Un Nouvel An
Nous arrivons un peu plus tôt que le reste des invités comme chaque année. Ma meilleure amie organise depuis une petite décennie maintenant une grande soirée pour le réveillon du nouvel an. Elle peut se le permettre. Sa maison de campagne dans les Yvelines est immense ainsi que le jardin attenant. Nous montons dans notre chambre pour poser nos affaires. C’est l’avantage d’être sa meilleure amie. Nous avons notre chambre à disposition et donc pas besoin de reprendre la route au petit matin, souvent l’esprit embrumé par l’alcool. On a apprécié sincèrement le geste dès le début. C’est une chance. Je prends une douche rapide dans la salle de bains de notre chambre. Après m’être enduit le corps de crème, je me prépare pour le réveillon. Mon mari n’en perd pas une miette. J’enfile en premier mes dim-up noir, la jarretière est large et travaillée finement. J’ai pris une taille en dessous, le résultat, c’est que les bas m’arrivent mi-cuisse mais ce n’est pas un problème car, ce soir, je porterai une robe longue. Mon mari me demandent de mettre mes talons tout de suite, avant de revêtir mes sous-vêtements. Je refuse en lui expliquant que si je fais ça, je vais finir penchant en avant sur le lit et lui derrière moi. Il rigole et me réponds « Pas faux ». Je prends mon string et le remonte le long de mes jambes. Avec une robe noire, c’est toujours plus pertinent. J’explique ça à ceux qui me connaissent et savent que je suis une adepte du sans-culotte d’habitude. Quand mon mari me voit prendre mon soutien-gorge, il s’insurge et me supplie de ne pas en mettre ce soir. Pour une fois. Je lui rétorque que je veux bien essayer exceptionnellement , même si j’ai un doute avec cette robe. Il faudra pas que je danse n’importe comment sinon je risque de me retrouver la poitrine à l’air. Donc j’enfile par la tête ma robe de soirée. Sans soutien-gorge, le décolleté est moins impressionnant mais c’est plus sensuel, on devine parfaitement que je porte rien en dessous. Je chausse enfin mes talons et me voila prête. Nous descendons. En bas, on salue quelques amis et croisons des connaissances qu’on retrouve d’une année sur l’autre ici. La soirée commence doucement. J’aperçois mon filleul (le fils de mon amie) en train d’apporter des bouteilles de champagne dans un immense seau.
Tout le monde est arrivé et la fête bat son plein. Pour ma part, j’ai la tête qui tourne trop. Je me suis faite surprendre par la sangria. Ma copine m’a proposé de la goûter et j’avoue qu’elle était délicieuse. Trop. Et traitresse. Trop. Je regarde les autres danser depuis un moment. Je cherche mon mari du regard et l’aperçois en train de bavarder dehors avec un autre mec. Je vais le rejoindre tant bien que mal et lui souffle à l’oreille que je vais monter me poser quelques instants avant minuit. Il me propose de m’accompagner et je refuse lui disant de rester là à discuter.
Je grimpe tant bien que mal les escaliers et pousse la porte de ma chambre. Enfin un peu de calme. Les murs tournent autour de moi ; vraiment fourbe cette sangria. J’ai un petit haut-le-coeur. Je me précipite au dessus du lavabo dans la salle de bain. Fausse alerte, je regarde ma tête dans le miroir. Je fais peine à voir. J’éteins la lumière, celle de la chambre suffit. Je reste au dessus du lavabo en cas de nouvelle alerte. Ça va bien finir par passer. Mon estomac a l’air de commencer à me laisser tranquille. Je fais couler un peu d’eau pour me rafraîchir le visage. J’entends quelqu’un entrouvrir la porte de la chambre.
Marraine, c’est toi?
Oui, je me rafraîchis, rien de grave
J’ai parlé dans le vide car il vient de débouler dans la salle de bain en me demandant si ça va. Je m’apprête à répondre quand j’ai un nouveau haut-le coeur me saisit et me penche sur le lavabo. Je sens qu’on me retient les cheveux pour les tirer en arrière.
