Séance SM
La semaine dernière je fus invitée par un jeune couple, la raison humilier son épouse devant ce Monsieur et donc je prends le plaisir de vous raconter cette soirée et quelques confidences avec leurs accords bien sur .
Tout d'abord une petite présentation s'impose.
Olivier : 1m88 pour 88 kg, les yeux noirs, brun, 34 ans.
Bérénice : 1m82 pour 65 kg, 32 ans, brune aux cheveux très long, les yeux noisette, une poitrine de 90b, parfaitement épilée.
Leurs plaisirs vous faire partager une relation D/S sous forme de petit journal intime en espérant qu'elle vous plaira.
Le jour J je fus accueillie par Olivier. Bérénice rentrait de son boulot vers 16h. Il me dirigea vers grand placard contenant des accessoires intime et je
Devais de tout préparé afin qu'elle puisse réaliser les tâches qui incombent aux soumises. Je préparais sa tenue, et oui en tant que maîtresse je décide de ces tenues. Je prévoyais juste quel porte un harnais de cuir qui lui recouvrait uniquement la poitrine et peux le sexe, j'y ajoutais des bas opaques noire, son collier en cuir fin monté d'un anneau pour y accrocher une laisse, et rien d'autres. Je lui déposais ça tenue à la salle de bain, car avant toute soumission Bérénice doit se laver et ceux dès qu'elle rentre. Quand elle arriva elle et sans mème dire bonjour elle se dirigea dans la douche et en sortant de celle-ci doit ensuite mettre sa tenue, et enfin se placer à mes pieds à 4 pattes. En gage de punition ne m'ayant pas dit BONJOUR elle se devait m'embrasser les pieds. Elle ne fit pas alors sur un ton autoritaire je lui demandais :
« Soumise ! Tu n'aurais rien oublié par hasard ? »
Elle répondit de façon hésitante :
« Non Maîtresse je ne pense pas »
En guise de réponse de ta part j’abattais ma cravache en cuir sur ses fesses plus d'une dizaine de fois, son cul commença vraiment à rougir. Je répétais ma question
Alors tu penses toujours n'avoir rien oublié ? »
Elle répondit, vraiment honteuse de son oubli
« Oui pardon maîtresse, je devais vous embrasser les pieds »
Tu ne vas pas les embrasser Chienne, mais les lécher et les nettoyer impeccablement et à pleine langue lui dis-je fortement. Elle sortit sa langue et commença à me nettoyer les pieds, pendant que je sirotais un petit cocktail frais dans le canapé. Elle s'appliquait à passer sa langue entre chacun de mes orteils, sur ma plante de pieds, elle les nettoya très bien. J'étais satisfaite mais elle avait tout de même oublié une chose, une bonne fessée s'imposait. Je me levais, lui mettais sa laisse et la traînais à 4 pattes jusqu'à la chaise de bureau, je m'installais et lui intimais :
« Debout !!! et allonge toi sur mes genoux fesses vers le haut !
Elle s'allongea doucement sur moi, je tirais sur la laisse pour qu'elle aille plus vite, une fois installée la laisse pendait dans le vide, ses mains s'appuyaient sur le sol et son cul m'était bien offert. J'ai commencé par une dizaine de coups sur sa fesse droite, puis en mis une dizaine sur sa fesse gauche et lui demanda :
« Alors chienne, comprend tu ta punition ? »
« Oui maîtresse, pardon maîtresse »
Tu sais, ce n'est que le début de ta punition ?
- Je continuais avec une autre série de 10 coups sur chaque fesse, son cul virait vraiment au rouge. Une autre série de 10 s'abattait sur son cul encore plus rougi. Je l'ai faite se lever et replacer à 4 pattes. Je l'ai amené vers un coin du salon et je l'ai fait mettre à genoux, mains sur la tête, tête baissée, et jambes écartées et je l'ai laissé ainsi une quinzaine de minute ainsi afin qu'elle ne répète plus son erreur. Une fois les quinze minutes écoulées, je l'ai faite sortir de son coin en lui ordonnant de me servir un autre cocktail qu'elle me servit à genoux, elle attend que je le termine ainsi, tête basse, cul rougis, honteuse. Une fois fini je lui ordonnait,
- debout, vas t'asseoir sur la chaise, écarte bien tes cuisses et caresse toi pour moi, évidement tu n'as pas le droit de jouir »
« Bien maîtresse »
_ Elle s'installa sur la chaise et commença doucement par écarter ses lèvres afin d'être bien positionner sur son petit clito, elle le caressa langoureusement, doucement, au bout de quelques minutes elle commençait à frémir de plaisir, de désir. Je la fixais dans les yeux sévèrement, j’étais ravie par ce spectacle. Elle me supplia au bout d'une vingtaine de minutes :
« Maîtresse, pitié j'ai vraiment envie de jouir »
_ viens ici, mets-toi a genoux, continue à te caresser, et temps ta main pour me toucher et uniquement toucher !!.
_ elle vient se placer entre mes jambes, je me levais, elle continua à se caresser plus vivement pendant que sa main frôlait mon entrecuisse et dit une fois fini :
Tu peux jouir ma chienne
Son corps se mit à trembler et je vous laisse deviner la suite que je vous raconterai si vous le désirez si je ne suis pas censurée
Maitresse Evelyne
Tout d'abord une petite présentation s'impose.
