle m’attire au rez de chaussĂ©. LĂ , elle me montre le visage de cette demoiselle au caractĂšre bien trempĂ©. En gros, une pouliche terriblement sauvage qu’il va falloir dressĂ©e, Ă©duquer. Qui plus est, elle porte le titre officiel de princesse de sang. Ma nonne me raccompagne Ă  ma chambre, retire mes vĂȘtements, les siens, me couche, me suce avant de s’empaler sur mon sexe tendu. Elle se fait lascive Ă  souhait, je dirais mĂȘme plus, elle se fait chatte ronronnante. Oui, je sais, le mot ronronnant n’existe pas au fĂ©minin, ben maintenant si, NA !

Au matin, elle est encore collĂ©e Ă  moi, sa tĂȘte sur mon ventre, elle fixe ma bite. Je caresse sa trĂšs courte chevelure, notre nuit, il est vrai, fut sauvage, parfois douloureuse en ce qui la concerne. Son corps porte encore les nombreux stigmates de mes sĂ©vices. Elle en a joui, mais pas de tous. Oui, Ă  chaque nonne m’ayant fait mal, humiliĂ© ou autre, je me venge en reproduisant leurs sĂ©vices sur elle.

Dehors, le soleil d’hiver est arrivĂ©. Ensemble, nous nous lavons prestement, pas le temps d’un long bain. Ah oui, j’ai mĂȘme ma salle de bain privative dans ma piaule, le top du top avec ce large lit. Mes nonnes, ou elles veulent rĂ©ellement que je reste, ou elles cherchent mon pardon. Dans les deux cas, je les bĂ©nits. Elles savent aussi que je vais leur pardonner leurs offenses Ă  mon encontre en les punissant en utilisant leurs vicieuses mĂ©thodes sadiques.

Dehors, ce n’est pas encore la cohue de nos rĂ©crĂ©ations ou de la rentrĂ©e. SƓur Clothilde arrive, toute souriante.

- Je viens prendre congĂ©, mon petit cousin adorĂ©. Voici mon adresse, tu la connais dĂ©jĂ  puisque c’est ton ancien appartement. Oui, je le garde en t’attendant, aux prochaines vacances. Et puis, il te faudra bien un logement dans deux ans. Dis, pendant que nous ne sommes que tous les deux, tu m’en voudrais si je change toute la dĂ©co. Moi toutes ses images pieuses, ces crucifix, ça me fout le bourdon.

- Une nonne qui ne supporte plus les images pieuses, faut le voir pour le croire. Cela dit, change ce que tu veux, fais comme bon te semble. Encore une chose, merci pour ce que tu fais pour moi et maman. Cette fois, je peux enfin prĂ©tendre que je me rĂ©jouis de quitter l’école pendant mes vacances.

- Autant que je suis dĂ©jĂ  impatiente de te retrouver. Il me reste encore bien des choses Ă  accomplir avant d’ĂȘtre en paix avec moi-mĂȘme.

- As-tu donc tant que ça à te faire pardonner.

- Oh que oui, et Ă  presque cinquante ans, il ne me faut plus tarder. Et puis, il en est un Ă  qui je me dois de beaucoup me faire pardonner, toi. Alors, ne sois pas trop surpris en revenant chez toi, mon fils.

- Bien ma sƓur.

- T’es choux, tu le sais ça ?

- On me le dit souvent depuis quelques mois. Aller, file, tu vas rater le car.
Published by charime
5 years ago
Comments
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charime
charime Publisher 2 years ago
to nudemum : affirmatif
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nudemum 2 years ago
bander sur sa mĂšre,trop bon
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