Marie-France
AprĂšs cette excellente soirĂ©e jâai continuĂ© mes activitĂ©s les plus diverses sans entendre parler de Marie-France.
Jâai reçu la grosse Jacqueline Duval mais je nâai mĂȘme pas eu le goĂ»t de la baiser. Avec ses gros seins flasques et ses cheveux dĂ©colorĂ©s elle ne me faisait vraiment pas envie. Pour lui faire plaisir je lui ai permis de me sucer et je lui ait laissĂ© entrevoir un rĂŽle dans un prochain tournage. Elle a trĂšs bien avalĂ© tout le sperme que je lui ai balancĂ©.
Câest seulement un mois plus tard, que la secrĂ©taire mâannonce quâune dame Daumont souhaitait me voir sans avoir pris rendez-vous. Bien que nâĂ©tant pas particuliĂšrement occupĂ© je lui dit dâannoncer Ă cette personne que jâĂ©tais au tĂ©lĂ©phone mais quâelle serait reçue dâici peu. AprĂšs plus dâune heure, passĂ©e Ă visionner des vidĂ©os pornographiques, cette excellente Marie-France est introduite dans mon bureau. Elle porte toujours beau mais quelques dĂ©tails donnent Ă penser que sa situation ne sâest pas amĂ©liorĂ©e : elle est habillĂ©e du mĂȘme tailleur que la derniĂšre fois, ses cheveux nâont pas vu un coiffeur depuis quelques temps, ses ongles nâont pas Ă©tĂ© faits par un professionnelâŠElle a cependant fait des efforts pour ĂȘtre sĂ©duisante : un dĂ©colletĂ© bien profond qui laisse entrevoir une grosse poitrine encore appĂ©tissante, des lĂšvres bien rouge qui appellent la bite..
A peine assise -en relevant sa jupe pour me montrer ses cuisses - elle entreprend de raconter ses malheurs, ses difficultĂ©s, ses espoirs déçusâŠTout le monde se dĂ©tourne dâelle, ceux quâelle pensait ĂȘtre ses amis lâabandonnent, elle connaĂźt des difficultĂ©s financiĂšres, elle a besoin de moi, son seul vrai amiâŠ
Je la laisse discourir sans lâinterrompre, content de voir quâelle est Ă ma merci et malgrĂ© tout excitĂ© par ses gros seins quâelle fait balloter devant mes yeux.
Quand elle sâarrĂȘte de parler en attendant une rĂ©ponse de ma part je lui dit simplement :
« Suce moi »
« Quoi ? Tu nây penses pas ? »
« Si, suce moi »
AprĂšs quelques instants de rĂ©flexion elle sâagenouille entre mes cuisses Ă©cartĂ©es, dĂ©fait ma ceinture, ouvre ma braguette, descend mon pantalon et mon slip, pour atteindre la bite qui commence Ă bien bander et quâelle prend en bouche. Dâabord le gland puis toute la hampe. Au moins câest une bonne suceuse. Elle lĂšche, elle gobe, titille le mĂ©at avec sa langue, englouti lâengin en entier, le garde au fond de sa gorge jusquâĂ Ă©touffer - surtout que je lui tiens la tĂȘte bien enfoncĂ©e - , les larmes coulent, son Rimmel aussi.. jâadore. Quand elle interrompt ses mouvements de va et viens je lui frappe le visage avec ma bite, badigeonne de mouille ses lĂšvres de salope, lui rentre tout au fond de la gorge pour lui baiser la bouche comme si câĂ©tait une chatte. Je mâexcite encore plus en regardant ses gros seins qui sâagitent dans son dĂ©colletĂ©. Vais je essayer la cravate de notaire ? Elle se laisse faire et participe mĂȘme avec ardeur.
Quelle revanche sur cette pimbĂȘche qui mâavait snobĂ©.
