PHARMACIEN.

LE PHARMACIEN.

Nous Ă©tions encore aux balbutiements d’internet

C’était par la presse Ă©crite qu’il fallait passer pour faire des rencontres.
Dans les derniĂšres pages d’un hebdomadaire d’annonces, on pouvait trouver celles qui Ă©taient dĂ©diĂ©es aux rencontres pour adultes.
J’y avais recours parfois, je l’avoue.
ÉquipĂ© de plusieurs cartes tĂ©lĂ©phoniques, un carnet et un stylo, j’allais alors m’enfermer dans une cabine assez isolĂ©e dans l’espoir de trouver l’ñme sƓur.
Un enregistrement diffusait les différents messages passés.
Certains n’hĂ©sitaient pas Ă  ĂȘtre plus prĂ©cis que d’autres en donnant plus de prĂ©cisons sur leur recherche.
Je me cantonnais ainsi aux hommes matures, actifs, proches de ma localité et surtout pouvant recevoir.
Ce jour-lĂ , une annonce qui calquait Ă  ma recherche personnelle, avait retenu mon attention.
Une voix grave mais sensuelle proposait de recevoir jeune homme passif cet aprĂšs-midi dans un appartement discret.
ContactĂ© aussitĂŽt, le dĂ©positaire de l’annonce me posait quelques brĂšves questions pour finalement me donner ses coordonnĂ©es.
Un passage rapide chez moi par la case « salle de bain » et je fis rapidement le trajet vers l’adresse indiquĂ©e prĂ©cĂ©demment.
J’arrivais au pied d’un immeuble assez chic, dont les longs balcons surplombaient la rue calme Ă  cette heure de la journĂ©e.
Je ne risquais pas d’ĂȘtre vu ou reconnu et rassemblais mon courage Ă  deux mains pour finalement sonner au nom qu’il m’avait indiquĂ©.
N’ayant pas reconnu la voix par l’interphone, j’annonçais le plus naturellement possible :
- « Bonjour, c’est pour l’annonce
 »
- « OK
 C’est Pascal ? »
- « Oui. »
- « Descends le long de l’immeuble, je viens t’ouvrir par le garage. »
Étrange rĂ©ponse :
Par le garage ?
Allait-il me proposer simplement une aventure dans ces lieus ou dans un sous-sol ?
Qu’à cela ne tienne, j’étais lĂ , bien dĂ©cidĂ© Ă  ne pas rester bredouille.
L’instant suivant, la porte du garage s’est relevĂ©e me dĂ©voilant un assez bel homme, la soixantaine, soignĂ© et souriant.
Il jeta un rapide coup d’Ɠil aux alentours avant de me proposer de le suivre.
Tandis que nous sous dirigions vers un ascenseur au fond du garage

Il m’expliqua qu’il ne voulait pas passer devant la loge du concierge.
Je lui rĂ©pondis que j’aimais autant ne pas ĂȘtre vu.
Deux Ă©tages plus haut, nous entrions rapidement chez lui afin de ne pas ĂȘtre surpris par son voisin de palier.
Je dĂ©bouchais alors dans un appartement cossu dont le mobilier trahissait l’aisance du propriĂ©taire.
Il se retournait alors pour me toiser de la tĂȘte aux pieds, me demandant de tourner sur moi-mĂȘme comme une marchandise qu’on inspecterait avant de l’acheter.
Je n’étais pas habituĂ© Ă  tel traitement, mais me prĂȘta au jeu, exagĂ©rant mĂȘme la courbure de mes reins

Pour mieux me vendre.
Apparemment, il manifestait suffisamment d’intĂ©rĂȘt pour m’enjoindre d’aller Ă  la salle de bain en me montrant la porte ouverte dans le couloir.

