Ma première pipe
La toute 1ère fois ce n’était pas vraiment une pipe. J’avais environ 14 ans et je jouais de temps en temps à « touche sexe» avec un copain. Une fois qu’il était dans ma chambre, nos queues étaient sorties, j’ai pris sa queue dans ma bouche. C’était étrange, mais je n’ai pas été plus loin.
Ma 1ère vraie fellation c’était dans les années 1980 au ciné porno (Omnia de Lille). J’y allais de temps en temps et les exploits de Brigitte Lahaie et ses copines me faisaient un tel effet que, bien souvent, j’éjaculais dans mon pantalon sans avoir besoin de me branler.
Petit à petit, j’ai constaté que mes voisins se branlaient. Une fois, je me suis placé à côté d’un gars qui se branlait, j’ai pris sa bite avec ma min. Il s’est laissé faire. Je l’ai branlé. C’était très excitant de sentir sa queue durcir, de l’entendre soupirer, de sentir l’excitation monter en lui. A la fin, j’ai senti son sperme gicler, son corps se raidir et le sperme a coulé le long de ma main. C’était extra ! J’ai renouvelé cette expérience plusieurs fois : un délice de faire jouir les gars. Parfois, un mec me branlait et c’est moi qui jouissais.
Un soir, je décidais de sucer un gars. Voici ce qui s’est passé :
Je suis resté à plusieurs séances de film porno (à cette époque, c’était permanent et on pouvait visionner plusieurs fois le même film. L’intérêt c’était pendant les séances, lorsque la lumière de la salle était allumée, on pouvait repérer les gars dispos pour une branlette ou plus si affinités !).
Pendant le film, je m’approche d’un gars qui a sorti sa bite de son pantalon. Je me place à sa gauche et je lui prends sa queue avec ma main Gauche. Elle est dure, chaude. Il se laisse faire. Je commence à le branler tout doucement. Ma main effleure sa bite. Elle durcit de plus en plus. Je caresse son gland avec mes doigts. Il mouille. Tout en continuant de le branler de la main gauche, ma main droite se glisse vers ses couilles. Il s’allonge un peu pour me permettre de bien les caresser. J’en profite pour faire glisser son slip et bien dégager ses cuisses afin de les caresser. A ce moment, j’approche ma bouche de son gland. Je le prends en bouche. Ma bouche chaude sur son gland le fait gémir. Je glisse mes lèvres le long de sa queue et je me mets à sucer sa bite ; doucement d’abord, puis plus rapidement. En même temps, mes mains caressent l’intérieur de ses cuisses. Il apprécie et me le fait savoir pas sa respiration haletante, ses petits gémissements, les mouvements de sa bite dans ma bouche. Moi, j’adore le sucer et sentir cette bite dans ma bouche ainsi que son plaisir qui monte peu à peu. A un moment, il se tend et plaque ma tête sur sa bite. Je sens une première giclée de sperme, puis bientôt les autres : un délice de recevoir ce sperme en bouche ! Lorsqu’il a finit de jouir, je reste avec sa bite en bouche jusqu’au moment où elle devient molle. Alors j’ouvre la bouche, je libère sa queue de ma bouche et son sperme coule de ma bouche sur sa queue. Il se rhabille et quitte le ciné. Moi je suis ravi : ma 1ère pipe ! Extra !
Ma 1ère vraie fellation c’était dans les années 1980 au ciné porno (Omnia de Lille). J’y allais de temps en temps et les exploits de Brigitte Lahaie et ses copines me faisaient un tel effet que, bien souvent, j’éjaculais dans mon pantalon sans avoir besoin de me branler.
Petit à petit, j’ai constaté que mes voisins se branlaient. Une fois, je me suis placé à côté d’un gars qui se branlait, j’ai pris sa bite avec ma min. Il s’est laissé faire. Je l’ai branlé. C’était très excitant de sentir sa queue durcir, de l’entendre soupirer, de sentir l’excitation monter en lui. A la fin, j’ai senti son sperme gicler, son corps se raidir et le sperme a coulé le long de ma main. C’était extra ! J’ai renouvelé cette expérience plusieurs fois : un délice de faire jouir les gars. Parfois, un mec me branlait et c’est moi qui jouissais.
Un soir, je décidais de sucer un gars. Voici ce qui s’est passé :
Je suis resté à plusieurs séances de film porno (à cette époque, c’était permanent et on pouvait visionner plusieurs fois le même film. L’intérêt c’était pendant les séances, lorsque la lumière de la salle était allumée, on pouvait repérer les gars dispos pour une branlette ou plus si affinités !).
Pendant le film, je m’approche d’un gars qui a sorti sa bite de son pantalon. Je me place à sa gauche et je lui prends sa queue avec ma main Gauche. Elle est dure, chaude. Il se laisse faire. Je commence à le branler tout doucement. Ma main effleure sa bite. Elle durcit de plus en plus. Je caresse son gland avec mes doigts. Il mouille. Tout en continuant de le branler de la main gauche, ma main droite se glisse vers ses couilles. Il s’allonge un peu pour me permettre de bien les caresser. J’en profite pour faire glisser son slip et bien dégager ses cuisses afin de les caresser. A ce moment, j’approche ma bouche de son gland. Je le prends en bouche. Ma bouche chaude sur son gland le fait gémir. Je glisse mes lèvres le long de sa queue et je me mets à sucer sa bite ; doucement d’abord, puis plus rapidement. En même temps, mes mains caressent l’intérieur de ses cuisses. Il apprécie et me le fait savoir pas sa respiration haletante, ses petits gémissements, les mouvements de sa bite dans ma bouche. Moi, j’adore le sucer et sentir cette bite dans ma bouche ainsi que son plaisir qui monte peu à peu. A un moment, il se tend et plaque ma tête sur sa bite. Je sens une première giclée de sperme, puis bientôt les autres : un délice de recevoir ce sperme en bouche ! Lorsqu’il a finit de jouir, je reste avec sa bite en bouche jusqu’au moment où elle devient molle. Alors j’ouvre la bouche, je libère sa queue de ma bouche et son sperme coule de ma bouche sur sa queue. Il se rhabille et quitte le ciné. Moi je suis ravi : ma 1ère pipe ! Extra !
8 years ago
ça me rappelle une salle porno de quimper "Le Zoom" ou je déchargeais aussi dans mon pantalon sans me toucher en voyant Brigitte Lahaie, Alban Ceray te tous ces acteurs des films de Gérard Kikoïne à l'époque.
Je n'ai jamais oser ce que tu as fais : branler et se faire branler...Et, je le regrette aujourd'hui !
Merci pour ces souvenirs bandants.