Mais ce nâest pas comme ça que je veux jouir. Je la relĂšve, la penche sur le bureau, Ă©carte sa jupe et son slip. Bon seigneur, je lui enduit le trou avec le lubrifiant que jâai toujours dans un tiroir et je lâencule Ă fond dâun coĂ»t sec. Elle crie de surprise mais tend son cul pour la saillie. Câest bon. Ma queue est au fond de son trou bien au chaud. Je lime doucement, vite, dedans, dehorsâŠpour y revenir plus fort. Elle rĂ©agit bien, elle gĂ©mit, chaloupe des anches, ne cherche pas Ă sâĂ©chapper. Manifestement elle aime ça. Moi aussi. Je me venge de mes frustrations de jeunesse. Je ne peux pas mâempĂȘcher de lâinsulter comme dans les pornos que je produits.
« Prends ça salope.. tu la sentes ma grosse bite, tu la veux..? »
« Oui, oui.. mais pas trop fort, tu le fais mal.. »
Elle halĂšte, moi aussi et je jouis au fond de son cul.
Avec un bruit de mouille trĂšs excitant ma bite sort de son cul et je la lui donne Ă sucer pour bien la nettoyer.
« Tu es content ? »
« Oui et je vais tâaider mais naturellement tu devras contribuer »
« Tout ce que tu voudras »
« JâespĂšre bien. VoilĂ ce que je peux te proposer : la secrĂ©taire qui tâa reçu part en congĂ© maternitĂ© pour trois mois. Je tâoffre de la remplacer. Le salaire est bon, le travail facile. Il sâagit de garder le contact avec les acteurs et les techniciens qui participent aux tournages que jâorganise. Tu connais le genre des Ćuvres dont je mâoccupe principalement. Tu devras donner de ta personne, aider si un acteur ne bande pas, tâassurer que lâactrice est prĂȘte Ă recevoir les plus gros calibres, tartiner le lubrifiant, enfiler les capotes sâil y en a âŠÂ »
« Je suis prĂȘte »
« Si tu le veux tu pourras augmenter ton revenu en participant à certaines scÚnes. Je te verrai bien dans la série Bourgeoises en gang-bang ou MILFs en banlieue »
« Ah non je nâen suis pas lĂ quand mĂȘme »
 « On verra. En tout cas tu devras ĂȘtre tout le temps disponible pour satisfaire mes besoins et dorĂ©navant je ne veux plus te voir avec un slip »
« Dâaccord, dâaccord »
« Tu viendras lundi prochain pour que Janine te mette au courant avant de partir en congé »
Le jour dit elle se prĂ©sente dans mon bureau. Assez pimpante en robe lĂ©gĂšre. Je vĂ©rifie quâelle a bien respectĂ© mes instructions en lui doigtant la chatte qui mouille abondamment et je constate avec plaisir quâelle a pris la prĂ©caution de se lubrifier lâanus. Elle ronronne en tortillant du cul et bien sĂ»r je ne vais pas laisser passer cette occasion. Je lâinvite Ă sa mettre Ă genoux sur un des fauteuils et le pantalon aux genoux je lâencule pendant un bon quart dâheure avant dâĂȘtre dĂ©rangĂ© par un coup de fil intempestif.
Ce sera notre rituel dĂ©sormais : tous les matins, quand je suis au bureau, elle passe Ă la casserole. Toujours dans le cul, jamais dans la chatte. Je ne veux pas quâelle jouisse trop facilement. Quelques fois, dans son rĂŽle de parfaite secrĂ©taire il lui arrivera de dĂ©crocher le tĂ©lĂ©phone alors que je suis entrain de la besogner par derriĂšre. Les correspondants ont ils perçus quelque chose dans le son de sa voix quand ils lâentendaient rĂ©pondre « Monsieur est occupé » ? Je ne le saurai jamais.
