Charline (chapitre 1)
Il est midi, et nous sommes en train de dĂ©jeuner avec Maxime mon collĂšgue, dans une petite brasserie proche de lâagence immobiliĂšre oĂč nous travaillons. Nous avons un mois de septembre magnifique, et bien que nous approchons de lâautomne Ă grands pas, il fait une journĂ©e splendide.
Nous dĂ©jeunons en terrasse, nous avons discutĂ© durant le repas des diffĂ©rents biens que nous avons actuellement Ă la vente, et alors que la serveuse vient de prendre la commande de nos desserts, Maxime me demande si je suis libre samedi soir pour venir Ă la soirĂ©e quâil organise chez lui Ă lâoccasion de son anniversaire.
Maxime est un collĂšgue avec lequel je mâentend plutĂŽt bien, mais nous ne nous frĂ©quentons pas en dehors du boulot et nos discussions sont, jusquâĂ ce jour, toujours restĂ©es purement « professionnelles ». Toutefois, comme ma vie en ce moment est plutĂŽt calme, jâaccepte dâautant plus volontiers son invitation que mon cĂ©libat commence Ă me peser sĂ©rieusement.
Le samedi je me pointe donc chez mon collĂšgue. Jâentends dĂ©jĂ de la musique depuis la rue et en mâapprochant de la porte dâentrĂ©e, le son des conversations joyeuses me parvient plus nettement aux oreilles.
Je sonne et Maxime en personne mâouvre la porte. Je ne suis pourtant pas si en retard que cela, mais mon pote semble dĂ©jĂ avoir bien commencĂ© la soirĂ©e. Alors que je lui tend la main pour le saluer, il me prend dans ses bras, me fait la bise sans plus de retenue et gardant son bras autour de mon Ă©paule, me fait entrer chez lui.
PassĂ© lâentrĂ©e, nous pĂ©nĂ©trons dans une immense piĂšce de vie baignĂ©e de lumiĂšre, ouvrant par lâintermĂ©diaire de grandes baies vitrĂ©es sur une terrasse oĂč plusieurs convives sont dĂ©jĂ installĂ©s en petits groupes en train de discuter un verre Ă la main.
Je pose la bouteille de vin que jâai amenĂ©e en guise de cadeau sur la table, salue les quelques personnes prĂ©sentes dans la piĂšce, et dĂ©taille un peu mieux celle ci.
Lâameublement est moderne mais la dĂ©coration chaleureuse. On perçoit une touche fĂ©minine, sans aucun doute celle de la compagne de mon pote.
Me poussant un peu plus loin, nous rejoignons les autres invités sur la terrasse.
Viens, je vais te prĂ©senter ma copine, me dit Maxime en mâattirant vers un groupe de quelques personnes.
Charline⊠Charline, je te présente mon collÚgue Léo !!!
La Charline en question que je ne vois jusquâĂ prĂ©sent que dos, se retourneâŠ
Je crois dĂ©faillir. Ai je des hallucinations ? Pourtant je nâai encore rien bu !!!
Des sueurs froides sâemparent de moi, mes jambes flageolent, je dois ĂȘtre livide. Que fait mon coeur ? Ils sâemballe ou il sâarrĂȘte ?
Je voudrais dire bonjour Ă cette Charline, mais aucun son ne veut sortir de ma gorge !!!
Putain de moine, cette fille en face de moi⊠non ce nâest pas possible ? Ce ne peut pas ĂȘtre elle !!!
Et pourtant si, impossible de se tromper. Une aussi belle brune avec ses longs cheveux teints en rouge qui contrastent avec sa peau diaphane, ce visage dâange aux traits si doux, cette bouche ornĂ©e de ce magnifique sourire qui dĂ©couvre de belles dents dâune blancheur parfaite, ces grands yeux de biche⊠ces yeux dâun bleu acier qui vous transpercent dĂ©s quâil se posent sur vous.
Cette belle et grande brune de plus dâun mĂštre soixante dix, Ă lâallure sportive, magnifiquement proportionnĂ©e, aux formes gĂ©nĂ©reuses, cette poitrine qui doit bien faire un bon 85C. Ce corps dont la fermetĂ© ne fait aucun doute, ces jambes fines au galbe parfait, ces cuisses musclĂ©es Ă peine recouvertes par cette petite robe noire terriblement sexy, au tissus fluide, au profond dĂ©colletĂ© aguicheur laissant deviner partiellement les seins quâaucun soutien gorge ne recouvre.
Cette femme qui sâapproche de moi, enfin de nous⊠il nây a pas de doute, câest elle !!!
Ce ne peut ĂȘtre quâelle⊠la fille que jâai baisĂ©e pas plus tard quâil y a quinze jours Ă la soirĂ©e de ma copine Mathilde !!!
