La cliente gourmande (intégrale)
Je travaille comme technicien dans la réparation et entretien des portes de garage et accès de véhicules... Cela fait un certain temps que j'ai eu envie d'écrire ce récit, j'arrive chez les clients et la femme m'ouvre, elle est seule, elle doit avoir entre 45 et 50 ans. Sa silhouette dessinée dans un tailleur noir cintré et une jupe courte arrivant à mi cuisse est plutôt engageante, cette femme possède visiblement de belles formes, remplissant merveilleusement son tailleur, une peau claire, des cheveux bruns permanentés et est maquillés sobrement, bref elle est assez classe et semble issue d'une famille assez aisée.
Elle s'excuse pour l'absence de son mari mais il devait partir pour une réunion importante et a donc chargé sa femme de m'accueillir et de lui expliquer le problème concernant le moteur de la porte de garage. Elle me précède donc et me mène vers le garage, tout en m'expliquant le problème rencontré, mais je suis beaucoup plus concentré sur l'observation du mouvement de ses hanches et de ses fesses, sur le galbe de ses cuisses; et inévitablement je sens mon sexe gonfler un peu dans mon pantalon.
Arrivé dans le garage j'installe mon matériel et monte sur une échelle d'appoint, ouvre le moteur et commence a faire mes vérifications. Cette femme reste à qques pas de moi et me demande assez souvent ce que j'ai trouvé, combien nous sommes dans cette société, si nous avons souvent ce genre d'intervention; et a chaque fois que je regarde vers elle pour lui répondre je ne peux m'empêcher de plonger mon regard dans son merveilleux décolleté, juste l'espace d'un instant, le plus discrètement possible ... Mais mon esprit s'emballe a chaque fois un peu plus et mon sexe qui avait déjà un peu gonflé commence à se tendre à présent dans mon pantalon. Et visiblement cela n'est pas passé inaperçu car le regard de la femme se pose une fois ou deux sur la bosse se dessinant au niveau de mon pantalon, je n'ai pas au repos un sexe énorme mais en érection il est de taille assez respectable. Soudain elle prétexte un appel a passer et s'absente donc du garage...
Je m'affaire donc dans mon moteur malgré les visions lubriques occupant de temps en temps mon esprit. Cela fait maintenant cinq bonnes minutes que je suis occupé dans le moteur, d'où je suis je ne peux voir ni l'entrée du garage ni le bas de l'échelle ... Ce qui cause ma surprise lorsque je sens une main se poser lentement sur mon entre jambes pendant que des doigts délicats ouvrent la tirette de mon pantalon. Mon regard descend alors vers le bas de l'échelle et quelle n'est pas ma stupeur quand mes yeux tombent sur cette femme, une nuisette blanche presque transparente à travers laquelle on peut voir ses seins lourds aux petite aréoles foncées, avec des tétons sans gêne pointant vaillamment et déformant délicieusement le tissu, elle a un corps encore magnifique pour son âge, hélas d'où je me trouve mon regard ne peut encore observer son bas ventre et encore moins son entre cuisse.
C'est là qu'elle me sort: "j'ai constaté tout à l'heure que mon corps ne vous laissait pas indifférent et je me suis demandé pourquoi je ne vous en offrirait pas un peu plus"
Je tentais vainement de balbutier qqch de compréhensible pendant que sa main se glissait entre les pans de mon pantalon pour se faufiler à travers mon boxer et trouver mon sexe à présent palpitant...
"Laissez vous faire et continuez votre travail, je ne voudrais pas vous ralentir ni payer de la main d'œuvre supplémentaire"
L'espace d'un instant confronté à la réalité j'ai eu envie de refuser, de m'excuser et de partir, mais toutes ces défenses provoquées par une certaine honte s'envolèrent lorsque ses lèvres pulpeuses se posèrent sur mon sexe...
Ses lèvres chaudes et douces embrassent alors tendrement mon gland, plusieurs fois, avant de s'ouvrir peu à peu m'arrachant un premier gémissement de plaisir et un mouvement de hanche vers l'avant, enfonçant mon sexe de qques centimètres dans cette bouche chaude et sensuelle.
A sa demande donc je continue a travailler dans le moteur, malgré une diabolique envie de stopper net mes observations afin de m'occuper de la belle et de ses charmes encore dissimulés...