Un soir je me suis trouvĂ© Ă dĂźner dans un restaurant oĂč elle Ă©tait elle mĂȘme avec une amie. Je lui ai fait remettre un billet par le serveur lâinvitant Ă me retrouver aux toilettes et jâai eu le plaisir de la voir immĂ©diatement traverser lâĂ©tablissement en tortillant du cul sous le regard de tous les hommes prĂ©sents. Je lâai enculĂ© une bonne demi-heure dans le water des hommes jusquâĂ ce que quelquâun frappe Ă la porte de maniĂšre insistante. CâĂ©tait jouissif de sortir avec elle devant le regard surpris de ceux qui attendaient, puis de la voir, de retour Ă sa table, expliquer Ă son ami ce qui lâavait retenue si longtemps.
Un autre soir, alors que jâavais Ă©tĂ© absent plusieurs jours, je suis passĂ© dans le studio quâelle occupait. Elle mâen avait donnĂ© les clefs, pour les besoins du service bien sĂ»r. Entrant sans mâannoncer je lâai surprise assise sur son canapĂ©-lit, en discussion avec une amie dont je remarque immĂ©diatement lâĂ©norme poitrine. Sans lui laisser le temps de faire les prĂ©sentations je sors ma bite et lui demande de me prĂ©senter son cul pour que je lâencule. Lâamie est gĂȘnĂ©e, elle veut sâen aller mais je la retiens en lâinvitant Ă sortir ses seins que je pĂ©tri tout en enculant Marie-France. Contrairement Ă lâhabitude je nâai pas dĂ©chargĂ© dans son cul mais dans la chatte de lâamie pendant que Marie-France jouissait en se branlant. Lâamie en question est par la suite devenue une actrice habituelle de la sĂ©rie Mega Boobs.
Au point de vue travail Marie-France donnait satisfaction. Outre la rĂ©ception des coups de fils et la rĂ©daction de courriers, elle participait aux tournages en pompant les Ă©talons dĂ©faillants - il y en a plus quâon imagine-, en lĂ©chant la chatte et le cul des actrices qui avaient besoin dâun peu dâexcitation avant une scĂšne et plus gĂ©nĂ©ralement en faisant tout le nĂ©cessaire pour que tout se passe bien. Je dois dire quâelle Ă©tait parfaitement obĂ©issante et pleine de bonne volontĂ©.
Naturellement quand nous recevions des producteurs ou des réalisateurs étrangers elle donnait de sa personne et ne rechignait jamais à pomper toutes les queues qui lui étaient présentées et à offrir ses trous à tous les amateurs.
Evidemment elle devenait de moins en moins inhibĂ©e et de plus en plus salope. A force dâĂȘtre utilisĂ© son anus sâĂ©tait Ă©largi et Ă©tait devenu souple comme une chatte. Jâavais lâimpression quâil sâouvrait juste en voyant ma queue. De ce fait quand je lui ai proposĂ© de participer, contre une bonne rĂ©munĂ©ration, Ă un film de la sĂ©rie Bourgeoises anales elle nâhĂ©sita que pour la forme demandant juste Ă ĂȘtre bien lubrifiĂ©e. Pour cet Ă©pisode, dâune trentaine de minutes, jâavais particuliĂšrement soignĂ© le scĂ©nario et le choix des protagonistes. La bourgeoise - Marie-France- aguichait deux ouvriers -des africains particuliĂšrement bien montĂ©s - qui venaient chez elle pour entretenir la piscine. Elle se faisait sodomiser sur le bord du bassin quand son mari - moi mĂȘme - la surprenait et la fessait violemment. Jâavais prĂ©vu de faire un double anal mais je nâen avais pas prĂ©venu lâactrice.
Le tournage a eu lieu dans la maison de campagne dâun ami qui avait connu Marie-France du temps de sa splendeur et qui sâempressera de raconter Ă toutes nos connaissances ce quâelle Ă©tait devenue. Jâavais choisi deux acteurs particuliĂšrement bien montĂ©s, lâun Ă©tait un vĂ©ritable colosse alors que lâautre, plutĂŽt petit Ă©tait dotĂ© dâune bite vraiment Ă©norme avec un gland gros comme une petite orange. Sans le dire, je craignais un peu quâils dĂ©chirent leur partenaire.
