Vol de nuit ou l'art de s'envoyer en l&#

AprĂšs une semaine de vacances chez des amis, vacances agrĂ©ables mais pendant lesquelles je n’ai pas eu l’occasion de baiser une seule fois, je suis en manque malgrĂ© mes 65 ans j’ai toujours un grand appĂ©tit sexuel. Me voilĂ  Ă  l’aĂ©roport pour le retour en vol de nuit. En passant le portique de la douane il bipe, une nana en uniforme me fait signe, je m’approche elle passe le dĂ©tecteur puis se met Ă  me palper, c’est Ă  ce moment qu’elle aperçoit la bosse sous le cuir de ma jupe de cuir, elle me regarde gĂȘnĂ©e, je la laisse faire comme si je ne m’en Ă©tais pas aperçu, sa main frĂŽle mon sexe sans s’attarder mais ça m’a excitĂ©e. Une fois dans la salle d’embarquement je regarde si je ne trouve pas un mec Ă  draguer pour une pipe rapide dans les toilettes ais ce n’est pas mon jour, je suis pourtant vĂȘtue trĂšs sexy perchĂ©e sur mes hauts talons, vĂȘtue d’un chemisier blanc sous lequel je porte un soutien-gorge de dentelle rempli par de faux seins autocollants qui paraissent naturels, une jupe courte de cuir souple noir et bas noirs tenus par un porte-jarretelles. Mais les seuls mecs qui louchent sur moi sont avec leurs femmes.

ArrivĂ©e au control d’embarquement, le steward est un beau jeune blondinet, je lui tends ma carte d’identitĂ© avec mon plus beau sourire, il la scanne puis la regarde, se tourne vers moi Ă©tonnĂ©, je comprends voir Jean comme prĂ©nom pour un femme ça surprend. A son tour il me sourit, me rend la carte avec un clin-Ɠil en disant ;

-Je vois souhaite un bon vol belle dame.

-Pour qu’il soit bon il faudrait que je vole dans tes bras, lui dis-je tout bas en me collant le plus possible à lui.

Je suis de plus en plus excitĂ©e mais pas moyen de me soulager, ma place est sur les ailes cotĂ© couloir avec un couple ĂągĂ© Ă  cĂŽtĂ©, la malchance continue. Les derniers passagers sont installĂ©s quand je vois le beau steward entrer avec les deux hĂŽtesses. Il ferme la porte, s’engage dans le couloir, en arrivant Ă  ma hauteur il me sourit et dit ;

-Vous ĂȘtes un peu Ă  l’étroit, l’avion n’est pas plein si vous voulez il y a des places libres au fond.

-Je veux bien merci, dis-je en me levant aussitĂŽt.

Il prend ma mallette en m’invitant à le suivre, voir son petit cul devant moi m’excite un peu plus. Effectivement les deux derniers rangs sont vides.

-OĂč voulez-vous vous installer ?

-Tout au fond pour ĂȘtre tranquille.

-Vous avez raison, en plus vous serez plus prĂšs de moi. Ajoute-t-il avec un sourire.

-Si je pouvais je ne me décollerais pas de toi. Dis-je aguicheuse.

Je m’assois en relevant bien ma jupe laissant voir le haut de mes bas et le porte-jarretelles.

-Vous ĂȘtes une femme trĂšs sensuelle et qui n’a pas froid aux yeux. Me dit-il.

-Ne te moques pas de moi mĂ©chant, il y a des femmes beaucoup plus jeunes et belles que moi dans l’avion.

-Le problĂšme c’est que je suis gay et les femmes ne m’intĂ©ressent pas, rĂ©pond-t-il en riant. Attachez votre ceinture on va dĂ©coller continue-t-il en s’éloignant.

Pendant que l’on dĂ©colle je pense que ce n’est vraiment pas de bol, je trouve un beau mec et il n’aime pas les nanas, je m’enfonce dans mon fauteuil pour essayer de m’assoupir. Plus tard il ne reste que les veilleuses de sĂ©curitĂ© allumĂ©es, la plupart des gens dorment, moi je somnole quand je l’entends me dire ;

-Je peux vous offrir une coupe de champagne ?

