PHARMACIEN.
LE PHARMACIEN.
Nous Ă©tions encore aux balbutiements dâinternetâŠ
CâĂ©tait par la presse Ă©crite quâil fallait passer pour faire des rencontres.
Dans les derniĂšres pages dâun hebdomadaire dâannonces, on pouvait trouver celles qui Ă©taient dĂ©diĂ©es aux rencontres pour adultes.
Jây avais recours parfois, je lâavoue.
ĂquipĂ© de plusieurs cartes tĂ©lĂ©phoniques, un carnet et un stylo, jâallais alors mâenfermer dans une cabine assez isolĂ©e dans lâespoir de trouver lâĂąme sĆur.
Un enregistrement diffusait les différents messages passés.
Certains nâhĂ©sitaient pas Ă ĂȘtre plus prĂ©cis que dâautres en donnant plus de prĂ©cisons sur leur recherche.
Je me cantonnais ainsi aux hommes matures, actifs, proches de ma localité et surtout pouvant recevoir.
Ce jour-lĂ , une annonce qui calquait Ă ma recherche personnelle, avait retenu mon attention.
Une voix grave mais sensuelle proposait de recevoir jeune homme passif cet aprĂšs-midi dans un appartement discret.
ContactĂ© aussitĂŽt, le dĂ©positaire de lâannonce me posait quelques brĂšves questions pour finalement me donner ses coordonnĂ©es.
Un passage rapide chez moi par la case « salle de bain » et je fis rapidement le trajet vers lâadresse indiquĂ©e prĂ©cĂ©demment.
Jâarrivais au pied dâun immeuble assez chic, dont les longs balcons surplombaient la rue calme Ă cette heure de la journĂ©e.
Je ne risquais pas dâĂȘtre vu ou reconnu et rassemblais mon courage Ă deux mains pour finalement sonner au nom quâil mâavait indiquĂ©.
Nâayant pas reconnu la voix par lâinterphone, jâannonçais le plus naturellement possible :
- « Bonjour, câest pour lâannonce⊠»
- « OK⊠Câest Pascal ? »
- « Oui. »
- « Descends le long de lâimmeuble, je viens tâouvrir par le garage. »
Ătrange rĂ©ponse :
Par le garage ?
Allait-il me proposer simplement une aventure dans ces lieus ou dans un sous-sol ?
QuâĂ cela ne tienne, jâĂ©tais lĂ , bien dĂ©cidĂ© Ă ne pas rester bredouille.
Lâinstant suivant, la porte du garage sâest relevĂ©e me dĂ©voilant un assez bel homme, la soixantaine, soignĂ© et souriant.
Il jeta un rapide coup dâĆil aux alentours avant de me proposer de le suivre.
Tandis que nous sous dirigions vers un ascenseur au fond du garageâŠ
Il mâexpliqua quâil ne voulait pas passer devant la loge du concierge.
Je lui rĂ©pondis que jâaimais autant ne pas ĂȘtre vu.
Deux Ă©tages plus haut, nous entrions rapidement chez lui afin de ne pas ĂȘtre surpris par son voisin de palier.
Je dĂ©bouchais alors dans un appartement cossu dont le mobilier trahissait lâaisance du propriĂ©taire.
Il se retournait alors pour me toiser de la tĂȘte aux pieds, me demandant de tourner sur moi-mĂȘme comme une marchandise quâon inspecterait avant de lâacheter.
Je nâĂ©tais pas habituĂ© Ă tel traitement, mais me prĂȘta au jeu, exagĂ©rant mĂȘme la courbure de mes reinsâŠ
Pour mieux me vendre.
Apparemment, il manifestait suffisamment dâintĂ©rĂȘt pour mâenjoindre dâaller Ă la salle de bain en me montrant la porte ouverte dans le couloir.
LĂ , sans transition, il mâintima de me dĂ©shabiller.
JâĂ©tais face au lavabo que surmontait un miroir dans lequel je le voyais derriĂšre moi.
Je lui ai offert un rapide strip-tease, en laissant tomber mes vĂȘtements au sol.
Jâai senti ses mains se poser sur mes fesses, comme pour vĂ©rifier la marchandise.
Il mâa ensuite indiquĂ© la baignoire prĂ©cisant quâIl avait lâintention de me laver.
Nu, jâenjambais le bord de celle-ci avec une gĂȘne palpableâŠ
Lui, toujours habillĂ©, le regard posĂ© sur moi sâapprocha en me demandant de me tourner.
- « Mets-toi face au mur et penche-toi en avant. »
Me dit-il alors quâil avait pris le pommeau de douche.
Quand lâeau lui parut Ă la bonne tempĂ©rature, il commença Ă mâarroser les fesses.
