Marie-France

AprĂšs cette excellente soirĂ©e j’ai continuĂ© mes activitĂ©s les plus diverses sans entendre parler de Marie-France.
J’ai reçu la grosse Jacqueline Duval mais je n’ai mĂȘme pas eu le goĂ»t de la baiser. Avec ses gros seins flasques et ses cheveux dĂ©colorĂ©s elle ne me faisait vraiment pas envie. Pour lui faire plaisir je lui ai permis de me sucer et je lui ait laissĂ© entrevoir un rĂŽle dans un prochain tournage. Elle a trĂšs bien avalĂ© tout le sperme que je lui ai balancĂ©.
C’est seulement un mois plus tard, que la secrĂ©taire m’annonce qu’une dame Daumont souhaitait me voir sans avoir pris rendez-vous. Bien que n’étant pas particuliĂšrement occupĂ© je lui dit d’annoncer Ă  cette personne que j’étais au tĂ©lĂ©phone mais qu’elle serait reçue d’ici peu. AprĂšs plus d’une heure, passĂ©e Ă  visionner des vidĂ©os pornographiques, cette excellente Marie-France est introduite dans mon bureau. Elle porte toujours beau mais quelques dĂ©tails donnent Ă  penser que sa situation ne s’est pas amĂ©liorĂ©e : elle est habillĂ©e du mĂȘme tailleur que la derniĂšre fois, ses cheveux n’ont pas vu un coiffeur depuis quelques temps, ses ongles n’ont pas Ă©tĂ© faits par un professionnel
Elle a cependant fait des efforts pour ĂȘtre sĂ©duisante : un dĂ©colletĂ© bien profond qui laisse entrevoir une grosse poitrine encore appĂ©tissante, des lĂšvres bien rouge qui appellent la bite..
A peine assise -en relevant sa jupe pour me montrer ses cuisses - elle entreprend de raconter ses malheurs, ses difficultĂ©s, ses espoirs déçus
Tout le monde se dĂ©tourne d’elle, ceux qu’elle pensait ĂȘtre ses amis l’abandonnent, elle connaĂźt des difficultĂ©s financiĂšres, elle a besoin de moi, son seul vrai ami

Je la laisse discourir sans l’interrompre, content de voir qu’elle est Ă  ma merci et malgrĂ© tout excitĂ© par ses gros seins qu’elle fait balloter devant mes yeux.
Quand elle s’arrĂȘte de parler en attendant une rĂ©ponse de ma part je lui dit simplement :
« Suce moi »
« Quoi ? Tu n’y penses pas ? »
« Si, suce moi »
AprĂšs quelques instants de rĂ©flexion elle s’agenouille entre mes cuisses Ă©cartĂ©es, dĂ©fait ma ceinture, ouvre ma braguette, descend mon pantalon et mon slip, pour atteindre la bite qui commence Ă  bien bander et qu’elle prend en bouche. D’abord le gland puis toute la hampe. Au moins c’est une bonne suceuse. Elle lĂšche, elle gobe, titille le mĂ©at avec sa langue, englouti l’engin en entier, le garde au fond de sa gorge jusqu’à Ă©touffer - surtout que je lui tiens la tĂȘte bien enfoncĂ©e - , les larmes coulent, son Rimmel aussi.. j’adore. Quand elle interrompt ses mouvements de va et viens je lui frappe le visage avec ma bite, badigeonne de mouille ses lĂšvres de salope, lui rentre tout au fond de la gorge pour lui baiser la bouche comme si c’était une chatte. Je m’excite encore plus en regardant ses gros seins qui s’agitent dans son dĂ©colletĂ©. Vais je essayer la cravate de notaire ? Elle se laisse faire et participe mĂȘme avec ardeur.
Quelle revanche sur cette pimbĂȘche qui m’avait snobĂ©.
Mais ce n’est pas comme ça que je veux jouir. Je la relĂšve, la penche sur le bureau, Ă©carte sa jupe et son slip. Bon seigneur, je lui enduit le trou avec le lubrifiant que j’ai toujours dans un tiroir et je l’encule Ă  fond d’un coĂ»t sec. Elle crie de surprise mais tend son cul pour la saillie. C’est bon. Ma queue est au fond de son trou bien au chaud. Je lime doucement, vite, dedans, dehors
pour y revenir plus fort. Elle rĂ©agit bien, elle gĂ©mit, chaloupe des anches, ne cherche pas Ă  s’échapper. Manifestement elle aime ça. Moi aussi. Je me venge de mes frustrations de jeunesse. Je ne peux pas m’empĂȘcher de l’insulter comme dans les pornos que je produits.
« Prends ça salope.. tu la sentes ma grosse bite, tu la veux..? »
« Oui, oui.. mais pas trop fort, tu le fais mal.. »
Elle halĂšte, moi aussi et je jouis au fond de son cul.
Avec un bruit de mouille trĂšs excitant ma bite sort de son cul et je la lui donne Ă  sucer pour bien la nettoyer.
« Tu es content ? »
« Oui  et je vais t’aider mais naturellement tu devras contribuer »
« Tout ce que tu voudras »
« J’espĂšre bien. VoilĂ  ce que je peux te proposer : la secrĂ©taire qui t’a reçu part en congĂ© maternitĂ© pour trois mois. Je t’offre de la remplacer. Le salaire est bon, le travail facile. Il s’agit de garder le contact avec les acteurs et les techniciens qui participent aux tournages que j’organise. Tu connais le genre des Ɠuvres dont je m’occupe principalement. Tu devras donner de ta personne, aider si un acteur ne bande pas, t’assurer que l’actrice est prĂȘte Ă  recevoir les plus gros calibres, tartiner le lubrifiant, enfiler les capotes s’il y en a   »
«  Je suis prĂȘte »
« Si tu le veux tu pourras augmenter ton revenu en participant à certaines scÚnes. Je te verrai bien dans la série Bourgeoises en gang-bang ou MILFs en banlieue »
« Ah non je n’en suis pas lĂ  quand mĂȘme »
 « On verra. En tout cas tu devras ĂȘtre tout le temps disponible pour satisfaire mes besoins et dorĂ©navant je ne veux plus te voir avec un slip »
« D’accord, d’accord »
« Tu viendras lundi prochain pour que Janine te mette au courant avant de partir en congé »

