Ma première sodomie
Ma première sodomie.
J’étais jeune, (25ans) et le sexe me tenait lieu de religion, plutôt hétéro, mais très attiré par le pénis, j'en avais sucer quelques uns dans des toilettes publiques ou au bois de Vincennes (j'habitais Paris à l'époque). Et avais pris goût a l'odeur et la douceur du gland qui va et vient dans ma bouche, et la douce chaleur du jus qui gicle d'un trait puissant au fond de la gorge.
Mais je n'avais jamais franchi la ligne de la sodomie passive. J'en avais pourtant très envie, l'idée plus que l'acte me fascinait.
C’était au début de l'été, en début de soirée, j'avais à l'aide d'un gode épais, dilaté longuement mon anus, en me masturbant copieusement jusqu'à l'orgasme, et l'avais bien lubrifié.
Après avoir bu quelques bières à la brasserie qui fait l'angle de la rue Daguerre, je traînais sur la place Denfert-Rochereau le long du petit parc fermé la nuit mais facile d’accès, j'enjambais le grille et allais m'asseoir sur un banc, à l'abri des regard. Mon sexe gonflé (bien que pas énorme) faisait une bosse sur mon jeans en cuir moulant et mon débardeur laissé entrevoir mon torse sans poil.
Moins d'une minute plus tard, arrive un mec plutôt bien foutu rouquin avec des taches de rousseurs, il passe devant moi, me dévisage, s'éloigne un peu fait demi tour, s’approche à nouveau, arrivé à ma hauteur il ouvre sa braguette sort sa queue, plutôt courte mais très épaisse, et me dit :
-Tu suces ?
Je m’empresse de saisir l'objet du désir qui me paru particulièrement dur et raide et gobe le gland avec gourmandise, il saisi mes cheveux et me force la gorge, au bout d'un moment il me dit :
-Allez vient...
Puis me saisi par le bras et m’entraîne derrière le banc, descend mon jeans, je ne porte pas de slip me tourne me penche en avant, le haut du torse appuyé au bois du dossier, j’écarte les jambes comme je peux puis les fesses que je lui offre avec envie.
La pénétration a été brutale et douloureuse mais très vite remplacé par la sensation d'être pris, dominé avec beaucoup de bien être presque soumis à ce nouveau réel plaisir.
-Tu la sens, tu aimes ça … Hein salope, allez prend dans ton cul petite chienne …
Et Je ne pouvais répondre que :
-Oui oui et oui.
Il a joui au fond de moi en poussant des petits cris rauques, puis est sorti c'est essuyé la bite sur mes fesses encore offertes m'a donné quelques petites claques puis m'a dit :
-T'as un bon petit cul ma salope... J’espère qu'on se reverra... Tchao.
J'ai remonté mon jeans, et suis rentré chez moi le cul bien défoncé et je me suis branlé des heures.
Fier, le cul douloureux, mais heureux ...
J’étais jeune, (25ans) et le sexe me tenait lieu de religion, plutôt hétéro, mais très attiré par le pénis, j'en avais sucer quelques uns dans des toilettes publiques ou au bois de Vincennes (j'habitais Paris à l'époque). Et avais pris goût a l'odeur et la douceur du gland qui va et vient dans ma bouche, et la douce chaleur du jus qui gicle d'un trait puissant au fond de la gorge.
Mais je n'avais jamais franchi la ligne de la sodomie passive. J'en avais pourtant très envie, l'idée plus que l'acte me fascinait.
C’était au début de l'été, en début de soirée, j'avais à l'aide d'un gode épais, dilaté longuement mon anus, en me masturbant copieusement jusqu'à l'orgasme, et l'avais bien lubrifié.
Après avoir bu quelques bières à la brasserie qui fait l'angle de la rue Daguerre, je traînais sur la place Denfert-Rochereau le long du petit parc fermé la nuit mais facile d’accès, j'enjambais le grille et allais m'asseoir sur un banc, à l'abri des regard. Mon sexe gonflé (bien que pas énorme) faisait une bosse sur mon jeans en cuir moulant et mon débardeur laissé entrevoir mon torse sans poil.
Moins d'une minute plus tard, arrive un mec plutôt bien foutu rouquin avec des taches de rousseurs, il passe devant moi, me dévisage, s'éloigne un peu fait demi tour, s’approche à nouveau, arrivé à ma hauteur il ouvre sa braguette sort sa queue, plutôt courte mais très épaisse, et me dit :
-Tu suces ?
Je m’empresse de saisir l'objet du désir qui me paru particulièrement dur et raide et gobe le gland avec gourmandise, il saisi mes cheveux et me force la gorge, au bout d'un moment il me dit :
-Allez vient...
Puis me saisi par le bras et m’entraîne derrière le banc, descend mon jeans, je ne porte pas de slip me tourne me penche en avant, le haut du torse appuyé au bois du dossier, j’écarte les jambes comme je peux puis les fesses que je lui offre avec envie.
La pénétration a été brutale et douloureuse mais très vite remplacé par la sensation d'être pris, dominé avec beaucoup de bien être presque soumis à ce nouveau réel plaisir.
-Tu la sens, tu aimes ça … Hein salope, allez prend dans ton cul petite chienne …
Et Je ne pouvais répondre que :
-Oui oui et oui.
Il a joui au fond de moi en poussant des petits cris rauques, puis est sorti c'est essuyé la bite sur mes fesses encore offertes m'a donné quelques petites claques puis m'a dit :
-T'as un bon petit cul ma salope... J’espère qu'on se reverra... Tchao.
J'ai remonté mon jeans, et suis rentré chez moi le cul bien défoncé et je me suis branlé des heures.
Fier, le cul douloureux, mais heureux ...
7 years ago