Chapitre 1 Sabrina – Présentation
Milf – ennuie - infidélité - cocu - fellation
Après mes études en fac, je n'avais qu'un objectif : réussir dans la vie. J'ai œuvré pour gravir les marches et évoluer dans ma carrière professionnelle. Certains diraient peut-être : « elle a su y faire, elle a tout donné ». J'avoue y avoir cru longtemps. Les premières années, j'ai pris du gallon : pas toujours dû au mérite. Je fermai les yeux sur des regards insistant, sur des mains baladeuses aussi. Un jour j'ai refusé les avances de mon patron. En fin de mois je touchai mon solde tous compte. La dure réalité de la vie me sautait à la gorge.
Plus tard j'ai connu l'homme qui allait me mettre la bague au doigt ; on s'est marié rapidement et il m'a donné 2 beaux enfants. Passé la période « poupon », j'ai repris le travail mais avec beaucoup moins d'entrain. Quelque chose était cassé en moi. Les difficultés de la vie, le poids des années qui passent, la fatigue des journées et petit à petit la fraîcheur de notre couple s'est volatilisé. Mon homme a rapidement perdu de sa superbe.
Aujourd'hui … je m'emmerde à ses côtés. Il me fait l'amour (presque par obligation) tous les samedi soir : un long baiser en guise de préliminaire, un missionnaire à la va-vite … quand il est en forme j'ai droit à 5 minutes de cuni et pour la saint Valentin et les anniversaires, c'est sodomie avec du gel Durex. Triste sexualité non ? Je ne le suce même plus (il n'aime pas ça). Dommage pour lui, il paraît que je suis assez douée. Dans la vie, mon Loulou est devenu ennuyeux. Pourtant je l'aime, mais la flamme a disparue.
Parfois il m'arrive de laisser ma main divaguer dans la baignoire … Je rêve de mon homme, qu'il me surprenne et me baise sauvagement. Pur fantasme, je sais qu'il en est bien incapable.
Que vous dire d'autre sur moi. Je n'ai pas vraiment la fibre maternelle : juste ce qu'il faut, rien de plus. Avec son travail, mon Loulou est souvent absent et je me retrouve seule à la maison avec les filles. Enfin ça s'était avant. Depuis cette année, elles sont en internat à quelques dizaines de kilomètres de chez nous. Je les amène le lundi et Loulou revient avec le vendredi soir quand il rentre de sa tournée. Toute la semaine je suis seule … heureusement, j'ai mon travail pour éviter l'ennui.
Au travail, il y avait un homme qui me regardait bizarrement. Le genre d’œillade discrète avec un petit sourire qui en dit long. Ses yeux me parlaient et me disait quelque chose du genre : « si t'étais une pomme, je te croquerai ». Comme a mon habitude je réagissais avec la chaleur de la banquise et en le fixant droit dans les yeux. Cette espèce de petit coq, si tu ne lui montres pas qui est le chef, il te bouffe toute cru. Au boulot j'ai ma réputation à tenir … ils sont tous au garde à vous ! Hors de question que celui-ci déroge à la règle.
Un soir, j'étais sur le parking et au moment de partir, j'ai vu cette roue crevée. J'ai sorti le cric, la roue de secours … la pluie est tombée, le cric a glissé … une pièce de l'étrier en a pris un coup. Je n'ai pas tout compris mais j'étais pleine de cambouis, trempée jusqu'aux os et … il était là à me regarder. Le mufle prenait son pied à observer une femme changer sa roue dans les pires conditions. J'étais furax et … oh surprise, il est venu à moi avec un parapluie. Je n'en revenai pas, le mufle se changeait en prince charmant. J'ai eu droit aux vannes douteuses amplis de sexisme. Puis l'orage ayant passé, il a regardé ma roue d'une façon septique. « Surtout ne rien toucher et faire appel à un professionnel ». Il suspectait de la casse. Contre toute attente, il m'a tendu une serviette propre pour me sécher ainsi qu'un produit pour nettoyer mes mains. Le cambouis sur la serviette blanche … j'avais osé. Il a insisté pour me ramener chez moi.