LĂ , sans transition, il m’intima de me dĂ©shabiller.
J’étais face au lavabo que surmontait un miroir dans lequel je le voyais derriĂšre moi.
Je lui ai offert un rapide strip-tease, en laissant tomber mes vĂȘtements au sol.
J’ai senti ses mains se poser sur mes fesses, comme pour vĂ©rifier la marchandise.
Il m’a ensuite indiquĂ© la baignoire prĂ©cisant qu’Il avait l’intention de me laver.
Nu, j’enjambais le bord de celle-ci avec une gĂȘne palpable

Lui, toujours habillĂ©, le regard posĂ© sur moi s’approcha en me demandant de me tourner.
- « Mets-toi face au mur et penche-toi en avant. »
Me dit-il alors qu’il avait pris le pommeau de douche.
Quand l’eau lui parut Ă  la bonne tempĂ©rature, il commença Ă  m’arroser les fesses.
- « Écarte les jambes que je puisse te laver. »
Je pris appui sur le bord opposé de la baignoire et obéis à sa demande.
L’érotisme de la situation Ă©tait Ă  son comble quand il commença Ă  me savonner en insistant particuliĂšrement sur ma rondelle.
Sans me prévenir, il entrait un doigt pour parfaire mon nettoyage.
Heureusement, quand je vais Ă  un rendez-vous coquin, je me prĂ©pare Ă  l’avance chez moi.
Le lavement est pour moi l’assurance de rester propre.
Enfin convaincu de mon Ă©tat de propretĂ©, il ferma l’eau et me tendit une serviette.
Il m’entraina ensuite au fond du couloir et nous dĂ©bouchions dans une petite chambre oĂč il se dĂ©vĂȘtit Ă  son tour.
Plantée au milieu de la piÚce, un lit propice à nos futurs ébats semblait nous attendre.
Nous nous y sommes allongés, lui, sur le dos, moi, sur son coté.
Il a passĂ© son bras sous ma tĂȘte pour m’attirer Ă  lui.
Je me laissais diriger, posant ma joue sur son Ă©paule et ma jambe sur sa cuisse.
De ma main, je caressais sa poitrine dont les poils me rappelaient irrémédiablement que je couchais avec un homme

Une sensation particuliÚrement enivrante, un savant mélange de honte et de désir.
Il devint plus loquace, presque indiscret, me posant des questions sur mes envies, mes attentes, mes expĂ©riences (homo)sexuelles auxquelles je rĂ©pondais le plus honnĂȘtement possible.
Pendant ces aveux, ma main s’égarait sur son corps, cherchant Ă  dĂ©couvrir le moindre centimĂštre carrĂ© de sa peau, pour finir par effleurer un gland fiĂšrement dressĂ© sur son bas ventre.
Ma tĂȘte s’affolait mais je ne pus rĂ©sister et pris ce sexe Ă  pleine main dĂ©licatement.
- « Vas-y, branle-moi ! Fais-moi bander ! »
Il bandait dĂ©jĂ  et franchement, je l’enviais d’une telle Ă©rection moi qui suis plutĂŽt «Bande-mou».
Je m’appliquais donc à lui prodiguer une branlette du mieux possible car j’avais bien l’intention de lui donner envie de plus.
Intrépide, je descendais le visage sur son ventre.
Sa bite tendue vers moi semblait me fixer et espérer plus.
L’image qui se reflĂ©tait dans la glace de l’armoire, me transcendait !

