Manon ma belle fille : la piscine.
Je m'appelle Manon, j'ai aujourd'hui vingt-*******. L'an dernier j'ai assisté au concert d'un groupe de rock au stade de Bordeaux en compagnie de Phil mon beau-père.
Phil est un bel homme de cinquante ans, aux cheveux poivre et sel, grand à la carrure athlétique d'un ancien rugbyman qui a continué à s'entretenir physiquement. Il possède un charisme extraordinaire et m'a toujours impressionné autant par son physique que par sa sérénité et sa gentillesse.
A tel point que lors de cette soirée de concert, totalement subjuguée par son charme, j'ai tout fait pour le séduire et nous avons fait l'amour tous les deux chez moi après le concert.
Phil n'était pas le premier homme avec lequel je couchais ce soir-là, mais sans aucun doute celui qui m'a procuré le plus de plaisir. Jamais avec mes petits copains, je n'avais connu cela.
Incroyablement viril et extraordinairement résistant, il m'a procuré ce soir-là presque autant d'orgasmes que j'en avais connu jusque-là. Il m'a même offert malgré mes réticences, mon dépucelage anal avec une telle douceur que j'ai fini par adorer cette pénétration.
Depuis cette soirée, je rêve de me retrouver seule avec lui et qu'il me procure de nouveau le plaisir que j'ai connu ce soir-là.
Aussi depuis quelques semaines, je multiplie les situations dans lesquelles je me retrouve seule avec Phil. Je profite de ce début d'été aux journées particulièrement chaudes et ensoleillées lorsque ma mère travaille, pour venir squatter la piscine et ainsi aguicher mon beau-père en toute tranquillité.
Bien que depuis cette soirée torride, Phil n'a pas cherché à me refaire l'amour, je sais que je ne le laisse pas indifférent. Son regard lorsqu'il se pose sur moi en dis long sur les pensées lubriques qui le hantent.
De plus, connaissant Phil depuis plus de *******, je sais à quel point sa sexualité est quasi compulsive. J'ai en mémoire, lorsque j'étais ado, les hurlements de plaisir de ma mère lorsque Phil lui faisait l'amour tous les soirs au début de leur union. Cela m'excitait déjà et m'a, sans aucun doute possible, donné envie de lui.
Aujourd'hui, je sais que Phil est de repos et que ma mère travaille. J'arrive à la maison en petite robe dos nu légère, courte et au magnifique décolleté provocateur. Phil est déjà dans la partie jacuzzi de la piscine.
Phil se lève, je m'approche du bord et me penche pour lui faire la bise. Il a une magnifique vue sur mon décolleté. Je reste ainsi quelques instants sans bouger faisant mine d'évaluer la température de l'eau. Son regard est rivé sur ma poitrine. Je sais qu'il meurt d'envie de se jeter sur moi, son érection débutante qui déforme légèrement son maillot de bain en est la preuve.
Humm, l'eau est délicieuse, j'ai bien envie de venir te rejoindre.
Mais qu'est-ce qui t'en empêche ?
Je n'ai pas pensé à prendre de maillot.
Est-ce vraiment un problème ?
A toi de me dire, lui répond-je avec un air espiègle.
Pas pour moi en tout cas. Mais si cela te gêne, tu peux toujours en emprunter un à ta mère !
Non, je crois que ça ira comme ça !
Je me redresse et, tout en lui faisant face, défait ma robe et la laisse choir au sol. Je reste ainsi immobile quelques secondes uniquement vêtue de mon string. Phil me dévore du regard. Je lui tourne le dos dans une nouvelle provocation pour retirer le minuscule bout de tissu, ultime rempart à ma totale nudité, que je jette volontairement dans sa direction avant de me retourner.
Je me rapproche du jacuzzi avec un déhanchement lascif et provocateur, et une lenteur toute calculée. Phil me regarde de la tête aux pieds et, visiblement apprécie ce qu'il voit. Son érection est maintenant magistrale et me donne encore plus envie de lui.
Je m'approche de l'escalier qui descend dans l'eau, Phil me prend dans ses bras et me serre contre lui. Mes seins s'écrasent contre son torse puissant. Je me sens à la fois toute petite et fragile dans ses bras musclés et tellement bien contre lui. Je me jette sur sa bouche pour l'embrasser passionnément, nouant mes bras autour de son cou.
Passant ses grosses mains sous mes fesses, il me soulève comme un fétu de paille. Instinctivement, je croise mes jambes dans son dos. D'une main il baisse son maillot libérant son chibre et le dirige vers ma petite fente.
