Dépannage mutuel.
Ce dimanche de fin d’été le temps est magnifique, je décide monter à Tejeda, un village typique dans la montagne ou ils font des pâtisseries à base d’amende délicieuses et vendent du fromage de chèvre que j’adore. Comme il fait un peu plus frais en montagne j’en profite pour porter des bas couture noirs bien tendus par un porte-jarretelles à 6 sangles de dentelle noire sous un ensemble moulant jupe courte et top à manche longue en laine blanche. Après une trentaine de kilomètres de route étroite et sinueuse un voyant rouge s’allume et l’ordi de bord me dit de m’arrêter dès que possible, je trouve un terre-plein et stoppe le moteur, la voiture sent le chaud. J’appelle le service dépannage de mon assurance qui me dit qu’ils m’envoient une dépanneuse dans une vingtaine de minutes. Le camion arrive, le mécanicien me salut en disant ;
-Monsieur Jean est là ?
-Oui, c’est moi
Surpris il me regarde de la tête aux pieds
-Vous êtes une tra...travestie ? balbutie-t-il
-Oui, maintenant je suis Juanita mais mes papiers sont toujours avec mon prénom de naissance, il y a un problème ?
-Non, non c’est juste la surprise, c’est la première fois que je vois une vraie travestie.
-Une vraie ? Pourquoi il y en a des fausses ? Dis-je en riant.
-Ce n’est pas ce que je veux dire, je n’ai jamais vu de travestie en chair et en os, seulement en films pornos.
Il ouvre le capot, fait quelques vérifications puis me dit ;
-Ce n’est pas très grave, une courroie défectueuse, il faut emmener la voiture au garage.
Il monte la voiture sur le camion et me dit de monter dans le camion, ma jupe serrée j’ai un peu de mal à monter sans laisser voir le haut de mes cuisses et les sangles du porte-jarretelles. Il me regarde amusé et visiblement excité, la route est étroite, j’ai peur qu’on aille au fossé car en conduisant il regarde plus mes cuisses que la route.
-Comme ça tu regardes des films porno de travesties dis-je pour rompre le silence.
-oui quand ma femme a ses règles ou qu’on s’engueule et qu’elle me prive de sexe, je e masturbe seul en regardant du porno et ceux de travesties m’émoustillent.
-Où va-t-on ?
-Au garage mais c’est dimanche il est fermé je ne suis de garde que pour le camion, je ne pourrais réparer que demain.
-Tu ne ferais pas une exception pour une gentille travestie ? Dis-je en mettant un pied sur le tableau de bord découvrant mes cuisses jusqu’à ma culotte et en pensant “Quelle salope je suis”, j’aime allumer les mecs, ça m’excite.
-Euh... je ne sais pas répond-t-il troublé.
-Si tu me dépannes la voiture je te dépanne sexuellement dis-je profitant de son trouble en posant ma main sur sa braguette.
-Tu le ferais vraiment ? Demande-t-il en lançant sa main entre mes cuisses.
-Oui, mais garde les mains sur le volant, ce n’est pas le moment d’avoir un accident.
Pour lui montrer que je le dis en sérieux je déboutonne sa braguette et mets ma main dans son slip et en sors une bite pas très grande mais déjà bien raide, je le branle un peu puis me couche sur la banquette pour prendre sa queue entre mes lèvres, je le suce goulument il ne résiste pas très longtemps et éjacule avant même d’arriver au garage. Pour s’excuser d’avoir jouit si vite il dit tout penaud ;
-C’est vrai ce qu’on dit, les travesties sucent mieux que les femmes.
-C’est parce que j’adore le sperme dis-je en me léchant les babines la bouche encore pleine de sperme.
Pendant qu’il rentre le camion et ferme le rideau, je quitte ma petite culotte et la lui lance au visage, il la sent et se frotte avec en poussant un “humm” puis il descend la voiture du plateau, je reste assise sur la banquette du camion, la portière ouverte avec les jambes pendant dans le vide regardant ce qu’il fait. Il ouvre le capot puis s’approche en disant ;
-Il faut laisser refroidir un peu le moteur pour pouvoir travailler, en même temps qu’il pose sa main sur ma cuisse, remonte sous ma jupe et caresse ma bite.
-Tu crois que ce moteur est à bonne température pour le travailler ? Dis-je en riant.
-Il est très doux et chaud, c’est agréable et quel engin, elle est énorme dit-il en me masturbant d’une main et remontant ma jupe de l’autre pour découvrir ma queue.