Mais les caresses buccales prodiguées par cette femme d'expérience sont difficile à oublier et il me faut plus de temps que d'accoutumée pour trouver la source du problème.
J'entends les bruits de succion et les gémissements de cette femme, je sens ses doigts fins et doux se refermer sur la base de mon sexe, et la salive s'écouler de sa bouche et descendre le long de ma verge, servant de lubrifiant naturel à son mouvement de masturbation ...
Lorsque je vois enfin les témoins lumineux du moteur briller à nouveau je sens une excitation nouvelle parcourir mon corps, enfin je vais pouvoir m'occuper d'elle et profiter au maximum de cette divine tentatrice...
"Voilà j'ai fini, le moteur... fonctionne ahaaaa nouveau, je dois...procéder à un... teeest d'ouver...ture"
Entre deux bruits de succion j'entends sa réponse qui m'excite d'avantage...
"Faites"
J'appuie sur le bouton et la porte commence à s'ouvrir...
Au fur et a mesure de son ouverture sa succion se fait de plus en plus intense et ses gémissements vont de paire...
C'est qu'elle a commencé à se caresser l'entre cuisse cette vicieuse, et loin de l'inquiéter on dirait que l'ouverture de la porte de garage lui prodigue une stimulation nouvelle.
Et moi aussi cette situation me fait monter, d'ailleurs je commence a sentir en moi monter le plaisir, à un point tel que je la préviens de ma jouissance à venir afin que la belle ne soit pas surprise et qu'elle arrête ses caresses si besoin...
C'est que j'ai envie de plus moi. Je veux glisser mes mains sur son corps, son cou, ses seins, ses fesses... Je veux aussi poser mes lèvres et ma langue sur ses seins, entre ses cuisses, entre ses fesses si elle me le permet, introduire mon sexe dans d'autres orifices et lui donner autant de plaisir qu'elle m'en offre pour le moment.
Mais pour toute réponse je n'ai droit qu'à ses mains se posant sur mes fesses et m'attirant d'avantage vers elle alors que je sens ses lèvres engloutir mon sexe et arriver à sa base, frôlant mes testicules... Le bruit que fait cette femme avalant littéralement ma queue est divin à mes oreilles. La porte arrive à l'ouverture totale, mon plaisir grimpe de la même manière. Et du garage, de mon échelle je peux voir dans le fond du jardin une femme visiblement en train de pendre du linge, probablement la femme de ménage. Elle nous tourne le dos, mais elle pourrait se retourner à n'importe quel moment et nous prendre sur le fait.
C'en est trop, j'att**** la belle par les cheveux et l'attire davantage vers moi et je l'entend en train d'avaler ma queue, à la limite de l'étouffement, alors que je jouis intensément, me vidant dans sa gorge dans un râle de plaisir que je ne peux retenir...
Le plaisir est explosif, incroyable, j'ai l'impression que mes jambes vont flancher et que je vais tomber a terre... Dans un réflexe je parviens tout de même à donner une nouvelle commande au moteur afin que la porte de garage se referme, nous masquant a nouveau aux yeux de la femme du jardin.
Me voilà à présent un peu mal a l'aise, sensation que l'on peut avoir après jouissance, durant la phase de retour à la normale. Maintenant que j'ai jouis, je reprendrais bien mes affaires et je continuerais bien ma journée de travail. C'est vrai quoi, je ne lui ai rien demandé et j'ai pris mon pied...
Mais c'est sans compter sur le fait que je suis très curieux et sexuellement toujours partant... Je décide alors de prendre le contrôle de la situation, on verra bien si la belle accepte...
"Alors comme ça tu pompes les techniciens de passage, t'es vraiment une belle salope, mais tu ne vas pas t'en sortir comme ça"
Je choisis cet instant pour att****r son téton droit entre mon pouce et mon index, facilement tant il pointe, et le pince fortement tout en lui imprimant un mouvement de torsion. Ce genre d'action n'a en général que deux résultats, soit elle crie de douleur et n'apprécie pas du tout, soit elle gémit et son regard se fait implorant, demandant à la fois d'arrêter la douleur et de continuer sur cette voie. J'ai de la chance la garce semble tellement excitée que sa tête se penche vers l'arrière, elle pince ses lèvres et j'entends un "mmmmmmh" qui semble mêler plaisir et douleur ...