Heureusement pour moi qu'excitée comme je le suis, ma chatte est déjà détrempée, car il me laisse glisser sans me retenir vraiment et je me retrouve empalée d'un coup sur sa monstrueuse colonne de chair dont le gland vient cogner tout au fond de ma chambre d'amour.
Je ne peux retenir un cri de surprise face à cette intromission soudaine, mais aussitôt il me fait monter et descendre le long de son arbre et le plaisir me gagne. Bien que parfaitement lubrifiée, je sens son sexe hors-normes me labourer le vagin.
Il me pistonne sans faiblir de longues minutes, me faisant gémir sans discontinuer. Je suis envahie par un plaisir qui remonte depuis mon ventre et m'envahit la tête. Les yeux fermés, ma tête balance de droite à gauche. Ma respiration se fait rapide, haletante, je crie maintenant plus que je ne gémis :
Oui, oui… c'est bon… c'est trop bon… je vais jouir… continue… ça vient… aaaahhh.
Je jouis, emportée par un orgasme d'une intensité incroyable, un véritable tsunami de plaisir, et je reste accrochée à lui comme un koala à son arbre, sa queue toujours profondément enfoncée en moi. Je cherche à reprendre mon souffle, mais il ne m'en laisse pas le temps. Il me pose sur la margelle de la piscine et recommence à me pistonner virilement faisant coulisser sa queue sur toute sa longueur, pétrissant maintenant mes seins de ses grosses paluches, triturant et pinçant mes mamelons entre pouces et index.
Je ne peux dire combien de temps dure ce coït mais il me procure un plaisir immense. Je veux qu'il dure l'éternité. Et pourtant Phil s'interrompt, se retire, mais c'est pour me retourner et me prendre aussi en levrette. De nouveau, je subis un assaut en règle et sa grosse queue vient taper au fond de ma grotte à chacun de ses coups de reins.
Fermement accroché à mes hanches, il intensifie son va-et-vient et me défonce bestialement ahanant comme un bûcheron. Je ne peux me retenir crier :
Oh vas-y, c'est trop bon, putain, vas-y, continue, défonce moi, je t'aime, je t'aime… Aaaaaahhh.
Je jouis une nouvelle fois en même temps que lui se vide en moi. Je ressens son foutre chaud m'inonder la chatte, les spasmes de sa queue qui me remplissent de sa semence et qui me font sentir femme.
Phil est un bel homme de cinquante ans, aux cheveux poivre et sel, grand à la carrure athlétique d'un ancien rugbyman qui a continué à s'entretenir physiquement. Il possède un charisme extraordinaire et m'a toujours impressionné autant par son physique que par sa sérénité et sa gentillesse.
A tel point que lors de cette soirée de concert, totalement subjuguée par son charme, j'ai tout fait pour le séduire et nous avons fait l'amour tous les deux chez moi après le concert.
Phil n'était pas le premier homme avec lequel je couchais ce soir-là, mais sans aucun doute celui qui m'a procuré le plus de plaisir. Jamais avec mes petits copains, je n'avais connu cela.
Incroyablement viril et extraordinairement résistant, il m'a procuré ce soir-là presque autant d'orgasmes que j'en avais connu jusque-là. Il m'a même offert malgré mes réticences, mon dépucelage anal avec une telle douceur que j'ai fini par adorer cette pénétration.
Depuis cette soirée, je rêve de me retrouver seule avec lui et qu'il me procure de nouveau le plaisir que j'ai connu ce soir-là.
Aussi depuis quelques semaines, je multiplie les situations dans lesquelles je me retrouve seule avec Phil. Je profite de ce début d'été aux journées particulièrement chaudes et ensoleillées lorsque ma mère travaille, pour venir squatter la piscine et ainsi aguicher mon beau-père en toute tranquillité.
Bien que depuis cette soirée torride, Phil n'a pas cherché à me refaire l'amour, je sais que je ne le laisse pas indifférent. Son regard lorsqu'il se pose sur moi en dis long sur les pensées lubriques qui le hantent.
De plus, connaissant Phil depuis plus de *******, je sais à quel point sa sexualité est quasi compulsive. J'ai en mémoire, lorsque j'étais ado, les hurlements de plaisir de ma mère lorsque Phil lui faisait l'amour tous les soirs au début de leur union. Cela m'excitait déjà et m'a, sans aucun doute possible, donné envie de lui.
Aujourd'hui, je sais que Phil est de repos et que ma mère travaille. J'arrive à la maison en petite robe dos nu légère, courte et au magnifique décolleté provocateur. Phil est déjà dans la partie jacuzzi de la piscine.
