Moi et les hommes - 1
Bonsoir / Bonjour.
Vous avez pu lire dans mon profil que j'étais actuellement bisexuel léger. En fait c'est un peu plus complexe que cela comme d'habitude. J'ai eu une période homosexuelle active (''top'' pour les initiés) vers les 20 ans. Que voulez-vous, la sève bouillonnais en moi et il me fallait l'évacuer.
Durant mon adolescence, j'étais autant attiré par les filles que par les garçons ; bien que les phantasmes divergeaient. Alors que je rêvais de faire l'amour aux filles, mes sentiments envers les garçons étaient plus centrés vers leur sexe (je ne sais pas si vous voyez la différence). Encore aujourd'hui, lorsque je croise des hommes (dans la rue, les transports en communs, etc.) mon regard se pose d'abord sur la ''bosse'' que fait leur pantalon. Bien entendu, je fais cela discrètement. Mais revenons à mes expériences.
Faute de grive on mange du merle dit le proverbe. Eh bien j'ai mangé du merle durant quelques années à la fin de mon adolescence. Il y a déjà eu quelques séances de masturbation durant l’adolescence avec des copains. Elles ne furent cependant pas nombreuses car ''cela ne se faisait pas ''' et que la bonne éducation reçue empêchait les transgressions de ce type. Ces séances de masturbations furent toujours solitaire, jamais mutuelles (chacun de son côté), mais toujours plaisantes.
Vers la vingtaine donc, je me mis à aller dans les cinémas pornos à Bruxelles (dans l'espoir de rencontrer des filles / couples - c'est rare mais cela existe). La majorité de la population qui fréquentait ces endroits était bien sûr masculine. Que faire dans un cinéma porno tandis que le film défile devant vos yeux sinon de sortir sa queue et de se branler. Je n'étais pas le seul à le faire, je voyais les bras de mes voisins qui s’agitaient aussi. La lumière provenant du film permettait de visualiser quelques détails, mais l'ombre dissimulait les visages. Tandis que j'astique mon sexe, les yeux rivés vers l'écran, mon voisin de droite pose soudain sa main sur ma cuisse. Je sursaute comme foudroyé par une décharge électrique tandis que mon esprit est plein de confusion. Pourtant, la main de l'inconnu ne demeure pas inactive et se pose sur mon sexe. J'aurai pu me lever et partir, mais je suis resté assis dans la confusion de mes sens tandis que la main, douce, se mettait à caresser mon sexe. C'était délicieux, bien meilleur que le plaisir solitaire que je me donnais depuis des années. Abandonnant toute volonté de fuite, je m'abandonnait aux caresses que mon voisin me prodiguait. Assez rapidement, je me mis à haleter tandis que la jouissance montait en moi et soudain l'orgasme me submergea et j'éjaculai avec force.
Je ne m'Ă©tais mĂŞme pas remis de mon Ă©garement que mon voisin se leva et disparu. Je n'ai jamais su qui il Ă©tait.
Après un tel plaisir, je me mis à fréquenter les cinémas pornos plus assidûment quand j'en avais le temps (quelques fois par an). A cette époque j'allais au cinéma du club 3000 et dans un cinéma situé dans la même rue (Boulevard Jamar) sous un hôtel (ciné VOX Midi). C'est à cette époque que j'ai vu les premiers films X gay (au cinéma Orly - actuellement club 3000, et j'aimais beaucoup voir les mecs éjaculer leur sperme, bien que certaines pratiques me dégoutaient (et c'est toujours le cas).
Lors d'une de ces visites au ciné vox midi, je rencontre un jeune africain de mon âge, après quelques chassé-croisés, il me fait signe de le rejoindre, et me guide dans une petite salle qui surplombe la scène muni d'une porte qu'il ferme avec un verrou. Mon cœur bat la chamade tandis que nous nous embrassons. C'est la première fois que j'embrasse un mec et c'est bon. Ses mains descendent sur mon corps et je fais pareil. Nous nous mettons torse nu et nous nous caressons tandis que nos queues en érection sortent lubriquement des tirettes que nous avons tirées et se frottent en nous procurant des sensations délicieuses.
Soudain, il se détache et s'agenouille et prend mon sexe dans sa bouche et entreprend de le sucer. La sensation est indescriptible. Il se relève et je fais pareil. Je n'aime pas tellement mais c'est excitant. Je me relève et nous nous caressons tandis que nos mains masturbent le sexe de l'autre. Ma main blanche sur son sexe d'ébène. Sa main noire sur mon sexe ivoire. Il est le premier à éjaculer et son sexe gicle à gros jets, et je le rejoins dans la jouissance quelques instants plus tard.