-Tu as envie de la sucer ?
-Dans les films ça m’a toujours excité voir qu’ils ont beaucoup de plaisir à le faire j’aimerais bien essayer.
-Ne te gênes pas, ça fait partie du dépannage et j’adore me faire sucer.
Il se met à me sucer gauchement, je prends sa tête pour guider sa fellation, le faisant jouer seulement avec mon gland avant d’appuyer pour lui mettre toute ma bite dans la bouche ce qui le fait s’étouffer et cracher dessus une salive visqueuse puis revenir sur le gland, une fois qu’il a pris le rythme je le laisse faire, il y prend tellement goût qu’il ne s’en lasse pas jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche, la décharge est si copieuse qu’il n’arrive pas à avaler tout et une partie de mon sperme finit sur la banquette du camion. Il prend ma petite culotte qui et toujours sur le tableau de bord pour essuyer sa bouche et nettoyer la banquette. Puis rassasié il se met à travailler sur ma voiture, moins d’une heure après elle fonctionne de nouveau. Je lui demande combien je lui dois il me répond avec un sourire ;
-Tu as payé d’avance en liquide.
-C’était un pourboire pour accepter faire la réparation un dimanche.
-J’ai pris tant de plaisir que je ne peux pas te faire payer dit-il gentiment.
-Je te dois plus que ça, si tu veux que je te paye en plaisir, baises moi lui dis-je en retroussant ma jupe sur mon ventre et m’allongeant sur le bord du bureau de l’atelier en relevant mes jambes pour lui offrir mon cul.
Tout excité il se fout à poil, écarte mes fesses pour lécher avidement mon anus avant de se relever pour m’enculer, il me lime longuement en y prenant beaucoup de plaisir et en caressant ma bite.
-Que c’est bon de baiser avec une travestie comme toi, j’en avais tant rêvé.
-Oui, je vois que tu y prends du plaisir et que tu as dû voir beaucoup de films car tu le fais très bien.
C’est vrai que malgré qu’il ait une bite plutôt petite j’aime comme il m’encule et j’y prends aussi du plaisir. Après un bon moment de plaisir intense il jouit délicieusement au fond de mon cul.
Je rajuste ma jupe pendant qu’il se rhabille en me remerciant pour ce bon moment, je le remercie aussi pour le dépannage.
Sur le chemin du retour je réalise que je n’ai pas remis ma petite culotte qui est restée dans le camion, je l’appelle pour l’avertir, je ne voudrais pas qu’il ait des problèmes si sa femme tombe dessus. Il me dit qu’il la garde précieusement cachée dans un tiroir de son bureau en souvenir.
Une panne et du plaisir pour deux que peut-on demander de mieux. Un service en vaut un autre.
-Monsieur Jean est là ?
-Oui, c’est moi
Surpris il me regarde de la tête aux pieds
-Vous êtes une tra...travestie ? balbutie-t-il
-Oui, maintenant je suis Juanita mais mes papiers sont toujours avec mon prénom de naissance, il y a un problème ?
-Non, non c’est juste la surprise, c’est la première fois que je vois une vraie travestie.
-Une vraie ? Pourquoi il y en a des fausses ? Dis-je en riant.
-Ce n’est pas ce que je veux dire, je n’ai jamais vu de travestie en chair et en os, seulement en films pornos.
Il ouvre le capot, fait quelques vérifications puis me dit ;
-Ce n’est pas très grave, une courroie défectueuse, il faut emmener la voiture au garage.
Il monte la voiture sur le camion et me dit de monter dans le camion, ma jupe serrée j’ai un peu de mal à monter sans laisser voir le haut de mes cuisses et les sangles du porte-jarretelles. Il me regarde amusé et visiblement excité, la route est étroite, j’ai peur qu’on aille au fossé car en conduisant il regarde plus mes cuisses que la route.
-Comme ça tu regardes des films porno de travesties dis-je pour rompre le silence.
-oui quand ma femme a ses règles ou qu’on s’engueule et qu’elle me prive de sexe, je e masturbe seul en regardant du porno et ceux de travesties m’émoustillent.
-Où va-t-on ?
-Au garage mais c’est dimanche il est fermé je ne suis de garde que pour le camion, je ne pourrais réparer que demain.
-Tu ne ferais pas une exception pour une gentille travestie ? Dis-je en mettant un pied sur le tableau de bord découvrant mes cuisses jusqu’à ma culotte et en pensant “Quelle salope je suis”, j’aime allumer les mecs, ça m’excite.