Je l'att**** par les cheveux, l'obligeant à garder sa tête penchée en arrière et ma bouche vient se plaquer dans son cou tandis que mon autre main empoigne fermement un sein; il est aussi gros et lourd que je le pensais, remplissant ma main, et limite débordant de celle ci.
Ma bouche entame alors la descente vers ses seins, la salope élargit son décolleté afin que je ne sois pas ennuyé par le tissu, je sors un premier sein puis l'autre tandis que ma bouche arrive sur ses délicieux globes que je soupèse des mains, mes lèvres rencontrent enfin ses délicieux tétons a présent gonflés et durs comme des petits raisins, j'adore cela et commence a jouer avec, alternant succions, coups de langues et morsures, arrachant de longs gémissements ... Une fois rassasié de ces arrogants petits fruits je veux plus ...
Je m'entend lui dire "a genoux chienne" et immédiatement la belle s'exécute... Alors allons y franchement.
" enlève moi ta nuisette, je veux voir ton corps de salope en entier, puis tu vas ouvrir ta bouche et me téter la queue jusqu'à ce qu'elle soit assez dure pour la suite"
Aussitôt dis aussitôt fait...
Son corps est vraiment désirable, elle a qques kilos en trop mais franchement ils sont vraiment bien placés, de beaux gros seins qui maintenant libérés de toute entrave pendent jusqu'à mi ventre, en forme de grosses gouttes ... Bandant au possible
Un petit ventre mais la taille encore fine, de larges hanches, un cul bien rebondis et des cuisses bien en chair mais foutrement accueillantes .
J'approche mon sexe a présent en mi érection, gonflé mais pas encore dur.
"Ouvre grand la bouche et suce moi ça bien a fond"
Elle met du cœur à l'ouvrage et mon sexe se sent instantanément en meilleure condition. Je me penche pour pouvoir lui att****r les fesses et les pétrir à ma guise.
Je sens mon sexe a présent avoir une taille à nouveau acceptable. C'est le moment que je choisi pour la faire se relever en attrapant ses tétons entre mes doigts et en tirant dessus vers le haut pour lui faire comprendre ce que j'attend d'elle. Je la conduis vers son salon ou j'ai pu voir tout à l'heure en entrant le large canapé italien ...
"Allonge toi et écarte tes cuisses maintenant, je veux que ton sexe m'incite a le baiser"
Elle se met donc dans son canapé jambes écartées et genoux presque au niveau de ses seins.
Je plaque chacune de mes mains sur une fesse et j'écarte les chairs, cela a pour effet d'ouvrir son sexe au maximum et faire bailler légèrement son petit trou. Son sexe n'est pas épilé mais ne possède qu'une petite toison de poils courts, le clitoris n'a rien a envier aux tétons de cette vicieuse, les lèvres sont écarlates et déjà humides, d'ailleurs qques perles s'écoulent a présent entre ses fesses en direction de son anus semblant se détendre de plus en plus... J'y introduis alors directement la première phalange de mon majeur profitant du lubrifiant naturel pendant que je viens plaquer ma bouche sur sa moule béante.
Quel parfum, une odeur épicée de femme en chaleur. et la saveur toute particulière de sa mouille, entre le salé et l'amer... Je sens que je bande de plus en plus mais il faut me retenir un peu, sinon je ne pourrai pas tenir la distance. Commence un savant jeu de langue entre les lèvres, le clitoris et l'orifice ouvert de son sexe, mes lèvres se refermant parfois sur le bourgeon ou les pétales de sa rose pour sucer l'un ou l'autre. Mon majeur sur lequel s'écoule un mélange de salive et de mouille entre maintenant entièrement et semble entrer trop aisément , je décide donc d'y insérer également mon index qui sera rapidement rejoins pas un troisième doigt.
"Haaaaa haaaa ouiiii bouffe moi oui ouiiii plus loin tes doigts plus ... fort oui plus ... Haaaa"
La belle semble perdre pied à présent, elle va bientôt céder sous les vagues de plaisir inondant son corps... J'accélère le mouvement de mes doigts, et me concentre désormais sur son clito... Et les tremblements se font de plus en plus forts, remplacés finalement par de violents mouvements de bassins...
"Je .... Je .... Ouiiiii ... Mainte ... naaannnt... Ouiiiiiiiiiiiii"
Et la voilà qui se crispe violemment, ses sphincters se relâchent et j'ai l'impression que son cul va avaler ma main en entier tandis que la voilà qui m'asperge le visage et le torse de sa jouissance... Putain quel pied, ma première femme fontaine...