Charline en me voyant face Ă elle, alors que Max son compagnon a toujours le bras passĂ© autour de mes Ă©paules, marque un temps dâarrĂȘt. Immobile, incapable de faire un pas de plus, ses joues sâempourprent, son regard passe de lâun Ă lâautre tĂ©moin de son Ă©tonnement.
Elle rĂ©ussit toutefois Ă sâapprocher. Nous rĂ©ussissons Ă nous dire bonjour la voix tremblante et Ă nous faire une bise timide sur la joue. Je parviens Ă sortir sans trop bĂ©gayer ce que je veux pour un compliment de circonstance.
Charline, enchantĂ© de faire votre connaissance. Max mâa souvent parlĂ© de vous. Il nâa pas exagĂ©rĂ©, vous ĂȘtes ravissante.
Max qui manifestement a dĂ©jĂ bien attaquĂ© le planteur, nâa pas remarquĂ© notre gĂȘne lorsque nous nous sommes vus, et ne se doute pas un seul instant que nous nous connaissons dĂ©jĂ . Il ne remarque mĂȘme pas mon regard plongeant dans le dĂ©colletĂ© de sa copine qui commence Ă provoquer chez moi un certain Ă©moi !!!
Il lance Ă lâattention de Charline :
Quel charmeur ce LĂ©o, je ne comprend pas comment avec un tel bagout, il nâarrive pas Ă trouver une copine ?
- Câest aussi bien de sâamuser et de profiter ! dis-je en souriant et en regardant Charline.
En se tournant vers moi, il rajoute :
Reste lĂ avec Charline, je vais te chercher un verre !
Il disparait et nous nous retrouvons tous les deux, Charline et moi, encore abasourdis.
Charline, comme le monde est petit ! dis-je en plaisantant.
Tu nâimagine mĂȘme pas comme mon coeur bat vite, je suis encore toute tremblante ! Comme une idiote, jâai perdu ton snap. Câest pour cela que je ne tâai pas recontactĂ©. Mais si tu savais combien de fois jâai pensĂ© Ă toi ces quinze derniers jours !!!
Lâexpression sur son visage et le ton de sa voix me confirme quâelle ne ment pas. LâĂ©vocation de notre premiĂšre soirĂ©e chez Mathilde notre amie commune, me revient comme un flash-backâŠ
⊠DĂ©but septembre, soit quinze jours plus tĂŽt, je me rends Ă une soirĂ©e chez mon amie Mathilde qui fĂȘte la pendaison de sa crĂ©maillĂšre. Mathilde est une amie dâ*******, qui mâa sollicitĂ© lorsquâelle a voulu acheter une maison pour sâinstaller avec son mari. Jâavais en agence un bien qui lui correspondait et aprĂšs lui avoir fait visiter plusieurs fois, nous avons fait affaire. Elle et son mari se sont installĂ© dans le courant du mois dâAoĂ»t. Je les ai aidĂ© lors de leur amĂ©nagement et pour me remercier, ils mâont invitĂ© ce soir.
Une vingtaine de personnes sont dĂ©jĂ prĂ©sentes. Ăa parle fort, ça rit beaucoup, je ne connais pas grand monde. Je me glisse vers la table oĂč sont disposĂ©s les boissons et les plats dâamuses-bouches en tout genre.
Je suis lĂ depuis une dizaine de minutes Ă mâempiffrer de toasts et Ă descendre une troisiĂšme coupe de champagne, lorsque je remarque une trĂšs belle femme qui elle aussi semble ĂȘtre venue seule.
Je vais trouver Mathilde et lui demande :
Dis moi Mathilde, qui est cette belle jeune femme aux cheveux rouges ?
Ah ah, je vois que tu nâas pas perdu ton sens de lâobservation !
Difficile de passer à cÎté !
Elle se prĂ©nomme Charline, et câest une trĂšs bonne amie.
Elle est libre ?
Disons que ce soir elle est venue seule ! Sinon elle a un copain mais cela ne va pas trÚs fort entre eux en ce moment. Veux tu que je te la présente ?
Ah oui carrément.
Mathilde me prĂ©cĂšde et mâentraine auprĂšs de son amie.
Charline, je tiens Ă te prĂ©senter LĂ©o dont je tâai dĂ©jĂ parlĂ©. Câest lui qui nous a trouvĂ© cette maison. LĂ©o, je te prĂ©sente Charline une trĂšs bonne amie.
Bonsoir Charline. Enchanté.
Bonsoir LĂ©o, de mĂȘme.
Excusez moi les amis, nous dit Mathilde, il faut que jâaille voir les copains qui viennent dâarriver.
Nous nous retrouvons Charline et moi tous les deux au milieu de la piĂšce.
Veux tu boire ou manger quelque chose ? lui demandé-je.
Oui, je veux bien une coupe de champagne., me répondit elle.