Merci mon filleul
C’est normal Marraine
On reste quelques instants comme ça sans bouger. Moi penchée en avant et lui me tenant les cheveux en arrière d’une main. Soudain je sens son autre main frôler mon mamelon par dessus ma robe. j’ouvre les yeux et regarde le miroir. En premier je vois qu’en me penchant comme ça, un de mes seins s’est fait à moitié la malle de la robe. On voit l’aréole en partie. Je vois aussi un doigt de mon filleul en train de titiller mon téton qui darde sous ma robe, il est encore caché mais ça ne tient à rien pour que mon sein sorte complètement. Son regard est obnubilé par le globe de mon sein. Je me dit qu’il a pas froid aux yeux pour son âge, il doit être soûl aussi pour faire ça comme si de rien n’était. Je vais lui dire d’arrêter mais j’ai une remontée acide dans la gorge qui coupe court à toute velléité de ma part. Plus jamais de la vie, je boirais de sangria. J’essaie de bouger un peu pour l’écarter mais mon mouvement accroche la bretelle de ma robe à sa main et elle glisse de mon épaule découvrant mon sein définitivement. Mon filleul ne se fait pas prier et me pince doucement le téton.
Arrête ça… s’il te plaît
Il pointe trop et il est tout dur
C’est pas… le problème… tu n’as que… 15 ans et tu es mon… filleul.
Les mots ne sont pas sortis aussi fluidement que je l’aurais voulu et perdent de leur autorité. Le temps que je prononce cette phrase, il est face à moi. Il a relâché la pression sur mon titou mais Je devine dans ses yeux qu’il va faire n’importe quoi.
Tu as trop… bu mon filleul
J’ai pas fini ma phrase qu’il a fait tomber l’autre bretelle libérant toute ma poitrine. Il en reste béat mais se ressaisit très vite. Je comprends qu’il veut attraper mes deux seins en même temps.
Non… ne fais pas ça… c’est pas bien.
Tu comprends pas Marraine? je rêve de toi depuis mes 10 ans. Tu me fais bander.
C’est l’âge qui veut ça, crois-moi et…
Il me suce un sein maintenant. De surprise, je m’agrippe à ses épaules. Je sens ses mains se balader dans mon dos délicatement, elles montent et descendant, à chaque fois un peu plus bas. Il tête mon mamelon comme un affamé, il se débrouille bien mais je dois réagir même si les vapeurs de sangria me tournent toujours et encore la tête. Je le repousse avec parcimonie pour ne pas le braquer. Il en profite juste pour changer de seins et recommence, une de ses mains a senti mon string sous la robe, elle descend encore m’empoigne une fesse fermement. J’ai à nouveau envie de vomir, je me retourne brusquement et me penche sur le lavabo, j’émets des borborygmes pas très glamour mais je ne vomis toujours pas. Je reste comme ça, vraiment patraque, un goût désagréable dans la bouche. Pantois, mon filleul me regarde un peu, les seins nues pendant au dessus du lavabo. Il ne reste pas inactif longtemps et je sens à nouveau ses mains me caresser les fesses.
Ça doit vite le lasser car il commence à remonter ma robe et découvre mes bas. Là il la relève d’un coup jusqu’en haut la faisant basculer par dessus ma taille. Je le vois prendre un peu de recul pour mieux admirer la scène devant lui. J’ai trop mal à la tête pour réagir, il faudrait que je fasse diversion. Lui, il me scrute en talons aiguilles, dim-up mi-cuisses et mes fesses qui ont mangé la ficelle du string sans doute. Le voilà qui m’embrasse les fesses, je trouve ça presque mignon mais c’est de courte durée, je le sens qui essaie de baisser mon string. Il galère car j’ai les jambes trop écartées. Il se baisse à nouveau, pour voir mieux peut-être, je sais pas. C’est bizarre. Puis avec ses mains, il insiste pour me rapprocher les jambes. Entre la sangria et les talons aiguilles, je suis à deux doigts de me péter la gueule. Mon string glisse finalement au sol et mon filleul suit le chemin inverse en se relevant. La robe recouvre à nouveau mon corps quand je me suis redressée un peu. Il essaie de la remonter mais en vain. Il a l’air déçu mais ça ne l’empêche pas de glisser une main en dessous et de caresser l’intérieur de ma cuisse jusqu’à mon entrejambe. Il tâtonne un peu, maladroit puis je sens ses doigts sur ma fente. il s’arrête un peu surpris. En fait je mouille comme une folle et il devient pas s’attendre à ça. Enfin je suppose. Il explore un peu, cherchant à écarter mes grandes lèvres pour trouver l’entrée de ma vulve.