-Euh... je ne sais pas répond-t-il troublé.
-Si tu me dépannes la voiture je te dépanne sexuellement dis-je profitant de son trouble en posant ma main sur sa braguette.
-Tu le ferais vraiment ? Demande-t-il en lançant sa main entre mes cuisses.
-Oui, mais garde les mains sur le volant, ce n’est pas le moment d’avoir un accident.
Pour lui montrer que je le dis en sérieux je déboutonne sa braguette et mets ma main dans son slip et en sors une bite pas très grande mais déjà bien raide, je le branle un peu puis me couche sur la banquette pour prendre sa queue entre mes lèvres, je le suce goulument il ne résiste pas très longtemps et éjacule avant même d’arriver au garage. Pour s’excuser d’avoir jouit si vite il dit tout penaud ;
-C’est vrai ce qu’on dit, les travesties sucent mieux que les femmes.
-C’est parce que j’adore le sperme dis-je en me léchant les babines la bouche encore pleine de sperme.
Pendant qu’il rentre le camion et ferme le rideau, je quitte ma petite culotte et la lui lance au visage, il la sent et se frotte avec en poussant un “humm” puis il descend la voiture du plateau, je reste assise sur la banquette du camion, la portière ouverte avec les jambes pendant dans le vide regardant ce qu’il fait. Il ouvre le capot puis s’approche en disant ;
-Il faut laisser refroidir un peu le moteur pour pouvoir travailler, en même temps qu’il pose sa main sur ma cuisse, remonte sous ma jupe et caresse ma bite.
-Tu crois que ce moteur est à bonne température pour le travailler ? Dis-je en riant.
-Il est très doux et chaud, c’est agréable et quel engin, elle est énorme dit-il en me masturbant d’une main et remontant ma jupe de l’autre pour découvrir ma queue.
-Tu as envie de la sucer ?
-Dans les films ça m’a toujours excité voir qu’ils ont beaucoup de plaisir à le faire j’aimerais bien essayer.
-Ne te gênes pas, ça fait partie du dépannage et j’adore me faire sucer.
Il se met à me sucer gauchement, je prends sa tête pour guider sa fellation, le faisant jouer seulement avec mon gland avant d’appuyer pour lui mettre toute ma bite dans la bouche ce qui le fait s’étouffer et cracher dessus une salive visqueuse puis revenir sur le gland, une fois qu’il a pris le rythme je le laisse faire, il y prend tellement goût qu’il ne s’en lasse pas jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche, la décharge est si copieuse qu’il n’arrive pas à avaler tout et une partie de mon sperme finit sur la banquette du camion. Il prend ma petite culotte qui et toujours sur le tableau de bord pour essuyer sa bouche et nettoyer la banquette. Puis rassasié il se met à travailler sur ma voiture, moins d’une heure après elle fonctionne de nouveau. Je lui demande combien je lui dois il me répond avec un sourire ;
-Tu as payé d’avance en liquide.
-C’était un pourboire pour accepter faire la réparation un dimanche.
-J’ai pris tant de plaisir que je ne peux pas te faire payer dit-il gentiment.
-Je te dois plus que ça, si tu veux que je te paye en plaisir, baises moi lui dis-je en retroussant ma jupe sur mon ventre et m’allongeant sur le bord du bureau de l’atelier en relevant mes jambes pour lui offrir mon cul.
Tout excité il se fout à poil, écarte mes fesses pour lécher avidement mon anus avant de se relever pour m’enculer, il me lime longuement en y prenant beaucoup de plaisir et en caressant ma bite.
-Que c’est bon de baiser avec une travestie comme toi, j’en avais tant rêvé.
-Oui, je vois que tu y prends du plaisir et que tu as dû voir beaucoup de films car tu le fais très bien.
C’est vrai que malgré qu’il ait une bite plutôt petite j’aime comme il m’encule et j’y prends aussi du plaisir. Après un bon moment de plaisir intense il jouit délicieusement au fond de mon cul.
Je rajuste ma jupe pendant qu’il se rhabille en me remerciant pour ce bon moment, je le remercie aussi pour le dépannage.
Sur le chemin du retour je réalise que je n’ai pas remis ma petite culotte qui est restée dans le camion, je l’appelle pour l’avertir, je ne voudrais pas qu’il ait des problèmes si sa femme tombe dessus. Il me dit qu’il la garde précieusement cachée dans un tiroir de son bureau en souvenir.
Une panne et du plaisir pour deux que peut-on demander de mieux. Un service en vaut un autre.
9 months ago