Nous nous dirigeons vers le buffet, et je lui sers une coupe puis nous partons nous installer dans le canapĂ© un peu Ă lâĂ©cart.
Alors comme ça, tu est un ami de Mathilde ?
Oui, câest une trĂšs vieille amie ! Et toi ?
On sâest rencontrĂ©e cela fait quelques temps lors dâune soirĂ©e, on a sympathisĂ© et depuis on est toujours restĂ©e en contact. Je peux dire que câest une bonne amie.
Tu fais quoi dans la vie ?
Je suis infirmiĂšre.
Ah, oĂč çà ?
A lâhĂŽpital, dans un service de soins intensifs de cardiologie.
Oh, çà ne doit pas ĂȘtre facile tous les jours !
Non câest vrai et câest pour ça que jâaime sortir pour me changer les idĂ©es. Tâas une copine toi ?
Non je suis célibataire⊠Et toi ?
Euh oui⊠jâai un mec, mais en ce moment câest comment dire, câest⊠un peu tendu entre nous. Câest pour ça que je suis venue seule ce soir. On sâest pris la tĂȘte hier justement Ă propos de cette soirĂ©e. Il ne voulait pas venir parce que Mossieur est fatiguĂ© en ce moment, mais il ne voulait pas non plus que je sorte. Limite crise de jalousie, tu vois !!!
Ah oui, pas trĂšs cool !
Oui pas cool du tout. Alors ça mâa gonflĂ© et je lâai renvoyĂ© chier.
Charline semble intarissable. Je nâarrive pas Ă en placer une, mais ce quâelle vient de me dire Ă propos de son copain fait immĂ©diatement « tilt » dans ma tĂȘte. Mathilde ne mâa pas menti.
Charline continue la conversation toujours aussi loquace. Elle parle Ă©normĂ©ment de son travail qui manifestement reprĂ©sente beaucoup pour elle, de ce quâelle vit au quotidien dans son service, de la pĂ©riode du covid qui a changĂ© beaucoup de choses, mais par moment, revient sur son copain, sur la mauvaise passe quâils traversent. Elle me confie que celui ci ne comprend pas que lâon puisse autant sâinvestir dans son travail⊠etc etc !!!
Je sens que je dois la laisser parler et lâĂ©couter sans chercher Ă parler de moi, et encore moins la questionner sur son mec. Lui prĂȘter seulement une oreille attentive, ĂȘtre son confident silencieux mais attentif. Je me dis que câest mon jour de chance, que je viens de ferrer une superbe femme, et que si je lui tĂ©moigne suffisamment de comprĂ©hension et dâempathie, jâai toute les chances de me la faire dĂšs ce soir.
Tout le temps quâelle me parle, je la dĂ©taille attentivement, jâadmire ses formes, un physique de sportive assurĂ©ment. Elle est belle, un magnifique sourire illumine son joli visage. Sa petit robe noire ne lui recouvre que la moitiĂ© des cuisses. Elle a de grandes jambes aux mollets parfaitement galbĂ©s. Tout chez elle me plait et me donne de plus en plus envie dâelle.
Je ne me suis jamais fait une infirmiĂšre. Câest lâoccasion de vĂ©rifier si leur rĂ©putation est justifiĂ©e !
Je lâinterrompt pour lui demander :
Cela te dit que lâon aille danser ?
Oh oui, tu as raison jâadore ce morceau !
Nous nous levons, je la prends par la main et lâentraine vers la piste. On se mĂ©lange aux autres convives et commençons Ă danser. Au dĂ©but nous restons face Ă face, mes yeux se noient dans les siens, elle me sourit. Rapidement nous nous rapprochons de plus en plus, je la prends par la taille et la serre un peu contre moi. Mes mains caressent ses bras, sa peau est douce, ce contact mâĂ©lectrise, je suis pris dâune Ă©rection incontrĂŽlable.
Mes mains se font de plus en plus gourmandes et commencent Ă parcourir son corps par dessus le tissus de sa robe.
Le DJ choisi ce moment pour lancer une sĂ©rie de slows. Je lâattire davantage contre moi. Son ventre se colle au mien. Elle sent contre elle mon sexe dressĂ© au zĂ©nith et dĂ©jĂ dur comme un roc.
Loin de sâen offusquer, elle sâappuie encore plus fort contre moi et frotte son pubis contre le mien, en se dĂ©hanchant dâune façon terriblement sensuelle.
Je la caresse de plus belle, mes mains se perdant réguliÚrement sur ses fesses, les palpant et les pétrissant.
De son cĂŽtĂ©, elle passe ses mains derriĂšre ma tĂȘte, me caresse les cheveux et la nuque avec une douceur exquise tout en me regardant droit dans les yeux.
Nos lĂšvres se rapprochent, nous Ă©changeons un premier baiser, suivi dâun autre plus appuyĂ©, et enfin nos langues se mĂ©langent. Notre baiser devient langoureux puis de plus en plus passionnĂ©.