La voilà haletante, je constate qu'à présent c'est elle qui me remercierait bien et me mettrais à la porte ... Mais non, maintenant que je bande à fond je ne vais pas forcer mon sexe a revenir dans un boxer trop serrant pour lui.
"Viens ici, tu vas te mettre sur la table de ton salon, allonge toi et remontes tes jambes le plus possible"
Je sens qu'elle hésite.
"Allez salope, sur la table" je la tire par les cheveux et la voilà qui a nouveau semble docile...
Elle tente de débarrasser la table de son salon des divers bibelots présents mais ça prend trop de temps a mon goût, et vu qu'elle me présente son cul je change d'avis...
"Arrête petite chienne, penche toi tout de suite"
Première fessée tout en appuyant de l'autre main sur son dos pour la forcer a se pencher.
Elle ne peut s'empêcher de lacher un "Aiie" de surprise mais je n'en ai rien a faire ...
La voyant penchée sur la table de la sorte, cul offert, jambes écartées, les bras la soutenant légèrement et voyant ses seins écrasés sur la table je sens mon sexe bander davantage, un vrai morceau de bois, raide comme la justice...
"Écarte bien ton cul avec tes mains sale chienne, je veux voir ton cul appeler ma queue"
Elle hésite encore...
Nouvelle fessée, suivi de son "aie" de protestation mais suivi également du déplacement des mains vers les amas de chair rosée ... Mais elle n'écarte pas assez a mon goût, troisième semonce, la fesse rougit maintenant et l'autre me semble trop pâle ...
"Dis moi salope, combien de fessées as tu reçu sur cette fesse?"
Tout en claquant ma main à nouveau sur celle désignée...
"Qu... Quatre"
"Quatre qui?"
"Quatre monsieur"
Ça y est elle se prend au jeu, je me dois d'en profiter.
"As t'on déjà léché ton cul petite salope?"
"Non monsieur"
"Et tu aimerais que l'on te bouffe le cul?"
"Oui monsieur"
"Alors tu vas me supplier pendant que je donne à ta fesse blanche la même couleur que l'autre"
"Noon s'il ..."
Nouvelle claque sur sa fesse oui devient pivoine...
"Je ne veux pas entendre de non, tu as compris salope?"
"Oui monsieur"
"Alors??"
"... Léchez moi le cul monsieur"
Première claque sur l'autre fesse
"Mieux que ça salope"
"S'il vous plaît monsieur, léchez moi le cul"
"Mieux que ça je veux que tu me fasses bander à mort en le demandant"
Seconde claque
"Pitié monsieur, léchez moi le cul"
Troisième claque, la fesse devient rose
"Mieux que ça salope!"
"Je vous en supplie monsieur, bouffez moi le cul"
"Que veux tu salope?"
Quatrième claque
"Que vous bouffiez mon cul monsieur"
"J'aime mieux ça, encore"
Cinquième claque
"Bouffez moi le cul monsieur"
Dernière claque sur la fesse, la voilà également pivoine, plus une autre sur la première, pour lui rappeler que c'est moi qui mène le jeu...
C'est à cet instant précis que j'aperçois la femme de ménage prostrée à une dizaine de mètres de la fenêtre la bouche ouverte, incapable de détourner le regard de la scène à laquelle elle assiste...
Je lui souris alors et lui fais signe de se rapprocher... Tout en jetant un pan de nappe de la table sur la tête de sa maîtresse
"Toi tu bouges pas salope, tu restes comme ça"
"Oui monsieur"
Je me penche alors et viens glisser ma langue le long de sa raie, remontant de son sexe vers son anus
"Mmmmmh, monsieur c'est bon"
"Aussi bon que les fessées petite salope?"
"Oui monsieur"
Ma langue arrive à l'entrée de son petit trou, je crache alors une première fois et joue avec la salive en y enfonçant mon index, vite rejoins et remplacé par ma langue, tandis que de l'autre main, j'introduis deux doigts dans son sexe trempé...
Rapide coup d'œil vers la fenêtre... La ménagère est toujours là, observant toujours la scène...
Je me replonge dans mon jeu de langue en entendant l'autre gémir de plus belle et sentant sa mouille dégouliner le long de mes doigts puis de ma main...
"T'aimes ça que je te bouffe le cul?"
