UNE FIN TRES CHAUDE

Ceci se passe pour mémoire en juin 1965 ou je passe une convalescence idyllique aux bords du Titizee, superbe lac en pleine foret noire proche de Fribourg ou je suis sergent sur la base aérienne, cette mascarade fut l'oeuvre d'Ingrid secrétaire du colonel une maitresse dont je garde un souvenir très chaud, et Estelle ma rousse flamboyante épouse de mon colonel.

En ce vendredi dernier jour de ce repos si on peux appeler ça ainsi, vu qu'entre Ingrid qui passait les nuits avec moi, et la rousse qui débarquait toujours à l'improviste sous prétexte de vérifier ma température, vu que c'était plutôt ma bite qui vérifiait la chaleur de son fondement, là j'étais allongé sur un transat sur la terrasse de cette maison matant sans aucune gêne les ébats des allemands chez qui le naturisme était un mode de vie, ainsi que l'exhibition en ville et la baise en public semblaient être une règle de vie, là j'admirais un trio féminin de toute beauté ou différentes générations participaient.

Quand j'entendais la porte s'ouvrir et vu l'heure ce devait être Ingrid qui revenait de la base, alors qu'à l'accoutumée dès le pas de la porte envoyait valser ses chaussures ses vêtements pour s'emparer de mon chibre, là juste le bruit des chaussures juste posées au sol puis la brune en tenue militaire s'asseyait à mes cotés.
C: tu tire une tronche t'as avalé une queue en travers?
I: arrête j'ai pas envie de rire.
C: si tu fais la gueule j'appelle Estelle pour qu'elle me vide.
I: évidemment ta bite avant tout.
C: oh ma salope tu me les brise alors accouche vide ton sac.
I: écoute je crois que je suis enceinte j'ai beaucoup de retard et j'ai des nausées.
C: oui et alors suis pas le seul à te sauter tout le PC a droit à tes trous salope.
I: je sais que je suis la pute de la base mais t'es le seul avec qui j'ai baisé quand il fallait pas.
C: et alors tu connais des toubibs va les voir et fais toi enlever ça.
I: c'est facile salop de dire ça espérait une autre réponse mon chéri.
C: suffi avec ton numéro moi j'ai besoin d'un cul regarde dans quel état je suis.

Voyant mon indifférence et ma bite au garde à vous elle se leva pour enlever sa tenue militaire, ne gardant que son PJ et ses bas puis s'approcha du bord de la terrasse pour voir ce qui m'avait mis dans cet état, moi voir ce cul bombé et disponible me levait lui saisissait ses fesses les écartaient crachait sur sa rondelle palpitante et entrait comme chez moi, entrée ponctuée d'un AIE SALOP que j'ignorais avec mes mains lui prenait les seins pour les malaxer et j'entamais mes va et viens dans cette grotte anale toujours aussi chaude, comme toujours ma brune réagi en gloussant et en plein air elle couinait des oh oh oh oui oui oui pilonne ta pute salop oui oh oh ta pine me rempli bien oui continue bourre la pute comme ça plus vite accellère ah ah j'aime oui pince moi les nichons hum oui oui salop rempli moi vide toi oh oui oui trop bon argh JE JOUIS FUMIER, m'étant soulagé dans ces tripes je me dégageais et là face à nous le trio féminin nous filmait, Ingrid ne s'en rendant même pas compte entrepris son nettoyage de façon très chaude récupérant avec sa langue la moindre sécrétion.
C: hum t'es parfaite ma vide burnes regarde t'a des admiratrices.
I: tu déconnes. là elle se relevait pour voir le trio féminin la caméra au poing en train d'applaudir.
C: tu vas devenir une vedette putain mais qu'as tu prévu pour ce soir et le WE car lundi on sera aux cotés du colon.
I: je n'en ai parlé qu'à Estelle qui est d'accord évidemment elle doit me le confirmer car son chéri doit aller à Baden Baden.
C: c'est tout pensait que pour fêter mon retour t'aurais invité du monde.
I: j'avais pas le coeur à ça comprends le grand con.
C: oh suffi si tu continue avec ton cirque j'appelle la rousse et son chauffeur et la triplette qui nous a filmé.

