FUMIKO ECOLOGISTE

Cela faisait un moment que j'étais sans nouvelles de mes amis Marc et Fumiko une poupée japonaise (1m42 45kg 80 A ou B), quand mon portable m'annonça l'arrivée d'un SMS "salut Christian on est à Gruissan peut tu nous accueillir", je décrochais pour les appeler.
C: bonjour bien sur que vous pouvez venir vous serez là vers qu'elle heure pour réserver une table.
M: merci t'es génial on devrait être là u patron du saunaaprès que Fumiko en aura fini avec le dépucelage du fils du patron du sauna.
C: d'accord donc je réserve pour 20h.
M: impeccable à tout à l'heure.

Suite à ça j'appelle un petit restau nouvellement installé dont je suis un client fidèle, la réservation faite prépare la chambre pour accueillir mes visiteurs quoique seul Marc l'occupera car ma poupée viendra partager mon lit.

Il est environ 19h30 quand un léger coup de klaxon m'annonce l'arrivée de mes amis, je vais leur débloquer le garage pour qu'ils entrent leur véhicule, puis les fait monter au salon pour boire un petit apéritif quand je découvre Fumiko oh qu'elle tenue mini top blanc qui est limite, vu son absence de soutien gorge ses tétons larges et dardés semblent prêt à percer le fin tissus et un short en jean moulant déchiré à l'entre jambes, là je me sens émoustillé mais reste malgré tout calme je sert à boire et par contre m'adresse à ma poupée.
C: ma belle tu n'as pas d'autres tenues pour ce soir?
F: non mon grand pourquoi moi je l'aime car je sens la caresse du vent sur mes grottes.
C: allez suis moi vais te donner autre chose d'aussi sexy ma poupée.
F: c'est comme tu veux.

Et là elle se lève et me suis pour aller choisir une tenue dans la penderie, dans la pièce elle se déshabille attendant que je lui tende une tenue, la vision de ce corps fin avec cette chatte fine surmontée d'une petite touffe au dessus du clito m'enchante comme toujours.
F: oh chéri tu bandes montre là moi elle me manque depuis qu'on ne c'est pas vu. pas le temps de dire ouf qu'elle m'a défait le pantalon pour s'emparrer de ma verge qu'elle caresse tendrement, puis me fixe de ses yeux noirs "encule moi coquin" et vu sa position ne peux qu'entrer avec douceur dans ce puit anal bouillant, nous étant bien fais jouir ma chérie s'embête pas elle attrape un string pour s'essuyer et l'enfile, puis enfile une mini jupe mi cuisses et un chemisier blanc sans soutif comme à son habitude dévoilant ainsi ses tétons foncés.

Notre arrivée au restau ne passe pas inaperçue quoique ce soit une petite salle contenant au maximum une dizaine de convives, tous les yeux se braquent sur ma poupée qui à son habitude se colle à moi, imaginez 1m42 collée contre 1m93 l'écart fait sourire certains la patronne me fait la bise et nous entraine vers la table au fond de la salle, le repas se passe dans une bonne ambiance me permettant ainsi de demander à Marc ce qui les amène dans le coin.
M: Fumiko est devenue une accroc de la nature quoiqu'elle ne s'intêresse pas à la politique elle parle constament d'espaces verts.
C: remarque ici elle ne peux mieux tomber on n'a pas la moindre usine ce n'est que viticulture voies vertes pour randonneurs.
F: oh c'est bien tout ça tu vois t'avais dit que chez notre grand on serait en pleine nature sur les voies vertes on peux se balader nus.
C: non ma chérie on est pas dans un camp naturiste mais tu peux aller marcher en tenue mini.
F: demain tu m'emmèneras marcher.
C: bien sur ma belle bon ça vous a plu.
M: oh oui c'était simple mais très fin on reviendra. et là nous repartons vers chez moi ou une fois eentrés j'offre un petit digestif pour sceller notre amitié et ensuite nous montons en direction des chambres ou comme je l'avais imaginé Fumiko vint partager ma couche me faisant passer une superbe nuit mais épuisante, vu qu'elle n'était jamais rassasiée une fois douchés restaurés on montait se préparer pour cette balade, moi enfilait un short un tee shirt manches courtes et des baskets, Marc faisant de même sans oublier sa caméra destinée à immortaliser les ébats de sa poupée, qui elle enfila la tenue qu'elle portait à son arrivée conservant son string souillé.