"Ou... Oui... Mon... Monsieur"
"Et tu préfèrerais pas ma bite?"
"S..siiiii mon... Monsieur"
" et où veux tu cette bite?"
"Dans ... Mon cul"
Je me redresse alors et constate que la femme de ménage est a présent a côté de la fenêtre, légèrement sur le côté, je suppose au cas ou la maîtresse de maison venait a sortir de sous la nappe
J'applique un peu de salive sur mon gland a la limite de l'explosion et écarlate...
"Écartes plus fort salope"
"Oui monsieur"
Et la belle tire plus fort encore sur ses globes de chair afin de me présenter au mieux son petit trou
Enfin petit, plus vraiment parce qu'après tous ces jeux j'avais pu déjà y entrer toute ma langue...
Je présente alors mon gland a l'entrée de son cul et je ne dois pas vraiment pousser pour que celui ci semble être aspiré par son anus...
La ménagère regarde toujours et je lui fais comprendre par signe que j'aimerais qu'elle montre ses seins et se caresse un peu... Mais elle refuse, cependant elle reste là et l'une de ses mains est tout de même glissée entre ses cuisses par dessus son jeans, malgré ses jambes croisées ... Elle est plutôt mignonne d'ailleurs la jeunette, peut être 30 ans, probablement portugaise vu ses cheveux son teint et sa silhouette...
Mais durant ce temps d'observation j'ai pu glisser mon gland sans soucis entre les sphincters dilatés de ma salope, et en une poussée lente mais constante je suis arrivé a venir poser mes couilles entre ses fesses...
"Mmmmmmh, monsieur c'est boooon"
"Et tu veux que je continue lentement?"
"Noooon plus vite monsieur, plus loin"
Je commence alors un mouvement de va et viens régulier entre les miches de ma salope. C'est bon, c'est chaud et le claquement de mes couilles contre le sexe de la femme me plait prodigieusement ...
Et tout en regardant notre voyeuse dans les yeux je besogne ma cougar qui gémit de plus en plus...
Elle doit aimer ça de prendre par le cul, car je rentre et sort avec une facilité déconcertante .
"Tu veux me faire plaisir salope?"
"Ou...oui monsieur... Tout ... ce que ... vous vou... drez"
"Es tu sûre salope?"
J'accentue le mouvement et m'enfonce d'avantage en elle
"Ouiiiiiiii"
"Si tu m'as menti j'arrête de te baiser et ça n'ira pas plus loin"
Je dis ça mais ça m'ennuierai tout de même que mon idée tombe a l'eau et surtout que je sois vraiment privé de ce cul si accueillant...
"Oui monsieur, ce ...que vous... voulez"
alors regarde par la fenêtre et invite cette personne a entrer...
Tout en la pilonnant j'observe sa réaction... Elle sort sa tête de sous la nappe et en apercevant sa femme de ménage elle a tout d'abord un mouvement de surprise, ses bras et ses mains viennent "cacher" sa poitrine et le haut de son corps plaqué sur la table...
"Mais..."
"Attention, tu vas respecter ta promesse salope sinon ma bite sort de ton cul et je suis sur que tu ne veux pas ça"
Tout en lui disant ces mots je l'att**** fermement par les hanches et lui laboure le cul...
"Ha ... Ha... Ou... Oui monsieur"
Ayant vu sa patronne la découvrir la bonne s'est cachée, derrière la fenêtre, je suppose terrorisée à l'idée d'avoir été surprise par sa patronne et craignant un renvoi...
"Inès... Inès... Venez ici, tout de suite"
J'ai ralenti le mouvement afin que la patronne puisse plus facilement s'exprimer. Mais j'ai envie de reprendre au plus vite, la situation est excitante au possible, je vais peut être réaliser un autre fantasme et je n'ai vraiment pas envie de rater cette occasion.
On entend la porte de la cuisine s'ouvrir et voilà la fameuse Inès qui entre, les joues empourprées de honte, mais sa patronne ne lui laisse pas le temps de balbutier un semblant d'excuse...
"Venez ici de suite Inès, vous nous observiez alors continuez mais d'ici"
"Écoute ta patronne, tu ne voudrais pas perdre ton emploi n'est ce pas Ines?"
"Non monsieur"
Son petit accent latin et sa mine déconfite la rend encore plus désirable...