Là elle s'éloigne pour téléphoner à Estelle en principe et peut être à Lulu la toubib, moi du coup je retourne sur la terrasse admirer le trio qui est reparti dans son spectacle vu qu'elles sont entourées d'hommes et femmes qui se branlent sur elles.
I: arrête de mater regarde dans quel état tu es bon Estelle va arriver avec Alain et son cocu et Will le mécano Lulu est chez sa poulette ne peux venir.
C: pas grave en quel honneur Will est de la partie car mes chéries vous aller morfler avec son engin.
I: tu le connais il parait que c'est le mécano de la base.
C: bien sur on a fait les classes ensemble c'est un martiniquais 2m et une trompe d'éléphant.
I: sans blague tu l'as vue raconte.
C: oui vu que les douches étaient communes ma belle c'était le seul qui bandait malgré le bromure qu'on nous donnait avec le café du matin.
I: oh j'imagine. la on entends la rousse qui arrive comme une bombe se foutant à poil pour me prendre dans ses bras, elle est suivie d'Alain et de Will qui font de même à la vue des 25cm du martiniquais Ingrid reste immobile comme pétrifiée par cette vue.
C: arrête ma coquine ton homme n'est pas venu?
E: si il est en bas et parle avec Sophie.
I: c'est qui Sophie et qu'est ce qu'elle fait dans le coin?
E: c'est la soeur du général M...., elle a 65ans elle est avec sa fille Aurélie 42 ans tu la connais elle est adjudant à la légion.
I: ah d'accord il m'a semblé la reconnaitre.
C: ah bon et tu l'as vue où?
I: ce sont les femmes qui nous filmaient et la petite brune c'est qui?
E: Margot la fille d'Aurélie 22ans est à la fac en quatrième année de médecine.

Cette discussion est interrompue par l'arrivée du colonel suivi du trio féminin à poil évidemment, leurs habits fourrés dans un sac de sport, le colonel en short une première pour moi s'approche "alors tu as fait le show" "mon colonel un moment d'égarement" "égarement mon cul là ne suis plus colonel c'est Dan" et sur ces mots vire le short et la chemisette, puis "allons sur la terrasse Ingrid sert nous à boire j'ai apporté des bouteilles dans la glacière".

On s'intalle sur la terrasse sur un canapé moi j'ai les yeux fixés sur ces nouvelles têtes façon de parler, vu que c'est autre chose qui attire mon regard d'ailleurs suis pas le seul vu les érections naissantes, Sophie expose fièrement ces 65ans elle a une poitrine encore très attirante un bon 100 aux tétons appétissant, son bas ventre arbore une toison grisonnante luxuriante ce la doit être une particularité de la famille, vu qu'Aurélie par contre est une fausse blonde vu la foret noire qui couvre ses intimités elle a une jolie paire de seins du 90 comme Ingrid, quand à Margot du haut de ses 22ans expose une paire d'obus a faire tomber par terre du 110 aux aréoles larges et brunes, dès que les boissons sont servies l'ambiance comme par hasard se détends nos sexes deviennent la propriété de bouches toutes plus chaudes que la précédente, là c'est la doyenne qui déclenche le bordel vu qu'elle se lève s'approche de Dan "viens montre moi si tu me baise toujours aussi bien" et ça y est s'est parti Will est accaparé par Margot, Alain s'accouple avec Ingrid, moi me retrouve avec la rousse et Aurélie, ces couples ou trio changeant sans cesse sur la terrasse ce fut bientôt une cacophonie vu les oui oui oui oh oh oh vas y fourre moi ta pine dans le cul ah oui pilonne moi connard comme ça chéri ramone la vieille salop oui oui comme ça trop bon continue plus vite ponctués de t'aime ma pine putain amène ton fion qu'on te fourre en double non non pas ça tros gros salops ta gueule salope tu vas aimer nos chibres ah ah putain oh oh oui trop bon pour terminer par un ARGH de jouissance phénoménale.

Ceci dura jusqu'au dimanche soir chacun étant vidés rincé mais heureux, chacunes remplies dans tous les orifices et heureuses de leurs orgasmes somptueux, du coup je rentrais chez Ingrid pour terminer ma nuit pour une dernière baise, au petit matin après sa pipe matinale elle me ramena à la base pour reprendre mon service.

Efectivement vu ma tête et mes yeux cernés j'eu droit à mon lot de plaisanteries, Ingrid dès son retour à son poste m'embrassa goulument me murmurant "ce soir on sort" "encore oh vais pas tenir le choc ou vas t'on" "t'emmène au campus" "c'est une nouvelle boite" "mais non c'est pour la remise du diplome de Margot", le colonel arrivait comme toujours souriant me faisant venir dans son bureau "sergent vous me semblez fatigué" "non mon colonel suis en forme" "non vous envoie en mission" "pour combien de temps mon colonel" "le grand air va te faire du bien et tu sera de retour à temps", évidemment qu'il était au courant de la soirée vu qu'il serait surement là.

J'informais ma brune que j'allais en mission "oui ça va te faire du bien mon grand profite du bon air", et là je dois avouer que cette mission fut une découverte vu que j'eu droit à mon baptème de l'air en hélico (une alouette) avec un pilote génial que je revi beaucoup plus tard lors de ma vie professionnelle

La soirée au campus j'en parlerais ultérieurement.

FIN
Published by ccandau
2 months ago
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ccandau
ccandau Publisher 2 months ago
to kanzas2 : oui ce fut une très bonne période
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kanzas2
kanzas2 2 months ago
Wouaw quel ambiance coquine et sexuelle bravo !!!!
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