Contre-point à "Première fois"
Je sonne en espérant qu'elle ne soit pas déjà endor.mie. J'ai oublié mon blouson comme un imbécile. Il faut dire que j'ai passé la soirée foclaiser sur cette gamine. C'est la sœur d'Hervé avec qui je joue au rugby, mais, j'ignore pourquoi, ce soir, elle m'a trop excitée dans sa petite robe en jean. De plus, on voyait trop bien qu'elle ne portait pas de soutien-gorge et ses fesses rebondies étaient trop à l'étroit dans ce tissu tendu et moulant . Une demi-molle dans le caleçon, j'ai passé mon temps à imaginer à quoi elle ressemblerait sans vêtement.
Yes, elle ouvre, ses longs cheveux blonds détachés, plus sexy que jamais malgré son âge. C'est maintenant ou jamais si tu veux voir ses petits nichons. Fais-lui un compliment, elle sera ravie. Parfait. Elle rentre dans mon jeu en répondant à toutes mes questions, je m'approche et l'embrasse. On verra bien sa réaction. Nickel. Elle se débrouille plutôt bien avec sa langue, je vais la jouer en douceur, en mode romantique. Je ne pensais pas qu'elle me laisserait l'embrasser, pas farouche la gamine. Je dois profiter de l'avantage. Trop facile à dégrafer les boutons de sa robe et elle ne bronche toujours pas. C'est mon jour de chance. D'ores et déjà, je pelote un de ses mamelons, il est bien ferme. C'est sûr, je vais les voir en entier. Ma bite me fait mal tellement je bande fort. Un de ses seins s'est échappé hors de sa robe, je recule pour enfin l'admirer. Il est petit, tout rond, son aréole est très large, de façon disproportionnée, et s'étale comme une tâche de caramel. Son téton pointe fièrement. Je ne résiste pas à me jeter dessus et commence à le sucer. En finissant de déboutonner sa robe, je passe à l'autre. Pas craintive la petite, je lui bouffe les seins et elle se laisse faire comme si elle avait l'habitude. Elle ne se rend même pas compte à quel point elle a du sex-appeal. Je lui demande si ça lui plait, mais je connais déjà sa réponse vu sa réaction. La robe traîne maintenant à ses pieds, elle est juste en culotte et Converses. Je colle ma main contre son slip basique, elle me la retire pas. Je n'ose y croire, je vais la doigter si ça continue comme ça, c'est au-delà de toutes mes espérances. Je sens que je vais être le premier à immiscer un doigt dans cette petite foufoune innocente. Je lui pose la question. Un garçon? Même pas elle? Par curiosité? Non. Merde, une vraie pucelle de chez pucelle. En restant par-dessus le coton, je m'amuse un peu en jouant avec son clitoris tout dur qui roule sous mes doigts, je fais durer le plaisir, le mien et le sien. Enfin, ma main se glisse dans sa culotte. Sa toison est soyeuse comme une fourrure toute douce. De plus, elle est poilue juste ce qu'il faut. Elle a crié de surprise, mais j'ai l'impression qu'elle me laisse faire. C'est bon signe. Je pousse mon exploration plus loin avec deux doigts pour toucher sa fente de collégienne. Oh putain, c'est le déluge là-dedans, j'ai de la mouille plein les doigts. Et, pas qu'un peu. Son entrejambe est inondé d'élixir visqueux. Mon majeur rentre dans sa chatte sans la moindre difficulté, une vraie patinoire. De nouveau, elle lâche un cri puis m.ord mon t-shirt quand j'accélère mes mouvements, ça ne m'empêche pas d'entendre ses gémissements malgré tout. Trop bon, je doigte actuellement la petite sœur de mon coéquipier et elle aime ça la salope. Les jambes un peu écartées, elle me dégouline sur la main. Il faut que je me calme un peu sinon j'exploserai bientôt dans mon caleçon direct. Je retire la main de son intimité trempée et en profite pour lui retirer son slip. Enfin toute nue, elle reste debout, fièrement, sans rien cacher de son corps avec ses mains, les épaules droites et la poitrine en avant, sa belle touffe foncé ressort magnifiquement sur la blancheur de sa peau, elle est sublime. Je lui demande de se retourner, je meurs d'envie de voir enfin son petit cul d'ado. Sans rien dire, elle s'exécute. Oh mon Dieu, deux pommes à croquer, elle est bien cambrée, ça tend ses fesses en arrière comme une offrande. Sublime. Obligé que je la baise, vierge ou pas.
