2014 : trop beau pour moi 2
trop beau pour moi 2
AprĂšs notre premiĂšre rencontre, je revois souvent Jako mais plus jamais chez lui.
Il me rend visite dans mon studio, le matin, avant le premier client.
Et il me rejoint certains soirs, quand je tapine sur la route qui longe la zone industrielle.
Il lui arrive aussi de sâimposer les mercredis ou les samedis matins ce qui me contraint Ă sacrifier mes grasses matinĂ©es parce que je tiens Ă me prĂ©senter Ă lui comme une femelle suffisamment dĂ©sirable et bandante.
Quand il passe au studio le matin, il avale son expresso, rĂ©clame son joint quand jâoublie de lui en proposer un, me donne sans trop tarder son gourdin Ă dĂ©vorer, enfile une capote et mâencule en douceur comme il le fait si : « Ah ! Putain ! Tâas un cul dâenfer ma belle ! Un vrai cul de salope ! »
Je rectifie : « Un cul de pute⊠»
« Tâas un super bon cul en tout cas ! »⊠Il jouit sur mes fesses, sur mes lĂšvres, oĂč il veut, il sâen va dĂ©jĂ .
Les soirs oĂč je stationne dans ma voiture le long de la zone industrielle, il arrive en scooter et en attendant que les chibanis, les noirs et les petites racailles de la citĂ© voisine commencent Ă rĂŽder autour de ma bagnole, nous faisons selon son dĂ©sir.
AprĂšs quâil ait balancĂ© dans le sac poubelle accrochĂ© au levier de vitesses, le Sopalin et la capote oĂč il vient de dĂ©charger, souvent je le retiens un peu dans ma voiture et nous fumons mon herbe en Ă©coutant de la musique et en discutant de nos vies.
Jako a seize ans de moins que moi.
Il fait un boulot inintéressant.
Câest un cĂ©libataire intermittent et un queutard compulsif.
Il baise indiffĂ©remment femmes, traves et trans mais jamais encore dâhommeâŠ
Jâaime de moins en moins lâinstant oĂč Jako dit quâil doit y aller.
De plus en plus souvent, quand il est sur le point de partir, je lui demande de rouler un dernier joint et pour retarder ce moment que jâapprĂ©hende, je lui prodigue ma meilleure fellation « Pour la route⊠».
Nous nous voyons presque tout le mois, plusieurs fois par semaine.
Et les matins oĂč Jako ne sonne pas Ă ma porte, les soirs oĂč je guette en vain son scooter, jâen viens Ă me languir, déçue, presque triste, mĂ©lancolique en tout casâŠ
La vĂ©ritĂ© mâoblige Ă dire que dĂšs notre troisiĂšme rendez-vous, jâai cessĂ© de lui rĂ©clamer le prix de la passe parce que jâĂ©tais comblĂ©e par la maniĂšre douce, lente et presque dĂ©tachĂ©e quâil a de mâempaler sur cette sorte dâĂ©norme colonne marmorĂ©enne qui lui tient lieu de sexe.
La sincĂ©ritĂ© me force Ă dire quâil est beau comme un demi-dieu, quâil le sait et quâĂ mon Ăąge, je ne peux quâĂȘtre flattĂ©e de convenir, au moins sexuellement, Ă un tel spĂ©cimen de virilitĂ©.
Et pour ĂȘtre tout Ă fait franche, je dois Ă©galement avouer que lorsque je le retiens par des manĆuvres dilatoires et des gĂąteries, câest pour que les chibanis et les noirs qui sâen retournent Ă pied au foyer Adoma et les petites frappes de la citĂ© voisine qui commencent Ă manifester leur prĂ©sence, sachent ou au moins croient, que ce bel homme est Ă moi.
Un soir, aprĂšs quâil mâait rudement bourrĂ© la chatte en levrette sur le capot encore tiĂšde de ma voiture, nous nous asseyons cĂŽte Ă cĂŽte Ă lâavant et tandis quâil roule un joint avec mon herbe, je lui propose de devenir mon maquereau.
Je lui explique que je ne suis pas une perdrix de lâannĂ©e, que je ne veux pas dâun vĂ©ritable proxo comme jâen ai connu quand jâĂ©tais une jeune et jolie travestie, naĂŻve et rentable.
Je souhaite simplement tisser avec lui un lien dâamitiĂ© et de soumission consentie.