-Bien sûr avec plaisir

J’ouvre les yeux il est lĂ  avec deux coupes, m’en tend une en s’asseyant Ă  cĂŽtĂ© de moi et trinque en disant ;

-A notre rencontre !

-Oui, une belle rencontre mais dommage que tu n’aimes pas les femmes.

-Les seules femmes qui m’attirent sont celles qui ont un gros morceau sous leur jupe, comme toi. Dit-il en riant et posant sa main sur la bosse de ma jupe.

J’en avale ma coupe d’un trait pendant que je sens ma queue durcir rapidement, il passe sa main sous ma jupe et trĂšs habilement sort ma bite dĂ©jĂ  raide de ma petite culotte, la fait apparaitre sous ma jupe en la caressant d’une main, il relĂšve l’accoudoir en se penchant, avant que j’aie rĂ©agi il est en train de me sucer. Quel dĂ©lice depuis le temps que je suis en manque je me rĂ©gale Ă  sentir ses lĂšvres courir sur mon sexe. Je me laisse faire un moment savourant ce doux plaisir puis ma main gauche part Ă  la recherche de sa braguette, la position est inconfortable mais j’arrive Ă  baisser le zip et glisser ma main Ă  l’intĂ©rieur de son pantalon, Ă  travers le tissu fin de son boxer je sens sa bite chaude et tendue, je la caresse doucement, mes doigts dĂ©couvrent ce sexe que je ne vois pas, il est assez long et fin avec un gland bien dessinĂ©, j’aimerais pouvoir le sortir de son slip pour le masturber mais bien qu’il essaye d’écarter ses jambes tant qu’il peut la position ne le permet pas, je dois me contenter de le caresser.

Ça se voit qu’il n’en ait pas Ă  sa premiĂšre pipe, il suce divinement bien, sa langue experte et ses lĂšvres douces qui s’activent sur ma queue me donnent un plaisir immense, j’aimerais que ça dure tout le voyage. Pour me retenir j’essaye de concentrer ma pensĂ©e sur la caresse de son sexe, ce qui le stimule encore plus, ses lĂšvres vont et viennent sur ma tige raide, il enfonce mes 18cms jusqu’à sa gorge puis remonte lentement pour jouer avec sa langue autour de mon gland, reprend sa respiration et plonge Ă  nouveau faisant coulisser ses chaudes et humides lĂšvres sur ma bite. AprĂšs une dizaine de minutes de cette dĂ©licieuse pipe je ne peux plus me retenir, je lui dis en chuchotant que je vais jouir, il ne retire pas sa bouche, bien au contraire il accĂ©lĂšre le rythme jusqu’à ce que j’explose au fond de sa gorge, le premier jet est tellement puissant que je crois que s'il s’était retirĂ© il aurait arrosĂ© les plafonniers. Il continue Ă  pomper avalant mon sperme Ă  chaque giclĂ©e jusqu’à la derniĂšre goutte. AprĂšs dix jours d’abstinence je lui en ai donnĂ© une bonne rasade. Il se relĂšve en souriant, il a du sperme Ă  la commissure de ses lĂšvres, je le lĂšche puis lui roule un patin enfonçant ma lague dans sa bouche encore pleine de sperme.