- « Ăcarte les jambes que je puisse te laver. »
Je pris appui sur le bord opposé de la baignoire et obéis à sa demande.
LâĂ©rotisme de la situation Ă©tait Ă son comble quand il commença Ă me savonner en insistant particuliĂšrement sur ma rondelle.
Sans me prévenir, il entrait un doigt pour parfaire mon nettoyage.
Heureusement, quand je vais Ă un rendez-vous coquin, je me prĂ©pare Ă lâavance chez moi.
Le lavement est pour moi lâassurance de rester propre.
Enfin convaincu de mon Ă©tat de propretĂ©, il ferma lâeau et me tendit une serviette.
Il mâentraina ensuite au fond du couloir et nous dĂ©bouchions dans une petite chambre oĂč il se dĂ©vĂȘtit Ă son tour.
Plantée au milieu de la piÚce, un lit propice à nos futurs ébats semblait nous attendre.
Nous nous y sommes allongés, lui, sur le dos, moi, sur son coté.
Il a passĂ© son bras sous ma tĂȘte pour mâattirer Ă lui.
Je me laissais diriger, posant ma joue sur son Ă©paule et ma jambe sur sa cuisse.
De ma main, je caressais sa poitrine dont les poils me rappelaient irrĂ©mĂ©diablement que je couchais avec un hommeâŠ
Une sensation particuliÚrement enivrante, un savant mélange de honte et de désir.
Il devint plus loquace, presque indiscret, me posant des questions sur mes envies, mes attentes, mes expĂ©riences (homo)sexuelles auxquelles je rĂ©pondais le plus honnĂȘtement possible.
Pendant ces aveux, ma main sâĂ©garait sur son corps, cherchant Ă dĂ©couvrir le moindre centimĂštre carrĂ© de sa peau, pour finir par effleurer un gland fiĂšrement dressĂ© sur son bas ventre.
Ma tĂȘte sâaffolait mais je ne pus rĂ©sister et pris ce sexe Ă pleine main dĂ©licatement.
- « Vas-y, branle-moi ! Fais-moi bander ! »
Il bandait dĂ©jĂ et franchement, je lâenviais dâune telle Ă©rection moi qui suis plutĂŽt «Bande-mou».
Je mâappliquais donc Ă lui prodiguer une branlette du mieux possible car jâavais bien lâintention de lui donner envie de plus.
Intrépide, je descendais le visage sur son ventre.
Sa bite tendue vers moi semblait me fixer et espérer plus.
Lâimage qui se reflĂ©tait dans la glace de lâarmoire, me transcendait !
- « Elle te plait ? »
- « Oui. »
Ai-je répondu timidement.
- « Tâaime les queues⊠Tâen as envie ! »
- « Oh oui, jâadore ! »
- « Tu voudrais ĂȘtre une femme, je suis sĂ»r ! »
- « Oui et non⊠Je suis bien en mec mais parfois, jâenvie les femmes. »
- « Et lĂ , câest ton cotĂ© fille qui couche avec moi⊠Attends une seconde ! »
Il me repoussa doucement, se leva et ouvrit lâarmoire et sans vraiment fouiller, sorti une paire de bas.
- « Mets ça ! »
- « Je nâai jamais mis de bas⊠»
- « Faut un dĂ©but Ă tout. Ăa va te plaire, fais-moi confiance ! »
Je me suis levé à mon tour, pris les bas et commença à en enfiler un.
Il se rallongea sur le lit, Ă me regarder en souriant.
Ce fut plutĂŽt laborieux pour le premier, mais jâai vite compris comment enfiler lâatour fĂ©minin.
Je me suis assis sur le lit, roula le bas en enfilant mes pouces Ă lâintĂ©rieur et sensuellement cette fois, glissa mon pied dedans pour ensuite le tirer doucement jusquâĂ ma cuisse en tendant la jambe.
Effectivement, le contact soyeux sur mes jambes, la jarretiĂšre qui me serrait doucement le haut de la cuisse me troublait.
Je me suis relevĂ© pour regarder dans la glace et ce que je voyais, nâĂ©tait pas pour me dĂ©plaire.
- « Mets-toi à genoux au bord du lit et suce moi maintenant⊠Comme une nana doit le faire. »
Il nâa pas eu Ă insisterâŠ
je prenais la position quâil souhaitait, approchant mes lĂšvres de la chair gonflĂ©e quâil mâĂ©tait donner Ă sucer.
Quelques petits coups de langues dĂ©licats sur le gland pour finalement, prendre en bouche sa magnifique queue, sur laquelle jâimprimais des allers-retours avec de plus en plus dâenvergure. Je rĂ©sistais Ă lâenvie de rendre quand parfois son gland frappait ma luette.
