Hirondelles
L'été de mes 17 ans, Saint-Lunaire, mes parents sont moins stricts avec moi depuis quelque temps, même si leur rigueur ne m'a jamais empêché de profiter de la vie. L'avantage d'aller en vacances chaque année au même endroit, c'est qu'on retrouve les mêmes copines. Rachel est en mode rebelle, ses parents la font chier, elle fume en cachette, boit des Malibu ananas en allumant les garçons à La Potinière et surtout, elle a décidé de bronzer topless. Pour cela, elle rejoint à pied une petite crique à marée basse. Le sable mouillé n'attire guère de monde et surtout cette plage temporaire n'est pas visible de la grande plage familiale où retirer le haut de son maillot est très mal vu. Elle m'a demandée de l'accompagner pour qu'on bavarde comme les années précédentes. On parle de tout et de rien et on bronze, notre programme des années précédentes. J'accepte, je me dis que, de toute façon, je ne serais pas obligée de retirer le haut. Nous voilà sur nos serviettes, Rachel tombe son soutien-gorge. Deux obus, Les mecs présents ne la quittent pas des yeux pendant qu'elle se passe de crème plus lascivement qu'elle ne le devrait. Avant de s'allonger, elle se fume une clope debout en se tournant et retournant pour bien exhiber sa poitrine indécente. Finalement, elle s'allonge à côté de moi. On commence à parler de nos histoires de cœur de l'année écoulée. Elle m'explique qu'elle est toujours vierge et qu'elle attend le bon pour passer le cap, mais ça l'empêche pas de s'amuser. Elle s'est fait doigter par 5 gars différents et elle les a sucés aussi, l'un a même éjaculé dans sa bouche. Je la regarde avec des yeux étonnés. Effectivement, Rachel s'est bien lâchée. Elle qui était plutôt sage, c'est l'effet balancier en action. Je lui demande ce qu'elle a éprouvé en faisant ça. Elle m'explique simplement que ce n'est pas si difficile que ça d'avaler. Je ne réagis pas. De mon côté, je lui explique que j'aime toujours les hommes plus âgés que moi, sans rentrer dans les détails, ni de parler de mon histoire de cul avec mon prof de math.
« Viens, on va se baigner » Nous nous levons. À nouveau, les regards des hommes se fixent sur sa poitrine. Elle me demande si je ne veux pas me baigner topless, juste pour essayer. Je ne préfère pas. L'eau est fraîche mais ça fait du bien. En sortant de la mer, je remarque que le bas du maillot de Rachel lui rentre dans les fesses. On lui voit la moitié du cul mais ça n'a pas l'air de la déranger plus que ça. Elle a des formes pour son âge et des fesses à l'avenant de ses seins, il y a de la matière. « Retire ton haut au moins pour te réchauffer au soleil » Je décide de céder plus pour qu'elle me laisse en paix sur ce sujet que par envie. Me voilà seins nus devant une trentaine de personnes, surtout des hommes qui doivent savoir que des femmes font du topless ici. Je m'allonge sur le dos, dommage pour eux. Rachel aussi, mais elle rentre son maillot dans sa raie pour éviter les marques de bronzage. Un type mate son gros cul sans en perdre une miette.
Nous devons rentrer avant que la mer ne remonte trop et nous coince. On va à la Paillote nous acheter des gaufres. Les parents de Rachel sont là à boire un Perrier. Rachel joue les filles modèles pour les rassurer. Impossible qu'ils pensent que leur fille était seins nus et le cul à moitié à l'air, il y a moins d'une demi-heure. Nous dévorons notre gaufre et nous donnons rendez-vous à la Potinière après le dîner. Autre nouveauté, j'ai le droit de sortir jusqu'à minuit.