Le premier vrai contact était pris, et il connaissait mon adresse. La semaine suivante il est passé chez moi pour prendre une bière et récupérer sa serviette, celle d'après il me faisait du bricolage dans le garage et il a eu sa première pipe. Je m'en rappel comme si c'était hier. J'étais face à lui, je l'ai poussé sur la voiture. Il a posé ses petites fesses sur la carrosserie et je lui ai mis une main au panier. Nos yeux étaient scotchés l'un à l'autre. J'ai plié les genoux tout en écartant largement les cuisses et j'ai embouché son monstre. Hummm ; un bon gros gland sur ma langue. Des années que j'avais pas taillé une pipe et … c'est comme le vélo. Quand tu sais en faire, même après des années d'abstinence ça revient immédiatement. Visiblement il a apprécié. Pas un bruit, et nos yeux se parlaient. J'avais mon regard de salope et il m'a craché la purée au fond du gosier. J'ai tout avalé puis je suis remonté le long de son corps, je lui ai roulé une pelle … je l'ai ensuite repoussé et je l'ai planté là, son short et son slip sur les chevilles. Le pauvre avait l'air con !
Dix minutes plus tard il m'a retrouvé au salon. Il en disait rien. Il a posé la caisse à outils par terre puis il m'a empoigné par les cheveux et m'a jeté sur le canapé. J'ai eu peur. Il s'est plaqué à moi et m'a coincé sur l’accoudoir. Il m'a peloté les nichon et mis la main dans la culotte. Il a doigté mon clito, mes gémissements ont commencé à être de plus en plus fort jusqu'au moment où … il s'est brusquement relevé.
J'ai presque fini mais pas tout à fait. C'était un avant goût … presque terminé mais pas tout à fait. Je dois y aller. Si tu veux conclure, il faudra attendre la semaine prochaine. A toi de me dire si tu veux de moi ou non. La prochaine fois j'irai jusqu'au bout, promis.
Tu parles de quoi ?
Devines.
Très ambiguë comme langage. Le coq reprenais du terrain. J'avais affaire à un mâle dominant, pas vraiment habitué à cette situation. On a certainement brûlé des étapes. Chacun y a trouvé son compte. Une relation très sexuelle.
J'avais des manques à combler et il a su analyser la situation. Roméo fait partie de ces hommes … télépathes. Il me regarde, reste immobile et lit dans mes pensées. Concernant la bagatelle, il sait où mettre ses mains, faire glisser ses doigts, frôler ma peau, caresser le galbe d'un sein, dessiner le contour de mes aréoles, puis prendre un téton et le faire rouler entre ses doigts. La pression ni trop forte ni trop faible : toujours le juste dosage ; il frôle la perfection dans ce domaine. J'adore quand il tire dessus puis les relâche et lance une chiquenaude tout en me regardant droit dans les yeux. Un bon mâle dominant.
La première fois, il m'a fait jouir rien qu'en me triturant les seins. Mon 95 C le fait bander comme un mort. Quand je suis excité, mes tétons grossissent, s'allongent et deviennent dur comme de la pierre. Entre des mains expertes, ma culotte s’inonde et je pense même pouvoir en jouir. En fait c'est ce qu'il s'est passé. Je me suis liquéfié sous ses doigts habiles. Il a joué avec mes bout de seins. J'ai crié quand il me les a mordillé … j'ai serré les cuisses et j'ai senti cette chaleur venir de mon ventre. Les yeux clos, j'ai exprimé mon plaisir dans un gémissements lancinant : une belle petite mort … je m'en souviens encore.
Juste après la honte devait se lire sur mon visage, il m'a serré très fort entre ses bras et à cet instant précis j'ai su que notre histoire n'était pas juste un déra page mais le début d'une belle relation qui allait me surprendre.
Il est plus jeune que moi et j'adore sa fougue, son attention, sa façon de me retourner les sens. Dans ses bras je me sens femme. Il n'est pas plus membré que mon Loulou, mais il est à l'écoute de mes envies, de mon corps, de mes sens. Un jour il m'a dit …
Le corps d'une femme, c'est comme un piano. Inutile de taper dessus comme un bourrin, il faut y aller avec doigté, faire vibrer les cordes, jouer avec toutes les notes et chercher la mélodie qui égaye les oreilles.