Dans la premiĂšre scĂšne Marie-France recevait les ouvriers piscinistes vĂȘtue dâun bikini blanc vraiment minimaliste qui couvrait Ă peine ses gros seins dont on voyait la moitiĂ© des aurĂ©oles et les tĂ©tons qui pointaient du bord du tissu. En bas sa motte Ă©tait clairement visible et quand elle se retournait pour guider les ouvriers ils pouvaient admirer ses grosses fesses seulement sĂ©parĂ©es par la ficelle du string.
Dans ces conditions lâaction ne pouvait pas tarder. Rapidement Marie-France se retrouve Ă genoux Ă pomper les deux queues qui lui sont offertes. Elle y va de bon cĆur mĂȘme si elle rencontre des difficultĂ©s pour prendre en bouche la plus grosse de ces queues. BientĂŽt elle est Ă quatre pattes dans le gazon pour offrir son cul Ă monsieur grosse bite qui malgrĂ© ses efforts rencontre des difficultĂ©s pour entrer. Nous sommes obligĂ©s de couper la scĂšne pour beurrer le trou de lubrifiant et lâassouplir Ă la main. Enfin la tĂȘte est entrĂ©e et le reste suit jusquâau fond. Grosse bite lime calmement pendant que son compagnon se fait sucer Ă lâavant. Marie-France supporte le tout dans un Ă©tat second auquel les pilules que je lui ait offert gĂ©nĂ©reusement ne sont sans doute pas Ă©trangĂšres.
Maintenant il faut passer au clou du spectacle : le double anal. Câest dĂ©licat. Grosse bite se couche sur le dos et Marie-France, qui est maintenant bien dilatĂ©e, vient sâempaler sur lui en cow-boy inversĂ©. Elle relĂšve les jambes pour permettre au troisiĂšme larron de sâintroduire. Câest fait. Elle est dilatĂ©e au maximum mais, heureusement, pas dĂ©chirĂ©e. Elle a quand mĂȘme les yeux rĂ©vulsĂ©s et le regard dans le vague. Grosse bite qui lime depuis un moment Ă©jacule le premier. Gros plan sur le jus qui suinte du trou de lâactrice entre les bites qui la distendent.
Câest dans cette position que le mari - moi mĂȘme - la dĂ©couvre ! StupĂ©faction, engueulade, injures⊠la coupable se retrouve sur mes genoux pour que je lui donne la fessĂ©e quâelle mĂ©rite. Je ne fais pas semblant, jây vais de bon cĆur. Son gros cul blanc devient rose, puis rouge, puis carrĂ©ment Ă©carlate. En mĂȘme temps je lui doigte le trou et je finis mĂȘme par y mettre la main toute entiĂšre. Câest sur ce gros plan que la vidĂ©o se termine.
Cependant je ne peux pas mâarrĂȘter sans avoir joui. DĂ©daignant son trou bĂ©ant je lui fourre ma bite dans la bouche et je la baise ainsi sans quâelle rĂ©agisse vraiment. AprĂšs moi tous les participants au tournage et mĂȘme le propriĂ©taire de la maison se sont jetĂ©s sur elle en une joyeuse mĂȘlĂ©e. Quand ils se sont relevĂ©s Marie-France Ă©tait sans rĂ©action, couverte de foutre et dâecchymoses. Elle mâaurait presque fait pitiĂ© si je ne lâavais pas connu prĂ©cĂ©demment.
Rapidement aprĂšs cela jâai perdu de vue Marie-France, son remplacement sâest terminĂ© et je ne lâai pas renouvelĂ©. Jâai appris quâelle sâĂ©tait mis en mĂ©nage avec lâun des africains du tournage, le grand je crois, quâelle tapinait du cĂŽtĂ© de BarbĂ©s et quâelle avait jouĂ© dans des films snufs mais ça câest peut ĂȘtre de la mĂ©disance.