J’essaie de profiter qu’il s’est redressĂ© pour sortir sa queue de son pantalon mais il m’arrĂȘte en disant qu’il doit rejoindre son poste, ses collĂšgues peuvent l’appeler, il remet de l’ordre dans ses fringues et s’en va en me disant merci. Je suis soulagĂ©e et comblĂ©e par cette dĂ©licieuse pipe mais un peu déçue de n’avoir pas pu le sucer aussi, je ferme les yeux et essaie de m‘assoupir. Mais le sommeil ne vient pas, la pensĂ©e de son sexe raide m’obsĂšde. Je suis de nouveau toute excitĂ©e, ma petite culotte me gĂȘne, je la quitte et me caresse, je me branle et me doigte longuement, au bout d’une bonne heure je n’en peux plus, tout le monde dort, je me penche et regarde derriĂšre si je le vois mais il a fermĂ© le rideau. Je me lĂšve sans bruit, Ă©carte le rideau, il somnole sur son strapontin, je m’agenouille devant lui et entreprends d’ouvrir sa braguette, machinalement il Ă©carte ses jambes en se rĂ©veillant lentement, je caresse sa bite qui ne tarde pas Ă  durcir, il bouge sur son siĂšge pour m’aider Ă  baisser un peu son pantalon et son slip, je vois enfin cette belle queue maintenant bien raide dans ma main, elle est belle, fine et longue environ 19 ou 20cms j’approche mes lĂšvres et les fais courir sur sa hampe, ma langue lĂšche le frein de son prĂ©puce et s’enroule autour de son gland lisse et brulant, aprĂšs avoir jouĂ© un moment comme ça j’enfourne cette queue superbe dans ma bouche, quel rĂ©gal de sucer ce membre si doux, j’adore le sentir aller et venir entre mes lĂšvres et j’aimerais le faire jouir dans ma bouche mais j’ai trop envie de le sentir dans ma petite chatte anale qui est toute mouillĂ©e depuis que je me suis doigtĂ©e. Je me mets debout, relĂšve ma jupe et me positionne Ă  califourchon sur sa queue, je la guide entre mes fesses et presse son gland contre ma petite rosace qui s’ouvre aussitĂŽt pour accueillir cette bite bien Ă©rigĂ©e, je descends lentement savourant le plaisir de sa queue qui s’enfonce en moi jusqu’à la garde, une fois au fond je bouge mon bassin en mouvements circulaires dans un sens puis dans l’autre avant de remonter jusqu’à sentir son gland entre mes sphincters sans le laisser Ă©chapper puis je recommence Ă  descendre les reins cambrĂ©s pour un plaisir encore plus intense. A chaque va te viens je m’empale un peu plus vite et fort, il passe sa main entre son ventre et moi pour prendre ma bite et me masturber au rythme de la chevauchĂ©e.

-C’est bon et tellement excitant de penser que quelqu’un peut entrer à n’importe quel moment, Me susurre-t-il à l’oreille.

-Oui, tu t’imagines si une de tes collùgues entre et nous trouve comme ça... Ça m‘excite grave !

La cavalcade devient de plus en plus endiablĂ©e, mes fesses claquent sur ses testicules Ă  chaque pilonnement. J’adore sentir sa bite me labourer le cul, il prend son pied lui aussi.

-Tu es trop bonne ma coquine, tu baises divinement pour ton ñge et tu as un cul superbe, j’aime comme tu t’empales sur ma bite.

-C’est que ta bite me rend folle, je ne pouvais pas rĂȘver d’une queue aussi belle et dure pour m’enculer aprĂšs une longue abstinence, viens prend ton pied et vide tes couilles en moi.

Je chevauche maintenant sa bite Ă  une allure effrĂ©nĂ©e, Ă  son Ăąge son sexe est vigoureux et raide come un pieu, le sentir en moi m’excite toujours plus, je ne suis plus qu’un trou du cul profitant de cette jeune bite, les coups de boutoir me font mal et tellement de bien en mĂȘme temps.

-Vas-y, vas-y mon chĂ©ri.... oh oui donne-moi.... Continue j’en veux encore... ne t’arrĂȘtes pas c’est trop bon... Vas-y, viens... baise-moi fort, donne-moi ton sperme.... oh oui remplis-moi, c’est si bon.

Mon cƓur bat la chamade, quel pied il dĂ©charge copieusement dans mes entrailles, des jets puissants inondent mon cul, je ne sais pas Ă  quelle altitude vole l’avion mais je suis au septiĂšme ciel. Je reste un moment empalĂ©e sur sa queue, rassasiĂ©e et le ventre plein de sperme, peu Ă  peu je reprends mon souffle avant de me relever. Son sperme sortant de mon cul coule sur sa bite ramollie et sur ses couilles, je le lĂšche dĂ©licieusement en serrant les fesses pour ne pas inonder la moquette puis je vais rapidement aux toilettes pour me nettoyer, j’ai du sperme qui coule le long de mes bas.