- « Elle te plait ? »
- « Oui. »
Ai-je répondu timidement.
- « T’aime les queues
 T’en as envie ! »
- « Oh oui, j’adore ! »
- « Tu voudrais ĂȘtre une femme, je suis sĂ»r ! »
- « Oui et non
 Je suis bien en mec mais parfois, j’envie les femmes. »
- « Et lĂ , c’est ton cotĂ© fille qui couche avec moi
 Attends une seconde ! »
Il me repoussa doucement, se leva et ouvrit l’armoire et sans vraiment fouiller, sorti une paire de bas.
- « Mets ça ! »
- « Je n’ai jamais mis de bas
 »
- « Faut un dĂ©but Ă  tout. Ça va te plaire, fais-moi confiance ! »
Je me suis levé à mon tour, pris les bas et commença à en enfiler un.
Il se rallongea sur le lit, Ă  me regarder en souriant.
Ce fut plutĂŽt laborieux pour le premier, mais j’ai vite compris comment enfiler l’atour fĂ©minin.
Je me suis assis sur le lit, roula le bas en enfilant mes pouces Ă  l’intĂ©rieur et sensuellement cette fois, glissa mon pied dedans pour ensuite le tirer doucement jusqu’à ma cuisse en tendant la jambe.
Effectivement, le contact soyeux sur mes jambes, la jarretiĂšre qui me serrait doucement le haut de la cuisse me troublait.
Je me suis relevĂ© pour regarder dans la glace et ce que je voyais, n’était pas pour me dĂ©plaire.
- « Mets-toi Ă  genoux au bord du lit et suce moi maintenant
 Comme une nana doit le faire. »
Il n’a pas eu à insister

je prenais la position qu’il souhaitait, approchant mes lĂšvres de la chair gonflĂ©e qu’il m’était donner Ă  sucer.
Quelques petits coups de langues dĂ©licats sur le gland pour finalement, prendre en bouche sa magnifique queue, sur laquelle j’imprimais des allers-retours avec de plus en plus d’envergure. Je rĂ©sistais Ă  l’envie de rendre quand parfois son gland frappait ma luette.
Dans cette position, il pouvait voir, tantÎt mes fesses dans le miroir, tantÎt mon visage plongé sur son pubis.
Ma main droite lui caressait les couilles tandis que je me branlais secrĂštement de la gauche.
- « C’est bien, tu verras, tu finiras par le prendre au fond de ta gorge ! »
- « Mmmmph
 «
Je ne pouvais pas répondre la bouche pleine.
- « C’est bien, continues
 »
- « Mmmmmmmph »
- « Si tu veux, la prochaine fois, je te baiserai par la bouche ! ça te dirait ? »
Sans cesser la fellation que je lui prodiguais, je le regardais dans les yeux et fit un hochement de tĂȘte pour lui signifier mon approbation.
Ainsi, je prenais officiellement le rĂŽle de femelle.
Le contact des bas me procurait une sensation inĂ©dite amplifiant l’érotisme de la situation, rĂ©veillant en moi, mes plus bas instincts.
J’aimais cette bite dans ma bouche !
- « Viens maintenant. »
Dit-il en passant sa main sous mon bras pour me relever.
Je le rejoignais sur le lit, passant au-dessus de lui.
Il se redressa et me fit mettre Ă  genoux.
S’installant derriùre moi, il commençait à jouer avec mes fesses.
Ses deux mains expertes en découvraient chaque centimÚtre carré.
Ces deux pouces s’attardaient sur ma rosace m’arrachant des soupirs non feints.
Je me cambrais Ă  me briser les reins !
Il n’a pas eu vraiment de mal Ă  m’ouvrir, me dilatant de ses pouces plongeants dans mon intimitĂ© de plus en plus loin.
Parfois, il passait une main entre mes cuisses pour tirer sur mes couilles comme pour les arracher.
Le miroir nous renvoyait l’image de la scùne, nous excitant mutuellement encore plus.
J’étais maintenant officiellement confrontĂ© Ă  la rĂ©alitĂ© du moment :
Je n’étais qu’une salope en chaleur prĂȘte Ă  toutes les bassesses pour se faire prendre