En tout cas ma vengeance Ă©tait accomplie.
a suivre
Jâai reçu la grosse Jacqueline Duval mais je nâai mĂȘme pas eu le goĂ»t de la baiser. Avec ses gros seins flasques et ses cheveux dĂ©colorĂ©s elle ne me faisait vraiment pas envie. Pour lui faire plaisir je lui ai permis de me sucer et je lui ait laissĂ© entrevoir un rĂŽle dans un prochain tournage. Elle a trĂšs bien avalĂ© tout le sperme que je lui ai balancĂ©.
Câest seulement un mois plus tard, que la secrĂ©taire mâannonce quâune dame Daumont souhaitait me voir sans avoir pris rendez-vous. Bien que nâĂ©tant pas particuliĂšrement occupĂ© je lui dit dâannoncer Ă cette personne que jâĂ©tais au tĂ©lĂ©phone mais quâelle serait reçue dâici peu. AprĂšs plus dâune heure, passĂ©e Ă visionner des vidĂ©os pornographiques, cette excellente Marie-France est introduite dans mon bureau. Elle porte toujours beau mais quelques dĂ©tails donnent Ă penser que sa situation ne sâest pas amĂ©liorĂ©e : elle est habillĂ©e du mĂȘme tailleur que la derniĂšre fois, ses cheveux nâont pas vu un coiffeur depuis quelques temps, ses ongles nâont pas Ă©tĂ© faits par un professionnelâŠElle a cependant fait des efforts pour ĂȘtre sĂ©duisante : un dĂ©colletĂ© bien profond qui laisse entrevoir une grosse poitrine encore appĂ©tissante, des lĂšvres bien rouge qui appellent la bite..
A peine assise -en relevant sa jupe pour me montrer ses cuisses - elle entreprend de raconter ses malheurs, ses difficultĂ©s, ses espoirs déçusâŠTout le monde se dĂ©tourne dâelle, ceux quâelle pensait ĂȘtre ses amis lâabandonnent, elle connaĂźt des difficultĂ©s financiĂšres, elle a besoin de moi, son seul vrai amiâŠ
Je la laisse discourir sans lâinterrompre, content de voir quâelle est Ă ma merci et malgrĂ© tout excitĂ© par ses gros seins quâelle fait balloter devant mes yeux.
Quand elle sâarrĂȘte de parler en attendant une rĂ©ponse de ma part je lui dit simplement :
« Suce moi »
« Quoi ? Tu nây penses pas ? »
« Si, suce moi »
AprĂšs quelques instants de rĂ©flexion elle sâagenouille entre mes cuisses Ă©cartĂ©es, dĂ©fait ma ceinture, ouvre ma braguette, descend mon pantalon et mon slip, pour atteindre la bite qui commence Ă bien bander et quâelle prend en bouche. Dâabord le gland puis toute la hampe. Au moins câest une bonne suceuse. Elle lĂšche, elle gobe, titille le mĂ©at avec sa langue, englouti lâengin en entier, le garde au fond de sa gorge jusquâĂ Ă©touffer - surtout que je lui tiens la tĂȘte bien enfoncĂ©e - , les larmes coulent, son Rimmel aussi.. jâadore. Quand elle interrompt ses mouvements de va et viens je lui frappe le visage avec ma bite, badigeonne de mouille ses lĂšvres de salope, lui rentre tout au fond de la gorge pour lui baiser la bouche comme si câĂ©tait une chatte. Je mâexcite encore plus en regardant ses gros seins qui sâagitent dans son dĂ©colletĂ©. Vais je essayer la cravate de notaire ? Elle se laisse faire et participe mĂȘme avec ardeur.
Quelle revanche sur cette pimbĂȘche qui mâavait snobĂ©.