C'est plein à craquer dans le bar, nous sommes sur la terrasse à l'extérieur, un verre à la main. Le Malibu nous fait tourner la tête, plus le soleil de l'après-midi. Le fils de nos voisins s'approche de moi. C'est bien la première fois qu'il me calcule. C'est bizarre. Il me lance des compliments, me dit que je suis de plus en plus belle, très féminine. Il a fumé ou quoi? C'est à peine s'il m'adressait la parole les années précédentes. Il faut dire qu'on a 7 ou 8 ans d'écart. Il m'explique que c'est trop blindé ici, il me propose qu'on aille, ses 2 potes et ma copine, à la plage des hirondelles. Cette plage est difficile d'accès et avec mes chaussures, je crains de tomber. Il m'aidera. Ça sera sympa, ils ont des bouteilles d'alcool, un ghetto blaster pour la musique. Rachel est grave partante, donc nous nous retrouvons dans sa voiture pour faire quelques centaines de mètres. Devant l'escalier naturel qui mène à la plage, les gars sortent des lampes torches. J'arrive tant bien que mal sur le sable. Vraiment inaccessible par ailleurs et encore pour les plus aventureux. Des rochers partout, la mer devant et une grotte derrière. On étale des serviettes au sol et on installe. Musique en fond, on boit à la bouteille. Malibu pour nous, Jack Da pour eux. Ça dragouille entre Rachel et les potes de mon voisin. Rien de bien méchant. Au bout d'un moment, l'un d'eux propose un bain de minuit. Sur le champs, j'oppose que je n'ai pas pris mon maillot de bain. Ils rigolent. « T'inquiète pas Marina, pas besoin » Rachel, qui se la joue rebelle, malgré tout, demande si ce n'est pas nu un bain de minuit « En sous-vêtement, pas besoin d'être nu » Les garçons sont déjà en caleçon. Rachel explique qu'elle n'a pas de haut et elle enlève déjà sa robe. Moi, j'ai un soutien-gorge, mais un string et j'ai moyen envie d'être le cul à l'air devant le fils des voisins qui me snobait avant cette année. Rachel me dit que ça va être rigolo et elle court vers la mer avec les garçons. Je retire mon top et ma jupe à mon tour et en ensemble Princesse Tam-Tam, je me dépêche de rentrer dans l'eau pour me cacher. La température est saisissante. Les mecs nagent et font peur à Rachel en lui touchant les jambes, voire plus. Tout le monde ressort de l'eau, j'attends un peu pour qu'ils ne voient pas de dos et donc mes fesses. Erreur. Les garçons ont rallumé les lampes torches et les orientent sur moi. Mon string mouillé est devenu translucide et immédiatement, j'entends l'un d'eux dire que c'est charmant ce grand rectangle noir. Je fulmine et enfile mes fringues en vitesse, 2ᵉ erreur. Rachel, elle, se sèche bien avant de remettre sa robe. Mon soutien-gorge détrempé me glace jusqu'aux os. Mon voisin le remarque.
Il m'accompagne à l'abri dans la grotte et me dit qu'il revient. j'en profite pour retirer mon soutien-gorge à l'abri des regards. Il est de retour avec un grand sweat zippé et de grandes serviettes. Il en dispose une au sol, m'aide à enfiler le sweat et le zip puis une autre serviette sur mes épaules. On se pose tranquillement sur la serviette et il me frotte le dos pour me réchauffer. Il s'arrête un instant, il a remarqué mon soutien-gorge dans le sable. « Ça va mieux ? » J'acquiesce de la tête. Son baiser me surprend. Presque autant que sa main qui s'est faufilée sous le sweat et mon top, il me caresse déjà un téton en me renversant sur la serviette. Il continue à m'embrasser sensuellement et en jouant avec ma poitrine. Je le repousse doucement et regarde si personne ne peut nous voir. J'enlève mon top et remets juste le sweat en le zippant à moitié. À mon tour de le basculer sur la serviette et je le chevauche. Il peut ainsi s'occuper de ma poitrine comme il faut maintenant. Moi, en ondulant sur lui, je frotte sa bite à travers son bermuda. Ses mains s'égarent sous ma jupe, il a l'air d'être empêtré avec le string, je me relève et le retire. Il en profite pour déboutonner son bermuda et sortir sa queue. J'entends Rachel rire là-bas, mais je la vois pas. Je me mets à genoux et commence à le sucer, pas trop de temps à perdre. Il me repositionne pour faire un 69. Il s'aperçoit que j'ai les grandes lèvres épilées et me fait un compliment. Je m'applique à bien le sucer, il le mérite. De son côté, il m'aspire le clitoris en me doigtant, plutôt bien d'ailleurs. Je reprends le contrôle des choses et me remet sur lui. Je guide sa bite et me l'enfonce. Je place une grande serviette sur nous, au cas où. Les mouvements de mon bassin le mettent au supplice. Je lui demande au creux de l'oreille pourquoi il s'intéresse à moi tout à coup. Je ne vais pas tarder à jouir, je presse bien mon clitoris contre son pubis. Il me susurre qu'il m'a toujours trouvé belle, mais il se disait que j'étais tr.op jeu.ne et il craignait d'être le premier. Là il s'est dit que je ne devais plus être vierge à 17 ans. Ooooh oui je jouis. Je m'affale sur son torse. « Je suis plus vierge depuis mes 14 ans. À vrai dire, tu aurais déjà pu me baiser il y a tr.ois ans ou deux ou même l'an dernier — Je peux te demander une chose Marina ? » Je réponds oui « Je peux te prendre en levrette là maintenant ? » Je me dégage de la position actuelle et me place à quatre pattes devant lui, offerte. « Fais vite, ma copine attend » Sa queue glisse en moi sans retard. Il m'administre une bonne levrette virile. Heureusement que le bruit du ressac de la mer cache celui des claquements sur mon cul. Il éjacule en un clin d'œil. Nickel. Je prends une serviette de bain et, les jambes écartées, debout, je pousse pour expulser le sperme de ma chatte. Je m'essuie, il fait de même avec sa bite. Je cherche mon string et le remets, prenant, par contraire, mon top et mon soutien-gorge à la main. Je remonte le zip et réfléchis à une histoire à raconter à Rachel. Je sors de la grotte et entends juste de la musique. Je vois deux faisceaux de lumière. L'un sur le visage de Rachel, ses deux obus ballotant, elle suce avec avidité le pote le plus beau des deux. Le second, situé derrière elle, la lumière pointée sur son gros cul, est en train de la culbuter. Finalement elle n'aura pas attendu le bon.