Dans cette position, il pouvait voir, tantÎt mes fesses dans le miroir, tantÎt mon visage plongé sur son pubis.
Ma main droite lui caressait les couilles tandis que je me branlais secrĂštement de la gauche.
- « Câest bien, tu verras, tu finiras par le prendre au fond de ta gorge ! »
- « Mmmmph⊠«
Je ne pouvais pas répondre la bouche pleine.
- « Câest bien, continues⊠»
- « Mmmmmmmph »
- « Si tu veux, la prochaine fois, je te baiserai par la bouche ! ça te dirait ? »
Sans cesser la fellation que je lui prodiguais, je le regardais dans les yeux et fit un hochement de tĂȘte pour lui signifier mon approbation.
Ainsi, je prenais officiellement le rĂŽle de femelle.
Le contact des bas me procurait une sensation inĂ©dite amplifiant lâĂ©rotisme de la situation, rĂ©veillant en moi, mes plus bas instincts.
Jâaimais cette bite dans ma bouche !
- « Viens maintenant. »
Dit-il en passant sa main sous mon bras pour me relever.
Je le rejoignais sur le lit, passant au-dessus de lui.
Il se redressa et me fit mettre Ă genoux.
Sâinstallant derriĂšre moi, il commençait Ă jouer avec mes fesses.
Ses deux mains expertes en découvraient chaque centimÚtre carré.
Ces deux pouces sâattardaient sur ma rosace mâarrachant des soupirs non feints.
Je me cambrais Ă me briser les reins !
Il nâa pas eu vraiment de mal Ă mâouvrir, me dilatant de ses pouces plongeants dans mon intimitĂ© de plus en plus loin.
Parfois, il passait une main entre mes cuisses pour tirer sur mes couilles comme pour les arracher.
Le miroir nous renvoyait lâimage de la scĂšne, nous excitant mutuellement encore plus.
JâĂ©tais maintenant officiellement confrontĂ© Ă la rĂ©alitĂ© du moment :
Je nâĂ©tais quâune salope en chaleur prĂȘte Ă toutes les bassesses pour se faire prendreâŠ
Je me sentais femme !
Rien ne semblait pouvoir me faire changer de décision tant le besoin enflammait mon ventre.
Lâeut-il compris car il se saisi alors dâun prĂ©servatif cachĂ© sous lâoreiller, pour sâen couvrir rapidement.
Sâappuyant sur ses talons, il me tira vers lui en passant ses jambes autours des miennes.
Mes fesses calĂ©es dans un petit nid douillet entre ses cuisses, la raie emprisonnant le membre tendu sur lequel je tentais de mâassoir.
Ses mains remontĂšrent sur ma poitrine pour me redresser.
Il me prenait dans ses bras, me serrait contre sa poitrine, augmentant la pression de sa queue sur ce qui devenait ma chatte.
Profitant que je laissais tomber ma tĂȘte en arriĂšre sur son Ă©paule, il me roulait une pelle mĂ©morable.
Un baiser digne dâun film Ă lâeau de rose, sa langue sâimmisçant entre mes lĂšvres pour venir chercher la mienne.
Comme enivrés, nous nous sommes longuement embrassés.
Ses mains me plaquaient contre lui, titillant mes tĂ©tons ou venant caresser lâintĂ©rieur de mes cuisses quand les miennes Ă©taient venues sâaccrocher dans son dos.
Jâattendais avec impatience lâinstant fatidique oĂč il dĂ©ciderait dâenfin, me pĂ©nĂ©trer, parcouru de frissons traduisant mon dĂ©sir.
Il glissa enfin une main entre nos peaux collées alignant sa queue vers ma rondelle.
Jâai senti la chaleur du gland qui se prĂ©sentait lĂ et qui ne mis pas bien longtemps Ă franchir le passage.
ConditionnĂ©e par nos prĂ©liminaires, jâĂ©tais vraiment relĂąchĂ©e.
Doucement, en ondulant le bassin, jâacceptais lâintromission me dĂ©lectant de chaque centimĂštre avalĂ©.
Il rompit le silence :
- « Et ben dis-donc, tâes bien ouverte, ça rentre tout seul ! »
- « Ouiiiiiii. »
- « Tâaime te faire baiser comme ça ?
Dis-le-moi !
- « Oh oui, jâadore me faire prendre par un homme ! »
Susurrais-je tout bas.
- « Je vois ça⊠Et tâes plutĂŽt « une chaude », tu ne fais pas semblant. »
Il avait raison, je ne faisais plus semblant.
Impudique, faisant fi de mes préjugés, je geignais sans retenues maintenant.
Assise sur ses cuisses, adossĂ©e Ă son ventre, je mâempalais sur sa queue.
Son gland massait le fourreau de chair que je lui offrais et me transportait vers ces plaisirs interdits.