Mon excitation ne cesse de croitre.
La musique change, et le DJ nous passe maintenant un mĂ©lange de rythmes latinos et antillais. La tempĂ©rature monte encore dâun cran entre nous.
Charline danse maintenant dâune façon terriblement sensuelle et provocante. Sans se dĂ©coller de moi, elle tourne sur elle mĂȘme frottant maintenant sans aucune retenue ses fesses contre mon entrejambe.
Je lâattrape par les hanches mâappuyant encore plus fort. Mes mains caressent son ventre, remontent vers sa poitrine et pelotent ses seins sans aucune pudeur.
Nous en oublions totalement les autres invités qui dansent autour de nous et doivent se délecter du spectacle érotique que nous leur offrons.
Je dépose maintenant de doux baisers dans son cou en remontant vers son oreille dont je mordille doucement le lobe tout en continuant mes caresses sur son ventre et sa poitrine.
Au summum de lâexcitation, je lui glisse doucement dans le creux de lâoreille :
Je nâen peux plus Charline, tu me rends dingue.
Humm, je crois que je le sens bien !
Jâai trop envie de toi.
Moi aussi jâai bien envie. Mais oĂč peut on aller ?
Je connais cette maison, Il y a une chambre dâami. On nâa quâĂ y aller !
Tu crois ?
Oui bien sûr !
Je la prends par la main et lâattire tout au fond du couloir. SitĂŽt la porte refermĂ©e, nous nous jetons dans les bras lâun de lâautre et recommençons Ă nous embrasser fougueusement en nous dĂ©shabillant mutuellement.
Elle déboutonne ma chemise pendant que je fais glisser la fermeture éclair de sa robe qui finit par terre.
Je dĂ©couvre une magnifique paire de seins retenus dans un sublime soutien gorge corbeille tout en dentelle rouge. Je prends un instant pour dĂ©tailler cette beautĂ© qui sâoffre Ă moi.
Elle est splendide. Son ventre est plat et ferme. Elle porte un tanga assorti Ă son soutien gorge, qui remonte haut sur ses hanches et lui fait des jambes qui paraissent interminables.
Mon **** ne fait quâun tour, et mon excitation redouble. Je fais sauter lâagrafe de son soutien gorge qui rejoint nĂ©gligemment sa robe sur le sol, et me jette sur ses seins que je pĂ©tris Ă pleines mains. Je joue un instant avec ses tĂ©tons bien fermes que je pince et fait rouler entre mes doigts avant de les emboucher et de les sucer avidement.
Une main descend vers son pubis et glisse sous la dentelle de son tanga. Je dĂ©couvre sa chatte totalement Ă©pilĂ©e et dĂ©jĂ ruisselante de cyprine. Mes doigts sâinsinuent entre ses lĂšvres intimes et je commence Ă la doigter sans interrompre la succion de ses tĂ©tons. Charline gĂ©mit doucement de plaisir.
Je la pousse vers le lit. Elle sâallonge en travers les jambes pendantes. Je couvre son ventre de doux baisers en descendant lentement vers son pubis Je lui retire son tanga et mâagenouille entre ses cuisses. Je commence Ă la lĂ©cher sa vulve totalement glabre et dĂ©couvre son petit bouton dâamour que je suce dĂ©licatement tout en continuant de la doigter. Ma langue dessine des figures gĂ©omĂ©triques imaginaires sur sa vulve, sâenfonce aussi loin quâelle peut dans son vagin, revient lĂ©cher sa chatte. Je me dĂ©lecte de son jus, et recommence lĂ©chage de la chatte et succion du clito.
Je sens monter chez Charline le plaisir. Sa respiration sâaccĂ©lĂšre, ses mains se crispent dâabord sur les draps, puis dans mes cheveux. Elle me maintient la tĂȘte comme si elle avait peur que jâinterrompe subitement ce cunni. Elle est parcourue de spasmes, les yeux clos, sa tĂȘte roule de droite Ă gauche, son corps se tend et se relĂąche. Elle gĂ©mit de plus en plus fort en lĂąchant par moment quelques mots crus :
Oh putain LĂ©o, câest bon, câest trop bon, vas y continue, ça vient, continue, ça vientâŠ
Elle est emportĂ©e par un premier orgasme fulgurant. Elle me gratifie dâun jet de cyprine dans la bouche tout en criant sans retenue.
Son souffle retrouvĂ©, elle se redresse et sâempresse de me dĂ©shabiller. Nerveusement, elle dĂ©fait mon pantalon et retire mon boxer, dĂ©couvrant mon sexe gonflĂ© et fiĂšrement dressĂ©.
Oh, fait elle, putain quâest ce quâelle est grosse !!! Tâes super bien montĂ© toi !!! Jâai trop envie de te sucer.