« Viens, on va se baigner » Nous nous levons. À nouveau, les regards des hommes se fixent sur sa poitrine. Elle me demande si je ne veux pas me baigner topless, juste pour essayer. Je ne préfère pas. L'eau est fraîche mais ça fait du bien. En sortant de la mer, je remarque que le bas du maillot de Rachel lui rentre dans les fesses. On lui voit la moitié du cul mais ça n'a pas l'air de la déranger plus que ça. Elle a des formes pour son âge et des fesses à l'avenant de ses seins, il y a de la matière. « Retire ton haut au moins pour te réchauffer au soleil » Je décide de céder plus pour qu'elle me laisse en paix sur ce sujet que par envie. Me voilà seins nus devant une trentaine de personnes, surtout des hommes qui doivent savoir que des femmes font du topless ici. Je m'allonge sur le dos, dommage pour eux. Rachel aussi, mais elle rentre son maillot dans sa raie pour éviter les marques de bronzage. Un type mate son gros cul sans en perdre une miette.
Nous devons rentrer avant que la mer ne remonte trop et nous coince. On va à la Paillote nous acheter des gaufres. Les parents de Rachel sont là à boire un Perrier. Rachel joue les filles modèles pour les rassurer. Impossible qu'ils pensent que leur fille était seins nus et le cul à moitié à l'air, il y a moins d'une demi-heure. Nous dévorons notre gaufre et nous donnons rendez-vous à la Potinière après le dîner. Autre nouveauté, j'ai le droit de sortir jusqu'à minuit.
C'est plein à craquer dans le bar, nous sommes sur la terrasse à l'extérieur, un verre à la main. Le Malibu nous fait tourner la tête, plus le soleil de l'après-midi. Le fils de nos voisins s'approche de moi. C'est bien la première fois qu'il me calcule. C'est bizarre. Il me lance des compliments, me dit que je suis de plus en plus belle, très féminine. Il a fumé ou quoi? C'est à peine s'il m'adressait la parole les années précédentes. Il faut dire qu'on a 7 ou 8 ans d'écart. Il m'explique que c'est trop blindé ici, il me propose qu'on aille, ses 2 potes et ma copine, à la plage des hirondelles. Cette plage est difficile d'accès et avec mes chaussures, je crains de tomber. Il m'aidera. Ça sera sympa, ils ont des bouteilles d'alcool, un ghetto blaster pour la musique. Rachel est grave partante, donc nous nous retrouvons dans sa voiture pour faire quelques centaines de mètres. Devant l'escalier naturel qui mène à la plage, les gars sortent des lampes torches. J'arrive tant bien que mal sur le sable. Vraiment inaccessible par ailleurs et encore pour les plus aventureux. Des rochers partout, la mer devant et une grotte derrière. On étale des serviettes au sol et on installe. Musique en fond, on boit à la bouteille. Malibu pour nous, Jack Da pour eux. Ça dragouille entre Rachel et les potes de mon voisin. Rien de bien méchant. Au bout d'un moment, l'un d'eux propose un bain de minuit. Sur le champs, j'oppose que je n'ai pas pris mon maillot de bain. Ils rigolent. « T'inquiète pas Marina, pas besoin » Rachel, qui se la joue rebelle, malgré tout, demande si ce n'est pas nu un bain de minuit « En sous-vêtement, pas besoin d'être nu » Les garçons sont déjà en caleçon. Rachel explique qu'elle n'a pas de haut et elle enlève déjà sa robe. Moi, j'ai un soutien-gorge, mais un string et j'ai moyen envie d'être le cul à l'air devant le fils des voisins qui me snobait avant cette année. Rachel me dit que ça va être rigolo et elle court vers la mer avec les garçons. Je retire mon top et ma jupe à mon tour et en ensemble Princesse Tam-Tam, je me dépêche de rentrer dans l'eau pour me cacher. La température est saisissante. Les mecs nagent et font peur à Rachel en lui touchant les jambes, voire plus. Tout le monde ressort de l'eau, j'attends un peu pour qu'ils ne voient pas de dos et donc mes fesses. Erreur. Les garçons ont rallumé les lampes torches et les orientent sur moi. Mon string mouillé est devenu translucide et immédiatement, j'entends l'un d'eux dire que c'est charmant ce grand rectangle noir. Je fulmine et enfile mes fringues en vitesse, 2ᵉ erreur. Rachel, elle, se sèche bien avant de remettre sa robe. Mon soutien-gorge détrempé me glace jusqu'aux os. Mon voisin le remarque.