Mais ce nâest pas comme ça que je veux jouir. Je la relĂšve, la penche sur le bureau, Ă©carte sa jupe et son slip. Bon seigneur, je lui enduit le trou avec le lubrifiant que jâai toujours dans un tiroir et je lâencule Ă fond dâun coĂ»t sec. Elle crie de surprise mais tend son cul pour la saillie. Câest bon. Ma queue est au fond de son trou bien au chaud. Je lime doucement, vite, dedans, dehorsâŠpour y revenir plus fort. Elle rĂ©agit bien, elle gĂ©mit, chaloupe des anches, ne cherche pas Ă sâĂ©chapper. Manifestement elle aime ça. Moi aussi. Je me venge de mes frustrations de jeunesse. Je ne peux pas mâempĂȘcher de lâinsulter comme dans les pornos que je produits.
« Prends ça salope.. tu la sentes ma grosse bite, tu la veux..? »
« Oui, oui.. mais pas trop fort, tu le fais mal.. »
Elle halĂšte, moi aussi et je jouis au fond de son cul.
Avec un bruit de mouille trĂšs excitant ma bite sort de son cul et je la lui donne Ă sucer pour bien la nettoyer.
« Tu es content ? »
« Oui et je vais tâaider mais naturellement tu devras contribuer »
« Tout ce que tu voudras »
« JâespĂšre bien. VoilĂ ce que je peux te proposer : la secrĂ©taire qui tâa reçu part en congĂ© maternitĂ© pour trois mois. Je tâoffre de la remplacer. Le salaire est bon, le travail facile. Il sâagit de garder le contact avec les acteurs et les techniciens qui participent aux tournages que jâorganise. Tu connais le genre des Ćuvres dont je mâoccupe principalement. Tu devras donner de ta personne, aider si un acteur ne bande pas, tâassurer que lâactrice est prĂȘte Ă recevoir les plus gros calibres, tartiner le lubrifiant, enfiler les capotes sâil y en a âŠÂ »
« Je suis prĂȘte »
« Si tu le veux tu pourras augmenter ton revenu en participant à certaines scÚnes. Je te verrai bien dans la série Bourgeoises en gang-bang ou MILFs en banlieue »
« Ah non je nâen suis pas lĂ quand mĂȘme »
 « On verra. En tout cas tu devras ĂȘtre tout le temps disponible pour satisfaire mes besoins et dorĂ©navant je ne veux plus te voir avec un slip »
« Dâaccord, dâaccord »
« Tu viendras lundi prochain pour que Janine te mette au courant avant de partir en congé »
Le jour dit elle se prĂ©sente dans mon bureau. Assez pimpante en robe lĂ©gĂšre. Je vĂ©rifie quâelle a bien respectĂ© mes instructions en lui doigtant la chatte qui mouille abondamment et je constate avec plaisir quâelle a pris la prĂ©caution de se lubrifier lâanus. Elle ronronne en tortillant du cul et bien sĂ»r je ne vais pas laisser passer cette occasion. Je lâinvite Ă sa mettre Ă genoux sur un des fauteuils et le pantalon aux genoux je lâencule pendant un bon quart dâheure avant dâĂȘtre dĂ©rangĂ© par un coup de fil intempestif.
Ce sera notre rituel dĂ©sormais : tous les matins, quand je suis au bureau, elle passe Ă la casserole. Toujours dans le cul, jamais dans la chatte. Je ne veux pas quâelle jouisse trop facilement. Quelques fois, dans son rĂŽle de parfaite secrĂ©taire il lui arrivera de dĂ©crocher le tĂ©lĂ©phone alors que je suis entrain de la besogner par derriĂšre. Les correspondants ont ils perçus quelque chose dans le son de sa voix quand ils lâentendaient rĂ©pondre « Monsieur est occupé » ? Je ne le saurai jamais.
Un soir je me suis trouvĂ© Ă dĂźner dans un restaurant oĂč elle Ă©tait elle mĂȘme avec une amie. Je lui ai fait remettre un billet par le serveur lâinvitant Ă me retrouver aux toilettes et jâai eu le plaisir de la voir immĂ©diatement traverser lâĂ©tablissement en tortillant du cul sous le regard de tous les hommes prĂ©sents. Je lâai enculĂ© une bonne demi-heure dans le water des hommes jusquâĂ ce que quelquâun frappe Ă la porte de maniĂšre insistante. CâĂ©tait jouissif de sortir avec elle devant le regard surpris de ceux qui attendaient, puis de la voir, de retour Ă sa table, expliquer Ă son ami ce qui lâavait retenue si longtemps.