C'est exactement ce qu'il fait. Quand il a fait connaissance avec mon lit, les préliminaires ont duré des heures. J'ai bien cru qu'il ne me prendrait jamais. Quand enfin j'ai senti sa queue en moi, il m'avait déjà fait jouir deux ou trois fois sous ses doigts et sa bouche. Avec Roméo, l'orgasme est là à chaque fois. De mémoire, Loulou ne m'en donne pas tous les ans. Parfois je fais semblant ça lui fait plaisir mais en fait … rien.
Je … j'avoue, Roméo est un peu télépathe, et un peu magicien. Dans la vie, je suis une salope. N'ayons pas peur des mots. Tous me craignent, et à juste titre. Dans l'intimité, Roméo a su déceler en moi cette salope qui sommeillait. Loulou n'a pas su la trouver, mon amant l'a révèlé. Je suis sa chienne, sa salope, sa petite pute chérie. Il me traite comme il se doit et me parle mal dans le feu de l'action. J'adore. En dehors de nos galipettes, tout reviens à la normal et chacun se conduit parfaitement bien.
Quand il me prend en levrette, qu'il enroule mes cheveux sur sa main, me tire la tête en arrière et qu'il me lance de violents coups de reins : c'est le pied ! La salope dans toute sa splendeur se met alors à gigoter, enfoncée sur sa queue et rapidement j'hurle mon plaisir, le traitant d'enfoiré, de salop … à son tour il me traite de pute et je geins sous ses coups de boutoir. Il aime les sucettes0, et souvent je lui fais ce plaisir. Le top, c'est quand il me crache tout dans la bouche et que je lui montre avant d'avaler. Il rebande et on peut alors recommencer en salle de jeux.
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Roméo m'a beaucoup parlé de sa chérie ... Sabrina. Elle est envoutante alors n'hésitez pas à aller voir son joli minois.
Après mes études en fac, je n'avais qu'un objectif : réussir dans la vie. J'ai œuvré pour gravir les marches et évoluer dans ma carrière professionnelle. Certains diraient peut-être : « elle a su y faire, elle a tout donné ». J'avoue y avoir cru longtemps. Les premières années, j'ai pris du gallon : pas toujours dû au mérite. Je fermai les yeux sur des regards insistant, sur des mains baladeuses aussi. Un jour j'ai refusé les avances de mon patron. En fin de mois je touchai mon solde tous compte. La dure réalité de la vie me sautait à la gorge.
Plus tard j'ai connu l'homme qui allait me mettre la bague au doigt ; on s'est marié rapidement et il m'a donné 2 beaux enfants. Passé la période « poupon », j'ai repris le travail mais avec beaucoup moins d'entrain. Quelque chose était cassé en moi. Les difficultés de la vie, le poids des années qui passent, la fatigue des journées et petit à petit la fraîcheur de notre couple s'est volatilisé. Mon homme a rapidement perdu de sa superbe.
Aujourd'hui … je m'emmerde à ses côtés. Il me fait l'amour (presque par obligation) tous les samedi soir : un long baiser en guise de préliminaire, un missionnaire à la va-vite … quand il est en forme j'ai droit à 5 minutes de cuni et pour la saint Valentin et les anniversaires, c'est sodomie avec du gel Durex. Triste sexualité non ? Je ne le suce même plus (il n'aime pas ça). Dommage pour lui, il paraît que je suis assez douée. Dans la vie, mon Loulou est devenu ennuyeux. Pourtant je l'aime, mais la flamme a disparue.
Parfois il m'arrive de laisser ma main divaguer dans la baignoire … Je rêve de mon homme, qu'il me surprenne et me baise sauvagement. Pur fantasme, je sais qu'il en est bien incapable.