Oh Putain…
Il vient de me planter d’un coup deux doigts dans la chatte. Il m’a fait un peu mal ce petit con. Il relève ma robe de l’autre main et il commence à me branler la chatte avec l’a première. Je le vois dans le miroir se pencher un peu pour mieux observer ses doigts rentrer et sortir de ma fente. Ça doit pas lui convenir car il me fait reculer un peu en risquant toujours de me faire tomber. Là il m’appuie sur le dos pour me faire comprendre qu’il veut que je me penche plus. Moi, je voudrais juste un doliprane et m’allonger un peu sur le lit pour me reposer. Au lieu de ça, je me retrouve bien pencher en avant en appui sur le lavabo et les fesses en arrière. il me fourre à nouveau ses deux doigts dans le vagin et là il a l’air satisfait de la vue. Sans qu’il le fasse exprès, les mouvements de ses doigts ont le bon angle et viennent chatouiller mon point G. Sans qu’il comprenne vraiment, je commence à gémir plus fort et lubrifie encore plus. J’entends le clapotis de ma mouille provoqué par l’agitation de ses doigts. Même avec mon mal de tête, ce petit con va finir par me faire jouir avec son majeur et son index. Il est au bon endroit et il a trouvé la bonne cadence. Je me cabre juste un peu plus. Voilà. Parfait. Il ne se rend même pas compte de ce qu’il produit en moi.
Oh oui, comme ça…
Ses doigts marquent un temps d’arrêt, il se demande si il a bien entendu.
T’arrête pas, continue comme ça.
Il reprend de plus belle son pilonnage manuel. J’ondule un peu du bassin pour l’aider et le motiver. Je sens une boule d’énergie grandir au niveau de mon pubis, elle prend de plus en plus de place. J’en peux plus, je veux qu’elle explose maintenant, je me cambre encore plus pour sentir ses doigts racler la paroi antérieure de ma chatte. Oui, ça vient, je vais jouir.
Je retiens une éternité ma respiration puis je lâche un cri de plaisir interminable quand l’orgasme électrise tout mon bas-ventre. les spasmes successifs aspirent ses doigts en moi en contractant ma vulve sur eux. Je les inonde à chaque secousse de mon intimité. Il n’ose plus bouger. Je me décale un peu pour ressortir ses doigts visqueux de mon vagin. J’essaie tant bien que mal que recouvrer un minimum de dignité en réajustant ma robe. Pour le string, j’oublie. C’est vraiment un coup à me casser la figure en essayant de le remettre. Je regarde enfin mon filleul. Il a une énorme tâche humide au niveau de son pubis. On ne peut pas la louper.
- Tu devrais aller te changer, finis-je par lâcher. Et lave toi les mains, celle-là est toute gluante.
Merci Marraine.
File. Je voudrais vraiment me reposer un peu. Et pas un mot à ta mère. Ni à personne d’autre d’ailleurs.
Tout le monde est arrivé et la fête bat son plein. Pour ma part, j’ai la tête qui tourne trop. Je me suis faite surprendre par la sangria. Ma copine m’a proposé de la goûter et j’avoue qu’elle était délicieuse. Trop. Et traitresse. Trop. Je regarde les autres danser depuis un moment. Je cherche mon mari du regard et l’aperçois en train de bavarder dehors avec un autre mec. Je vais le rejoindre tant bien que mal et lui souffle à l’oreille que je vais monter me poser quelques instants avant minuit. Il me propose de m’accompagner et je refuse lui disant de rester là à discuter.