Je me sentais femme !
Rien ne semblait pouvoir me faire changer de décision tant le besoin enflammait mon ventre.
L’eut-il compris car il se saisi alors d’un prĂ©servatif cachĂ© sous l’oreiller, pour s’en couvrir rapidement.
S’appuyant sur ses talons, il me tira vers lui en passant ses jambes autours des miennes.
Mes fesses calĂ©es dans un petit nid douillet entre ses cuisses, la raie emprisonnant le membre tendu sur lequel je tentais de m’assoir.
Ses mains remontĂšrent sur ma poitrine pour me redresser.
Il me prenait dans ses bras, me serrait contre sa poitrine, augmentant la pression de sa queue sur ce qui devenait ma chatte.
Profitant que je laissais tomber ma tĂȘte en arriĂšre sur son Ă©paule, il me roulait une pelle mĂ©morable.
Un baiser digne d’un film à l’eau de rose, sa langue s’immisçant entre mes lùvres pour venir chercher la mienne.
Comme enivrés, nous nous sommes longuement embrassés.
Ses mains me plaquaient contre lui, titillant mes tĂ©tons ou venant caresser l’intĂ©rieur de mes cuisses quand les miennes Ă©taient venues s’accrocher dans son dos.
J’attendais avec impatience l’instant fatidique oĂč il dĂ©ciderait d’enfin, me pĂ©nĂ©trer, parcouru de frissons traduisant mon dĂ©sir.
Il glissa enfin une main entre nos peaux collées alignant sa queue vers ma rondelle.
J’ai senti la chaleur du gland qui se prĂ©sentait lĂ  et qui ne mis pas bien longtemps Ă  franchir le passage.
ConditionnĂ©e par nos prĂ©liminaires, j’étais vraiment relĂąchĂ©e.
Doucement, en ondulant le bassin, j’acceptais l’intromission me dĂ©lectant de chaque centimĂštre avalĂ©.
Il rompit le silence :

- « Et ben dis-donc, t’es bien ouverte, ça rentre tout seul ! »
- « Ouiiiiiii. »
- « T’aime te faire baiser comme ça ?
Dis-le-moi !
- « Oh oui, j’adore me faire prendre par un homme ! »
Susurrais-je tout bas.
- « Je vois ça
 Et t’es plutĂŽt « une chaude », tu ne fais pas semblant. »
Il avait raison, je ne faisais plus semblant.
Impudique, faisant fi de mes préjugés, je geignais sans retenues maintenant.
Assise sur ses cuisses, adossĂ©e Ă  son ventre, je m’empalais sur sa queue.
Son gland massait le fourreau de chair que je lui offrais et me transportait vers ces plaisirs interdits.
Je n’imaginais plus ce qu’une femme ressentait

Je le vivais !
Ses mains me prenant par la taille m’ont relevĂ©e pour me relĂącher aussitĂŽt, plusieurs fois de suite, m’indiquant ainsi la conduite Ă  tenir.
Alternant parfois avec des petites pauses pendant lesquelles je pouvais pleinement apprécier le membre viril qui me fouillait.
Quant au mien, pitoyable vestige de mon statut d’homme, il gigotait au rythme des coups que mon amant m’assenait, prouvant ainsi que j’étais effectivement devenue une salope

Une de celles que les hommes baisent pour leur plaisir.
Je comprenais mieux ce que vivait la gente féminine dans ces moments-là.
Je n’acceptais plus simplement que ma rondelle lui serve de chatte car c’en Ă©tait devenue une.
Elle me procurait un plaisir incroyable amplifier par les idées qui fusaient dans mon esprit.
Je gĂ©missais sans retenues, le suppliant de me baiser plus fort, d’aller plus vite, plus profond