Je lui raconte comment sont devenus prĂ©cieux pour moi, ses apparitions intempestives, son corps large et haut, sa peau lisse et brune, ses yeux sombres, son charme et son charisme naturels, sa douceur mĂȘlĂ©e de fermetĂ©, ses indĂ©niables qualitĂ©s de fornicateur, ses grandes paluches qui Ă©cartent si bien mes fesses maternelles pour y enfoncer le pieu triomphant de sa queue, ses couilles pesantes et ses Ă©jaculations de buffle.
Je nâexige rien.
Ni de vivre avec lui, ni de dormir dans son lit, ni de me promener Ă son bras dans les rues de XâŠ, ni quâil cesse de fourrer sa bite dans tous les coinceteaux, ni quâil mâaime oĂč mĂȘme quâil fasse semblant.
Je voudrais simplement quâil continue Ă abuser de ma gentillesse, Ă fumer mon herbe et Ă me baiser quand ça lui chante ou quand il a besoin de se dĂ©gorger la nouille mais quâen Ă©change, il soit plus prĂ©sent quand je sĂ©journe Ă XâŠ, que je puisse lâappeler quand jâai besoin de parler Ă quelquâun, que je puisse lui faire des petits cadeaux quand ça me fait plaisir, quâil accepte de dĂźner chez moi de temps Ă autresâŠ
Câest ce que je lui dis ce soir-lĂ .
Et dâautres choses aussi.
Et pour appuyer mes dires, je caresse sans arrĂȘt son gros zob au repos en cherchant lâapprobation de son regard charbonneux.
« Va falloir que je me casse bientÎt⊠»
« Quand tu veux.»
« Je roule le der des der avant dây aller ? »
« Pourquoi tu demandes encore ? »
Dehors, dans lâobscuritĂ©, les silhouettes incertaines de mes premiers clients plausibles hĂ©sitent, sâapprochent, sâattardent, sâĂ©vanouissent, passent, repassent, sâenhardissent, se penchent pour voir ce quâil se passe Ă lâintĂ©rieur de la voiture, se caressent lâentrejambe pour me signifier que ça urge, quâil faudrait pas trop lambiner.
« Ăa te fais pas chier tous ces connards qui viennent te mater comme ça ? »
La flamme de son briquet illumine un instant notre refuge.
« Non⊠Pas trop⊠jâai lâhabitude. Et puis, les mateurs du soir câest souvent les clients du lendemainâŠÂ»
Jako tire une Ă©norme bouffĂ©e dâherbe.
« Tâes pas con toi⊠»
« Tâas encore des doutes Ă ce sujet ? »
Sans me rĂ©pondre, il tire encore une taffe bien copieuse puis il me regarde dâun air finaud :
« Si je lis bien entre les lignes, quand je tâencule ou que tu me pompes devant tous ces mecs, je te fais de la pub !? »
« Ben ouais. Tâas tout pigĂ©. La pub, câest vital pour une vieille trave qui veut encore louer son culâŠÂ»
Sous ma main qui nâa pas cessĂ© de cajoler son sexe, il commence Ă bander.
Il recrache un nuage de fumĂ©e au moment oĂč je me penche vers sa pine qui enfle et se tend.
Je ferme les yeux.
Je lape et suçote patiemment son nĆud qui sent encore le latex et le sperme, je lĂšche dĂ©licatement la longue et plantureuse tige cuivrĂ©e, je lâembrasse, jâaspire et je dĂ©vore ses grosses boules luisantes.
Tout raide, mon clito de roulure sâĂ©chappe brusquement de mon string.
« Allume le plafonnier sâte plaĂźt⊠»
« Tâes sĂ»re ? »
« Ouais ! »
A genoux sur le siĂšge conducteur, la croupe en bombe sous la lumiĂšre jaune du plafonnier, prosternĂ©e avec dĂ©votion sur son entrejambe, ma bouche, Ă©cartelĂ©e et dĂ©goulinante dâĂ©cume blanche, je mâĂ©touffe en lâavalant.
« Branle-moi la chatte⊠»
Je me cambre exagĂ©rĂ©ment et cette fois, il sâexĂ©cute sans poser de question.
Je gémis (presque) involontairement quand il enfonce son majeur et son annulaire enduits de salive dans mon con de vieille garçonne.
Et je fais des vĆux pour que tous les chibanis du faubourg, tous les africains qui sâen retournent au foyer Adoma Ă pied et toutes les petites frappes Ă capuche de la citĂ© voisine, soient collĂ©s aux vitres de ma vieille caisse, pressĂ©s les uns contre les autres, Ă se branler frĂ©nĂ©tiquementâŠ
AprĂšs notre premiĂšre rencontre, je revois souvent Jako mais plus jamais chez lui.
