Un jour d'été au boulot
Comme vous le savez, depuis quelques temps, je suis redevenue une petite chienne sauvage, sans collier et il est assez compliqué pour moi de rester neutre par moment quand je croise mon ex maitre au boulot.
Cette année, c’est un peu compliqué au travail, avec les vacances et le personnel en sous effectif.
De ce fait, me voici missionnée pour la semaine à remplacer mon ex maitre et sa cheffe dans leur secteur, étant une des seules à pouvoir le faire.
Comment vous dire que, d’être 7h par jour dans son bureau me rappelle des jolis souvenirs et m’émoustille quelque peu !
Hier, les chaleurs m’ayant complètement épuisée, je n’avais guère prêté attention à mon environnement dans ledit bureau. Mais il n’en fut pas pareil aujourd’hui.
Après avoir fait l’arrosage des plantes de la zone, je m’installai devant l’ordinateur afin de m’occuper d’un dossier que j’avais à traiter, en attendant d’hypothétiques clients.
J’avais ouvert les fenêtres et la porte afin de faire baisser la température qui restait élevée à l’intérieur.
Ce courant d’air amena un doux parfum à mes narines… l’effluve de mon ex maitre.
Un savant mélange de sa lessive et de sa propre odeur corporelle sur un vêtement. Et je peux vous dire que cette senteur a le don de m’exciter au plus haut point. Me voilà en quête de la source de ce bonheur olfactif, quand je m’aperçus qu’il s’agissait de son pull resté sur le dossier de la chaise sur laquelle j’étais assise pour travailler.
Ni une ni deux, je plongeai mon nez dans la douceur du tissu et humais avec plaisir ce délicieux parfum.
Cela me rappela mon doudou, à la différence bien sûr que le pull n’était pas infusé de foutre et de pisse contrairement à son caleçon !
Sentant des chatouillis m’envahir le bas ventre et ayant envie d’aller aux WC, je me levai, appuyai sur la machine à café afin qu’elle chauffe pendant mon absence et m’enfuis aux vestiaires.
Je ne pus que constater ce dont je me doutais, j’avais la chatte trempée de cyprine.
Ma petite affaire finie, je retournai au bureau, me servis mon café et me réinstallai devant l’ordinateur.
J’essayai de me concentrer mais impossible de chasser les envies qui assaillaient mon esprit et mon corps.
Me cachant comme je pouvais derrière le bureau, je glissai une main dans ma culotte et commençai à me tripoter le clito. A ce contact, mon esprit se mit à vagabonder.
Je me revoyais dans ce même bureau, à 4 pattes entre les jambes de mon Maitre à le sucer comme une morte de faim. Ou encore je me refaisais la scène où une fois je l’avais rejoint un week-end d’astreinte et où à genoux, le cul pluggué, il m’avait baisé la gueule comme une brute en me giflant, avant de me recouvrir de foutre.
Me concentrant sur l’odeur de son pull et des envies qui m’envahissaient, j’arrivais à ressentir la sensation de sa barbe sur ma peau quand il s’amusait à se frotter contre ma joue. Lâchant mon stylo, je commençai à me caresser mes mamelles de vache à traire, alternant caresses et pétrissages comme si mes mains étaient les siennes, fermes sur ma chair.
Même mon cul avait la sensation de sa belle queue bien dure le ramonant comme doit l’être le trou d’une pétasse de chienne à enculer.
Mmmm, que c’était bon tout cela!
Mon doigt glissa jusqu’à mon vagin et je constatai que la cyprine coulait. Je remontai sur le bouton magique et appuyai fermement dessus tout en branlant plus vite.
Rapidement, je ne pus retenir un mmmmffffffff de plaisir, que j’étouffai aussi vite que possible en entendant du bruit dehors. Un « collègue » d’une autre partie de l’entité qui passait avec le chariot élévateur… et c’était bien la dernière personne que j’avais envie de voir dans cet état là.
Je m’aplatis comme je pus derrière le PC…. Il passa sans me voir. Ouf !
J’otai ma patte de ma culotte et léchai mes doigts plein de cyprine.
Je sortis me laver les mains au tuyau d’arrosage puis me remis à ma tâche, contente de m’être ainsi fait plaisir, gardant un sourire de chiennasse stupide et fière de son coup et qui profite de l’odeur de son ex maitre à chaque courant d’air.