Le jour dit elle se prĂ©sente dans mon bureau. Assez pimpante en robe lĂ©gĂšre. Je vĂ©rifie qu’elle a bien respectĂ© mes instructions en lui doigtant la chatte qui mouille abondamment et je constate avec plaisir qu’elle a pris la prĂ©caution de se lubrifier l’anus. Elle ronronne en tortillant du cul et bien sĂ»r je ne vais pas laisser passer cette occasion. Je l’invite Ă  sa mettre Ă  genoux sur un des fauteuils et le pantalon aux genoux je l’encule pendant un bon quart d’heure avant d’ĂȘtre dĂ©rangĂ© par un coup de fil intempestif.
Ce sera notre rituel dĂ©sormais : tous les matins, quand je suis au bureau, elle passe Ă  la casserole. Toujours dans le cul, jamais dans la chatte. Je ne veux pas qu’elle jouisse trop facilement. Quelques fois, dans son rĂŽle de parfaite secrĂ©taire il lui arrivera de dĂ©crocher le tĂ©lĂ©phone alors que je suis entrain de la besogner par derriĂšre. Les correspondants ont ils perçus quelque chose dans le son de sa voix quand ils l’entendaient rĂ©pondre « Monsieur est occupé » ? Je ne le saurai jamais.

Un soir je me suis trouvĂ© Ă  dĂźner dans un restaurant oĂč elle Ă©tait elle mĂȘme avec une amie. Je lui ai fait remettre un billet par le serveur l’invitant Ă  me retrouver aux toilettes et j’ai eu le plaisir de la voir immĂ©diatement traverser l’établissement en tortillant du cul sous le regard de tous les hommes prĂ©sents. Je l’ai enculĂ© une bonne demi-heure dans le water des hommes jusqu’à ce que quelqu’un frappe Ă  la porte de maniĂšre insistante. C’était jouissif de sortir avec elle devant le regard surpris de ceux qui attendaient, puis de la voir, de retour Ă  sa table, expliquer Ă  son ami ce qui l’avait retenue si longtemps.