Un autre soir, alors que jâavais Ă©tĂ© absent plusieurs jours, je suis passĂ© dans le studio quâelle occupait. Elle mâen avait donnĂ© les clefs, pour les besoins du service bien sĂ»r. Entrant sans mâannoncer je lâai surprise assise sur son canapĂ©-lit, en discussion avec une amie dont je remarque immĂ©diatement lâĂ©norme poitrine. Sans lui laisser le temps de faire les prĂ©sentations je sors ma bite et lui demande de me prĂ©senter son cul pour que je lâencule. Lâamie est gĂȘnĂ©e, elle veut sâen aller mais je la retiens en lâinvitant Ă sortir ses seins que je pĂ©tri tout en enculant Marie-France. Contrairement Ă lâhabitude je nâai pas dĂ©chargĂ© dans son cul mais dans la chatte de lâamie pendant que Marie-France jouissait en se branlant. Lâamie en question est par la suite devenue une actrice habituelle de la sĂ©rie Mega Boobs.
Au point de vue travail Marie-France donnait satisfaction. Outre la rĂ©ception des coups de fils et la rĂ©daction de courriers, elle participait aux tournages en pompant les Ă©talons dĂ©faillants - il y en a plus quâon imagine-, en lĂ©chant la chatte et le cul des actrices qui avaient besoin dâun peu dâexcitation avant une scĂšne et plus gĂ©nĂ©ralement en faisant tout le nĂ©cessaire pour que tout se passe bien. Je dois dire quâelle Ă©tait parfaitement obĂ©issante et pleine de bonne volontĂ©.
Naturellement quand nous recevions des producteurs ou des réalisateurs étrangers elle donnait de sa personne et ne rechignait jamais à pomper toutes les queues qui lui étaient présentées et à offrir ses trous à tous les amateurs.
Evidemment elle devenait de moins en moins inhibĂ©e et de plus en plus salope. A force dâĂȘtre utilisĂ© son anus sâĂ©tait Ă©largi et Ă©tait devenu souple comme une chatte. Jâavais lâimpression quâil sâouvrait juste en voyant ma queue. De ce fait quand je lui ai proposĂ© de participer, contre une bonne rĂ©munĂ©ration, Ă un film de la sĂ©rie Bourgeoises anales elle nâhĂ©sita que pour la forme demandant juste Ă ĂȘtre bien lubrifiĂ©e. Pour cet Ă©pisode, dâune trentaine de minutes, jâavais particuliĂšrement soignĂ© le scĂ©nario et le choix des protagonistes. La bourgeoise - Marie-France- aguichait deux ouvriers -des africains particuliĂšrement bien montĂ©s - qui venaient chez elle pour entretenir la piscine. Elle se faisait sodomiser sur le bord du bassin quand son mari - moi mĂȘme - la surprenait et la fessait violemment. Jâavais prĂ©vu de faire un double anal mais je nâen avais pas prĂ©venu lâactrice.
Le tournage a eu lieu dans la maison de campagne dâun ami qui avait connu Marie-France du temps de sa splendeur et qui sâempressera de raconter Ă toutes nos connaissances ce quâelle Ă©tait devenue. Jâavais choisi deux acteurs particuliĂšrement bien montĂ©s, lâun Ă©tait un vĂ©ritable colosse alors que lâautre, plutĂŽt petit Ă©tait dotĂ© dâune bite vraiment Ă©norme avec un gland gros comme une petite orange. Sans le dire, je craignais un peu quâils dĂ©chirent leur partenaire.