Cette année, c’est un peu compliqué au travail, avec les vacances et le personnel en sous effectif.
De ce fait, me voici missionnée pour la semaine à remplacer mon ex maitre et sa cheffe dans leur secteur, étant une des seules à pouvoir le faire.
Comment vous dire que, d’être 7h par jour dans son bureau me rappelle des jolis souvenirs et m’émoustille quelque peu !
Hier, les chaleurs m’ayant complètement épuisée, je n’avais guère prêté attention à mon environnement dans ledit bureau. Mais il n’en fut pas pareil aujourd’hui.
Après avoir fait l’arrosage des plantes de la zone, je m’installai devant l’ordinateur afin de m’occuper d’un dossier que j’avais à traiter, en attendant d’hypothétiques clients.
J’avais ouvert les fenêtres et la porte afin de faire baisser la température qui restait élevée à l’intérieur.
Ce courant d’air amena un doux parfum à mes narines… l’effluve de mon ex maitre.
Un savant mélange de sa lessive et de sa propre odeur corporelle sur un vêtement. Et je peux vous dire que cette senteur a le don de m’exciter au plus haut point. Me voilà en quête de la source de ce bonheur olfactif, quand je m’aperçus qu’il s’agissait de son pull resté sur le dossier de la chaise sur laquelle j’étais assise pour travailler.
Ni une ni deux, je plongeai mon nez dans la douceur du tissu et humais avec plaisir ce délicieux parfum.
Cela me rappela mon doudou, à la différence bien sûr que le pull n’était pas infusé de foutre et de pisse contrairement à son caleçon !
Sentant des chatouillis m’envahir le bas ventre et ayant envie d’aller aux WC, je me levai, appuyai sur la machine à café afin qu’elle chauffe pendant mon absence et m’enfuis aux vestiaires.
Je ne pus que constater ce dont je me doutais, j’avais la chatte trempée de cyprine.
Ma petite affaire finie, je retournai au bureau, me servis mon café et me réinstallai devant l’ordinateur.
J’essayai de me concentrer mais impossible de chasser les envies qui assaillaient mon esprit et mon corps.
Me cachant comme je pouvais derrière le bureau, je glissai une main dans ma culotte et commençai à me tripoter le clito. A ce contact, mon esprit se mit à vagabonder.
Je me revoyais dans ce même bureau, à 4 pattes entre les jambes de mon Maitre à le sucer comme une morte de faim. Ou encore je me refaisais la scène où une fois je l’avais rejoint un week-end d’astreinte et où à genoux, le cul pluggué, il m’avait baisé la gueule comme une brute en me giflant, avant de me recouvrir de foutre.
Me concentrant sur l’odeur de son pull et des envies qui m’envahissaient, j’arrivais à ressentir la sensation de sa barbe sur ma peau quand il s’amusait à se frotter contre ma joue. Lâchant mon stylo, je commençai à me caresser mes mamelles de vache à traire, alternant caresses et pétrissages comme si mes mains étaient les siennes, fermes sur ma chair.
Même mon cul avait la sensation de sa belle queue bien dure le ramonant comme doit l’être le trou d’une pétasse de chienne à enculer.
Mmmm, que c’était bon tout cela!
Mon doigt glissa jusqu’à mon vagin et je constatai que la cyprine coulait. Je remontai sur le bouton magique et appuyai fermement dessus tout en branlant plus vite.
Rapidement, je ne pus retenir un mmmmffffffff de plaisir, que j’étouffai aussi vite que possible en entendant du bruit dehors. Un « collègue » d’une autre partie de l’entité qui passait avec le chariot élévateur… et c’était bien la dernière personne que j’avais envie de voir dans cet état là.
Je m’aplatis comme je pus derrière le PC…. Il passa sans me voir. Ouf !
J’otai ma patte de ma culotte et léchai mes doigts plein de cyprine.
Je sortis me laver les mains au tuyau d’arrosage puis me remis à ma tâche, contente de m’être ainsi fait plaisir, gardant un sourire de chiennasse stupide et fière de son coup et qui profite de l’odeur de son ex maitre à chaque courant d’air.
7 months ago