Il me rend visite dans mon studio, le matin, avant le premier client.
Et il me rejoint certains soirs, quand je tapine sur la route qui longe la zone industrielle.
Il lui arrive aussi de sâimposer les mercredis ou les samedis matins ce qui me contraint Ă sacrifier mes grasses matinĂ©es parce que je tiens Ă me prĂ©senter Ă lui comme une femelle suffisamment dĂ©sirable et bandante.
Quand il passe au studio le matin, il avale son expresso, rĂ©clame son joint quand jâoublie de lui en proposer un, me donne sans trop tarder son gourdin Ă dĂ©vorer, enfile une capote et mâencule en douceur comme il le fait si : « Ah ! Putain ! Tâas un cul dâenfer ma belle ! Un vrai cul de salope ! »
Je rectifie : « Un cul de pute⊠»
« Tâas un super bon cul en tout cas ! »⊠Il jouit sur mes fesses, sur mes lĂšvres, oĂč il veut, il sâen va dĂ©jĂ .
Les soirs oĂč je stationne dans ma voiture le long de la zone industrielle, il arrive en scooter et en attendant que les chibanis, les noirs et les petites racailles de la citĂ© voisine commencent Ă rĂŽder autour de ma bagnole, nous faisons selon son dĂ©sir.
AprĂšs quâil ait balancĂ© dans le sac poubelle accrochĂ© au levier de vitesses, le Sopalin et la capote oĂč il vient de dĂ©charger, souvent je le retiens un peu dans ma voiture et nous fumons mon herbe en Ă©coutant de la musique et en discutant de nos vies.
Jako a seize ans de moins que moi.
Il fait un boulot inintéressant.
Câest un cĂ©libataire intermittent et un queutard compulsif.
Il baise indiffĂ©remment femmes, traves et trans mais jamais encore dâhommeâŠ
Jâaime de moins en moins lâinstant oĂč Jako dit quâil doit y aller.
De plus en plus souvent, quand il est sur le point de partir, je lui demande de rouler un dernier joint et pour retarder ce moment que jâapprĂ©hende, je lui prodigue ma meilleure fellation « Pour la route⊠».
Nous nous voyons presque tout le mois, plusieurs fois par semaine.
Et les matins oĂč Jako ne sonne pas Ă ma porte, les soirs oĂč je guette en vain son scooter, jâen viens Ă me languir, déçue, presque triste, mĂ©lancolique en tout casâŠ
La vĂ©ritĂ© mâoblige Ă dire que dĂšs notre troisiĂšme rendez-vous, jâai cessĂ© de lui rĂ©clamer le prix de la passe parce que jâĂ©tais comblĂ©e par la maniĂšre douce, lente et presque dĂ©tachĂ©e quâil a de mâempaler sur cette sorte dâĂ©norme colonne marmorĂ©enne qui lui tient lieu de sexe.
La sincĂ©ritĂ© me force Ă dire quâil est beau comme un demi-dieu, quâil le sait et quâĂ mon Ăąge, je ne peux quâĂȘtre flattĂ©e de convenir, au moins sexuellement, Ă un tel spĂ©cimen de virilitĂ©.
Et pour ĂȘtre tout Ă fait franche, je dois Ă©galement avouer que lorsque je le retiens par des manĆuvres dilatoires et des gĂąteries, câest pour que les chibanis et les noirs qui sâen retournent Ă pied au foyer Adoma et les petites frappes de la citĂ© voisine qui commencent Ă manifester leur prĂ©sence, sachent ou au moins croient, que ce bel homme est Ă moi.
Un soir, aprĂšs quâil mâait rudement bourrĂ© la chatte en levrette sur le capot encore tiĂšde de ma voiture, nous nous asseyons cĂŽte Ă cĂŽte Ă lâavant et tandis quâil roule un joint avec mon herbe, je lui propose de devenir mon maquereau.
Je lui explique que je ne suis pas une perdrix de lâannĂ©e, que je ne veux pas dâun vĂ©ritable proxo comme jâen ai connu quand jâĂ©tais une jeune et jolie travestie, naĂŻve et rentable.
Je souhaite simplement tisser avec lui un lien dâamitiĂ© et de soumission consentie.
