Ma dévotion envers mes Femmes Supérieures
J’ai reçu lundi midi la punition que Maitresse Léa et Miss Alyssa avaient décidé pour moi après mes fautes : je m’étais connecté à son insu sur le profil de Maitresse Léa. Je suis rentré pour le déjeuner de midi, un billet m’attendais dans l’entrée, de me déshabiller complètement (sauf ma cage de chasteté, bien sûr, et mon plug), et de rester à genoux, en string, front contre le sol dans la cuisine.
Après quelques minutes, Maitresse Léa est entrée, s’est assise devant moi, et m’a demandé de me redresser. Minijupe, croptop, et talons noirs. Elle était si fragile et si forte. Je savais avec appréhension que ces talons allaient marcher sur mon corps. Elle m’expliquait que désormais, elle dirigeait. Que cette punition était une étape dans ma soumission. Qu’elle ferait de moi un serviteur loyal de sa fille/Maitresse. Elle sourit à ma réponse ‘Oui Maitresse Léa’, et tend sa jambe en présentant la semelle d’un de ses escarpins devant ma bouche. Je n’avais jamais fait ça, mais je guidais son pied de mes mains pour lécher la semelle. Le goût de terre est horrible, je ne peux pas avaler ça, je me dis. Mais je continue, Maitresse Léa veut juste me faire comprendre que je dois obéir ses moindres désirs. Elle me fait enlever mes mains, et promène sa chaussure pour me laisser lécher telle ou telle partie. Je suis obligé de saliver beaucoup pour pouvoir décoller et ingérer la boue de sa semelle. Puis c’est le talon, dont je lèche le bout, et qu’elle me fait sucer sur toute la longueur. J’ai les 10 cm de talon dans la bouche, et je suce avec soumission. Quand elle a présenté son autre pied, j’ai pu voir qu’elle était nue sous sa minijupe, et la cage a empêché l’érection qui montait en moi. Elle a du s’apercevoir de mon excitation, et elle cloturé avec un ‘Ca suf fit’. Elle s’est levée, m’a menotté dans le dos, a posé un bandeau sur mes yeux, et m’a allongé par terre sur le dos. ‘Je ne veux pas t’entendre, compris ?’ me dit-elle. ‘Ouvre la bouche ! ‘ Elle bourre dans ma bouche un morceau de tissu sale et odorant, j’ai vu à la fin que c’était ses chaussettes sales. Elle allait me marcher dessus avec ses talons, j’avais peur de la douleur des pointes, je le lui avait dit auparavant. Après quelques minutes d’attente, elle monte sur moi, je ne sens pas les talons mais des chaussures plates. La pression est différente selon la partie du torse, un peu douloureuse au niveau du foie, presque rassurante sur les pectoraux. Je bouge un peu, elle aussi, je pense que mes mouvements perturbent son équilibre. Je ne peux émettre que des grognements. Après quelques minutes (je crois) à me ‘masser’, changement de programme et je reçois des coups de pied dans les côtes, les bras, les cuisses, que je subis en silence. Après les coups qui faisaient partie de ma punition, une pause, et je sens ses pieds nus sur moi. La sensation devenait plutôt agréable, incluant la tête et la face, jusqu’à ce qu’elle saute, et la douleur à chaque rebond, et mes grognements étouffés. Elle enlevait mon bandeau, et je croyais ma punition terminée, mais elle tenait en main une cravache, qu’elle administra sur tout mon corps, y compris les testicules, que la cage ne protège pas. De dessous, j’avais une vue si réjouissante sur sa chatte épilée, et je recevais ses coups de cravache avec tant de plaisir que j’ai éjaculé dans ma cage. Quelques minutes de calme pendant qu’elle va se changer, et elle revient me délivrer, la session est finie. Elle me fait me relever, me délivre des menottes, et m’autorise à enlever ses sockets de ma bouche. Elle me gronde d’avoir éjaculé, et me fait tout nettoyer avec ma langue par terre, et sur mon corps avec mes doigts et ma langue. ‘merci Maitresse Léa, de votre punition. Je vous appartiens’. Je me rhabille pour retourner travailler, et elle me dit que plus jamais je ne toucherai, baiserai un corps de Femme. Cette nouvelle perspective restait dans ma tête tout le long de mon trajet au travail. Je vous appartiens, Maitresse Léa. Je vous obéis, Maitresse Léa et Miss Alyssa.