"Asseyez vous là, de suite"
"Oui madame"
La voilà qui prend une chaise et s'assied a qques pas de nous, mais elle semble ne pas savoir que faire. Je reprend mon va et viens et voilà ma "soumise" qui recommence a gémir...
M'adressant à la bonne
"Alors Inès, tu aimes voir ta patronne se faire baiser par un ouvrier comme la chienne qu'elle est?"
"N... Non monsieur"
"Allez ne mens pas nous t'avons vu tous les deux"
Petit moment d'hésitation, les gémissements de ma salope sont maintenant plus intenses et entrecoupés de hoquets de plaisir à chaque fois que mes couilles heurtent sa chatte trempée...
"Oui monsieur..."
"Alors profites en Inès, et montre nous à quel point tu es belle, ôte moi ces vêtements"
Elle fait brièvement non de la tête, mais le regard de la patronne lui fait comprendre qu'elle n'a pas intérêt à rechigner. Elle commence donc a retirer ses vêtements...
"Tu vois Inès, cette salope aime qu'on lui bourre le cul et qu'on la fesse violemment, alors une fois nue tu vas m'aider"
La voilà presque nue, elle a juste gardé sa petite culotte, elle n'avait pas mis de soutien gorge la coquine mais il faut avouer que sa poitrine est plutôt modeste et ferme... D'ailleurs elle est plutôt mince et sa peau hâlée est un délice...
"Retire ça aussi s'il te plaît Inès, et fourre le dans la bouche de cette chienne qui n'arrête pas de gémir..."
C'est vrai que ses gémissements sont de plus en plus intenses; probablement le plaisir mais aussi l'excitation d'être vue ainsi, telle une chienne se faisant monter, par son employée de maison...
Inès hésite donc mais fini par ôter le dernier rempart de tissu et vient le placer devant la bouche de sa patronne, sans aller plus loin. Je lui ordonne de continuer sur sa lancée tandis que je me rince l'œil , son sexe est entièrement épilé, son pubis n'est pas très rebondi mais de larges lèvres pointent en dehors de son sexe ...
Voilà donc ma salope la bouche pleine, ses gémissements et ses râles étouffés par le morceau de tissu.
"Inès, aujourd'hui est ton jour de chance, tu vas pouvoir punir ta patronne pour ces tâches ingrates qu'elle te fait faire pour une bouchée de pain, aujourd'hui c'est toi qui donne les ordres et qui punit"
Ma phrase la fait sourire timidement, mais elle est encore trop timide.
"Viens ici près de moi et fesse ta maîtresse"
La voilà qui s'approche, je me suis retiré du cul de ma soumise pour laisser place à la bonne, mais je m'applique à astiquer le sexe de ma partenaire en utilisant sa propre mouille... Elle gémit toujours à travers le chiffon...
"Allez Inès" lui dis je mon ton se faisant un peu plus autoritaire
Et voilà la main de la bonne qui s'abat sur la fesse gauche de ma salope, mais on ne peut pas vraiment appeler ça une fessée, a peine un coup de semonce...
"Ne sois pas timide Inès, je veux entendre ta patronne avoir mal"
Nouvelle tentative, plus forte, arrachant un "ougnf" à notre hôtesse ...
Je caresse les fesses de la jeune employée qui après mes observations plus détaillée est plus jeune que je ne le pensais... Une idée me traverse l'esprit...
"Quel âge as tu ma belle?"
"23 ans monsieur"
"Ok, alors voilà ce que nous allons faire, tu vas mettre autant de claque sur chaque fesse de ta patronne que tu as d'années, mais je veux qu'elle le sente, et tu lui branle la chatte par la même occasion"
"... Oui monsieur"
Je me rapproche de la bouche de ma soumise, lui ôte le chiffon de la bouche et attire son visage vers le bord de la table .
"Tu vas avaler cette bite et la sucer, plus la douleur sera forte, plus ta bouche devra avaler ma queue, compris salope?"
"Oui ... Monsieur"
"Et attention, pas de coups de dents sinon ce sont mes mains qui vont te punir"
"Oui m..."
Mais je ne lui ai pas laissé le temps de répondre et m'enfonce dans sa bouche si chaude et accueillante.
Le son retentissant des claques de la bonne emplit la pièce, a chaque fois je ressens la douleur de ma salope sur ma queue, ses lèvres se crispent autour de mon sexe et un "ougnf" sort à chaque fois expulsant de l'air sur mes couilles...
