A l'origine
J'ai Ă©crit ce billet il y a environ 6 ou 7 ans pour expliquer d'oĂč venait cette pulsion de m'exhiber.
A la demande de certains je le réédite.
En tant que femme, jâai une particularitĂ© qui plait aux hommes :Jâaime quâun homme puisse apercevoir ou voir ce que je porte sous mes jupes. Cela ne reflĂšte pas l'Ă©ducation que j'ai reçue comme la plupart des femmes, et qui nous incite depuis que nous sommes petites filles Ă ne pas montrer notre culotte aux garçons. Je ne crois pas faire lâunanimitĂ© auprĂšs de la gent fĂ©minine mais je suis comme ça. Je ne sais pas vraiment expliquer pourquoi j'Ă©prouve maintenant, en tant qu'adulte ce plaisir.
Ce que je sais, par contre, câest comment est venu cette pulsion.
Câest lâobjet de ce billet.
JâĂ©tais jeune diplĂŽmĂ©e et pas encore aguerrie aux affres du marketing. Lorsque je suis arrivĂ©e dans mon deuxiĂšme job, , une collĂšgue expĂ©rimentĂ©e mâavait suggĂ©rĂ© de toujours mâhabiller BCBG afin de toujours bien prĂ©senter. Je venais donc travailler presque tous les jours en jupe ou en robe.
Je ne sais pas si mon physique attirait les hommes mais jâessayais de toujours me mettre en valeur.
Au bout de quelques semaines, je remarquais quâun de mes collĂšgues quittait trĂšs souvent le bureau en mĂȘme temps que moi. Cela ne mâa pas interpelĂ©e mais au fil du temps il sâest mis Ă discuter avec moi lorsque nous nous dirigions vers le parking oĂč Ă©taient stationnĂ©es nos voitures respectives. Je le trouvais trĂšs sympathique mais peu sĂ©duisant aux yeux dâune femme de 27 ans. De plus, jâĂ©tais dĂ©jĂ mariĂ©e et ne souhaitais donc pas aller plus loin. Nous avons donc sympathisĂ© et nous nous retrouvions souvent Ă discuter boulot devant ma voiture. Au bout de quelques temps, jâai remarquĂ© quâil me laissait monter dans ma voiture et il partait aprĂšs. Cela ne mâa intriguĂ©e que lorsque câest devenu rĂ©pĂ©titif et en en parlant Ă une amie, celle-ci mâa rĂ©vĂ©lĂ©e la vĂ©ritable motivation de ce collĂšgue : « ben il regarde ta culotte quand tu montes dans ta voiture, ma chĂ©rie ! plein dâhommes font ça⊠» Ce fut un choc. Mince, ce type mate mes dessous sans que je ne mâaperçoive de rien ! Jâai Ă©tĂ© vexĂ©e au dĂ©but. Comme pour toute femme, les dessous touchent Ă notre intimitĂ©. Cet homme est entrĂ© dans mon intimitĂ©, quelle honte. Il est vrai que monter ou descendre de voiture en jupe serrĂ©e ou en robe courte nous expose forcĂ©ment Ă ce genre de regard. Bref.
Pendant quelques temps, jâai fait en sorte que nous ne sortions plus en mĂȘme temps et je suis venue plus souvent en pantalon. Jâai bien vu quâil avait changĂ© dâattitude, plus distant avec moi, sans doute frustrĂ© ou penaud dâavoir Ă©tĂ© dĂ©masquĂ©. Puis, au bout dâun moment, cette idĂ©e me trottait dans la tĂȘte. « Mais Clara, tu as un certain pouvoir sur cet homme. Tu ne lui montres que ce que tu veux bien lui montrer ». Câest tout dâabord dans ce sens que jâai recommencĂ© Ă venir en jupe et Ă quitter le boulot en mĂȘme temps que lui. Un pouvoir sur lui dont je retirais une grande fiertĂ©. Nous nous sommes pris au jeu, lui Ă mater, moi Ă mâexhiber. Puis le plaisir Ă changer dâair. De pouvoir il est passĂ© Ă plaisir. Le plaisir dâĂȘtre vue, dâabord, puis celui dâattiser le regard dâun homme, de plaire. Puis, lâexcitation est venue, profonde, chaude. Celle qui fait rougir les joues, qui fait monter le rythme cardiaque et qui provoque des picotements vaginaux. Nous avons donc continuĂ© pendant quelques mois sans sombrer dans la vulgaritĂ© et avec cette complicitĂ© non verbalisĂ©e de ne pas Ă©voquer cette relation si particuliĂšre.