Après quelques minutes, Maitresse Léa est entrée, s’est assise devant moi, et m’a demandé de me redresser. Minijupe, croptop, et talons noirs. Elle était si fragile et si forte. Je savais avec appréhension que ces talons allaient marcher sur mon corps. Elle m’expliquait que désormais, elle dirigeait. Que cette punition était une étape dans ma soumission. Qu’elle ferait de moi un serviteur loyal de sa fille/Maitresse. Elle sourit à ma réponse ‘Oui Maitresse Léa’, et tend sa jambe en présentant la semelle d’un de ses escarpins devant ma bouche. Je n’avais jamais fait ça, mais je guidais son pied de mes mains pour lécher la semelle. Le goût de terre est horrible, je ne peux pas avaler ça, je me dis. Mais je continue, Maitresse Léa veut juste me faire comprendre que je dois obéir ses moindres désirs. Elle me fait enlever mes mains, et promène sa chaussure pour me laisser lécher telle ou telle partie. Je suis obligé de saliver beaucoup pour pouvoir décoller et ingérer la boue de sa semelle. Puis c’est le talon, dont je lèche le bout, et qu’elle me fait sucer sur toute la longueur. J’ai les 10 cm de talon dans la bouche, et je suce avec soumission. Quand elle a présenté son autre pied, j’ai pu voir qu’elle était nue sous sa minijupe, et la cage a empêché l’érection qui montait en moi. Elle a du s’apercevoir de mon excitation, et elle cloturé avec un ‘Ca suf fit’. Elle s’est levée, m’a menotté dans le dos, a posé un bandeau sur mes yeux, et m’a allongé par terre sur le dos. ‘Je ne veux pas t’entendre, compris ?’ me dit-elle. ‘Ouvre la bouche ! ‘ Elle bourre dans ma bouche un morceau de tissu sale et odorant, j’ai vu à la fin que c’était ses chaussettes sales. Elle allait me marcher dessus avec ses talons, j’avais peur de la douleur des pointes, je le lui avait dit auparavant. Après quelques minutes d’attente, elle monte sur moi, je ne sens pas les talons mais des chaussures plates. La pression est différente selon la partie du torse, un peu douloureuse au niveau du foie, presque rassurante sur les pectoraux. Je bouge un peu, elle aussi, je pense que mes mouvements perturbent son équilibre. Je ne peux émettre que des grognements. Après quelques minutes (je crois) à me ‘masser’, changement de programme et je reçois des coups de pied dans les côtes, les bras, les cuisses, que je subis en silence. Après les coups qui faisaient partie de ma punition, une pause, et je sens ses pieds nus sur moi. La sensation devenait plutôt agréable, incluant la tête et la face, jusqu’à ce qu’elle saute, et la douleur à chaque rebond, et mes grognements étouffés. Elle enlevait mon bandeau, et je croyais ma punition terminée, mais elle tenait en main une cravache, qu’elle administra sur tout mon corps, y compris les testicules, que la cage ne protège pas. De dessous, j’avais une vue si réjouissante sur sa chatte épilée, et je recevais ses coups de cravache avec tant de plaisir que j’ai éjaculé dans ma cage. Quelques minutes de calme pendant qu’elle va se changer, et elle revient me délivrer, la session est finie. Elle me fait me relever, me délivre des menottes, et m’autorise à enlever ses sockets de ma bouche. Elle me gronde d’avoir éjaculé, et me fait tout nettoyer avec ma langue par terre, et sur mon corps avec mes doigts et ma langue. ‘merci Maitresse Léa, de votre punition. Je vous appartiens’. Je me rhabille pour retourner travailler, et elle me dit que plus jamais je ne toucherai, baiserai un corps de Femme. Cette nouvelle perspective restait dans ma tête tout le long de mon trajet au travail. Je vous appartiens, Maitresse Léa. Je vous obéis, Maitresse Léa et Miss Alyssa.
1 month ago