Je lui raconte comment sont devenus prĂ©cieux pour moi, ses apparitions intempestives, son corps large et haut, sa peau lisse et brune, ses yeux sombres, son charme et son charisme naturels, sa douceur mĂȘlĂ©e de fermetĂ©, ses indĂ©niables qualitĂ©s de fornicateur, ses grandes paluches qui Ă©cartent si bien mes fesses maternelles pour y enfoncer le pieu triomphant de sa queue, ses couilles pesantes et ses Ă©jaculations de buffle.
Je nâexige rien.
Ni de vivre avec lui, ni de dormir dans son lit, ni de me promener Ă son bras dans les rues de XâŠ, ni quâil cesse de fourrer sa bite dans tous les coinceteaux, ni quâil mâaime oĂč mĂȘme quâil fasse semblant.
Je voudrais simplement quâil continue Ă abuser de ma gentillesse, Ă fumer mon herbe et Ă me baiser quand ça lui chante ou quand il a besoin de se dĂ©gorger la nouille mais quâen Ă©change, il soit plus prĂ©sent quand je sĂ©journe Ă XâŠ, que je puisse lâappeler quand jâai besoin de parler Ă quelquâun, que je puisse lui faire des petits cadeaux quand ça me fait plaisir, quâil accepte de dĂźner chez moi de temps Ă autresâŠ
Câest ce que je lui dis ce soir-lĂ .
Et dâautres choses aussi.
Et pour appuyer mes dires, je caresse sans arrĂȘt son gros zob au repos en cherchant lâapprobation de son regard charbonneux.
« Va falloir que je me casse bientÎt⊠»
« Quand tu veux.»
« Je roule le der des der avant dây aller ? »
« Pourquoi tu demandes encore ? »
Dehors, dans lâobscuritĂ©, les silhouettes incertaines de mes premiers clients plausibles hĂ©sitent, sâapprochent, sâattardent, sâĂ©vanouissent, passent, repassent, sâenhardissent, se penchent pour voir ce quâil se passe Ă lâintĂ©rieur de la voiture, se caressent lâentrejambe pour me signifier que ça urge, quâil faudrait pas trop lambiner.
« Ăa te fais pas chier tous ces connards qui viennent te mater comme ça ? »
La flamme de son briquet illumine un instant notre refuge.
« Non⊠Pas trop⊠jâai lâhabitude. Et puis, les mateurs du soir câest souvent les clients du lendemainâŠÂ»
Jako tire une Ă©norme bouffĂ©e dâherbe.
« Tâes pas con toi⊠»
« Tâas encore des doutes Ă ce sujet ? »
Sans me rĂ©pondre, il tire encore une taffe bien copieuse puis il me regarde dâun air finaud :
« Si je lis bien entre les lignes, quand je tâencule ou que tu me pompes devant tous ces mecs, je te fais de la pub !? »
« Ben ouais. Tâas tout pigĂ©. La pub, câest vital pour une vieille trave qui veut encore louer son culâŠÂ»
Sous ma main qui nâa pas cessĂ© de cajoler son sexe, il commence Ă bander.
Il recrache un nuage de fumĂ©e au moment oĂč je me penche vers sa pine qui enfle et se tend.
Je ferme les yeux.
Je lape et suçote patiemment son nĆud qui sent encore le latex et le sperme, je lĂšche dĂ©licatement la longue et plantureuse tige cuivrĂ©e, je lâembrasse, jâaspire et je dĂ©vore ses grosses boules luisantes.
Tout raide, mon clito de roulure sâĂ©chappe brusquement de mon string.
« Allume le plafonnier sâte plaĂźt⊠»
« Tâes sĂ»re ? »
« Ouais ! »
A genoux sur le siĂšge conducteur, la croupe en bombe sous la lumiĂšre jaune du plafonnier, prosternĂ©e avec dĂ©votion sur son entrejambe, ma bouche, Ă©cartelĂ©e et dĂ©goulinante dâĂ©cume blanche, je mâĂ©touffe en lâavalant.
« Branle-moi la chatte⊠»
Je me cambre exagĂ©rĂ©ment et cette fois, il sâexĂ©cute sans poser de question.
Je gémis (presque) involontairement quand il enfonce son majeur et son annulaire enduits de salive dans mon con de vieille garçonne.
Et je fais des vĆux pour que tous les chibanis du faubourg, tous les africains qui sâen retournent au foyer Adoma Ă pied et toutes les petites frappes Ă capuche de la citĂ© voisine, soient collĂ©s aux vitres de ma vieille caisse, pressĂ©s les uns contre les autres, Ă se branler frĂ©nĂ©tiquementâŠ
8 years ago