Je nâimaginais plus ce quâune femme ressentaitâŠ
Je le vivais !
Ses mains me prenant par la taille mâont relevĂ©e pour me relĂącher aussitĂŽt, plusieurs fois de suite, mâindiquant ainsi la conduite Ă tenir.
Alternant parfois avec des petites pauses pendant lesquelles je pouvais pleinement apprécier le membre viril qui me fouillait.
Quant au mien, pitoyable vestige de mon statut dâhomme, il gigotait au rythme des coups que mon amant mâassenait, prouvant ainsi que jâĂ©tais effectivement devenue une salopeâŠ
Une de celles que les hommes baisent pour leur plaisir.
Je comprenais mieux ce que vivait la gente féminine dans ces moments-là .
Je nâacceptais plus simplement que ma rondelle lui serve de chatte car câen Ă©tait devenue une.
Elle me procurait un plaisir incroyable amplifier par les idées qui fusaient dans mon esprit.
Je gĂ©missais sans retenues, le suppliant de me baiser plus fort, dâaller plus vite, plus profondâŠ
- « Putain, tâes trop bonne ! »
- « Jâaime quand tu me baises. »
- « Tu crois que tu pourras te passer de bites maintenant ? »
- « Non⊠Oh non ! Câest trop bon ! »
- « Si je pouvais, je tâengrosserais, que tu saches ce que ça fait. »
- « Ohhhhhhhhh⊠Continueeeeeeeeeeeeeees !!! »
Je ne saurais dire combien de temps jâai eu Ă subir ses assauts, combien de fois il mâa si agrĂ©ablement humiliĂ©e par ses mots crus.
Je commençais enfin à me branler.
Le temps sâĂ©tait arrĂȘtĂ© !
Je nâai aucun souvenir dâune quelconque douleur mais uniquement dâun bien-ĂȘtre incomparable.
Il me baisait comme il le ferait avec une vraie femme.
Je mâoffrais sans limites, oubliant les tabous de mon Ă©ducation.
Je sautais sur sa queue ou peut-ĂȘtre, Ă©tait-ce lui qui me faisait dĂ©coller par ses coups, difficile Ă savoir.
Il grognait, je poussais de petits cris !
Jâai perçu lâaccĂ©lĂ©ration de son souffle auquel jâai rĂ©pondu en redoublant de vivacitĂ© sur sa queue.
Il me semblait ressentir de petites contractions de ma chatte Ă chaque fois que son gland frottait ma prostate, mon point G Ă moi.
Jâallais bientĂŽt atteindre lâorgasme.
Il sâest alors crispĂ©, tentant de me perforer plus profondĂ©ment pour finalement jouir en grognant comme une bĂȘte.
Je me laissais aller Ă mon tour, pour lâaccompagner et partager avec lui ce plaisir fugace.
Parcouru de petits soubresauts incontrĂŽlables prenant naissance dans mon bas ventre, je me laissais tomber sur le lit, lâentrainant avec moi.
Jâavais Ă©jaculĂ© mais le plaisir venait bien de ma chatte !
Il est restĂ© figĂ© dans mon ventre jusquâĂ dĂ©banderâŠ
Couché sur mon dos sans dire un mot.
Je fermais les yeux pour mieux apprĂ©cier lâinstant.
Jâai bien senti, avec dĂ©pit, quâil glissait petit Ă petit hors de mes entrailles pour finalement se redresser.
Je restais, quant Ă moi, sans bouger, les fesses offertes Ă son regard, Ă ressentir comme un manque et une indescriptible envie de recommencer.
Ses mains sont venues les Ă©carter pour quâil admire le rĂ©sultat de sa chevauchĂ©e.
- « Tâes vraiment trop bonne. Jâai pris un pied dâenfer dans ton petit trou. »
- « mmmmm⊠Moi aussi. »
- « Sans vouloir te vexer, tâes une sacrĂ©e salope ! »
- « Merci du compliment, moi, jâai adorĂ© que tu me prennes ainsi. »
Quelques minutes plus tard, tous deux rassasiés, nous nous sommes relevés et avons rejoint la salle de bain.
Avec le gant quâil mâavait tendu, je me lavais sommairement en passant la main entre mes cuisses Ă©cartĂ©es.
Mes jambes toujours parĂ©es des bas quâil mâavait prĂȘtĂ©s, mes fesses ouvertes, mes reins creusĂ©s rallumĂšrent le dĂ©sir de mon amant qui revins se frotter Ă moi pour de derniĂšres caresses.
Je me suis finalement résigné de me rhabiller, non sans lui promettre de revenir quand il aurait envie.
Il mâa accompagnĂ© Ă la porte, sans oublier de mâembrasser avant de me laisser sortir.