« Tu veux pas qu'on aille dans ta chambre ? On y sera mieux, non? » Si elle m'emmène dans sa chambre, c'est gagné, je vais jusqu'au bout. Bingo. En montant les escaliers derrière elle, je profite du spectacle de son postérieur ondulant et de sa fente toute luisante, la mouille a collé les poils sur ses grandes lèvres. Dans sa chambre, elle a à peine le temps de poser ses vêtements sur la chaise que je la bascule en avant sans la prévenir et lui cale, avec précipitation, mon majeur dans la fouffe. Si je m'étais vraiment écouté, ce n'est pas mon majeur que je lui aurais mis dans sa petite cramouille, mais directement mon bracquemard. La baiser dans cette position, sauvagement, sans état d'âme. Elle le mérite tellement, mais, pour sa première, je n'ose pas la prendre ainsi, ça serait trop hard pour elle. Je farfouille encore sa chatte tout en observant ses petites lèvres proéminentes. Elles sont déjà parfaitement charnues et ressortent avec excès, on ne peut pas les louper au milieu de son petit jardin secret. J'ai trop envie de les lécher, je l'entraine avec moi et l'allonge sur le lit en dégageant quelques peluches. Je baisse mon jean et mon caleçon simultanément. Mon barreau en feu en jaillit. Au fond de moi, je me dis que la petite Marina va encaisser du gros calibre pour sa première fois, mais, vu comme elle mouille, cela devrait bien passer malgré tout. Ma langue est déjà à l'œuvre entre ses cuisses, ma bouche s'amuse avec son clitoris protubérant, elle devient dingue, moi aussi. J'aspire son suc autant que je peux, c'est un nectar divin et doux, je m'en fous partout sur le menton. Malheureusement, je dois passer à la vitesse supérieure sinon les autres vont se poser trop de questions sur mon absence. Je remonte entre ses jambes et l'embrasse lascivement, je prolonge cet instant en frottant mon gland sur sa fente détrempée. Moi qui espérais juste la voir à poil, je vais me frayer un passage dans sa petite entrée vierge dans un instant. Mon gland s'immisce enfin dans son minou, je dois insister un peu pour le rentrer dans sa chatte étriquée. Mon coup de rein est lent, mais continu. Je savoure chaque centimètre que ma queue s'enfonçant dans son alcôve immaculée. Je dois for.cer un peu pour ne pas ralentir la pénétration, mais pas plus que ça. Je m'arrête une fois ma matraque entièrement en elle. Ses cris ont raisonné dans ma bouche. Je lui demande si elle a pas trop mal. Non, ça va. Bravo à toi Marina car certaines, beaucoup plus âgées que toi, ont hésité en voyant ma bite. Je vais et viens en elle toujours lentement, certes, cela glisse bien, toutefois, sa chatte est extrêmement étroite. Pour détendre la petite, je lui titille les seins en même temps mais je n'obtiens pas le résultat désiré. Trop de frustration de ma part, j'ai réellement envie de taper plus fort dans sa petite moule baveuse et, dans cette position, je ne peux pas vraiment, ses cuisses me bloquant partiellement. Je sors ma queue de son orifice et soulève ses jambes pour les poser sur mes épaules et peser ainsi de tout mon poids sur elle. Ses genoux aplatissent (façon de parler) sa poitrine . Je peux enfin y aller à fond. Bienvenue dans le monde des grandes, Marina. Maintenant, j'envoie d'énormes coups de bite. À chaque mouvement, je sors quasiment mon pieu en entier pour mieux l'empaler en retour. Ses vociférations aiguës emplissent la chambre. C'est certain, je ne vais pas tenir longtemps, elle va me faire juter trop vite juste à couiner comme ça. J'imagine déjà mon sperme gicler en elle. Être le