Un autre soir, alors que j’avais Ă©tĂ© absent plusieurs jours, je suis passĂ© dans le studio qu’elle occupait. Elle m’en avait donnĂ© les clefs, pour les besoins du service bien sĂ»r. Entrant sans m’annoncer je l’ai surprise assise sur son canapĂ©-lit, en discussion avec une amie dont je remarque immĂ©diatement l’énorme poitrine. Sans lui laisser le temps de faire les prĂ©sentations je sors ma bite et lui demande de me prĂ©senter son cul pour que je l’encule. L’amie est gĂȘnĂ©e, elle veut s’en aller mais je la retiens en l’invitant Ă  sortir ses seins que je pĂ©tri tout en enculant Marie-France. Contrairement Ă  l’habitude je n’ai pas dĂ©chargĂ© dans son cul mais dans la chatte de l’amie pendant que Marie-France jouissait en se branlant. L’amie en question est par la suite devenue une actrice habituelle de la sĂ©rie Mega Boobs.

Au point de vue travail Marie-France donnait satisfaction. Outre la rĂ©ception des coups de fils et la rĂ©daction de courriers, elle participait aux tournages en pompant les Ă©talons dĂ©faillants - il y en a plus qu’on imagine-, en lĂ©chant la chatte et le cul des actrices qui avaient besoin d’un peu d’excitation avant une scĂšne et plus gĂ©nĂ©ralement en faisant tout le nĂ©cessaire pour que tout se passe bien. Je dois dire qu’elle Ă©tait parfaitement obĂ©issante et pleine de bonne volontĂ©.
Naturellement quand nous recevions des producteurs ou des réalisateurs étrangers elle donnait de sa personne et ne rechignait jamais à pomper toutes les queues qui lui étaient présentées et à offrir ses trous à tous les amateurs.

Evidemment elle devenait de moins en moins inhibĂ©e et de plus en plus salope. A force d’ĂȘtre utilisĂ© son anus s’était Ă©largi et Ă©tait devenu souple comme une chatte. J’avais l’impression qu’il s’ouvrait juste en voyant ma queue. De ce fait quand je lui ai proposĂ© de participer, contre une bonne rĂ©munĂ©ration, Ă  un film de la sĂ©rie Bourgeoises anales elle n’hĂ©sita que pour la forme demandant juste Ă  ĂȘtre bien lubrifiĂ©e. Pour cet Ă©pisode, d’une trentaine de minutes, j’avais particuliĂšrement soignĂ© le scĂ©nario et le choix des protagonistes. La bourgeoise - Marie-France- aguichait deux ouvriers -des africains particuliĂšrement bien montĂ©s - qui venaient chez elle pour entretenir la piscine. Elle se faisait sodomiser sur le bord du bassin quand son mari - moi mĂȘme - la surprenait et la fessait violemment. J’avais prĂ©vu de faire un double anal mais je n’en avais pas prĂ©venu l’actrice.

Le tournage a eu lieu dans la maison de campagne d’un ami qui avait connu Marie-France du temps de sa splendeur et qui s’empressera de raconter Ă  toutes nos connaissances ce qu’elle Ă©tait devenue. J’avais choisi deux acteurs particuliĂšrement bien montĂ©s, l’un Ă©tait un vĂ©ritable colosse alors que l’autre, plutĂŽt petit Ă©tait dotĂ© d’une bite vraiment Ă©norme avec un gland gros comme une petite orange. Sans le dire, je craignais un peu qu’ils dĂ©chirent leur partenaire.
Dans la premiĂšre scĂšne Marie-France recevait les ouvriers piscinistes vĂȘtue d’un bikini blanc vraiment minimaliste qui couvrait Ă  peine ses gros seins dont on voyait la moitiĂ© des aurĂ©oles et les tĂ©tons qui pointaient du bord du tissu. En bas sa motte Ă©tait clairement visible et quand elle se retournait pour guider les ouvriers ils pouvaient admirer ses grosses fesses seulement sĂ©parĂ©es par la ficelle du string.
Dans ces conditions l’action ne pouvait pas tarder. Rapidement Marie-France se retrouve Ă  genoux Ă  pomper les deux queues qui lui sont offertes. Elle y va de bon cƓur mĂȘme si elle rencontre des difficultĂ©s pour prendre en bouche la plus grosse de ces queues. BientĂŽt elle est Ă  quatre pattes dans le gazon pour offrir son cul Ă  monsieur grosse bite qui malgrĂ© ses efforts rencontre des difficultĂ©s pour entrer. Nous sommes obligĂ©s de couper la scĂšne pour beurrer le trou de lubrifiant et l’assouplir Ă  la main. Enfin la tĂȘte est entrĂ©e et le reste suit jusqu’au fond. Grosse bite lime calmement pendant que son compagnon se fait sucer Ă  l’avant. Marie-France supporte le tout dans un Ă©tat second auquel les pilules que je lui ait offert gĂ©nĂ©reusement ne sont sans doute pas Ă©trangĂšres.
Maintenant il faut passer au clou du spectacle : le double anal. C’est dĂ©licat. Grosse bite se couche sur le dos et Marie-France, qui est maintenant bien dilatĂ©e, vient s’empaler sur lui en cow-boy inversĂ©. Elle relĂšve les jambes pour permettre au troisiĂšme larron de s’introduire. C’est fait. Elle est dilatĂ©e au maximum mais, heureusement, pas dĂ©chirĂ©e. Elle a quand mĂȘme les yeux rĂ©vulsĂ©s et le regard dans le vague. Grosse bite qui lime depuis un moment Ă©jacule le premier. Gros plan sur le jus qui suinte du trou de l’actrice entre les bites qui la distendent.
C’est dans cette position que le mari - moi mĂȘme - la dĂ©couvre ! StupĂ©faction, engueulade, injures
 la coupable se retrouve sur mes genoux pour que je lui donne la fessĂ©e qu’elle mĂ©rite. Je ne fais pas semblant, j’y vais de bon cƓur. Son gros cul blanc devient rose, puis rouge, puis carrĂ©ment Ă©carlate. En mĂȘme temps je lui doigte le trou et je finis mĂȘme par y mettre la main toute entiĂšre. C’est sur ce gros plan que la vidĂ©o se termine.

