Ma soumise
Elle avait répondu à mon annonce : " Maître expérimenté cherche soumise ou dame voulant le devenir....."
D'elle je ne savais rien, de moi elle ignorait tout ou presque.
Échaudé par le passé de fantasmeurs mâles, je lui avais juste demandé une preuve de sa féminité.
En retour, j'avais reçu une photo d'elle, visage flouté, tenant dans ses mains manucurées un tube de rouge à levres.
Elle avait ainsi passé sa première épreuve avec succés.
Avant de débuter son initiation, nous avions passé quelques temps à correspondre.
Je ne cherchais pas à connaître les détails de sa vie privée qui devait le rester., je voulais simplement l'interroger sur ses attentes, ses désirs, ses motivations.
De son côté, et quoi de plus normal, elle voulait ne pas se tromper, se sentir en confiance, être sure de son choix de se livrer à un homme discret, sain, qui ne mettrait en danger ni son intimité familiale, ni son intégrité physique.
Je lui confiais mes expériences, mes pratiques, mon vécu, ce que j'aimais, ce que je détestais.
Je lui disais mon désir d'accomplir les siens, lui affirmais que dans une relation telle que je l'entendais, c'était en fait, et paradoxalement, la soumise qui avait le pouvoir.
Je lui expliquais que je ne prendrais aucun plaisir à la faire souffrir, que le sadisme ne m'intéressait pas .
Elle me disait son espoir de rencontrer un homme imaginatif qui la mènerait sur des chemins tortueux qui la faisait fantasmer.
Elle m'avouait ses envies d'appartenance à un Maître attentif qui la sortirait de sa routine quotidienne, qui assouvirait les pulsions qu'elle n'osait s'avouer.
Nos relations épistolaires durèrent un temps.
Il était temps que nos vies parallèles se croisent.
Elle m'avait choisi comme Maître, elle était devenu ma Soumise,
Il était temps que le jeux commence.....
D'elle je ne savais rien, de moi elle ignorait tout ou presque.
Échaudé par le passé de fantasmeurs mâles, je lui avais juste demandé une preuve de sa féminité.
En retour, j'avais reçu une photo d'elle, visage flouté, tenant dans ses mains manucurées un tube de rouge à levres.
Elle avait ainsi passé sa première épreuve avec succés.
Avant de débuter son initiation, nous avions passé quelques temps à correspondre.
Je ne cherchais pas à connaître les détails de sa vie privée qui devait le rester., je voulais simplement l'interroger sur ses attentes, ses désirs, ses motivations.
De son côté, et quoi de plus normal, elle voulait ne pas se tromper, se sentir en confiance, être sure de son choix de se livrer à un homme discret, sain, qui ne mettrait en danger ni son intimité familiale, ni son intégrité physique.
Je lui confiais mes expériences, mes pratiques, mon vécu, ce que j'aimais, ce que je détestais.
Je lui disais mon désir d'accomplir les siens, lui affirmais que dans une relation telle que je l'entendais, c'était en fait, et paradoxalement, la soumise qui avait le pouvoir.
Je lui expliquais que je ne prendrais aucun plaisir à la faire souffrir, que le sadisme ne m'intéressait pas .
Elle me disait son espoir de rencontrer un homme imaginatif qui la mènerait sur des chemins tortueux qui la faisait fantasmer.
Elle m'avouait ses envies d'appartenance à un Maître attentif qui la sortirait de sa routine quotidienne, qui assouvirait les pulsions qu'elle n'osait s'avouer.
Nos relations épistolaires durèrent un temps.
Il était temps que nos vies parallèles se croisent.
Elle m'avait choisi comme Maître, elle était devenu ma Soumise,
Il était temps que le jeux commence.....
9 years ago