premier à souiller sa petite chatte innocente. Oh putain, ma queue se contracte comme jamais, cela dure une éternité, j'en ai presque mal puis j'éjacule enfin en de puissants jets libérateurs. Qu'est-ce qu'elle est bonne cette salope. Avant de me retirer, je reste planté un instant au fond de son vagin maculé. Ma queue tendue à mort, je me retrouve debout devant elle, allongée entre ses peluches, les jambes écartées et le souffle court, un filet épais de mon foutre dégoulinant de sa vulve boursoufflée de réjouissance, elle n'a pas l'air de se rentre compte qu'elle vient, pour la première fois de sa vie, de se faire crépir de sperme son antre d'amour. Je bande encore comme un âne. Putain, elle mériterait une seconde cartouche. J'aurais juste à la retourner et à la déglinguer en levrette. Attraper ses deux pommes rebondies et voir mon gros gland dilater son vagin étroit. Merde, je n'ai pas le temps. « Excuse-moi, j’ai pas réussi à me retenir, tu es trop serrée, ça a été plus fort que moi. Et, puis, sincèrement, c’était trop tentant d’être le tout premier à juter dans ta petite chatte vierge. T’es une jeune femme maintenant. Je peux te dire que ça a été un bonheur de te dépuceler. Tu peux être fière de toi et de ton corps. J’espère que tu as aimé aussi mais j’ai peu de doute vu comme tu es toute rouge et tes cris de tout à l’heure. T’es pas du genre discrète toi. Bon, je dois y aller, ils vont se demander ce que je fous. En tout cas, j'en ai pas fini avec toi. Je vais te faire découvrir mille délices. Par contre, pas la peine d’en parler à ton frère, ni à personne d’ailleurs. » Je ne sais pas pourquoi j'ai fait un discours aussi long, c'est n'importe quoi. Un peu de culpabilité peut-être. La prochaine fois, je la baise à quatre pattes, obligé.
Yes, elle ouvre, ses longs cheveux blonds détachés, plus sexy que jamais malgré son âge. C'est maintenant ou jamais si tu veux voir ses petits nichons. Fais-lui un compliment, elle sera ravie. Parfait. Elle rentre dans mon jeu en répondant à toutes mes questions, je m'approche et l'embrasse. On verra bien sa réaction. Nickel. Elle se débrouille plutôt bien avec sa langue, je vais la jouer en douceur, en mode romantique. Je ne pensais pas qu'elle me laisserait l'embrasser, pas farouche la gamine. Je dois profiter de l'avantage. Trop facile à dégrafer les boutons de sa robe et elle ne bronche toujours pas. C'est mon jour de chance. D'ores et déjà, je pelote un de ses mamelons, il est bien ferme. C'est sûr, je vais les voir en entier. Ma bite me fait mal tellement je bande fort. Un de ses seins s'est échappé hors de sa robe, je recule pour enfin l'admirer. Il est petit, tout rond, son aréole est très large, de façon disproportionnée, et s'étale comme une tâche de caramel. Son téton pointe fièrement. Je ne résiste pas à me jeter dessus et commence à le sucer. En finissant de déboutonner sa robe, je passe à l'autre. Pas craintive la petite, je lui bouffe les seins et elle se laisse faire comme si elle avait l'habitude. Elle ne se rend même pas compte à quel point elle a du sex-appeal. Je lui demande si ça lui plait, mais je connais déjà sa réponse vu sa réaction. La robe traîne maintenant à ses pieds, elle est juste en culotte et Converses. Je colle ma main contre son slip basique, elle me la retire pas. Je n'ose y croire, je vais la doigter si ça continue comme ça, c'est au-delà de toutes mes espérances. Je sens que je vais être le premier à immiscer un doigt dans cette petite foufoune innocente. Je lui pose la question. Un garçon? Même