Dans la prĂ©cipitation je n’ai pas fermĂ© la porte, il rentre en disant ; “J’ai envie que tu me baises aussi”, il quitte son pantalon et son slip et se penche sur le chiotte, son cul est superbe, sans un poil, des fesses rebondies et fermes avec une jolie rosace boursoufflĂ©e qui montre qu’il est habituĂ© Ă  se faire enculer, je caresse cette belle croupe, masse sa rondelle et y enfonce mon doigt, je le doigte un moment puis me penche pour lĂ©cher son joli trou du cul, ma langue se fraye un passage pour lĂ©cher l’intĂ©rieur en laissant beaucoup de salive. Je suis encore trĂšs excitĂ©e par sa masturbation pendant que je chevauchais sa queue, je bande toujours, j’approche mon gland contre sa rosace et d’un coup de rein j’enfonce ma queue toute entiĂšre. Il pousse un petit gĂ©missement en cambrant ses reins et se met Ă  bouger son bassin pour accompagner le mouvement de ma bite, en levrette la pĂ©nĂ©tration est facile et profonde, je le ramone un bon moment sortant parfois complĂštement ma bite pour voir son trou qui reste ouvert avant de la lui claver de nouveau jusqu’à la garde, son cul est dĂ©licieusement doux et trĂšs ferme, il me donne un plaisir extraordinaire. Je le lime longuement quand tout Ă  coup il me dit qu’il faut finir car il a entendu l’interphone de service. Je donne quelques derniers coups de rein et me soulage dans son cul.

On finit de se nettoyer, il remet son pantalon pendant que je réajuste ma jupe et mon chemisier, en sortant la premiÚre des toilettes je me trouve nez à nez avec une des hÎtesses.

-Tout va bien madame ? Me demande-t-elle.

-Encore mieux que ce que tu peux imaginer. Lui sis-je en retournant m’assoir avec un grand sourire.

En voyant son collĂšgue sortir des chiottes derriĂšre moi je l’entends lui dire Ă©tonnĂ©e :

-Toi avec une femme je n’y comprend plus rien ?

-Une femme qui est certainement mieux montée que ton mec. Répond-t-il en riant.

RassasiĂ©e et comblĂ©e je me cale dans mon fauteuil et m’endors jusqu’à la fin du trajet. En arrivant Ă  Madrid il m’invite Ă  l’accompagner chez lui pour faire un trio avec son jules, je dois dĂ©cliner l’invitation Ă  regret car j’ai une correspondance Ă  prendre pour rentrer chez moi. A la porte de l’avion l’hĂŽtesse ne peut s’empĂȘcher de regarder le renflement sur le devant de ma jupe et me salut en disant ;

-J’espĂšre que votre voyage a Ă©tĂ© agrĂ©able.

-Oui trĂšs agrĂ©able, dommage que tu ne te sois pas joint Ă  nous. Lui dis-je en souriant et lui lançant un clin d’Ɠil complice.
Published by sensual2011
2 months ago
Comments
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sensual2011
sensual2011 Publisher 12 days ago
to FrancoisDilf : et fiĂšre de l'ĂȘtre.
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FrancoisDilf 12 days ago
Quelle cochonne tu es !
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sensual2011
sensual2011 Publisher 1 month ago
to tane31 : Pourquoi pas.
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tane31
tane31 1 month ago
mmmmmmm ça me donne envie de prendre l'avion pour tomber sur une belle coquine comme toi.....
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sensual2011
sensual2011 Publisher 1 month ago
to algar56 : Contente que tu aimes, bonne chance pour vivre le mĂȘme vol.
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algar56 1 month ago
J'ai aimĂ© ce rĂ©cit j'aimerai vivre la mĂȘme chose  bisous 
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sensual2011
sensual2011 Publisher 2 months ago
to Paco1964 : Merci, ce serait avec plaisir.
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Paco1964 2 months ago
Tu nous emmenes avec toi au 7eme ciel !!!! J'adore !
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