Fantasme bisex hard 1

Je suis arrivé devant la porte, j’ai sonné le cœur battant à tout va et Alain-José m’a ouvert, simplement vêtu d’un string rouge fendu et d’une paire de bas noirs. J’ai sorti ma queue de ma petite culotte noire tout de suite, pour commencer à me branler, avant même qu’il n’ait refermé la porte ! Mon jean a glissé sur mes mi-bas gris et mes ballerines noires qui sentent si bon.

Il s’est agenouillé et a commencé à me pomper le dard avec gourmandise et application. Je me suis penché en avant pour lui mettre un doigt dans le cul, mais la place était déjà occupée par un mini plug anal enfoncé jusqu’à la garde. Je m’en suis saisi pour le faire coulisser…

Puis j’ai approché ma bite de son trou du cul bien dilaté. J’ai commencé par la frotter entre les deux hémisphères de ses fesses. Mais la tentation était trop grande, alors j’ai rapproché mon gland de son orifice offert, butant sur l’entrée de manière répétée. Je bandais de plus en plus. J’ai fini par insérer mon bout, donnant des petits coups de gland vers l'entrée. Puis je suis rentré en totalité. J’avais rêvé de ce moment-là des centaines de fois. Je m’étais juré de mettre une capote, mais le désir était trop fort. Je lui bourrais la rondelle à fond, comme un mort de faim !

A ce moment-là Antonio est sorti de la chambre, sa magnifique grosse bite épaisse au garde à vous. Nul doute qu’il avait dû commencer à la préparer sur le lit !

- Alors mes deux petites salopes, on n’attend pas son baiseur en chef ? Ça me donne encore plus envie de vous enculer tout de suite à sec ! Mais vous allez quand même me sucer avant !

- Oh oui chéri, lui répondis-je !

M’agenouillant aussitôt pour rejoindre Alain-José qui avait déjà commencé à enfourner ce splendide membre qui allait dans quelques instants nous déchirer le cul… Nous jouions avec nos langues, nos bouches, excités comme des petites putes en chaleur. Alain-José l’avait déjà prise dans le fion, pour moi ce serait une première.

- Par qui je commence ? Demanda Antonio. Par ma lope habituelle ! Je garde la pucelle pour après, pour le dessert !

Aussitôt Alain-José se remit à quatre pattes par terre. Antonio vint tout de suite battre l’orifice avec son gland gonflé de désir et de vice. J’écartais les fesses du soumis. Sans s’attarder davantage il commença à l’enfiler bien fort. Alain-José ne put faire autrement que de ruer en avant et de crier. La douleur déformait son visage. Mais au bout de quelques va et vient énergiques il râlait de plaisir...

– Encule moi, vas-y à fond lui dit-il ! L’enculeur ne se faisait pas prier. Il le pilonnait avec grand plaisir.

Je profitais du beau spectacle, me branlais énergiquement. Alain-José était magnifique en femelle offerte en bas noirs et je me glissai sous lui pour sucer sa bite... Quelques gouttes de jouissance suintaient de son méat et je les lapais avec gourmandise. Il réclamait maintenant que son bel enculeur lui inonde le cul de son foutre. Mais celui-ci se retira et je compris que mon tour était venu…


A suivre...