Nous Ă©tions encore aux balbutiements dâinternetâŠ
CâĂ©tait par la presse Ă©crite quâil fallait passer pour faire des rencontres.
Dans les derniĂšres pages dâun hebdomadaire dâannonces, on pouvait trouver celles qui Ă©taient dĂ©diĂ©es aux rencontres pour adultes.
Jây avais recours parfois, je lâavoue.
ĂquipĂ© de plusieurs cartes tĂ©lĂ©phoniques, un carnet et un stylo, jâallais alors mâenfermer dans une cabine assez isolĂ©e dans lâespoir de trouver lâĂąme sĆur.
Un enregistrement diffusait les différents messages passés.
Certains nâhĂ©sitaient pas Ă ĂȘtre plus prĂ©cis que dâautres en donnant plus de prĂ©cisons sur leur recherche.
Je me cantonnais ainsi aux hommes matures, actifs, proches de ma localité et surtout pouvant recevoir.
Ce jour-lĂ , une annonce qui calquait Ă ma recherche personnelle, avait retenu mon attention.
Une voix grave mais sensuelle proposait de recevoir jeune homme passif cet aprĂšs-midi dans un appartement discret.
ContactĂ© aussitĂŽt, le dĂ©positaire de lâannonce me posait quelques brĂšves questions pour finalement me donner ses coordonnĂ©es.
Un passage rapide chez moi par la case « salle de bain » et je fis rapidement le trajet vers lâadresse indiquĂ©e prĂ©cĂ©demment.
Jâarrivais au pied dâun immeuble assez chic, dont les longs balcons surplombaient la rue calme Ă cette heure de la journĂ©e.
Je ne risquais pas dâĂȘtre vu ou reconnu et rassemblais mon courage Ă deux mains pour finalement sonner au nom quâil mâavait indiquĂ©.
Nâayant pas reconnu la voix par lâinterphone, jâannonçais le plus naturellement possible :
- « Bonjour, câest pour lâannonce⊠»
- « OK⊠Câest Pascal ? »
- « Oui. »
- « Descends le long de lâimmeuble, je viens tâouvrir par le garage. »
Ătrange rĂ©ponse :
Par le garage ?
Allait-il me proposer simplement une aventure dans ces lieus ou dans un sous-sol ?
QuâĂ cela ne tienne, jâĂ©tais lĂ , bien dĂ©cidĂ© Ă ne pas rester bredouille.
Lâinstant suivant, la porte du garage sâest relevĂ©e me dĂ©voilant un assez bel homme, la soixantaine, soignĂ© et souriant.
Il jeta un rapide coup dâĆil aux alentours avant de me proposer de le suivre.
Tandis que nous sous dirigions vers un ascenseur au fond du garageâŠ
Il mâexpliqua quâil ne voulait pas passer devant la loge du concierge.
Je lui rĂ©pondis que jâaimais autant ne pas ĂȘtre vu.
Deux Ă©tages plus haut, nous entrions rapidement chez lui afin de ne pas ĂȘtre surpris par son voisin de palier.
Je dĂ©bouchais alors dans un appartement cossu dont le mobilier trahissait lâaisance du propriĂ©taire.
Il se retournait alors pour me toiser de la tĂȘte aux pieds, me demandant de tourner sur moi-mĂȘme comme une marchandise quâon inspecterait avant de lâacheter.
Je nâĂ©tais pas habituĂ© Ă tel traitement, mais me prĂȘta au jeu, exagĂ©rant mĂȘme la courbure de mes reinsâŠ
Pour mieux me vendre.
Apparemment, il manifestait suffisamment dâintĂ©rĂȘt pour mâenjoindre dâaller Ă la salle de bain en me montrant la porte ouverte dans le couloir.
LĂ , sans transition, il mâintima de me dĂ©shabiller.
JâĂ©tais face au lavabo que surmontait un miroir dans lequel je le voyais derriĂšre moi.
Je lui ai offert un rapide strip-tease, en laissant tomber mes vĂȘtements au sol.
Jâai senti ses mains se poser sur mes fesses, comme pour vĂ©rifier la marchandise.
Il mâa ensuite indiquĂ© la baignoire prĂ©cisant quâIl avait lâintention de me laver.
Nu, jâenjambais le bord de celle-ci avec une gĂȘne palpableâŠ
Lui, toujours habillĂ©, le regard posĂ© sur moi sâapprocha en me demandant de me tourner.
- « Mets-toi face au mur et penche-toi en avant. »
Me dit-il alors quâil avait pris le pommeau de douche.
Quand lâeau lui parut Ă la bonne tempĂ©rature, il commença Ă mâarroser les fesses.