Jâai quittĂ© la boite un an plus tard et nous nous sommes juste dit « au revoir ». Je nâai jamais revu ce collĂšgue, mais il mâavait « ensorcelĂ©e » par ce fantasme. Jâai continuĂ© mon petit jeu, avec des inconnus, cette fois. En voiture, au dĂ©part, mais câĂ©tait compliquĂ© et fastidieux Ă mettre en Ćuvre pour ce qui est du timing. Je me suis vite aperçue que les hommes qui pratiquaient ce genre « dâupskirt » maitrisaient parfaitement le timing lorsquâils mâavaient repĂ©rĂ©e. Jâai donc laissĂ© faire et je continue Ă me faire rĂ©guliĂšrement « piĂ©ger » pour mon plus grand plaisir.
Puis jâai commencĂ© Ă pratiquer dans les magasins en mâaccroupissant ou en me penchant afin de provoquer ou dâattirer un regard furtif. Je me suis vite rendue compte quâils y avaient beaucoup dâhommes voyeurs. Jâai pris beaucoup de plaisir Ă mâexhiber, mĂȘme durant ma pĂ©riode de jeune maman. La poussette est un outil gĂ©nial pour passer du temps accroupie sans que ça ne paraisse fortuit.
En vieillissant cette activitĂ© sâest un peu estompĂ©e. Ma position sociale aussi y est sans doute pour quelque chose. La crainte quâon se rende compte que je le fais exprĂšs. MalgrĂ© cela je suis toujours restĂ©e trĂšs fĂ©minine et attentive aux regards que les hommes portent sur moi. Jâai donc limitĂ© ce genre de dĂ©marche jusquâĂ ce que je dĂ©couvre xhamster et les vidĂ©os dâupskirt volĂ©es (qui nâexistent plus maintenant). Jâai Ă©tĂ© rapidement attirĂ©e par ces vidĂ©os de femmes qui, en sâhabillant le matin, ne se doutent pas une seconde que leur culotte et leurs dessous vont ĂȘtre regardĂ©es par des centaines dâhommes. Et je me suis prise Ă fantasmer quâun homme filme un jour sous mes jupes sans que je ne mâen rende compte et que je dĂ©couvre ensuite la vidĂ©o sur le site !
Quand je dis dans mes messages persos que je ne suis pas tout Ă fait normale, vous savez maintenant pourquoi.
A la demande de certains je le réédite.
En tant que femme, jâai une particularitĂ© qui plait aux hommes :Jâaime quâun homme puisse apercevoir ou voir ce que je porte sous mes jupes. Cela ne reflĂšte pas l'Ă©ducation que j'ai reçue comme la plupart des femmes, et qui nous incite depuis que nous sommes petites filles Ă ne pas montrer notre culotte aux garçons. Je ne crois pas faire lâunanimitĂ© auprĂšs de la gent fĂ©minine mais je suis comme ça. Je ne sais pas vraiment expliquer pourquoi j'Ă©prouve maintenant, en tant qu'adulte ce plaisir.
Ce que je sais, par contre, câest comment est venu cette pulsion.
Câest lâobjet de ce billet.
JâĂ©tais jeune diplĂŽmĂ©e et pas encore aguerrie aux affres du marketing. Lorsque je suis arrivĂ©e dans mon deuxiĂšme job, , une collĂšgue expĂ©rimentĂ©e mâavait suggĂ©rĂ© de toujours mâhabiller BCBG afin de toujours bien prĂ©senter. Je venais donc travailler presque tous les jours en jupe ou en robe.
Je ne sais pas si mon physique attirait les hommes mais jâessayais de toujours me mettre en valeur.
Au bout de quelques semaines, je remarquais quâun de mes collĂšgues quittait trĂšs souvent le bureau en mĂȘme temps que moi. Cela ne mâa pas interpelĂ©e mais au fil du temps il sâest mis Ă discuter avec moi lorsque nous nous dirigions vers le parking oĂč Ă©taient stationnĂ©es nos voitures respectives. Je le trouvais trĂšs sympathique mais peu sĂ©duisant aux yeux dâune femme de 27 ans. De plus, jâĂ©tais dĂ©jĂ mariĂ©e et ne souhaitais donc pas aller plus loin. Nous avons donc sympathisĂ© et nous nous retrouvions souvent Ă discuter boulot devant ma voiture. Au bout de quelques temps, jâai remarquĂ© quâil me laissait monter dans ma voiture et il partait aprĂšs. Cela ne mâa intriguĂ©e que lorsque câest devenu rĂ©pĂ©titif et en en parlant Ă une amie, celle-ci mâa rĂ©vĂ©lĂ©e la vĂ©ritable motivation de ce collĂšgue : « ben il regarde ta culotte quand tu montes dans ta voiture, ma chĂ©rie ! plein dâhommes font ça⊠» Ce fut un choc. Mince, ce type mate mes dessous sans que je ne mâaperçoive de rien ! Jâai Ă©tĂ© vexĂ©e au dĂ©but. Comme pour toute femme, les dessous touchent Ă notre intimitĂ©. Cet homme est entrĂ© dans mon intimitĂ©, quelle honte. Il est vrai que monter ou descendre de voiture en jupe serrĂ©e ou en robe courte nous expose forcĂ©ment Ă ce genre de regard. Bref.