Phil se lève, je m'approche du bord et me penche pour lui faire la bise. Il a une magnifique vue sur mon décolleté. Je reste ainsi quelques instants sans bouger faisant mine d'évaluer la température de l'eau. Son regard est rivé sur ma poitrine. Je sais qu'il meurt d'envie de se jeter sur moi, son érection débutante qui déforme légèrement son maillot de bain en est la preuve.
Humm, l'eau est délicieuse, j'ai bien envie de venir te rejoindre.
Mais qu'est-ce qui t'en empêche ?
Je n'ai pas pensé à prendre de maillot.
Est-ce vraiment un problème ?
A toi de me dire, lui répond-je avec un air espiègle.
Pas pour moi en tout cas. Mais si cela te gêne, tu peux toujours en emprunter un à ta mère !
Non, je crois que ça ira comme ça !
Je me redresse et, tout en lui faisant face, défait ma robe et la laisse choir au sol. Je reste ainsi immobile quelques secondes uniquement vêtue de mon string. Phil me dévore du regard. Je lui tourne le dos dans une nouvelle provocation pour retirer le minuscule bout de tissu, ultime rempart à ma totale nudité, que je jette volontairement dans sa direction avant de me retourner.
Je me rapproche du jacuzzi avec un déhanchement lascif et provocateur, et une lenteur toute calculée. Phil me regarde de la tête aux pieds et, visiblement apprécie ce qu'il voit. Son érection est maintenant magistrale et me donne encore plus envie de lui.
Je m'approche de l'escalier qui descend dans l'eau, Phil me prend dans ses bras et me serre contre lui. Mes seins s'écrasent contre son torse puissant. Je me sens à la fois toute petite et fragile dans ses bras musclés et tellement bien contre lui. Je me jette sur sa bouche pour l'embrasser passionnément, nouant mes bras autour de son cou.
Passant ses grosses mains sous mes fesses, il me soulève comme un fétu de paille. Instinctivement, je croise mes jambes dans son dos. D'une main il baisse son maillot libérant son chibre et le dirige vers ma petite fente.
Heureusement pour moi qu'excitée comme je le suis, ma chatte est déjà détrempée, car il me laisse glisser sans me retenir vraiment et je me retrouve empalée d'un coup sur sa monstrueuse colonne de chair dont le gland vient cogner tout au fond de ma chambre d'amour.
Je ne peux retenir un cri de surprise face à cette intromission soudaine, mais aussitôt il me fait monter et descendre le long de son arbre et le plaisir me gagne. Bien que parfaitement lubrifiée, je sens son sexe hors-normes me labourer le vagin.
Il me pistonne sans faiblir de longues minutes, me faisant gémir sans discontinuer. Je suis envahie par un plaisir qui remonte depuis mon ventre et m'envahit la tête. Les yeux fermés, ma tête balance de droite à gauche. Ma respiration se fait rapide, haletante, je crie maintenant plus que je ne gémis :
Oui, oui… c'est bon… c'est trop bon… je vais jouir… continue… ça vient… aaaahhh.
Je jouis, emportée par un orgasme d'une intensité incroyable, un véritable tsunami de plaisir, et je reste accrochée à lui comme un koala à son arbre, sa queue toujours profondément enfoncée en moi. Je cherche à reprendre mon souffle, mais il ne m'en laisse pas le temps. Il me pose sur la margelle de la piscine et recommence à me pistonner virilement faisant coulisser sa queue sur toute sa longueur, pétrissant maintenant mes seins de ses grosses paluches, triturant et pinçant mes mamelons entre pouces et index.
Je ne peux dire combien de temps dure ce coït mais il me procure un plaisir immense. Je veux qu'il dure l'éternité. Et pourtant Phil s'interrompt, se retire, mais c'est pour me retourner et me prendre aussi en levrette. De nouveau, je subis un assaut en règle et sa grosse queue vient taper au fond de ma grotte à chacun de ses coups de reins.
Fermement accroché à mes hanches, il intensifie son va-et-vient et me défonce bestialement ahanant comme un bûcheron. Je ne peux me retenir crier :
Oh vas-y, c'est trop bon, putain, vas-y, continue, défonce moi, je t'aime, je t'aime… Aaaaaahhh.
Je jouis une nouvelle fois en même temps que lui se vide en moi. Je ressens son foutre chaud m'inonder la chatte, les spasmes de sa queue qui me remplissent de sa semence et qui me font sentir femme.
9 months ago