- « Ăcarte les jambes que je puisse te laver. »
Je pris appui sur le bord opposé de la baignoire et obéis à sa demande.
LâĂ©rotisme de la situation Ă©tait Ă son comble quand il commença Ă me savonner en insistant particuliĂšrement sur ma rondelle.
Sans me prévenir, il entrait un doigt pour parfaire mon nettoyage.
Heureusement, quand je vais Ă un rendez-vous coquin, je me prĂ©pare Ă lâavance chez moi.
Le lavement est pour moi lâassurance de rester propre.
Enfin convaincu de mon Ă©tat de propretĂ©, il ferma lâeau et me tendit une serviette.
Il mâentraina ensuite au fond du couloir et nous dĂ©bouchions dans une petite chambre oĂč il se dĂ©vĂȘtit Ă son tour.
Plantée au milieu de la piÚce, un lit propice à nos futurs ébats semblait nous attendre.
Nous nous y sommes allongés, lui, sur le dos, moi, sur son coté.
Il a passĂ© son bras sous ma tĂȘte pour mâattirer Ă lui.
Je me laissais diriger, posant ma joue sur son Ă©paule et ma jambe sur sa cuisse.
De ma main, je caressais sa poitrine dont les poils me rappelaient irrĂ©mĂ©diablement que je couchais avec un hommeâŠ
Une sensation particuliÚrement enivrante, un savant mélange de honte et de désir.
Il devint plus loquace, presque indiscret, me posant des questions sur mes envies, mes attentes, mes expĂ©riences (homo)sexuelles auxquelles je rĂ©pondais le plus honnĂȘtement possible.
Pendant ces aveux, ma main sâĂ©garait sur son corps, cherchant Ă dĂ©couvrir le moindre centimĂštre carrĂ© de sa peau, pour finir par effleurer un gland fiĂšrement dressĂ© sur son bas ventre.
Ma tĂȘte sâaffolait mais je ne pus rĂ©sister et pris ce sexe Ă pleine main dĂ©licatement.
- « Vas-y, branle-moi ! Fais-moi bander ! »
Il bandait dĂ©jĂ et franchement, je lâenviais dâune telle Ă©rection moi qui suis plutĂŽt «Bande-mou».
Je mâappliquais donc Ă lui prodiguer une branlette du mieux possible car jâavais bien lâintention de lui donner envie de plus.
Intrépide, je descendais le visage sur son ventre.
Sa bite tendue vers moi semblait me fixer et espérer plus.
Lâimage qui se reflĂ©tait dans la glace de lâarmoire, me transcendait !
- « Elle te plait ? »
- « Oui. »
Ai-je répondu timidement.
- « Tâaime les queues⊠Tâen as envie ! »
- « Oh oui, jâadore ! »
- « Tu voudrais ĂȘtre une femme, je suis sĂ»r ! »
- « Oui et non⊠Je suis bien en mec mais parfois, jâenvie les femmes. »
- « Et lĂ , câest ton cotĂ© fille qui couche avec moi⊠Attends une seconde ! »
Il me repoussa doucement, se leva et ouvrit lâarmoire et sans vraiment fouiller, sorti une paire de bas.
- « Mets ça ! »
- « Je nâai jamais mis de bas⊠»
- « Faut un dĂ©but Ă tout. Ăa va te plaire, fais-moi confiance ! »
Je me suis levé à mon tour, pris les bas et commença à en enfiler un.
Il se rallongea sur le lit, Ă me regarder en souriant.
Ce fut plutĂŽt laborieux pour le premier, mais jâai vite compris comment enfiler lâatour fĂ©minin.
Je me suis assis sur le lit, roula le bas en enfilant mes pouces Ă lâintĂ©rieur et sensuellement cette fois, glissa mon pied dedans pour ensuite le tirer doucement jusquâĂ ma cuisse en tendant la jambe.
Effectivement, le contact soyeux sur mes jambes, la jarretiĂšre qui me serrait doucement le haut de la cuisse me troublait.
Je me suis relevĂ© pour regarder dans la glace et ce que je voyais, nâĂ©tait pas pour me dĂ©plaire.
- « Mets-toi à genoux au bord du lit et suce moi maintenant⊠Comme une nana doit le faire. »
Il nâa pas eu Ă insisterâŠ
je prenais la position quâil souhaitait, approchant mes lĂšvres de la chair gonflĂ©e quâil mâĂ©tait donner Ă sucer.
Quelques petits coups de langues dĂ©licats sur le gland pour finalement, prendre en bouche sa magnifique queue, sur laquelle jâimprimais des allers-retours avec de plus en plus dâenvergure. Je rĂ©sistais Ă lâenvie de rendre quand parfois son gland frappait ma luette.
Dans cette position, il pouvait voir, tantÎt mes fesses dans le miroir, tantÎt mon visage plongé sur son pubis.
