Sodomie et orgasme prostatique

J'avais rendez-vous chez un autre homme pour un plan Q. Nous sommes montés dans sa chambre. Elle était décorée de façon très kitch, style "années 70", avec une peau de léopard en descente de lit et des lampes de chevet "art déco". J'ai fait une petite toilette dans la salle d'eau, à coté, pendant qu'il se déshabillait et s'allongeait sur le lit. Je me suis allongé à coté de lui. Il était déjà en érection, et ma foi, pas trop mal monté. On s'est embrassés, caressés, branlés. Soudain, il s'est mis à califourchon sur ma poitrine plaquant son sexe sur mon visage. J'ai léché sa tige et ouvert la bouche pour sucer cette bite brulante tandis que mes mains remontaient et caressaient sa poitrine, ses tétons. Il s'est cambré un peu en arrière pour att****r mon sexe et me branler pendant que je le suçais. Mes mains passaient le long de son dos, pour le soutenir, descendaient sur ses reins puis saisissaient ses fesses fermes et musclées.
Il s'est laissé glisser plus bas et a tenté de s'empaler sur mon sexe tendu. Comme je n'avais pas mis de préservatif, j'ai refusé la pénétration. Cette tentative m'avait un peu refroidi et j'ai commencé à débander. Alors il a décidé d'inverser les rôles. Il s'est allongé sur le dos, a enfilé un préservatif, cette fois, et m'a invité à le chevaucher.
Je me suis installé au dessus de lui, en lui faisant face et je me suis accroupi doucement jusqu'au contact de son sexe sur mes fesses. J'ai guidé sa queue vers mon trou serré, me laissant glisser un peu plus bas et je l'ai senti me pénétrer. C’était un peu douloureux, mais la sensation d'être possédé était intense. Je me suis laissé descendre encore, et mes muscles anaux se sont relâchés un peu : son dard était à présent en moi jusqu'à la garde. Après une petite pause où j'ai savouré cette sensation, il a pris appui sur ses talons pour relever son bassin et a commencé des mouvements d'aller retour entre mes reins. Et là, c’était juste énorme. Jamais je n'avais ressenti ça. Une onde de chaleur me parcourait et je me cambrais un peu plus en arrière pour sentir son sexe me limer bien à fond. A ce moment, il a saisit ma bite un peu molle et a commencé à me branler doucement. Cette fois, était trop bon, et je n'ai pas eu le temps de le prévenir : J'ai joui intensément, inondant son torse de sperme. Je crois même que j'ai crié. Mon corps était pris de tremblements, mais je n'avais pas froid : C’était juste la décharge hormonale.
Après l'orgasme, la pénétration redevenait douloureuse et je me suis dégagé, à regrets. Je lui ai retiré le préservatif pour sucer sa bite et le finir à la main et il m'éjacula au visage. Nous avons tous les deux eu besoin d'une douche, ensuite.