Une fête dans la résidence

Chaque année, fin aout, au sein de la résidence est organisé un repas commun. Chacun apporte plat et/ou boisson. C'est l'occasion de se rappeler de bons souvenirs, retrouver, parfois d'anciens voisins, d'accueillir de nouveaux propriétaires. Cette année, 3 pavillons ont changé de propriétaires et, tradition oblige étant le 1er arrivant il y a presque 50 ans, je présente les anciens aux nouveaux. Le dernier arrivé, Claude, un homme, seul, la cinquantaine, sans élément remarquable, paraissant timide.

De temps en temps, je m'aperçois qu'il me regarde. Je constate qu'il reste assez seul, sans se lier aux diverses conversations. Je vais donc le voir pour lui parler un peu de l'histoire de la résidence, du pourquoi de cette fête annuelle. Allant vers un table pour prendre un verre de vin avec lui, je cherche un tire-bouchon pour ouvrir une bouteille. Il en sort un de sa poche mais fait tomber ses clés. Le porte clés attire mon attention : le symbole des gays dans l'univers LGBT. Je lui ramasse et lui rend en mettant bien en évidence le symbole dans le creux de ma main :
- Vous avez fait tomber vos clés. Sympa le porte clés.
Il me regarde fixement, droit dans les yeux, et réponds :
- Il vous intéresse ?
- Oui, beaucoup. Quoique je sois plus rond que flèche.
- Ah, on pourrait alors se compléter.
- Volontiers.
- Je suis souvent en déplacement, mais si je suis là, passez cela me fera plaisir.
- Entendu, merci pour votre invitation.

Un peu plus tard, je le vois s'éloigner. Quelques minutes plus tard, je préviens quelques voisins que je rentre. Bien évidemment je me dirige vers chez Claude. Le portail d'est pas fermé, ni sa porte de garage où j'aperçois de la lumière. Je pousse la porte et il est là :
- Je me doutais bien que tu allais venir dès ce soir.
- Je n'allais pas rater une telle opportunité.
Il va refermer la porte du garage et en passant il me caresse le cul. Je me laisse faire, un peu hésitant. Il me pousse vers une porte qui s'ouvre sur une petite pièce où se trouve un canapé, une sorte de chambre d'été, aménagée par le précédent propriétaire pour vivre de plain pied sans avoir à monter à l'étage. Chez lui, il parait bien moins timide :
- Tu veux la voir ?
- Bien sur.
Le voilà nu en quelques gestes. Il est pas mal équipé, tout rasé/épilé, et je dois t'avouer que j'en suis un peu jaloux et j'ai une grosse envie d'y goûter. Il s'allonge offert et je ne résiste pas longtemps avant de le prendre en bouche. je m'applique à lui faire une bonne pipe et il se met à gémir doucement. Je sens son sexe palpiter dans ma bouche et d'une voix rauque il me dit : "çà vient" et il me presse la tête contre son pubis pour que j'avale tout. Je suis un peu surpris mais son jet n'est pas trop important, çà passe.
Je me relève, il me dit :
- putain c'était bon, t'es une bonne salope tu sais
- oui c'était bon, j'en ai mis plein mon slip de mon coté
- ah, tu as joui aussi ?
- oui, c'était fort. J'espère que nous pourrons refaire çà souvent
- aussi souvent que tu ne le peux. Je n'imaginais pas çà en achetant cette maison, mais avoir une telle opportunité, c'est rare.
Je vais me rincer la bouche et je me prépare à partir, quand il dit :
- si tu le veux bien, la prochaine fois, c'est ton cul que je veux
- je suis très serré tu sais, mais je te le donnerai volontiers. je n'ai eu que peu d'expériences, mais je n'attends que çà.
- alors à très bientot j'espère. Claque le portail en partant s'il te plait.
Je le quitte, il est encore allongé, nu, souriant, m'envoyant un baiser de la main.

