Fantasme bisex hard 2

- Mets-toi à 4 pattes, m’ordonna-t-il. Et toi ma lope, tiens-le !

Je m’exécutais immédiatement et Alain-José vint me tenir les bras, agenouillé devant mon visage, me donnant l’occasion de le sucer un peu encore.

- Dis-moi que tu la veux dans le cul ! Regarde comme elle est grosse ! Et tu vas la prendre sans capote.
- Oui Antonio, encule moi fort et oui, sans capote, je te veux sans entrave ! Je suis à toi, mon cul t’appartient, je suis ta petite chienne soumise. Fais comme tu en as envie !

Aussitôt, le membre de 20 cm vint m’enfourner. Je hurlais à mon tour. Il était déchainé, ses couilles battaient contre mes fesses. Passés les premiers instants de douleur, mon fion commençait à s’habituer à cette pine impériale logée au plus profond de mon intimité. Il avait ralenti le rythme et je commençais à éprouver une plénitude, ma queue avait durci. Et il dû s’en apercevoir car il la saisit et commença à me branler.

- Alors ? Tu aimes ma pucelle ?
- Oh, oui vas-y ! Ne t’arrête pas ! Tu peux m’enculer toute la soirée si tu veux.
- Je ne vais pas tenir aussi longtemps ! Ton cul étroit ne va pas tarder à me faire jouir.
- Vas-y ! Je n'attends que ça ! Jute en moi, remplis-moi de foutre. Je veux ton sperme bien chaud dans mon cul !
- T’inquiète ! Ça arrive ! Tu vas l’avoir. Alain-José, viens te placer vers son cul, tu le nettoieras.
- Oui maitre !

Antonio réaccéléra, son gland butait obstinément dans le fond de mon anus. Il commença à râler à son tour, et je sentis sa bite éjaculer par saccade dans mon fion enfin dépucelé !

- Comme c’est bon ! Vas-y, vas-y ! Sperme moi de ton beau foutre !
- Tiens, tiens, prends tout !

Après quelques mouvements supplémentaires, il s’immobilisa. Son membre encore installé dans mon petit cul. Ensuite il se dégagea et je sentis le liquide commencer à couler en dehors, puis sur mes couilles.

Mais Alain-José ne tarda pas à venir poser sa langue gourmande sur mon orifice rougi et endolori par la baise royale qu’il venait d’encaisser.

Un moment plus tard, Antonio et moi nous nous sommes rejoints sur le lit. Nous nous branlions doucement mutuellement. Je lui dis :

- Antonio, j’ai adoré ! Tu es un prince de la baise. Et dorénavant, tu peux venir m’enculer quand bon te semble. Si tu veux que nous soyons amants, je suis prêt à me donner à toi !
- Hum, c’est bon ça ! Je te baiserai à nouveau, tu peux en être sûr ! Et même que je t’offrirai le fion à deux ou trois de mes amis…
- Hum, oui de la baise sans entraves… Et ils auront le droit de me foutrer aussi ?
- Oui, évidemment ! Il y en a même un à qui je viens d’envoyer un sms et qui va peut-être passer nous voir ce soir. Mais en attendant, j’aimerais bien te voir enculer Alain-José…



A suivre...