Que vous dire d'autre sur moi. Je n'ai pas vraiment la fibre maternelle : juste ce qu'il faut, rien de plus. Avec son travail, mon Loulou est souvent absent et je me retrouve seule à la maison avec les filles. Enfin ça s'était avant. Depuis cette année, elles sont en internat à quelques dizaines de kilomètres de chez nous. Je les amène le lundi et Loulou revient avec le vendredi soir quand il rentre de sa tournée. Toute la semaine je suis seule … heureusement, j'ai mon travail pour éviter l'ennui.
Au travail, il y avait un homme qui me regardait bizarrement. Le genre d’œillade discrète avec un petit sourire qui en dit long. Ses yeux me parlaient et me disait quelque chose du genre : « si t'étais une pomme, je te croquerai ». Comme a mon habitude je réagissais avec la chaleur de la banquise et en le fixant droit dans les yeux. Cette espèce de petit coq, si tu ne lui montres pas qui est le chef, il te bouffe toute cru. Au boulot j'ai ma réputation à tenir … ils sont tous au garde à vous ! Hors de question que celui-ci déroge à la règle.
Un soir, j'étais sur le parking et au moment de partir, j'ai vu cette roue crevée. J'ai sorti le cric, la roue de secours … la pluie est tombée, le cric a glissé … une pièce de l'étrier en a pris un coup. Je n'ai pas tout compris mais j'étais pleine de cambouis, trempée jusqu'aux os et … il était là à me regarder. Le mufle prenait son pied à observer une femme changer sa roue dans les pires conditions. J'étais furax et … oh surprise, il est venu à moi avec un parapluie. Je n'en revenai pas, le mufle se changeait en prince charmant. J'ai eu droit aux vannes douteuses amplis de sexisme. Puis l'orage ayant passé, il a regardé ma roue d'une façon septique. « Surtout ne rien toucher et faire appel à un professionnel ». Il suspectait de la casse. Contre toute attente, il m'a tendu une serviette propre pour me sécher ainsi qu'un produit pour nettoyer mes mains. Le cambouis sur la serviette blanche … j'avais osé. Il a insisté pour me ramener chez moi.
Le premier vrai contact était pris, et il connaissait mon adresse. La semaine suivante il est passé chez moi pour prendre une bière et récupérer sa serviette, celle d'après il me faisait du bricolage dans le garage et il a eu sa première pipe. Je m'en rappel comme si c'était hier. J'étais face à lui, je l'ai poussé sur la voiture. Il a posé ses petites fesses sur la carrosserie et je lui ai mis une main au panier. Nos yeux étaient scotchés l'un à l'autre. J'ai plié les genoux tout en écartant largement les cuisses et j'ai embouché son monstre. Hummm ; un bon gros gland sur ma langue. Des années que j'avais pas taillé une pipe et … c'est comme le vélo. Quand tu sais en faire, même après des années d'abstinence ça revient immédiatement. Visiblement il a apprécié. Pas un bruit, et nos yeux se parlaient. J'avais mon regard de salope et il m'a craché la purée au fond du gosier. J'ai tout avalé puis je suis remonté le long de son corps, je lui ai roulé une pelle … je l'ai ensuite repoussé et je l'ai planté là, son short et son slip sur les chevilles. Le pauvre avait l'air con !
Dix minutes plus tard il m'a retrouvé au salon. Il en disait rien. Il a posé la caisse à outils par terre puis il m'a empoigné par les cheveux et m'a jeté sur le canapé. J'ai eu peur. Il s'est plaqué à moi et m'a coincé sur l’accoudoir. Il m'a peloté les nichon et mis la main dans la culotte. Il a doigté mon clito, mes gémissements ont commencé à être de plus en plus fort jusqu'au moment où … il s'est brusquement relevé.
J'ai presque fini mais pas tout à fait. C'était un avant goût … presque terminé mais pas tout à fait. Je dois y aller. Si tu veux conclure, il faudra attendre la semaine prochaine. A toi de me dire si tu veux de moi ou non. La prochaine fois j'irai jusqu'au bout, promis.
Tu parles de quoi ?
Devines.