Vas y ma belle, ne te retiens surtout pas⊠ câest le moment de quitter la routine !!!
Et sans plus attendre, elle embouche ma queue tout en me malaxant les boules. Elle sâavĂšre extrĂȘmement douĂ©e dans cet exercice. Jâai droit Ă une pipe digne dâune actrice porno. Elle me suce le gland puis me lĂšche sur toute la longueur de ma hampe en me jetant par moment un regard lascif et reprend de plus belle sa fellation.
Je nâen peux plus, je suis dĂ©jĂ au bord de lâexplosion. Bien que ce soit dĂ©licieux, je lui demande dâinterrompre cette pipe parce que je voudrais durer beaucoup plus longtemps.
Jâattrape des prĂ©servatifs dans la poche de mon pantalon que je pose sur la table de nuit et en enfile un.
Charline sâest allongĂ©e sur le dos et ouvre totalement ses jambes mâoffrant une vue parfaite sur son petit abricot. Je mâapproche dâelle, frotte ma queue encapuchonnĂ©e entre ses lĂšvres intimes avant de la pĂ©nĂ©trer.
Sâil te plait, LĂ©o, vas y doucement tâes vraiment gros, je ne suis pas habituĂ©e Ă un tel engin !!!
Je souris amusé par cette remarque et mon indice de confiance sur ma virilité grimpe en flÚche autant que mon sexe.
Je mâintroduit dĂ©licatement dans sa chambre dâamour mais elle ne peut retenir un :
Oh putain LĂ©o, elle est trop grosse ta queue !!!
Tu veux que jâarrĂȘte ?
Oh non, non, câest trop bon, continue, putain que câest bon !!!
Ainsi rassuré, je reprend ma pénétration et vient buter au fond de son vagin. Je me retire en douceur et recommence mon va et vient le plus lentement et le plus doucement possible.
Câest vrai que je me sens serrĂ© dans cette chatte. Je mâenfonce centimĂštre par centimĂštre avec une infinie douceur comme si je la dĂ©florais.
AprĂšs quelques allers-retours, jâaugmente un peu la cadence. Charline qui jusque lĂ gĂ©mit doucement, replie ses jambes sur sa poitrine et ce met Ă pousser de petits cris. ExcitĂ© par son attitude, je dĂ©bute des mouvements de bassin de plus en plus amples en me tenant bras tendus au dessus dâelle, et ma queue sâenfonce jusquâĂ la garde, tape tout au fond de sa grotte. Elle plante ses ongles dans ma peau et me laboure le dos.
Je continue ainsi pendant quelques minute jusquâĂ ce que Charline soit emportĂ©e par un nouvel orgasme.
Sans lui laisser trop le temps de se remettre, je bascule sur le cĂŽtĂ© en lâentrainant avec moi sans me retirer de son Ă©crin. Je me retrouve sur le dos, Charline me chevauche. Ma bite est profondĂ©ment enfoncĂ©e en elle.
Je pétris ses seins et les suce goulument tout en donnant quelques coups de bassin. Je saisis ma maitresse par les hanches et lui impose mon rythme. Elle a du mal à suivre la cadence et gémit toujours en prenant appui, tantÎt sur mon torse, tantÎt sur mes cuisses.
AprĂšs quelques minutes de ce traitement, je sens de nouveau que je ne vais pas tarder Ă jouir. Je la re-bascule sur le ventre et me retire de sa chatte. Je viens me glisser entre ses jambes, lui Ă©carte les fesses, et plonge la bouche la premiĂšre entre ses joues. Je recommence Ă lĂ©cher tout dâabord son petit abricot juteux, mais trĂšs vite mâoccupe de son petit oeillet. Ma langue vient titiller sa corolle brune et sâinsinue Ă lâintĂ©rieur. Charline est tellement surprise, quâelle se contracte brusquement.
Sans faire cas de sa rĂ©action, je continue de la lĂ©cher, ma langue cherchant Ă entrer dans son petit trou, pendant que je me remet Ă la doigter. Un doigt tout dâabord puis un deuxiĂšme sâenfoncent dans sa chatte vigoureusement.
La pression Ă©tant retombĂ©e mais nâayant pas pour autant dĂ©bandĂ©, je me redresse, saisis Charline par les hanches, et lâattire au bord du lit pour la prendre en levrette.
Ma pĂ©nĂ©tration est vigoureuse et ma queue sâenfonce dâun coup jusquâĂ la garde. Charline pousse un cri. Ses mains se crispent sur les draps, et elle enfonce sa tĂȘte dans les oreillers pour Ă©touffer ses cris.