Pendant quelques temps, jâai fait en sorte que nous ne sortions plus en mĂȘme temps et je suis venue plus souvent en pantalon. Jâai bien vu quâil avait changĂ© dâattitude, plus distant avec moi, sans doute frustrĂ© ou penaud dâavoir Ă©tĂ© dĂ©masquĂ©. Puis, au bout dâun moment, cette idĂ©e me trottait dans la tĂȘte. « Mais Clara, tu as un certain pouvoir sur cet homme. Tu ne lui montres que ce que tu veux bien lui montrer ». Câest tout dâabord dans ce sens que jâai recommencĂ© Ă venir en jupe et Ă quitter le boulot en mĂȘme temps que lui. Un pouvoir sur lui dont je retirais une grande fiertĂ©. Nous nous sommes pris au jeu, lui Ă mater, moi Ă mâexhiber. Puis le plaisir Ă changer dâair. De pouvoir il est passĂ© Ă plaisir. Le plaisir dâĂȘtre vue, dâabord, puis celui dâattiser le regard dâun homme, de plaire. Puis, lâexcitation est venue, profonde, chaude. Celle qui fait rougir les joues, qui fait monter le rythme cardiaque et qui provoque des picotements vaginaux. Nous avons donc continuĂ© pendant quelques mois sans sombrer dans la vulgaritĂ© et avec cette complicitĂ© non verbalisĂ©e de ne pas Ă©voquer cette relation si particuliĂšre.
Jâai quittĂ© la boite un an plus tard et nous nous sommes juste dit « au revoir ». Je nâai jamais revu ce collĂšgue, mais il mâavait « ensorcelĂ©e » par ce fantasme. Jâai continuĂ© mon petit jeu, avec des inconnus, cette fois. En voiture, au dĂ©part, mais câĂ©tait compliquĂ© et fastidieux Ă mettre en Ćuvre pour ce qui est du timing. Je me suis vite aperçue que les hommes qui pratiquaient ce genre « dâupskirt » maitrisaient parfaitement le timing lorsquâils mâavaient repĂ©rĂ©e. Jâai donc laissĂ© faire et je continue Ă me faire rĂ©guliĂšrement « piĂ©ger » pour mon plus grand plaisir.
Puis jâai commencĂ© Ă pratiquer dans les magasins en mâaccroupissant ou en me penchant afin de provoquer ou dâattirer un regard furtif. Je me suis vite rendue compte quâils y avaient beaucoup dâhommes voyeurs. Jâai pris beaucoup de plaisir Ă mâexhiber, mĂȘme durant ma pĂ©riode de jeune maman. La poussette est un outil gĂ©nial pour passer du temps accroupie sans que ça ne paraisse fortuit.
En vieillissant cette activitĂ© sâest un peu estompĂ©e. Ma position sociale aussi y est sans doute pour quelque chose. La crainte quâon se rende compte que je le fais exprĂšs. MalgrĂ© cela je suis toujours restĂ©e trĂšs fĂ©minine et attentive aux regards que les hommes portent sur moi. Jâai donc limitĂ© ce genre de dĂ©marche jusquâĂ ce que je dĂ©couvre xhamster et les vidĂ©os dâupskirt volĂ©es (qui nâexistent plus maintenant). Jâai Ă©tĂ© rapidement attirĂ©e par ces vidĂ©os de femmes qui, en sâhabillant le matin, ne se doutent pas une seconde que leur culotte et leurs dessous vont ĂȘtre regardĂ©es par des centaines dâhommes. Et je me suis prise Ă fantasmer quâun homme filme un jour sous mes jupes sans que je ne mâen rende compte et que je dĂ©couvre ensuite la vidĂ©o sur le site !
Quand je dis dans mes messages persos que je ne suis pas tout Ă fait normale, vous savez maintenant pourquoi.
4 months ago