pas elle? Par curiosité? Non. Merde, une vraie pucelle de chez pucelle. En restant par-dessus le coton, je m'amuse un peu en jouant avec son clitoris tout dur qui roule sous mes doigts, je fais durer le plaisir, le mien et le sien. Enfin, ma main se glisse dans sa culotte. Sa toison est soyeuse comme une fourrure toute douce. De plus, elle est poilue juste ce qu'il faut. Elle a crié de surprise, mais j'ai l'impression qu'elle me laisse faire. C'est bon signe. Je pousse mon exploration plus loin avec deux doigts pour toucher sa fente de collégienne. Oh putain, c'est le déluge là-dedans, j'ai de la mouille plein les doigts. Et, pas qu'un peu. Son entrejambe est inondé d'élixir visqueux. Mon majeur rentre dans sa chatte sans la moindre difficulté, une vraie patinoire. De nouveau, elle lâche un cri puis m.ord mon t-shirt quand j'accélère mes mouvements, ça ne m'empêche pas d'entendre ses gémissements malgré tout. Trop bon, je doigte actuellement la petite sœur de mon coéquipier et elle aime ça la salope. Les jambes un peu écartées, elle me dégouline sur la main. Il faut que je me calme un peu sinon j'exploserai bientôt dans mon caleçon direct. Je retire la main de son intimité trempée et en profite pour lui retirer son slip. Enfin toute nue, elle reste debout, fièrement, sans rien cacher de son corps avec ses mains, les épaules droites et la poitrine en avant, sa belle touffe foncé ressort magnifiquement sur la blancheur de sa peau, elle est sublime. Je lui demande de se retourner, je meurs d'envie de voir enfin son petit cul d'ado. Sans rien dire, elle s'exécute. Oh mon Dieu, deux pommes à croquer, elle est bien cambrée, ça tend ses fesses en arrière comme une offrande. Sublime. Obligé que je la baise, vierge ou pas.
« Tu veux pas qu'on aille dans ta chambre ? On y sera mieux, non? » Si elle m'emmène dans sa chambre, c'est gagné, je vais jusqu'au bout. Bingo. En montant les escaliers derrière elle, je profite du spectacle de son postérieur ondulant et de sa fente toute luisante, la mouille a collé les poils sur ses grandes lèvres. Dans sa chambre, elle a à peine le temps de poser ses vêtements sur la chaise que je la bascule en avant sans la prévenir et lui cale, avec précipitation, mon majeur dans la fouffe. Si je m'étais vraiment écouté, ce n'est pas mon majeur que je lui aurais mis dans sa petite cramouille, mais directement mon bracquemard. La baiser dans cette position, sauvagement, sans état d'âme. Elle le mérite tellement, mais, pour sa première, je n'ose pas la prendre ainsi, ça serait trop hard pour elle. Je farfouille encore sa chatte tout en observant ses petites lèvres proéminentes. Elles sont déjà parfaitement charnues et ressortent avec excès, on ne peut pas les louper au milieu de son petit jardin secret. J'ai trop envie de les lécher, je l'entraine avec moi et l'allonge sur le lit en dégageant quelques peluches. Je baisse mon jean et mon caleçon simultanément. Mon barreau en feu en jaillit. Au fond de moi, je me dis que la petite Marina va encaisser du gros calibre pour sa première fois, mais, vu comme elle mouille, cela devrait bien passer malgré tout. Ma langue est déjà à l'œuvre entre ses cuisses, ma bouche s'amuse avec son clitoris protubérant, elle devient dingue, moi aussi. J'aspire son suc autant que je peux, c'est un nectar divin et doux, je m'en fous partout sur le menton. Malheureusement, je dois passer à la vitesse supérieure sinon les autres vont se poser trop de questions sur mon absence. Je remonte entre ses jambes et l'embrasse