Je la ramone ainsi pendant de longues minutes en ahanant comme un bucheron. Charline crie de plaisir sans interruption en mordant le coussin pour attĂ©nuer ses cris. Mon excitation ne fait quâaugmenter. Jâattrape ses cheveux, en fait une sorte de queue de cheval que je tire en arriĂšre pour lui faire sortir le visage des coussins, et lui donne deux ou trois gifles bien sonores sur ses fesses qui rougissent instantanĂ©ment.
Ce soir jâai une chance inouĂŻe. Je suis avec une femme qui a une envie de baiser extraordinaire et que je nâai pas envie de dĂ©cevoir. Si son copain nâest pas capable de prendre soin dâelle, je vais lui montrer ce quâun vrai mec peut lui faire connaitre.
JâarrĂȘte brusquement mon va et vient et me retire sans la prĂ©venir. Elle est surprise et se retourne pour me regarder cherchant Ă comprendre ce qui se passe.
Sans mot dire, je la prends par les mains, la redresse, la retourne face Ă moi, la saisis par les hanche et la soulĂšve du sol.
Elle comprend de suite oĂč je veux en venir, et passe ses deux bras autour de mon cou et croise ses jambes derriĂšre mon dos.
En la soutenant dâune main sous les fesses, je prends mon chibre dans lâautre et le dirige directement dans sa chatte.
Je la laisse glisser sans trop la retenir et elle sâempale dâun coup sur ma tige. Mon gland vient taper directement au fond de sa chatte. Charline pousse de nouveau un cri de surprise ou de douleur je ne sais pas trop. Et je recommence Ă la limer en la faisant monter et descendre sur toute la longueur de ma hampe.
Dans cette position, jâen profite pour lâembrasser fougueusement et enfoncer un doigt dans son petit trou.
Cette position mâĂ©puise plus rapidement que je ne le pensais. Je repose Charline sur le sol, la retourne et la pousse vers la porte de la chambre, contre laquelle elle prend appui sur ses avant bras tout en restant debout. Elle se cambre, Ă©carte les jambes et me laisse la pĂ©nĂ©trer de nouveau par derriĂšre. Toujours solidement accrochĂ© Ă ses hanches, je donne de grands coups de reins, en criant comme un fauve en rut.
Charline crie sous mes coups de boutoirs ce qui ne fait quâaccroitre mon excitation. Toujours ferment accrochĂ© Ă ses hanches, jâaccĂ©lĂšre encore le rythme de mes coups de reins. Je la dĂ©fonce bestialement encouragĂ© par ses cris :
Putain, LĂ©o, câest bon⊠câest vraiment trop bon⊠continue, putain jâai jamais connu ça avant !!!
Tu aimes ?
Oh oui, ta queue est si grosse, câest trop bon, continue, je vais jouir encore !!!
Et en effet Charline est de nouveau emportée par un orgasme tout aussi fulgurant.
Epuisée, elle se laisse glisser au sol, les jambes flageolantes, incapables de la soutenir.
Je mâassoie Ă ses cĂŽtĂ©s, tout en continuant Ă lâembrasser et la caresser.
Cette interruption, je ne vais pas le cacher me fait du bien, car jâĂ©tais tout prĂšs de jouir malgrĂ© tous les efforts pour me retenir.
Nous retrouvons un moment de tendresse pendant lequel nous Ă©changeons des baisers langoureux et nous caressons sensuellement. Un moment qui contraste totalement avec les instants que nous venons de passer oĂč la *********Ă© mâavait envahie.
Câest Charline qui la premiĂšre retrouve son ardeur. Elle me pousse Ă mâallonger au milieu de la chambre, entre le lit et le placard, face Ă un grand miroir. LĂ , elle mâarrache le prĂ©servatif et se remet Ă me sucer de plus belle pour me redonner de la vigueur, et les yeux dans les yeux me lance :
Câest trop bon avec toi LĂ©o, jâai encore envie de toi. Je veux sentir ta belle queue en moi. Prends moi lĂ , devant le miroir, par derriĂšre. Je veux te voir pendant que tu me baises.
Joignant le geste Ă la parole, elle se positionne Ă quatre pattes face Ă la glace. Je prends seulement le temps dâenfiler une autre capote et me voila de nouveau et train de pĂ©nĂ©trer ma maitresse du soir.
AccrochĂ© Ă ses hanches, je mâenfonce dâun coup en elle et me retire lentement en prenant soin de ne laisser que lâextrĂ©mitĂ© de mon gland dans sa chatte.
Charline regarde fixement lâimage que nous renvoie le miroir en se mordant la lĂšvre infĂ©rieure et en poussant un petit gĂ©missement Ă chacun de mes coups de reins.
Je recommence ainsi Ă pilonner virilement sa chatte sans rompre un seul instant le contact visuel.
Vas y, vas y, oui, comme ça LĂ©o, câest trop bon comme ça, continue putain, on mâa jamais baisĂ© aussi bien !!!
Tâaimes ça hein, ça te change de ton mec ?
