Martinet
L’effet déroutant du Martinet
C'est un instrument traditionnel de châtiment corporel. L'usage du martinet pour fesser et peut être assimilé à des mauvais traitements. Pourtant ici loin de cette pensée d’affliger de mauvais traitement, bien au contraire.
Avant d'être un échange de martinet, le jeu sexuel que nous nous sommes livrés est un échange, échange de plaisir, de découverte. Ce jeu peut même être couché sur papier (voir le contrat de Sacher-Masoch, ou celui, non écrit mais accepté oralement, par "O"), contrat par lequel (la ou les) personne(s) soumise(s) remet son corps et son esprit à la personne « dominante ». Sans aller jusque-là, tout rapport de domination/soumission, même ludique, sous-entend l'abandon d'une volonté au bénéfice d'une autre. C'est cela qui est à la base du plaisir… et parfois, du danger d’ou la nécessité de verbaliser, surtout comme dans notre cas, du moins dans mon cas, les sentiments sont présents. Comment pouvons nous utiliser un instrument dédié au châtiment alors qu’il n’en est rien ?
Pourtant, je persiste et signe: les jeux de fessée entre adultes peuvent engendrer un plaisir sexuel fort, une jouissance intense, parfois extrême, psychologique et/ou physique et pourquoi pas conduire à l’orgasme ! Est ce plus cérébral que physique ou l’inverse ?
Si rien n’interfère dans la montée du plaisir alors on peut parvenir en son sommet: l’orgasme, mais nous amener également à laisser libre court aux désirs les plus intenses et demander encore et encore pour dévier sous d’autres jeux. C’était le cas, mais par peur, par timidité, par craintes d’aller trop loin dans le désir, la retenue est arrivée. Le petit diablotin sur l’épaule gauche disait de continuer, et l’ange sur l’épaule droite disait d’arrêter : « n’as tu pas été assez loin ? » A vrai dire je n’en sais rien !
Le plaisir :
Plaisir pour les oreilles: le shuntement des lanières sur la peau n’est à nul autre pareil !
Plaisir pour les yeux: celui de voir les lanières dessiner des arabesques folles sur tes jolies fesses blanches.
Profitant que tu vivais cette fessée avec grand plaisir, du moins c’est l’interprétation du moment je me hasardai à appuyer les claques et alors que je craignais de te fesser trop fort au regard de la belle couleur que prenait tes fesses. Tu m’as surpris à nouveau en me disant « non ce n’est pas trop fort ». Surprise encore en te voyant passer ta main qui s’agitait sous ton ventre de plus en plus vite.
Les adeptes de jeux de fessées sont extrêmement réceptifs à tous ces signaux déclencheurs de leur plaisir sexuel.
C'est un instrument traditionnel de châtiment corporel. L'usage du martinet pour fesser et peut être assimilé à des mauvais traitements. Pourtant ici loin de cette pensée d’affliger de mauvais traitement, bien au contraire.
Avant d'être un échange de martinet, le jeu sexuel que nous nous sommes livrés est un échange, échange de plaisir, de découverte. Ce jeu peut même être couché sur papier (voir le contrat de Sacher-Masoch, ou celui, non écrit mais accepté oralement, par "O"), contrat par lequel (la ou les) personne(s) soumise(s) remet son corps et son esprit à la personne « dominante ». Sans aller jusque-là, tout rapport de domination/soumission, même ludique, sous-entend l'abandon d'une volonté au bénéfice d'une autre. C'est cela qui est à la base du plaisir… et parfois, du danger d’ou la nécessité de verbaliser, surtout comme dans notre cas, du moins dans mon cas, les sentiments sont présents. Comment pouvons nous utiliser un instrument dédié au châtiment alors qu’il n’en est rien ?
Pourtant, je persiste et signe: les jeux de fessée entre adultes peuvent engendrer un plaisir sexuel fort, une jouissance intense, parfois extrême, psychologique et/ou physique et pourquoi pas conduire à l’orgasme ! Est ce plus cérébral que physique ou l’inverse ?
Si rien n’interfère dans la montée du plaisir alors on peut parvenir en son sommet: l’orgasme, mais nous amener également à laisser libre court aux désirs les plus intenses et demander encore et encore pour dévier sous d’autres jeux. C’était le cas, mais par peur, par timidité, par craintes d’aller trop loin dans le désir, la retenue est arrivée. Le petit diablotin sur l’épaule gauche disait de continuer, et l’ange sur l’épaule droite disait d’arrêter : « n’as tu pas été assez loin ? » A vrai dire je n’en sais rien !
Le plaisir :
Plaisir pour les oreilles: le shuntement des lanières sur la peau n’est à nul autre pareil !
Plaisir pour les yeux: celui de voir les lanières dessiner des arabesques folles sur tes jolies fesses blanches.
Profitant que tu vivais cette fessée avec grand plaisir, du moins c’est l’interprétation du moment je me hasardai à appuyer les claques et alors que je craignais de te fesser trop fort au regard de la belle couleur que prenait tes fesses. Tu m’as surpris à nouveau en me disant « non ce n’est pas trop fort ». Surprise encore en te voyant passer ta main qui s’agitait sous ton ventre de plus en plus vite.
Les adeptes de jeux de fessées sont extrêmement réceptifs à tous ces signaux déclencheurs de leur plaisir sexuel.
8 years ago