Je grimpe tant bien que mal les escaliers et pousse la porte de ma chambre. Enfin un peu de calme. Les murs tournent autour de moi ; vraiment fourbe cette sangria. J’ai un petit haut-le-coeur. Je me précipite au dessus du lavabo dans la salle de bain. Fausse alerte, je regarde ma tête dans le miroir. Je fais peine à voir. J’éteins la lumière, celle de la chambre suffit. Je reste au dessus du lavabo en cas de nouvelle alerte. Ça va bien finir par passer. Mon estomac a l’air de commencer à me laisser tranquille. Je fais couler un peu d’eau pour me rafraîchir le visage. J’entends quelqu’un entrouvrir la porte de la chambre.
Marraine, c’est toi?
Oui, je me rafraîchis, rien de grave
J’ai parlé dans le vide car il vient de débouler dans la salle de bain en me demandant si ça va. Je m’apprête à répondre quand j’ai un nouveau haut-le coeur me saisit et me penche sur le lavabo. Je sens qu’on me retient les cheveux pour les tirer en arrière.
Merci mon filleul
C’est normal Marraine
On reste quelques instants comme ça sans bouger. Moi penchée en avant et lui me tenant les cheveux en arrière d’une main. Soudain je sens son autre main frôler mon mamelon par dessus ma robe. j’ouvre les yeux et regarde le miroir. En premier je vois qu’en me penchant comme ça, un de mes seins s’est fait à moitié la malle de la robe. On voit l’aréole en partie. Je vois aussi un doigt de mon filleul en train de titiller mon téton qui darde sous ma robe, il est encore caché mais ça ne tient à rien pour que mon sein sorte complètement. Son regard est obnubilé par le globe de mon sein. Je me dit qu’il a pas froid aux yeux pour son âge, il doit être soûl aussi pour faire ça comme si de rien n’était. Je vais lui dire d’arrêter mais j’ai une remontée acide dans la gorge qui coupe court à toute velléité de ma part. Plus jamais de la vie, je boirais de sangria. J’essaie de bouger un peu pour l’écarter mais mon mouvement accroche la bretelle de ma robe à sa main et elle glisse de mon épaule découvrant mon sein définitivement. Mon filleul ne se fait pas prier et me pince doucement le téton.
Arrête ça… s’il te plaît
Il pointe trop et il est tout dur
C’est pas… le problème… tu n’as que… 15 ans et tu es mon… filleul.
Les mots ne sont pas sortis aussi fluidement que je l’aurais voulu et perdent de leur autorité. Le temps que je prononce cette phrase, il est face à moi. Il a relâché la pression sur mon titou mais Je devine dans ses yeux qu’il va faire n’importe quoi.
Tu as trop… bu mon filleul
J’ai pas fini ma phrase qu’il a fait tomber l’autre bretelle libérant toute ma poitrine. Il en reste béat mais se ressaisit très vite. Je comprends qu’il veut attraper mes deux seins en même temps.
Non… ne fais pas ça… c’est pas bien.
Tu comprends pas Marraine? je rêve de toi depuis mes 10 ans. Tu me fais bander.
C’est l’âge qui veut ça, crois-moi et…
Il me suce un sein maintenant. De surprise, je m’agrippe à ses épaules. Je sens ses mains se balader dans mon dos délicatement, elles montent et descendant, à chaque fois un peu plus bas. Il tête mon mamelon comme un affamé, il se débrouille bien mais je dois réagir même si les vapeurs de sangria me tournent toujours et encore la tête. Je le repousse avec parcimonie pour ne pas le braquer. Il en profite juste pour changer de seins et recommence, une de ses mains a senti mon string sous la robe, elle descend encore m’empoigne une fesse fermement. J’ai à nouveau envie de vomir, je me retourne brusquement et me penche sur le lavabo, j’émets des borborygmes pas très glamour mais je ne vomis toujours pas. Je reste comme ça, vraiment patraque, un goût désagréable dans la bouche. Pantois, mon filleul me regarde un peu, les seins nues pendant au dessus du lavabo. Il ne reste pas inactif longtemps et je sens à nouveau ses mains me caresser les fesses.