Oh oui, toi tâas une grosse queue Ă cĂŽtĂ© de lui⊠et tu sais tâen servir !!!
Je continue ainsi mon va et vient lent et profond, humecte mon pouce de salive et lâenfonce dans son petit trou.
Humm ma belle⊠jâai bien envie de te prendre comme ça !!!
Non LĂ©o, pas ça, sâil te plait, pas comme ça. Je ne lâai jamais fait, jâai peur dâavoir mal, tu es tellement gros !!!
Je renonce donc Ă lâenculer mais reprends mon pilonnage de sa chatte de plus belle, saisissant de nouveau ses cheveux Ă pleine main. La jouissance monte en moi, je le sens, Impossible de me retenir cette fois. Dâailleurs ai-je vraiment envie de me retenir ?
JâaccĂ©lĂšre la vitesse de mes coups de reins, jâai dĂ©passĂ© le point de non retour, je vais jouir.
Je me retire, me redresse dâun coup, arrache ma capote, et sans lĂącher les cheveux de Charline, approche ma queue de son visage. JâĂ©jacule en hurlant mon bonheur comme un fauve dans un grognement qui nâa rien dâhumain.
Un premier jet de foutre sâĂ©crase sur ses yeux et son nez, un deuxiĂšme sur sa bouche recouvrant tout son visage dâune Ă©paisse couche de sperme chaud. Mes derniers spasmes Ă©claboussent ses cheveux, et les derniĂšres gouttes coulent sur ses magnifiques seins.
Ăa y est, je me suis vidĂ© les couilles. Je profite des derniers instants avant de dĂ©bander en enfonçant ma bite dans la bouche de Charline pour quâelle me suce et me nettoie.
Elle est magnifique avec ces trainées de sperme qui lui recouvre le visage. La plus grosse partie de ma semence se trouve sur ses yeux et son nez et coule sur sa bouche. Une autre giclée a atterri sur ses cheveux, et quelques gouttes sont tombées sur ses nichons.
Je la contemple ainsi décorée, elle est toute souriante et me dit :
LĂ©o, câĂ©tait trop bon. Câest la premiĂšre fois que je trompe mon copain, mais je ne regrette vraiment pas !!!
Cela marque la fin de notre partie de jambes en lâair.
âŠâŠ. Ă suivre
Nous dĂ©jeunons en terrasse, nous avons discutĂ© durant le repas des diffĂ©rents biens que nous avons actuellement Ă la vente, et alors que la serveuse vient de prendre la commande de nos desserts, Maxime me demande si je suis libre samedi soir pour venir Ă la soirĂ©e quâil organise chez lui Ă lâoccasion de son anniversaire.
Maxime est un collĂšgue avec lequel je mâentend plutĂŽt bien, mais nous ne nous frĂ©quentons pas en dehors du boulot et nos discussions sont, jusquâĂ ce jour, toujours restĂ©es purement « professionnelles ». Toutefois, comme ma vie en ce moment est plutĂŽt calme, jâaccepte dâautant plus volontiers son invitation que mon cĂ©libat commence Ă me peser sĂ©rieusement.
Le samedi je me pointe donc chez mon collĂšgue. Jâentends dĂ©jĂ de la musique depuis la rue et en mâapprochant de la porte dâentrĂ©e, le son des conversations joyeuses me parvient plus nettement aux oreilles.
Je sonne et Maxime en personne mâouvre la porte. Je ne suis pourtant pas si en retard que cela, mais mon pote semble dĂ©jĂ avoir bien commencĂ© la soirĂ©e. Alors que je lui tend la main pour le saluer, il me prend dans ses bras, me fait la bise sans plus de retenue et gardant son bras autour de mon Ă©paule, me fait entrer chez lui.
PassĂ© lâentrĂ©e, nous pĂ©nĂ©trons dans une immense piĂšce de vie baignĂ©e de lumiĂšre, ouvrant par lâintermĂ©diaire de grandes baies vitrĂ©es sur une terrasse oĂč plusieurs convives sont dĂ©jĂ installĂ©s en petits groupes en train de discuter un verre Ă la main.
Je pose la bouteille de vin que jâai amenĂ©e en guise de cadeau sur la table, salue les quelques personnes prĂ©sentes dans la piĂšce, et dĂ©taille un peu mieux celle ci.
Lâameublement est moderne mais la dĂ©coration chaleureuse. On perçoit une touche fĂ©minine, sans aucun doute celle de la compagne de mon pote.
Me poussant un peu plus loin, nous rejoignons les autres invités sur la terrasse.
Viens, je vais te prĂ©senter ma copine, me dit Maxime en mâattirant vers un groupe de quelques personnes.
Charline⊠Charline, je te présente mon collÚgue Léo !!!