Olivier : 1m88 pour 88 kg, les yeux noirs, brun, 34 ans.
Bérénice : 1m82 pour 65 kg, 32 ans, brune aux cheveux très long, les yeux noisette, une poitrine de 90b, parfaitement épilée.
Leurs plaisirs vous faire partager une relation D/S sous forme de petit journal intime en espérant qu'elle vous plaira.
Le jour J je fus accueillie par Olivier. Bérénice rentrait de son boulot vers 16h. Il me dirigea vers grand placard contenant des accessoires intime et je
Devais de tout préparé afin qu'elle puisse réaliser les tâches qui incombent aux soumises. Je préparais sa tenue, et oui en tant que maîtresse je décide de ces tenues. Je prévoyais juste quel porte un harnais de cuir qui lui recouvrait uniquement la poitrine et peux le sexe, j'y ajoutais des bas opaques noire, son collier en cuir fin monté d'un anneau pour y accrocher une laisse, et rien d'autres. Je lui déposais ça tenue à la salle de bain, car avant toute soumission Bérénice doit se laver et ceux dès qu'elle rentre. Quand elle arriva elle et sans mème dire bonjour elle se dirigea dans la douche et en sortant de celle-ci doit ensuite mettre sa tenue, et enfin se placer à mes pieds à 4 pattes. En gage de punition ne m'ayant pas dit BONJOUR elle se devait m'embrasser les pieds. Elle ne fit pas alors sur un ton autoritaire je lui demandais :
« Soumise ! Tu n'aurais rien oublié par hasard ? »
Elle répondit de façon hésitante :
« Non Maîtresse je ne pense pas »
En guise de réponse de ta part j’abattais ma cravache en cuir sur ses fesses plus d'une dizaine de fois, son cul commença vraiment à rougir. Je répétais ma question
Alors tu penses toujours n'avoir rien oublié ? »
Elle répondit, vraiment honteuse de son oubli
« Oui pardon maîtresse, je devais vous embrasser les pieds »
Tu ne vas pas les embrasser Chienne, mais les lécher et les nettoyer impeccablement et à pleine langue lui dis-je fortement. Elle sortit sa langue et commença à me nettoyer les pieds, pendant que je sirotais un petit cocktail frais dans le canapé. Elle s'appliquait à passer sa langue entre chacun de mes orteils, sur ma plante de pieds, elle les nettoya très bien. J'étais satisfaite mais elle avait tout de même oublié une chose, une bonne fessée s'imposait. Je me levais, lui mettais sa laisse et la traînais à 4 pattes jusqu'à la chaise de bureau, je m'installais et lui intimais :
« Debout !!! et allonge toi sur mes genoux fesses vers le haut !
Elle s'allongea doucement sur moi, je tirais sur la laisse pour qu'elle aille plus vite, une fois installée la laisse pendait dans le vide, ses mains s'appuyaient sur le sol et son cul m'était bien offert. J'ai commencé par une dizaine de coups sur sa fesse droite, puis en mis une dizaine sur sa fesse gauche et lui demanda :
« Alors chienne, comprend tu ta punition ? »
« Oui maîtresse, pardon maîtresse »
Tu sais, ce n'est que le début de ta punition ?
- Je continuais avec une autre série de 10 coups sur chaque fesse, son cul virait vraiment au rouge. Une autre série de 10 s'abattait sur son cul encore plus rougi. Je l'ai faite se lever et replacer à 4 pattes. Je l'ai amené vers un coin du salon et je l'ai fait mettre à genoux, mains sur la tête, tête baissée, et jambes écartées et je l'ai laissé ainsi une quinzaine de minute ainsi afin qu'elle ne répète plus son erreur. Une fois les quinze minutes écoulées, je l'ai faite sortir de son coin en lui ordonnant de me servir un autre cocktail qu'elle me servit à genoux, elle attend que je le termine ainsi, tête basse, cul rougis, honteuse. Une fois fini je lui ordonnait,
- debout, vas t'asseoir sur la chaise, écarte bien tes cuisses et caresse toi pour moi, évidement tu n'as pas le droit de jouir »
« Bien maîtresse »
_ Elle s'installa sur la chaise et commença doucement par écarter ses lèvres afin d'être bien positionner sur son petit clito, elle le caressa langoureusement, doucement, au bout de quelques minutes elle commençait à frémir de plaisir, de désir. Je la fixais dans les yeux sévèrement, j’étais ravie par ce spectacle. Elle me supplia au bout d'une vingtaine de minutes :
« Maîtresse, pitié j'ai vraiment envie de jouir »
_ viens ici, mets-toi a genoux, continue à te caresser, et temps ta main pour me toucher et uniquement toucher !!.
_ elle vient se placer entre mes jambes, je me levais, elle continua à se caresser plus vivement pendant que sa main frôlait mon entrecuisse et dit une fois fini :
Tu peux jouir ma chienne
Son corps se mit à trembler et je vous laisse deviner la suite que je vous raconterai si vous le désirez si je ne suis pas censurée
Maitresse Evelyne
5 months ago
