Petit extrait d'un texte érotique ...

Nous sommes rentrés en Europe à la fin de la guerre et nous sommes retournés à Paris où nous avons profités des nuits parisiennes dans les maisons closes et Estella reprenait notre rôle favori pour notre dose de plasma, nous avons même fait quelques séjours en Allemagne, à Berlin plus précisément, je vous avoue que les allemands sont plus sexuels et plus gourmands, je me souviens d’une soirée dans un club de jazz, Estella et moi avions repérés une blonde ravissante, une bouche pulpeuse, des yeux de biche, des seins sublimes et un cul parfait, elle s’appelait Marlene …

C’est Estella qui l’a séduite, elle nous a rejoint dans notre chambre dans un palace de la capitale et à peine arrivée, Estella s’est mise à l’attaque, elle l’a embrassée, déshabillée et entraînée sur le lit, j’ai retiré la ceinture de mon pantalon, Estella avait attaché la blonde avec des rubans, j’ai caressé sa peau avec le cuir de la ceinture avant de la fouetter, la belle blonde s’est mise à trembler, non de peur ni de douleur mais de plaisir et de satisfaction, nous étions tombé sur une véritable masochiste, je lui ai demandé de se lever du lit, de cambrer son dos et d’écarter les jambes, Estella lui a bandé les yeux, j’allais flageller la blonde, je lui demande de compter pendant qu’Estella s’était installée sur le lit, les jambes écartées, prête à être léchée et c’est qu’à fait la coquine pendant que je la fouettais avec ma ceinture, je la sentais trembler de volupté, j’ai même glissé un doigt dans son intimité pendant qu’elle était à occuper à faire plaisir à mon amante, j’avais envie … j’ai demandé à la coquine de s’allonger sur le lit, Estella s’est posée sur son visage, la blonde qui continuait à la lécher et moi, je me suis placé entre ses jambes et je l’ai pénétré, une blonde franchement délicieuse, Estella lui pinçait les seins, je voyais ma maîtresse prendre du plaisir, nous avons échangé les places, je pilonnais mon amante pendant que la blonde ressentait la langue diabolique de ma consoeur vampire, j’avais envie de plus … Mes deux amantes se sont positionnées d’une certaine façon que je prenne l’une en levrette pendant que l’autre profite de sa langue et de mon intimité, je me sentais trembler de l’intérieur tellement je prenais autant de plaisir, je n’avais jamais connu une telle décadence, surtout quand j’étais l’amant de Maîtresse qui m’a pourtant tout appris sur les jeux de l’amour, je continuais à étoffer mon expérience sexuelle, surtout après plusieurs siècles d’apprentissage …

Les filles ont échangé leurs places, j’étais prêt à jouir et en effet, j’ai joui, nous nous sommes retirés et mes deux coquines se sont partagé mon érection, elles se sont embrassés, se partageant mon venin d’amour.