A suivre. Bien Ă vous.
Vous avez pu lire dans mon profil que j'étais actuellement bisexuel léger. En fait c'est un peu plus complexe que cela comme d'habitude. J'ai eu une période homosexuelle active (''top'' pour les initiés) vers les 20 ans. Que voulez-vous, la sève bouillonnais en moi et il me fallait l'évacuer.
Durant mon adolescence, j'étais autant attiré par les filles que par les garçons ; bien que les phantasmes divergeaient. Alors que je rêvais de faire l'amour aux filles, mes sentiments envers les garçons étaient plus centrés vers leur sexe (je ne sais pas si vous voyez la différence). Encore aujourd'hui, lorsque je croise des hommes (dans la rue, les transports en communs, etc.) mon regard se pose d'abord sur la ''bosse'' que fait leur pantalon. Bien entendu, je fais cela discrètement. Mais revenons à mes expériences.
Faute de grive on mange du merle dit le proverbe. Eh bien j'ai mangé du merle durant quelques années à la fin de mon adolescence. Il y a déjà eu quelques séances de masturbation durant l’adolescence avec des copains. Elles ne furent cependant pas nombreuses car ''cela ne se faisait pas ''' et que la bonne éducation reçue empêchait les transgressions de ce type. Ces séances de masturbations furent toujours solitaire, jamais mutuelles (chacun de son côté), mais toujours plaisantes.
Vers la vingtaine donc, je me mis à aller dans les cinémas pornos à Bruxelles (dans l'espoir de rencontrer des filles / couples - c'est rare mais cela existe). La majorité de la population qui fréquentait ces endroits était bien sûr masculine. Que faire dans un cinéma porno tandis que le film défile devant vos yeux sinon de sortir sa queue et de se branler. Je n'étais pas le seul à le faire, je voyais les bras de mes voisins qui s’agitaient aussi. La lumière provenant du film permettait de visualiser quelques détails, mais l'ombre dissimulait les visages. Tandis que j'astique mon sexe, les yeux rivés vers l'écran, mon voisin de droite pose soudain sa main sur ma cuisse. Je sursaute comme foudroyé par une décharge électrique tandis que mon esprit est plein de confusion. Pourtant, la main de l'inconnu ne demeure pas inactive et se pose sur mon sexe. J'aurai pu me lever et partir, mais je suis resté assis dans la confusion de mes sens tandis que la main, douce, se mettait à caresser mon sexe. C'était délicieux, bien meilleur que le plaisir solitaire que je me donnais depuis des années. Abandonnant toute volonté de fuite, je m'abandonnait aux caresses que mon voisin me prodiguait. Assez rapidement, je me mis à haleter tandis que la jouissance montait en moi et soudain l'orgasme me submergea et j'éjaculai avec force.
Je ne m'Ă©tais mĂŞme pas remis de mon Ă©garement que mon voisin se leva et disparu. Je n'ai jamais su qui il Ă©tait.
Après un tel plaisir, je me mis à fréquenter les cinémas pornos plus assidûment quand j'en avais le temps (quelques fois par an). A cette époque j'allais au cinéma du club 3000 et dans un cinéma situé dans la même rue (Boulevard Jamar) sous un hôtel (ciné VOX Midi). C'est à cette époque que j'ai vu les premiers films X gay (au cinéma Orly - actuellement club 3000, et j'aimais beaucoup voir les mecs éjaculer leur sperme, bien que certaines pratiques me dégoutaient (et c'est toujours le cas).
Lors d'une de ces visites au ciné vox midi, je rencontre un jeune africain de mon âge, après quelques chassé-croisés, il me fait signe de le rejoindre, et me guide dans une petite salle qui surplombe la scène muni d'une porte qu'il ferme avec un verrou. Mon cœur bat la chamade tandis que nous nous embrassons. C'est la première fois que j'embrasse un mec et c'est bon. Ses mains descendent sur mon corps et je fais pareil. Nous nous mettons torse nu et nous nous caressons tandis que nos queues en érection sortent lubriquement des tirettes que nous avons tirées et se frottent en nous procurant des sensations délicieuses.
Soudain, il se détache et s'agenouille et prend mon sexe dans sa bouche et entreprend de le sucer. La sensation est indescriptible. Il se relève et je fais pareil. Je n'aime pas tellement mais c'est excitant. Je me relève et nous nous caressons tandis que nos mains masturbent le sexe de l'autre. Ma main blanche sur son sexe d'ébène. Sa main noire sur mon sexe ivoire. Il est le premier à éjaculer et son sexe gicle à gros jets, et je le rejoins dans la jouissance quelques instants plus tard.
A suivre. Bien Ă vous.
7 years ago