Ça doit vite le lasser car il commence à remonter ma robe et découvre mes bas. Là il la relève d’un coup jusqu’en haut la faisant basculer par dessus ma taille. Je le vois prendre un peu de recul pour mieux admirer la scène devant lui. J’ai trop mal à la tête pour réagir, il faudrait que je fasse diversion. Lui, il me scrute en talons aiguilles, dim-up mi-cuisses et mes fesses qui ont mangé la ficelle du string sans doute. Le voilà qui m’embrasse les fesses, je trouve ça presque mignon mais c’est de courte durée, je le sens qui essaie de baisser mon string. Il galère car j’ai les jambes trop écartées. Il se baisse à nouveau, pour voir mieux peut-être, je sais pas. C’est bizarre. Puis avec ses mains, il insiste pour me rapprocher les jambes. Entre la sangria et les talons aiguilles, je suis à deux doigts de me péter la gueule. Mon string glisse finalement au sol et mon filleul suit le chemin inverse en se relevant. La robe recouvre à nouveau mon corps quand je me suis redressée un peu. Il essaie de la remonter mais en vain. Il a l’air déçu mais ça ne l’empêche pas de glisser une main en dessous et de caresser l’intérieur de ma cuisse jusqu’à mon entrejambe. Il tâtonne un peu, maladroit puis je sens ses doigts sur ma fente. il s’arrête un peu surpris. En fait je mouille comme une folle et il devient pas s’attendre à ça. Enfin je suppose. Il explore un peu, cherchant à écarter mes grandes lèvres pour trouver l’entrée de ma vulve.
Oh Putain…
Il vient de me planter d’un coup deux doigts dans la chatte. Il m’a fait un peu mal ce petit con. Il relève ma robe de l’autre main et il commence à me branler la chatte avec l’a première. Je le vois dans le miroir se pencher un peu pour mieux observer ses doigts rentrer et sortir de ma fente. Ça doit pas lui convenir car il me fait reculer un peu en risquant toujours de me faire tomber. Là il m’appuie sur le dos pour me faire comprendre qu’il veut que je me penche plus. Moi, je voudrais juste un doliprane et m’allonger un peu sur le lit pour me reposer. Au lieu de ça, je me retrouve bien pencher en avant en appui sur le lavabo et les fesses en arrière. il me fourre à nouveau ses deux doigts dans le vagin et là il a l’air satisfait de la vue. Sans qu’il le fasse exprès, les mouvements de ses doigts ont le bon angle et viennent chatouiller mon point G. Sans qu’il comprenne vraiment, je commence à gémir plus fort et lubrifie encore plus. J’entends le clapotis de ma mouille provoqué par l’agitation de ses doigts. Même avec mon mal de tête, ce petit con va finir par me faire jouir avec son majeur et son index. Il est au bon endroit et il a trouvé la bonne cadence. Je me cabre juste un peu plus. Voilà. Parfait. Il ne se rend même pas compte de ce qu’il produit en moi.
Oh oui, comme ça…
Ses doigts marquent un temps d’arrêt, il se demande si il a bien entendu.
T’arrête pas, continue comme ça.
Il reprend de plus belle son pilonnage manuel. J’ondule un peu du bassin pour l’aider et le motiver. Je sens une boule d’énergie grandir au niveau de mon pubis, elle prend de plus en plus de place. J’en peux plus, je veux qu’elle explose maintenant, je me cambre encore plus pour sentir ses doigts racler la paroi antérieure de ma chatte. Oui, ça vient, je vais jouir.
Je retiens une éternité ma respiration puis je lâche un cri de plaisir interminable quand l’orgasme électrise tout mon bas-ventre. les spasmes successifs aspirent ses doigts en moi en contractant ma vulve sur eux. Je les inonde à chaque secousse de mon intimité. Il n’ose plus bouger. Je me décale un peu pour ressortir ses doigts visqueux de mon vagin. J’essaie tant bien que mal que recouvrer un minimum de dignité en réajustant ma robe. Pour le string, j’oublie. C’est vraiment un coup à me casser la figure en essayant de le remettre. Je regarde enfin mon filleul. Il a une énorme tâche humide au niveau de son pubis. On ne peut pas la louper.
- Tu devrais aller te changer, finis-je par lâcher. Et lave toi les mains, celle-là est toute gluante.
Merci Marraine.
File. Je voudrais vraiment me reposer un peu. Et pas un mot à ta mère. Ni à personne d’autre d’ailleurs.
3 months ago