Cependant je ne peux pas m’arrĂȘter sans avoir joui. DĂ©daignant son trou bĂ©ant je lui fourre ma bite dans la bouche et je la baise ainsi sans qu’elle rĂ©agisse vraiment. AprĂšs moi tous les participants au tournage et mĂȘme le propriĂ©taire de la maison se sont jetĂ©s sur elle en une joyeuse mĂȘlĂ©e. Quand ils se sont relevĂ©s Marie-France Ă©tait sans rĂ©action, couverte de foutre et d’ecchymoses. Elle m’aurait presque fait pitiĂ© si je ne l’avais pas connu prĂ©cĂ©demment.

Rapidement aprĂšs cela j’ai perdu de vue Marie-France, son remplacement s’est terminĂ© et je ne l’ai pas renouvelĂ©. J’ai appris qu’elle s’était mis en mĂ©nage avec l’un des africains du tournage, le grand je crois, qu’elle tapinait du cĂŽtĂ© de BarbĂ©s et qu’elle avait jouĂ© dans des films snufs mais ça c’est peut ĂȘtre de la mĂ©disance.
En tout cas ma vengeance Ă©tait accomplie.
a suivre
Published by M-Arena17
7 months ago
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M-Arena17
M-Arena17 Publisher 2 months ago
to Stokinglover69 : Merci. C’est la suite d’une histoire de Bondhard
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Stokinglover69
Stokinglover69 2 months ago
Quelle belle histoire !
J'aime voir cette femme se libérer petit à petit !
Je l'aurai bien emb(r)auchée aussi...
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M-Arena17
M-Arena17 Publisher 5 months ago
to frenchsissyslut : Merci.. c’est la suite d’une excellente histoire de Bonhard 
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frenchsissyslut
frenchsissyslut 5 months ago
:heart::heart::heart::heart::heart::heart:
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juolessx
juolessx 5 months ago
to M-Arena17 : Hi thankyou for responding. How would i go about applying for such a fantastic opportunity of employment. jox
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M-Arena17
M-Arena17 Publisher 5 months ago
to juolessx : You should apply 
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juolessx
juolessx 5 months ago
Well what a very pleasant work environment jo
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farfalle01
farfalle01 7 months ago
Excellent récit
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biroute1 7 months ago
to M-Arena17 : J'ai moi aussi ca vas venir , je bande 
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M-Arena17
M-Arena17 Publisher 7 months ago
to biroute1 : Ça vient ça vient
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biroute1 7 months ago
to M-Arena17 : J'attend la suite la bite Ă  la main , fait moi jouir
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M-Arena17
M-Arena17 Publisher 7 months ago
to biroute1 : C’est le dĂ©but 
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biroute1 7 months ago
J'aime ton récit
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