Ma main droite lui caressait les couilles tandis que je me branlais secrĂštement de la gauche.
- « Câest bien, tu verras, tu finiras par le prendre au fond de ta gorge ! »
- « Mmmmph⊠«
Je ne pouvais pas répondre la bouche pleine.
- « Câest bien, continues⊠»
- « Mmmmmmmph »
- « Si tu veux, la prochaine fois, je te baiserai par la bouche ! ça te dirait ? »
Sans cesser la fellation que je lui prodiguais, je le regardais dans les yeux et fit un hochement de tĂȘte pour lui signifier mon approbation.
Ainsi, je prenais officiellement le rĂŽle de femelle.
Le contact des bas me procurait une sensation inĂ©dite amplifiant lâĂ©rotisme de la situation, rĂ©veillant en moi, mes plus bas instincts.
Jâaimais cette bite dans ma bouche !
- « Viens maintenant. »
Dit-il en passant sa main sous mon bras pour me relever.
Je le rejoignais sur le lit, passant au-dessus de lui.
Il se redressa et me fit mettre Ă genoux.
Sâinstallant derriĂšre moi, il commençait Ă jouer avec mes fesses.
Ses deux mains expertes en découvraient chaque centimÚtre carré.
Ces deux pouces sâattardaient sur ma rosace mâarrachant des soupirs non feints.
Je me cambrais Ă me briser les reins !
Il nâa pas eu vraiment de mal Ă mâouvrir, me dilatant de ses pouces plongeants dans mon intimitĂ© de plus en plus loin.
Parfois, il passait une main entre mes cuisses pour tirer sur mes couilles comme pour les arracher.
Le miroir nous renvoyait lâimage de la scĂšne, nous excitant mutuellement encore plus.
JâĂ©tais maintenant officiellement confrontĂ© Ă la rĂ©alitĂ© du moment :
Je nâĂ©tais quâune salope en chaleur prĂȘte Ă toutes les bassesses pour se faire prendreâŠ
Je me sentais femme !
Rien ne semblait pouvoir me faire changer de décision tant le besoin enflammait mon ventre.
Lâeut-il compris car il se saisi alors dâun prĂ©servatif cachĂ© sous lâoreiller, pour sâen couvrir rapidement.
Sâappuyant sur ses talons, il me tira vers lui en passant ses jambes autours des miennes.
Mes fesses calĂ©es dans un petit nid douillet entre ses cuisses, la raie emprisonnant le membre tendu sur lequel je tentais de mâassoir.
Ses mains remontĂšrent sur ma poitrine pour me redresser.
Il me prenait dans ses bras, me serrait contre sa poitrine, augmentant la pression de sa queue sur ce qui devenait ma chatte.
Profitant que je laissais tomber ma tĂȘte en arriĂšre sur son Ă©paule, il me roulait une pelle mĂ©morable.
Un baiser digne dâun film Ă lâeau de rose, sa langue sâimmisçant entre mes lĂšvres pour venir chercher la mienne.
Comme enivrés, nous nous sommes longuement embrassés.
Ses mains me plaquaient contre lui, titillant mes tĂ©tons ou venant caresser lâintĂ©rieur de mes cuisses quand les miennes Ă©taient venues sâaccrocher dans son dos.
Jâattendais avec impatience lâinstant fatidique oĂč il dĂ©ciderait dâenfin, me pĂ©nĂ©trer, parcouru de frissons traduisant mon dĂ©sir.
Il glissa enfin une main entre nos peaux collées alignant sa queue vers ma rondelle.
Jâai senti la chaleur du gland qui se prĂ©sentait lĂ et qui ne mis pas bien longtemps Ă franchir le passage.
ConditionnĂ©e par nos prĂ©liminaires, jâĂ©tais vraiment relĂąchĂ©e.
Doucement, en ondulant le bassin, jâacceptais lâintromission me dĂ©lectant de chaque centimĂštre avalĂ©.
Il rompit le silence :
- « Et ben dis-donc, tâes bien ouverte, ça rentre tout seul ! »
- « Ouiiiiiii. »
- « Tâaime te faire baiser comme ça ?
Dis-le-moi !
- « Oh oui, jâadore me faire prendre par un homme ! »
Susurrais-je tout bas.
- « Je vois ça⊠Et tâes plutĂŽt « une chaude », tu ne fais pas semblant. »
Il avait raison, je ne faisais plus semblant.
Impudique, faisant fi de mes préjugés, je geignais sans retenues maintenant.
Assise sur ses cuisses, adossĂ©e Ă son ventre, je mâempalais sur sa queue.
Son gland massait le fourreau de chair que je lui offrais et me transportait vers ces plaisirs interdits.