Il m'accompagne à l'abri dans la grotte et me dit qu'il revient. j'en profite pour retirer mon soutien-gorge à l'abri des regards. Il est de retour avec un grand sweat zippé et de grandes serviettes. Il en dispose une au sol, m'aide à enfiler le sweat et le zip puis une autre serviette sur mes épaules. On se pose tranquillement sur la serviette et il me frotte le dos pour me réchauffer. Il s'arrête un instant, il a remarqué mon soutien-gorge dans le sable. « Ça va mieux ? » J'acquiesce de la tête. Son baiser me surprend. Presque autant que sa main qui s'est faufilée sous le sweat et mon top, il me caresse déjà un téton en me renversant sur la serviette. Il continue à m'embrasser sensuellement et en jouant avec ma poitrine. Je le repousse doucement et regarde si personne ne peut nous voir. J'enlève mon top et remets juste le sweat en le zippant à moitié. À mon tour de le basculer sur la serviette et je le chevauche. Il peut ainsi s'occuper de ma poitrine comme il faut maintenant. Moi, en ondulant sur lui, je frotte sa bite à travers son bermuda. Ses mains s'égarent sous ma jupe, il a l'air d'être empêtré avec le string, je me relève et le retire. Il en profite pour déboutonner son bermuda et sortir sa queue. J'entends Rachel rire là-bas, mais je la vois pas. Je me mets à genoux et commence à le sucer, pas trop de temps à perdre. Il me repositionne pour faire un 69. Il s'aperçoit que j'ai les grandes lèvres épilées et me fait un compliment. Je m'applique à bien le sucer, il le mérite. De son côté, il m'aspire le clitoris en me doigtant, plutôt bien d'ailleurs. Je reprends le contrôle des choses et me remet sur lui. Je guide sa bite et me l'enfonce. Je place une grande serviette sur nous, au cas où. Les mouvements de mon bassin le mettent au supplice. Je lui demande au creux de l'oreille pourquoi il s'intéresse à moi tout à coup. Je ne vais pas tarder à jouir, je presse bien mon clitoris contre son pubis. Il me susurre qu'il m'a toujours trouvé belle, mais il se disait que j'étais tr.op jeu.ne et il craignait d'être le premier. Là il s'est dit que je ne devais plus être vierge à 17 ans. Ooooh oui je jouis. Je m'affale sur son torse. « Je suis plus vierge depuis mes 14 ans. À vrai dire, tu aurais déjà pu me baiser il y a tr.ois ans ou deux ou même l'an dernier — Je peux te demander une chose Marina ? » Je réponds oui « Je peux te prendre en levrette là maintenant ? » Je me dégage de la position actuelle et me place à quatre pattes devant lui, offerte. « Fais vite, ma copine attend » Sa queue glisse en moi sans retard. Il m'administre une bonne levrette virile. Heureusement que le bruit du ressac de la mer cache celui des claquements sur mon cul. Il éjacule en un clin d'œil. Nickel. Je prends une serviette de bain et, les jambes écartées, debout, je pousse pour expulser le sperme de ma chatte. Je m'essuie, il fait de même avec sa bite. Je cherche mon string et le remets, prenant, par contraire, mon top et mon soutien-gorge à la main. Je remonte le zip et réfléchis à une histoire à raconter à Rachel. Je sors de la grotte et entends juste de la musique. Je vois deux faisceaux de lumière. L'un sur le visage de Rachel, ses deux obus ballotant, elle suce avec avidité le pote le plus beau des deux. Le second, situé derrière elle, la lumière pointée sur son gros cul, est en train de la culbuter. Finalement elle n'aura pas attendu le bon.
23 days ago