Le lendemain matin je vais aider les copains à démonter les barnums. Dès que je vois la voiture de ma femme quitter la résidence, je quitte les copains et vais voir chez Claude. Portail fermé, je sonne et je m'annonce :
- c'est moi
-- déjà ! entre, je t'ouvre
- je n'attends que çà
- ben mon cochon, t'es vraiment un cas toi
Je passe par le garage et je monte le retrouver. Il est dans sa cuisine, juste en peignoir, pas vraiment fermé.
- je ne pensais pas te revoir si vite dis donc
- je ne sais jamais quand je peux me libérer, ce matin j'ai une petite heure libre, au max, j'espère en profiter.
- alors profitons en
Sans attendre, j'enlève mon t-shirt, jogging et slip, lui a retirer son peignoir.
- On va pas faire çà ici, vient au salon. je te prends comment ?
- en levrette, je pense que c'est mieux vu mon gros bide
- mets roi sur le fauteuil, j'arrive. Comme on ne se connait pas je mats une capote
- ok, et si tu as du gel, çà serait mieux
- t'inquiète, je vais faire le nécessaire
Je me retrouve donc à genoux sur un fauteuil, mon cul offert. Il revient, je sens qu'il m'enduit le cul de gel et il commence à me doigter.
- c'est vrai que tu es serré ma grosse, j'adore
- j'espère que tu vas pouvoir passer
- pas de pb, mais dis moi si tu as trop mal
- ok
Je sens alors son sexe avec la capote glisser entre mes fesses et se poser sur mon anus. Il me prend pas les hanches et se met à pousser. j'écarte mes fesses avec mes mains. Il pousse de plus en plus fort puis d'un coup sec, il entre. je pousse un cri :
- çà va ma grosse ?
- oui c'est passé, c'est bon maintenant
Il s'enfonce lentement et quand son sexe me frole la prostate j'ai comme un coup d’électricité qui me traverse. Je me crispe.
- Putain tu me serres fort ma salope, t'es vraiment une bonne truie
- oui fais toi plaisir, mais je vais me lacher sur ton fauteuil bientot
- t'inquiète ma pute, je vais te branler en même temps espèce de salope
Et il se met à me limer de plus en plus fort. je jouis plusieurs fois et je m'écroule sur le fauteuil au moment où je sens la capote se gonfler sous son éjaculation.
Il s'effondre alors sur moi et on glisse par terre. On reste ainsi un bon bout de temps avant qu'il se relève et m'aide à me relever. Il me prend dans ses bras et on se roule une pelle tout en se frottant l'un contre l'autre. Il s'écarte et me dit :
- merci, c'était encore mieux qu'hier
- oui, tu m'as fait jouir mon salaud, j'en ai mis plein ton fauteuil
- il en a connu d'autres tu sais, mais des comme toi, pas tellement
- çà va être dur de faire mieux la prochaine fois
- çà ne va pas être tout de suite, car je pars en déplacement pour 15 jours dès demain
- de route façon, je ne sais pas quand je pourrais à nouveau me libérer
On se regarde puis rapidement, dans la salle de bains, on se nettoie

Que c'était bon
Published by Rchrd91
7 months ago
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11
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Rchrd91 Publisher 2 months ago
to apijo54 : Merci
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apijo54 2 months ago
excitante et intéressante  cette rencontre !
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Rchrd91 Publisher 5 months ago
to Jean858 : Je suis devenu(e) salope sur mes vieux jours ... quels bons moments
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Jean858
Jean858 5 months ago
Aussi salope que moi!
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Rchrd91 Publisher 5 months ago
to lisco : moi aussi ! je suis devenu(e) une grosse pute avide de bites
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lisco 5 months ago
J'adorerais !   👅💕😍
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Rchrd91 Publisher 5 months ago
to lisco : vu ta queue, je couinerai comme une truie
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lisco 5 months ago
Putain, la rondelle bien serrée , j'adore !
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Rchrd91 Publisher 5 months ago
to lisco : Oui, j'en suis une grosse !
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lisco 5 months ago
Deux belle salopes ! C'est chaud ! 
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Rchrd91 Publisher 6 months ago
Et çà a continué !
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