CANICULE
Mardi 30 juin, 14H14 je descend du RER, mon sac à la main, soudain je ne réfléchie pas, ma respiration se bloque, j'accélère, j'ai 3 secondes pour dépasser un groupe de 5 personnes, je me plaque à gauche, je m'écrase sur moi même, je grimpe 4 marches de l'escalator 2 par 2 et je m'arrête net et me penche en avant, ma tête bascule en arrière, je n'ai pas réfléchie, un réflex de super chasseur, je me trouve à 1 mètre d'une superbe métisse , une black booty, c'est le début de la canicule, il fait très très chaud, elle porte une petite combinaison en coton qui s’arrête 5 cm sous sa chatounette, il ne faudra pas qu'elle lève les bras à la FAC, LOL...
MOI, j'ai de la chance, j'ai 30 secondes pour en profiter, le vent se lève et s’engouffre sous sa jupette qui se soulève nerveusement toute les secondes, elle a les jambes suffisamment écartées pour que je me rende compte qu'elle ne porte pas de culotte, il fait décidément très chaud aujourd'hui.
Pas un gramme de cellulite, des cuisses musclées bien fermes, des fesses bien rondes, un sexe épilé avec une très belle bombiture. Sa peau est dorée, à 20 reprises j'ecartille les yeux et je contemple ce superbe spectacle, le vent se fait de plus en plus fort et je me penche de plus en plus pour profiter du spectacle...
Je hume l'air, je sent sa chatte, elle sent bon, très bon
Arrivée en haut de l'escalator, en guise d'adieu, sentant sa jupette battant au vent, elle l'att**** et la tire vers le bas avant de la relâcher. Le tissus est très élastique et sa jupette remonte très haut découvrant encor un peu plus son intimité avant de se plaquer contre elle. il n'y a plus de prise au vent et j’atteins moi même le haut de l'escalator, je transpire à très grosses gouttes.
Je décide d'accélérer le mouvement et de me mettre à son niveau. Ses seins sont lourds, un bon 95D minimum, ses gros tétons pointent à travers le tissus, ils ondulent suivant sa démarche forcée, elle doit être en retard, elle se dirige en direction des bus, elle coure presque, ses seins ballotes et je la regarde s'éloigner...
Je réalise que j'ignore la tête qu'elle avait, je n'ai pas regardé son visage, de multiples pensées traversent mon esprit " il faut que je m'achète une go pro moi " , " retournerai bien à la FAC moi ", " suis pas en retard pour aller bosser moi... "
MOI, j'ai de la chance, j'ai 30 secondes pour en profiter, le vent se lève et s’engouffre sous sa jupette qui se soulève nerveusement toute les secondes, elle a les jambes suffisamment écartées pour que je me rende compte qu'elle ne porte pas de culotte, il fait décidément très chaud aujourd'hui.
Pas un gramme de cellulite, des cuisses musclées bien fermes, des fesses bien rondes, un sexe épilé avec une très belle bombiture. Sa peau est dorée, à 20 reprises j'ecartille les yeux et je contemple ce superbe spectacle, le vent se fait de plus en plus fort et je me penche de plus en plus pour profiter du spectacle...
Je hume l'air, je sent sa chatte, elle sent bon, très bon
Arrivée en haut de l'escalator, en guise d'adieu, sentant sa jupette battant au vent, elle l'att**** et la tire vers le bas avant de la relâcher. Le tissus est très élastique et sa jupette remonte très haut découvrant encor un peu plus son intimité avant de se plaquer contre elle. il n'y a plus de prise au vent et j’atteins moi même le haut de l'escalator, je transpire à très grosses gouttes.
Je décide d'accélérer le mouvement et de me mettre à son niveau. Ses seins sont lourds, un bon 95D minimum, ses gros tétons pointent à travers le tissus, ils ondulent suivant sa démarche forcée, elle doit être en retard, elle se dirige en direction des bus, elle coure presque, ses seins ballotes et je la regarde s'éloigner...
Je réalise que j'ignore la tête qu'elle avait, je n'ai pas regardé son visage, de multiples pensées traversent mon esprit " il faut que je m'achète une go pro moi " , " retournerai bien à la FAC moi ", " suis pas en retard pour aller bosser moi... "
9 years ago