Ses fesses sont maintenant cramoisie et Inès qui s'est pris au jeu commence a se lâcher, et je peux voir une main entre ses cuisses écartées, se faisant ruisseler la moule...
"Madame est une vilaine, madame mérite sa punition, espèce de garce"
Je sens que je risque de jouir une nouvelle fois et demande a Inès de changer de place avec moi, lui demandant de s'installer sur la table et d'obliger la salope à lui fouiller la chatte de la langue pour se faire pardonner
A mon avis Inès doit être bi parce qu'elle n'hésite pas à grimper sur la table, à s'installer jambes bien écartées et att****r la tête de sa patronne en lui intimant l'ordre de la lécher...
Alors pour éviter d'écourter cette séance de baise antologique je me mets a genoux et recommence a lécher et sucer chatte et cul de la salope... J'entend d'ailleurs que celle ci s'exécute avec ardeur tout en gémissant à nouveau de plus belle... Et les gémissements ainsi que les probables insultes de notre Inès , car elle semble s'exprimer dans sa langue natale et je n'y comprends rien, lui font écho.
Tout en dégustant le sexe de ma chienne je lui pétris fortement les fesses toujours endolories du traitement reçu qques secondes plus tôt, et c'en est trop pour elle, la voilà prise de spasmes, la bouche probablement écrasée contre le sexe de la bonne qui se met à grogner de plus en plus, elle doit suffoquer, souffrir, prendre un pied inédit car elle hurle son plaisir entre les cuisses de la belle qui elle aussi se pâme, prise de convulsions...
Super, me voilà bien, les deux femmes ont pris un pied d'enfer et moi ma queue me fait mal tant je suis excité... Qu'à cela ne tienne je vais y remédier de suite...
"Maintenant mes jolies c'est à votre tour de me satisfaire"
Je m'installe sur la table, jambes relevées au maximum et écartées afin que mon sexe et mon anus soient accessibles...
"Toi qui aimes te faire bouffer le cul tu vas maintenant en bouffer un, de mec, et t'es intérêt a le faire avec passion ma salope"
Directement elle se met à genoux au bord de la table et se met à faire glisser sa langue et sa bouche le long de ma raie, en insistant sur mon sphincter...
"Inès viens ici sur la table, je veux bouffer ta petite chatte épilée pendant que tu vas me branler"
Aussitôt dit aussitôt fait et voilà la belle a califourchon sur moi, m'astiquant le manche de sa main fine et froide... Et mon dieu ce que sa petite chatte est douce et délicieuse, une mouille plus amère que celle de sa patronne, mais moins grasse, et des lèvres si accueillantes que l'on a envie de rester y butiner une éternité.
Le jeu dure un moment jusqu'à ce que je sente les lèvre de la bonne se refermer sur mon gland brûlant tout en lâchant un long et chaud gémissement de chatte en chaleur.
Putain quel pied de se faire ainsi lécher, sucer, fouiller le cul, masser les couilles...
D'ailleurs en parlant d'elles, elles vont exploser tant elles sont pleines... Ma queue tremble de plus en plus, mon gland gonfle encore un peu plus et je sens que je vais me vider...
"Haaaa putain mes salopes, je vais... gicler... Vous allez... me ...vider les... couilles..."
M'adressant a Inès
"Oblige cet... te garce à... tout ...prendre sur la gueule ...et branle moi... Putain branle moi"
Ça y est l'instant ultime arrive, la main de la bonne monte et descend sur la queue a une vitesse folle, elle a attrapé notre chienne par les cheveux et lui oblige a lécher mon gland, bouche ouverte, une main me masse les couilles, un doigt me pistonne le cul... Je n'en peux plus c'est trop
"Haaaaaaaarrrr ....putain ... Ouiiiii... Bande... de ...puuuuutes!!!"
Et moi voilà lâchant une magistrale explosion de sperme sur la gueule de ma salope, éructant mon plaisir tel un a****l, j'ai l'impression que je ne vais jamais m'arrêter de gicler... Je sombre, c'est trop bon.
"Rhaaaaaaaaa!!!"
Ma tête retombe lourdement sur la table, j'entre aperçois la salope qui se relève, et qui s'applique a récupérer le foutre sur son visage, aidée par la bonne qui lui lèche le visage...
Elles gloussent et gémissent de concert avant de me lâcher un
"Merci monsieur" en cœur...
12 years ago