Week-end chez le maître partie 3
J’ai faim mon ventre commence à faire du bruit je réalise donc que je peux boire ma gourde de pisse mais où est elle je ne vois rien avec ce noir complet. Je sens quelques chose me toucher j’ai peur mais ne peut hurler.
Il y a quelqu’un d’autre dans la pièce avec moi. Je sens qu’une main harponne ma laisse. Je me laisse faire. Le maître allume des bougies et là je comprends que je suis entouré de 5 mecs biens baraqués. Mon maître n’est pas visible. J’ai peur et excité à la fois.
Mon maître sort de sa cachette et me dit satisfait les tous ou je te fouettes jusqu’à évanouissement de douleur. J’obéis au maître, je commence par en sucer un puis puis à la fin ils ont fait une tournante avec ma bouche. Je commence à m’épuiser de désir. Quand ils en ont eu marre de me faire sucer certains on décidait de me prendre le cul puis la chatte tout en torturant mes seins à l’aide de cire bien brûlante. Je me tortille de douleur et à un moment d’égarement, je ferme mes cuisses. Le maître devient furieux. Il ouvre mes cuisses puis les attaches à la table en bois à l’aide d’une corde fine qui est coupante.
Il finit par m’attacher de la tête au pied sur la table où l’on mange d’habitude. Et il me fouette violemment je ne peux plus crier car il m’a mit une serviette sur la bouche. Je m’évanoui de douleur car il a utilisé le grand fouet.
Il y a quelqu’un d’autre dans la pièce avec moi. Je sens qu’une main harponne ma laisse. Je me laisse faire. Le maître allume des bougies et là je comprends que je suis entouré de 5 mecs biens baraqués. Mon maître n’est pas visible. J’ai peur et excité à la fois.
Mon maître sort de sa cachette et me dit satisfait les tous ou je te fouettes jusqu’à évanouissement de douleur. J’obéis au maître, je commence par en sucer un puis puis à la fin ils ont fait une tournante avec ma bouche. Je commence à m’épuiser de désir. Quand ils en ont eu marre de me faire sucer certains on décidait de me prendre le cul puis la chatte tout en torturant mes seins à l’aide de cire bien brûlante. Je me tortille de douleur et à un moment d’égarement, je ferme mes cuisses. Le maître devient furieux. Il ouvre mes cuisses puis les attaches à la table en bois à l’aide d’une corde fine qui est coupante.
Il finit par m’attacher de la tête au pied sur la table où l’on mange d’habitude. Et il me fouette violemment je ne peux plus crier car il m’a mit une serviette sur la bouche. Je m’évanoui de douleur car il a utilisé le grand fouet.

10 months ago