Je nâimaginais plus ce quâune femme ressentaitâŠ
Je le vivais !
Ses mains me prenant par la taille mâont relevĂ©e pour me relĂącher aussitĂŽt, plusieurs fois de suite, mâindiquant ainsi la conduite Ă tenir.
Alternant parfois avec des petites pauses pendant lesquelles je pouvais pleinement apprécier le membre viril qui me fouillait.
Quant au mien, pitoyable vestige de mon statut dâhomme, il gigotait au rythme des coups que mon amant mâassenait, prouvant ainsi que jâĂ©tais effectivement devenue une salopeâŠ
Une de celles que les hommes baisent pour leur plaisir.
Je comprenais mieux ce que vivait la gente féminine dans ces moments-là .
Je nâacceptais plus simplement que ma rondelle lui serve de chatte car câen Ă©tait devenue une.
Elle me procurait un plaisir incroyable amplifier par les idées qui fusaient dans mon esprit.
Je gĂ©missais sans retenues, le suppliant de me baiser plus fort, dâaller plus vite, plus profondâŠ
- « Putain, tâes trop bonne ! »
- « Jâaime quand tu me baises. »
- « Tu crois que tu pourras te passer de bites maintenant ? »
- « Non⊠Oh non ! Câest trop bon ! »
- « Si je pouvais, je tâengrosserais, que tu saches ce que ça fait. »
- « Ohhhhhhhhh⊠Continueeeeeeeeeeeeeees !!! »
Je ne saurais dire combien de temps jâai eu Ă subir ses assauts, combien de fois il mâa si agrĂ©ablement humiliĂ©e par ses mots crus.
Je commençais enfin à me branler.
Le temps sâĂ©tait arrĂȘtĂ© !
Je nâai aucun souvenir dâune quelconque douleur mais uniquement dâun bien-ĂȘtre incomparable.
Il me baisait comme il le ferait avec une vraie femme.
Je mâoffrais sans limites, oubliant les tabous de mon Ă©ducation.
Je sautais sur sa queue ou peut-ĂȘtre, Ă©tait-ce lui qui me faisait dĂ©coller par ses coups, difficile Ă savoir.
Il grognait, je poussais de petits cris !
Jâai perçu lâaccĂ©lĂ©ration de son souffle auquel jâai rĂ©pondu en redoublant de vivacitĂ© sur sa queue.
Il me semblait ressentir de petites contractions de ma chatte Ă chaque fois que son gland frottait ma prostate, mon point G Ă moi.
Jâallais bientĂŽt atteindre lâorgasme.
Il sâest alors crispĂ©, tentant de me perforer plus profondĂ©ment pour finalement jouir en grognant comme une bĂȘte.
Je me laissais aller Ă mon tour, pour lâaccompagner et partager avec lui ce plaisir fugace.
Parcouru de petits soubresauts incontrĂŽlables prenant naissance dans mon bas ventre, je me laissais tomber sur le lit, lâentrainant avec moi.
Jâavais Ă©jaculĂ© mais le plaisir venait bien de ma chatte !
Il est restĂ© figĂ© dans mon ventre jusquâĂ dĂ©banderâŠ
Couché sur mon dos sans dire un mot.
Je fermais les yeux pour mieux apprĂ©cier lâinstant.
Jâai bien senti, avec dĂ©pit, quâil glissait petit Ă petit hors de mes entrailles pour finalement se redresser.
Je restais, quant Ă moi, sans bouger, les fesses offertes Ă son regard, Ă ressentir comme un manque et une indescriptible envie de recommencer.
Ses mains sont venues les Ă©carter pour quâil admire le rĂ©sultat de sa chevauchĂ©e.
- « Tâes vraiment trop bonne. Jâai pris un pied dâenfer dans ton petit trou. »
- « mmmmm⊠Moi aussi. »
- « Sans vouloir te vexer, tâes une sacrĂ©e salope ! »
- « Merci du compliment, moi, jâai adorĂ© que tu me prennes ainsi. »
Quelques minutes plus tard, tous deux rassasiés, nous nous sommes relevés et avons rejoint la salle de bain.
Avec le gant quâil mâavait tendu, je me lavais sommairement en passant la main entre mes cuisses Ă©cartĂ©es.
Mes jambes toujours parĂ©es des bas quâil mâavait prĂȘtĂ©s, mes fesses ouvertes, mes reins creusĂ©s rallumĂšrent le dĂ©sir de mon amant qui revins se frotter Ă moi pour de derniĂšres caresses.
Je me suis finalement résigné de me rhabiller, non sans lui promettre de revenir quand il aurait envie.
Il mâa accompagnĂ© Ă la porte, sans oublier de mâembrasser avant de me laisser sortir.
7 months ago