- « Putain, t’es trop bonne ! »
- « J’aime quand tu me baises. »
- « Tu crois que tu pourras te passer de bites maintenant ? »
- « Non
 Oh non ! C’est trop bon ! »
- « Si je pouvais, je t’engrosserais, que tu saches ce que ça fait. »
- « Ohhhhhhhhh
 Continueeeeeeeeeeeeeees !!! »
Je ne saurais dire combien de temps j’ai eu Ă  subir ses assauts, combien de fois il m’a si agrĂ©ablement humiliĂ©e par ses mots crus.
Je commençais enfin à me branler.
Le temps s’était arrĂȘtĂ© !
Je n’ai aucun souvenir d’une quelconque douleur mais uniquement d’un bien-ĂȘtre incomparable.
Il me baisait comme il le ferait avec une vraie femme.
Je m’offrais sans limites, oubliant les tabous de mon Ă©ducation.
Je sautais sur sa queue ou peut-ĂȘtre, Ă©tait-ce lui qui me faisait dĂ©coller par ses coups, difficile Ă  savoir.
Il grognait, je poussais de petits cris !

J’ai perçu l’accĂ©lĂ©ration de son souffle auquel j’ai rĂ©pondu en redoublant de vivacitĂ© sur sa queue.
Il me semblait ressentir de petites contractions de ma chatte Ă  chaque fois que son gland frottait ma prostate, mon point G Ă  moi.
J’allais bientît atteindre l’orgasme.
Il s’est alors crispĂ©, tentant de me perforer plus profondĂ©ment pour finalement jouir en grognant comme une bĂȘte.
Je me laissais aller à mon tour, pour l’accompagner et partager avec lui ce plaisir fugace.
Parcouru de petits soubresauts incontrîlables prenant naissance dans mon bas ventre, je me laissais tomber sur le lit, l’entrainant avec moi.
J’avais Ă©jaculĂ© mais le plaisir venait bien de ma chatte !
Il est restĂ© figĂ© dans mon ventre jusqu’à dĂ©bander

Couché sur mon dos sans dire un mot.
Je fermais les yeux pour mieux apprĂ©cier l’instant.
J’ai bien senti, avec dĂ©pit, qu’il glissait petit Ă  petit hors de mes entrailles pour finalement se redresser.
Je restais, quant Ă  moi, sans bouger, les fesses offertes Ă  son regard, Ă  ressentir comme un manque et une indescriptible envie de recommencer.
Ses mains sont venues les Ă©carter pour qu’il admire le rĂ©sultat de sa chevauchĂ©e.
- « T’es vraiment trop bonne. J’ai pris un pied d’enfer dans ton petit trou. »
- « mmmmm
 Moi aussi. »
- « Sans vouloir te vexer, t’es une sacrĂ©e salope ! »
- « Merci du compliment, moi, j’ai adorĂ© que tu me prennes ainsi. »
Quelques minutes plus tard, tous deux rassasiés, nous nous sommes relevés et avons rejoint la salle de bain.
Avec le gant qu’il m’avait tendu, je me lavais sommairement en passant la main entre mes cuisses Ă©cartĂ©es.
Mes jambes toujours parĂ©es des bas qu’il m’avait prĂȘtĂ©s, mes fesses ouvertes, mes reins creusĂ©s rallumĂšrent le dĂ©sir de mon amant qui revins se frotter Ă  moi pour de derniĂšres caresses.
Je me suis finalement résigné de me rhabiller, non sans lui promettre de revenir quand il aurait envie.
Il m’a accompagnĂ© Ă  la porte, sans oublier de m’embrasser avant de me laisser sortir.
Published by drd74
7 months ago
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drd74
drd74 Publisher 5 months ago
to apijo54 : oh oui
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apijo54 5 months ago
oui , c'est tellement bon de se sentir salope , de faire la pute , de ressentir l'excitation qui vous transperce !
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drd74
drd74 Publisher 5 months ago
to nemo1954 : merci d'apprécier 
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nemo1954 5 months ago
trÚs érotique ce récit. merci
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drd74
drd74 Publisher 7 months ago
to winger70 : et tellement bon
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winger70
winger70 7 months ago
chaud chaud chaud !!!
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drd74
drd74 Publisher 7 months ago
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jaimelabite38500 7 months ago
Fabuleux rĂ©cit, j'ai adorĂ© đŸ„°đŸ’‹
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