Très ambiguë comme langage. Le coq reprenais du terrain. J'avais affaire à un mâle dominant, pas vraiment habitué à cette situation. On a certainement brûlé des étapes. Chacun y a trouvé son compte. Une relation très sexuelle.
J'avais des manques à combler et il a su analyser la situation. Roméo fait partie de ces hommes … télépathes. Il me regarde, reste immobile et lit dans mes pensées. Concernant la bagatelle, il sait où mettre ses mains, faire glisser ses doigts, frôler ma peau, caresser le galbe d'un sein, dessiner le contour de mes aréoles, puis prendre un téton et le faire rouler entre ses doigts. La pression ni trop forte ni trop faible : toujours le juste dosage ; il frôle la perfection dans ce domaine. J'adore quand il tire dessus puis les relâche et lance une chiquenaude tout en me regardant droit dans les yeux. Un bon mâle dominant.
La première fois, il m'a fait jouir rien qu'en me triturant les seins. Mon 95 C le fait bander comme un mort. Quand je suis excité, mes tétons grossissent, s'allongent et deviennent dur comme de la pierre. Entre des mains expertes, ma culotte s’inonde et je pense même pouvoir en jouir. En fait c'est ce qu'il s'est passé. Je me suis liquéfié sous ses doigts habiles. Il a joué avec mes bout de seins. J'ai crié quand il me les a mordillé … j'ai serré les cuisses et j'ai senti cette chaleur venir de mon ventre. Les yeux clos, j'ai exprimé mon plaisir dans un gémissements lancinant : une belle petite mort … je m'en souviens encore.
Juste après la honte devait se lire sur mon visage, il m'a serré très fort entre ses bras et à cet instant précis j'ai su que notre histoire n'était pas juste un déra page mais le début d'une belle relation qui allait me surprendre.
Il est plus jeune que moi et j'adore sa fougue, son attention, sa façon de me retourner les sens. Dans ses bras je me sens femme. Il n'est pas plus membré que mon Loulou, mais il est à l'écoute de mes envies, de mon corps, de mes sens. Un jour il m'a dit …
Le corps d'une femme, c'est comme un piano. Inutile de taper dessus comme un bourrin, il faut y aller avec doigté, faire vibrer les cordes, jouer avec toutes les notes et chercher la mélodie qui égaye les oreilles.
C'est exactement ce qu'il fait. Quand il a fait connaissance avec mon lit, les préliminaires ont duré des heures. J'ai bien cru qu'il ne me prendrait jamais. Quand enfin j'ai senti sa queue en moi, il m'avait déjà fait jouir deux ou trois fois sous ses doigts et sa bouche. Avec Roméo, l'orgasme est là à chaque fois. De mémoire, Loulou ne m'en donne pas tous les ans. Parfois je fais semblant ça lui fait plaisir mais en fait … rien.
Je … j'avoue, Roméo est un peu télépathe, et un peu magicien. Dans la vie, je suis une salope. N'ayons pas peur des mots. Tous me craignent, et à juste titre. Dans l'intimité, Roméo a su déceler en moi cette salope qui sommeillait. Loulou n'a pas su la trouver, mon amant l'a révèlé. Je suis sa chienne, sa salope, sa petite pute chérie. Il me traite comme il se doit et me parle mal dans le feu de l'action. J'adore. En dehors de nos galipettes, tout reviens à la normal et chacun se conduit parfaitement bien.
Quand il me prend en levrette, qu'il enroule mes cheveux sur sa main, me tire la tête en arrière et qu'il me lance de violents coups de reins : c'est le pied ! La salope dans toute sa splendeur se met alors à gigoter, enfoncée sur sa queue et rapidement j'hurle mon plaisir, le traitant d'enfoiré, de salop … à son tour il me traite de pute et je geins sous ses coups de boutoir. Il aime les sucettes0, et souvent je lui fais ce plaisir. Le top, c'est quand il me crache tout dans la bouche et que je lui montre avant d'avaler. Il rebande et on peut alors recommencer en salle de jeux.
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Roméo m'a beaucoup parlé de sa chérie ... Sabrina. Elle est envoutante alors n'hésitez pas à aller voir son joli minois.
7 months ago