Belle matinée
Sur la demande de ma chère Angel, je prends le relai de l’écriture pour vous faire part de quelques moments de notre intimité.
Ce matin, ma chère femme a du me réveiller pour que je lui rende hommage. Il faut dire que je m’étais couché tard la veille : j’avais dû tout ranger, nettoyer et faire la vaisselle pendant qu’elle allait se coucher. Elle avait invité quelques amis pour un apéro dinatoire, que j’avais préparé.
Le jour se levait donc à peine et j’étais autorisé à lécher consciencieusement son clitoris à travers sa culotte jusqu’à ce qu’elle écrase ma tête entre ses cuisses dans un soupir de jouissance dont je suis toujours fier et heureux. J’aurais bien continué à explorer son corps de mes caresses et de ma langue bien éduquée, mais elle s’était vite retournée, satisfaite et alanguie pour se lover en chien de fusil, son cul divin tourné vers moi.
Mes caresses insistantes et tremblantes de désir, sur son corps chaud drapé de sa nuisette rabattue ne la tirèrent pas de son endormissement langoureux.
Pour me distraire de mon désir obsessionnel, comme elle aime à dire, elle me demanda poliment de préparer le petit déjeuner, pendant qu’elle se repose encore un peu.
N’ayant pas le choix et ne voulant surtout pas le contrarier pour ce début de weekend end, je me levais et obtempérais. Je savais que je devais encore tenir une bonne semaine pour mériter ma ‘récompense’.
Une fois seul, dans la cuisine je ne pus m’empêcher de baisser mon short pour presser compulsivement mes couilles pleines et mon sexe compressé dans sa cage en acier, atteindre mon gland meurtri du bout de mes doigts, étalant le liquide séminal qui en suintait sur ma cage. Deux semaines que la clef du cadenas était dans le coffre fort à combinaison.
Deux semaines à filer doux.
Deux semaines.
Je devais penser à autre chose et me concentrer sur mes tâches ménagères. Je lisais la liste établie pour la journée, mais ne pouvais penser qu’au weekend prochain, jour de l’ouverture de ma cage.
Si tout se passait bien, ma chère Angel me tendrait sa clef. Non je devais penser à autre chose, je devais être raisonnable. Le petit déjeuner, ensuite faire le lit, la vaisselle, préparer le repas de midi.
Ce soir, ma chère Angèle a réservé un restaurant chic. Elle aime que nous sortions en public quand approche la date tant attendue (pour moi) de ma’ sortie'. Elle mettra une robe qui mettra ses courbes en valeur, ses escarpins à talons. Elle aime voir ma nervosité quand mes couilles sont pleines à l’accompagner dans de tels endroits, à croiser toutes ces femmes, à sentir ces parfums, à voir mon regard accroché sur toutes ces courbes qui m’obsèdent. Je sens alors son excitation devant mon comportement de chien fou, comme elle dit. Elle sait que ma langue n’en sera que plus appliquée et nerveuse, mon désir pour elle inassouvi.
Mais je dois tenir bon encore une semaine.
7 years ago