Nous voila parti pour découvrir la nature du coin, après avoir passé le panneau de signalisation de fin du village la première voie verte s'offrait à nous et on avançait tranquille fallait voir ma belle qui respirait l'air à plein poumons, n'arrêtant pas de dire à son homme "tu te rends comptte on serait heureux ici regarde dans cette clairière on construirait notre maison" "oh ma chérie moi je bosse à Paris" "et alors tu travaillerais là bas la semaine et redescendrais le WE" "toi tu resterais seule ici" "serait pas seule puisqu'il y a Kiki au fait tes voisines habitent toujours ici" "bien sur pourquoi veux tu qu'elles partent", on avançait lentement quand sur le coté elle découvrait une petite cascade chutant sur un mini étang et là sans s'occuper de qui que ce soit se foutait à poil pour aller sous la chutte d'eau.
F: hum elle est fraiche oh Kiki viens me rejoindre.
C: j'arrive ma poupée. et à grandes enjambées la rejoignait sous l'oeil de la caméra de Marc, et là ma poupée me sautait au cou m'embrassant pleine bouche "baise moi veux ta pine en moi", vu sa position elle s'introduisais ma bite dans sa chatte toujours aussi accueillante me chevauchant comme une folle, se mettant à rugir dans des plus vite salop oh oh oui ta bite m'a manquée hum quand sur le coté "oh papa t'as vu le monsieur et la dame sous l'eau" "oh on est en public je vais appeler les flics" "non papa veux voir ça" "quoi tu vas t'en prendre une" "le dirais à maman car t'ai vu hier avec Geneviève" "petit con tu a intérêt à la fermer" "oui à condition que j'aille plus prêt", et là il s'approchait de nous pour mieux voir surtout que Fumiko de plus en plus motivée s'était mise sous la chute d'eau en levrette m'offrant sa grotte anale ouverte, ou j'entrais en douceur la faisant rugir de plaisir dans un oh oui pine moi mon grand ah ah oui oui bourre moi comme ça plus vite là notre voyeur s'approchait de plus en plus, là on se donnait en spectacle Fumiko était déchainée m'encourageant vas y plus vite ramone moi comme ça continue ah ah oh ta bite est toujours aussi bonne ah oui JE JOUIS oh mon petit ta culotte est mouillée "oui madame j'ai fait un petit pipi" "oh viens me voir que je vérifie", dès qu'il s'approcha ma belle toujours aussi chaude défi le short du voyeur "oh mais c'est pas du pipi ça hum ton zizi est mignon viens vais le sucer" "oh oui m'dame" "dis moi c'est nouveau mon petit" "oh non maman m'a léché mais pas comme vous" "tiens dit moi tu t'appelle comment" "moi c'est Gérard" "allonge toi mon bébé vais te faire plaisir", et là ma poupée embouche cette petite bite qu'elle suce avec délicatesse puis estimant qu'elle est prête se l'introduit dans sa chatte pour chevaucher le Gérard, qui dans un râle explose dans cette chatte bouillante là on entends des applaudissements, suivi d'une ruée humaine qui nous fonce dessus la bite à l'air poussant des "à moi suis le premier comme s'ils étaient les premiers", là ma Fumiko s'agenouillait ouvrait la bouche encourageant les admirateurs d'un "couvrez moi crachez votre foutre sur mon corps lâchez tout oui oui crachez salops videz vos couilles sur la jaune hum trop bon encore oui oui je jouis trop bon", évidemment le combat si l'on peux dire cessa faute de recharges immédiates du coup Fumiko m'entrainait sous la chute d'eau pour nous laver.

Après cet épisode nous étant rhabillés on reprit notre marche suivis par un fan Gérard qui du haut de ces 15ans se pavanait, "t'as un fan ma chérie si tu reste ici tu l'auras au cul en permanence" "mais ça fait du bien de ce savoir populaire", notre avancée sur la voie verte nous procura d'autres découvertes immortalisées par la caméra de Marc.

Mais cela fera d'autres aventures avec ma Fumiko toujours aussi chaude et douce comme toute japonaise bien élevée.

FIN

A SUIVRE