Dans la premiĂšre scĂšne Marie-France recevait les ouvriers piscinistes vĂȘtue dâun bikini blanc vraiment minimaliste qui couvrait Ă peine ses gros seins dont on voyait la moitiĂ© des aurĂ©oles et les tĂ©tons qui pointaient du bord du tissu. En bas sa motte Ă©tait clairement visible et quand elle se retournait pour guider les ouvriers ils pouvaient admirer ses grosses fesses seulement sĂ©parĂ©es par la ficelle du string.
Dans ces conditions lâaction ne pouvait pas tarder. Rapidement Marie-France se retrouve Ă genoux Ă pomper les deux queues qui lui sont offertes. Elle y va de bon cĆur mĂȘme si elle rencontre des difficultĂ©s pour prendre en bouche la plus grosse de ces queues. BientĂŽt elle est Ă quatre pattes dans le gazon pour offrir son cul Ă monsieur grosse bite qui malgrĂ© ses efforts rencontre des difficultĂ©s pour entrer. Nous sommes obligĂ©s de couper la scĂšne pour beurrer le trou de lubrifiant et lâassouplir Ă la main. Enfin la tĂȘte est entrĂ©e et le reste suit jusquâau fond. Grosse bite lime calmement pendant que son compagnon se fait sucer Ă lâavant. Marie-France supporte le tout dans un Ă©tat second auquel les pilules que je lui ait offert gĂ©nĂ©reusement ne sont sans doute pas Ă©trangĂšres.
Maintenant il faut passer au clou du spectacle : le double anal. Câest dĂ©licat. Grosse bite se couche sur le dos et Marie-France, qui est maintenant bien dilatĂ©e, vient sâempaler sur lui en cow-boy inversĂ©. Elle relĂšve les jambes pour permettre au troisiĂšme larron de sâintroduire. Câest fait. Elle est dilatĂ©e au maximum mais, heureusement, pas dĂ©chirĂ©e. Elle a quand mĂȘme les yeux rĂ©vulsĂ©s et le regard dans le vague. Grosse bite qui lime depuis un moment Ă©jacule le premier. Gros plan sur le jus qui suinte du trou de lâactrice entre les bites qui la distendent.
Câest dans cette position que le mari - moi mĂȘme - la dĂ©couvre ! StupĂ©faction, engueulade, injures⊠la coupable se retrouve sur mes genoux pour que je lui donne la fessĂ©e quâelle mĂ©rite. Je ne fais pas semblant, jây vais de bon cĆur. Son gros cul blanc devient rose, puis rouge, puis carrĂ©ment Ă©carlate. En mĂȘme temps je lui doigte le trou et je finis mĂȘme par y mettre la main toute entiĂšre. Câest sur ce gros plan que la vidĂ©o se termine.
Cependant je ne peux pas mâarrĂȘter sans avoir joui. DĂ©daignant son trou bĂ©ant je lui fourre ma bite dans la bouche et je la baise ainsi sans quâelle rĂ©agisse vraiment. AprĂšs moi tous les participants au tournage et mĂȘme le propriĂ©taire de la maison se sont jetĂ©s sur elle en une joyeuse mĂȘlĂ©e. Quand ils se sont relevĂ©s Marie-France Ă©tait sans rĂ©action, couverte de foutre et dâecchymoses. Elle mâaurait presque fait pitiĂ© si je ne lâavais pas connu prĂ©cĂ©demment.
Rapidement aprĂšs cela jâai perdu de vue Marie-France, son remplacement sâest terminĂ© et je ne lâai pas renouvelĂ©. Jâai appris quâelle sâĂ©tait mis en mĂ©nage avec lâun des africains du tournage, le grand je crois, quâelle tapinait du cĂŽtĂ© de BarbĂ©s et quâelle avait jouĂ© dans des films snufs mais ça câest peut ĂȘtre de la mĂ©disance.
En tout cas ma vengeance Ă©tait accomplie.
a suivre
7 months ago
J'aime voir cette femme se libérer petit à petit !
Je l'aurai bien emb(r)auchée aussi...