lascivement, je prolonge cet instant en frottant mon gland sur sa fente détrempée. Moi qui espérais juste la voir à poil, je vais me frayer un passage dans sa petite entrée vierge dans un instant. Mon gland s'immisce enfin dans son minou, je dois insister un peu pour le rentrer dans sa chatte étriquée. Mon coup de rein est lent, mais continu. Je savoure chaque centimètre que ma queue s'enfonçant dans son alcôve immaculée. Je dois for.cer un peu pour ne pas ralentir la pénétration, mais pas plus que ça. Je m'arrête une fois ma matraque entièrement en elle. Ses cris ont raisonné dans ma bouche. Je lui demande si elle a pas trop mal. Non, ça va. Bravo à toi Marina car certaines, beaucoup plus âgées que toi, ont hésité en voyant ma bite. Je vais et viens en elle toujours lentement, certes, cela glisse bien, toutefois, sa chatte est extrêmement étroite. Pour détendre la petite, je lui titille les seins en même temps mais je n'obtiens pas le résultat désiré. Trop de frustration de ma part, j'ai réellement envie de taper plus fort dans sa petite moule baveuse et, dans cette position, je ne peux pas vraiment, ses cuisses me bloquant partiellement. Je sors ma queue de son orifice et soulève ses jambes pour les poser sur mes épaules et peser ainsi de tout mon poids sur elle. Ses genoux aplatissent (façon de parler) sa poitrine . Je peux enfin y aller à fond. Bienvenue dans le monde des grandes, Marina. Maintenant, j'envoie d'énormes coups de bite. À chaque mouvement, je sors quasiment mon pieu en entier pour mieux l'empaler en retour. Ses vociférations aiguës emplissent la chambre. C'est certain, je ne vais pas tenir longtemps, elle va me faire juter trop vite juste à couiner comme ça. J'imagine déjà mon sperme gicler en elle. Être le premier à souiller sa petite chatte innocente. Oh putain, ma queue se contracte comme jamais, cela dure une éternité, j'en ai presque mal puis j'éjacule enfin en de puissants jets libérateurs. Qu'est-ce qu'elle est bonne cette salope. Avant de me retirer, je reste planté un instant au fond de son vagin maculé. Ma queue tendue à mort, je me retrouve debout devant elle, allongée entre ses peluches, les jambes écartées et le souffle court, un filet épais de mon foutre dégoulinant de sa vulve boursoufflée de réjouissance, elle n'a pas l'air de se rentre compte qu'elle vient, pour la première fois de sa vie, de se faire crépir de sperme son antre d'amour. Je bande encore comme un âne. Putain, elle mériterait une seconde cartouche. J'aurais juste à la retourner et à la déglinguer en levrette. Attraper ses deux pommes rebondies et voir mon gros gland dilater son vagin étroit. Merde, je n'ai pas le temps. « Excuse-moi, j’ai pas réussi à me retenir, tu es trop serrée, ça a été plus fort que moi. Et, puis, sincèrement, c’était trop tentant d’être le tout premier à juter dans ta petite chatte vierge. T’es une jeune femme maintenant. Je peux te dire que ça a été un bonheur de te dépuceler. Tu peux être fière de toi et de ton corps. J’espère que tu as aimé aussi mais j’ai peu de doute vu comme tu es toute rouge et tes cris de tout à l’heure. T’es pas du genre discrète toi. Bon, je dois y aller, ils vont se demander ce que je fous. En tout cas, j'en ai pas fini avec toi. Je vais te faire découvrir mille délices. Par contre, pas la peine d’en parler à ton frère, ni à personne d’ailleurs. » Je ne sais pas pourquoi j'ai fait un discours aussi long, c'est n'importe quoi. Un peu de culpabilité peut-être. La prochaine fois, je la baise à quatre pattes, obligé.
1 month ago