La Charline en question que je ne vois jusquâĂ prĂ©sent que dos, se retourneâŠ
Je crois dĂ©faillir. Ai je des hallucinations ? Pourtant je nâai encore rien bu !!!
Des sueurs froides sâemparent de moi, mes jambes flageolent, je dois ĂȘtre livide. Que fait mon coeur ? Ils sâemballe ou il sâarrĂȘte ?
Je voudrais dire bonjour Ă cette Charline, mais aucun son ne veut sortir de ma gorge !!!
Putain de moine, cette fille en face de moi⊠non ce nâest pas possible ? Ce ne peut pas ĂȘtre elle !!!
Et pourtant si, impossible de se tromper. Une aussi belle brune avec ses longs cheveux teints en rouge qui contrastent avec sa peau diaphane, ce visage dâange aux traits si doux, cette bouche ornĂ©e de ce magnifique sourire qui dĂ©couvre de belles dents dâune blancheur parfaite, ces grands yeux de biche⊠ces yeux dâun bleu acier qui vous transpercent dĂ©s quâil se posent sur vous.
Cette belle et grande brune de plus dâun mĂštre soixante dix, Ă lâallure sportive, magnifiquement proportionnĂ©e, aux formes gĂ©nĂ©reuses, cette poitrine qui doit bien faire un bon 85C. Ce corps dont la fermetĂ© ne fait aucun doute, ces jambes fines au galbe parfait, ces cuisses musclĂ©es Ă peine recouvertes par cette petite robe noire terriblement sexy, au tissus fluide, au profond dĂ©colletĂ© aguicheur laissant deviner partiellement les seins quâaucun soutien gorge ne recouvre.
Cette femme qui sâapproche de moi, enfin de nous⊠il nây a pas de doute, câest elle !!!
Ce ne peut ĂȘtre quâelle⊠la fille que jâai baisĂ©e pas plus tard quâil y a quinze jours Ă la soirĂ©e de ma copine Mathilde !!!
Charline en me voyant face Ă elle, alors que Max son compagnon a toujours le bras passĂ© autour de mes Ă©paules, marque un temps dâarrĂȘt. Immobile, incapable de faire un pas de plus, ses joues sâempourprent, son regard passe de lâun Ă lâautre tĂ©moin de son Ă©tonnement.
Elle rĂ©ussit toutefois Ă sâapprocher. Nous rĂ©ussissons Ă nous dire bonjour la voix tremblante et Ă nous faire une bise timide sur la joue. Je parviens Ă sortir sans trop bĂ©gayer ce que je veux pour un compliment de circonstance.
Charline, enchantĂ© de faire votre connaissance. Max mâa souvent parlĂ© de vous. Il nâa pas exagĂ©rĂ©, vous ĂȘtes ravissante.
Max qui manifestement a dĂ©jĂ bien attaquĂ© le planteur, nâa pas remarquĂ© notre gĂȘne lorsque nous nous sommes vus, et ne se doute pas un seul instant que nous nous connaissons dĂ©jĂ . Il ne remarque mĂȘme pas mon regard plongeant dans le dĂ©colletĂ© de sa copine qui commence Ă provoquer chez moi un certain Ă©moi !!!
Il lance Ă lâattention de Charline :
Quel charmeur ce LĂ©o, je ne comprend pas comment avec un tel bagout, il nâarrive pas Ă trouver une copine ?
- Câest aussi bien de sâamuser et de profiter ! dis-je en souriant et en regardant Charline.
En se tournant vers moi, il rajoute :
Reste lĂ avec Charline, je vais te chercher un verre !
Il disparait et nous nous retrouvons tous les deux, Charline et moi, encore abasourdis.
Charline, comme le monde est petit ! dis-je en plaisantant.
Tu nâimagine mĂȘme pas comme mon coeur bat vite, je suis encore toute tremblante ! Comme une idiote, jâai perdu ton snap. Câest pour cela que je ne tâai pas recontactĂ©. Mais si tu savais combien de fois jâai pensĂ© Ă toi ces quinze derniers jours !!!
Lâexpression sur son visage et le ton de sa voix me confirme quâelle ne ment pas. LâĂ©vocation de notre premiĂšre soirĂ©e chez Mathilde notre amie commune, me revient comme un flash-backâŠ
⊠DĂ©but septembre, soit quinze jours plus tĂŽt, je me rends Ă une soirĂ©e chez mon amie Mathilde qui fĂȘte la pendaison de sa crĂ©maillĂšre. Mathilde est une amie dâ*******, qui mâa sollicitĂ© lorsquâelle a voulu acheter une maison pour sâinstaller avec son mari. Jâavais en agence un bien qui lui correspondait et aprĂšs lui avoir fait visiter plusieurs fois, nous avons fait affaire. Elle et son mari se sont installĂ© dans le courant du mois dâAoĂ»t. Je les ai aidĂ© lors de leur amĂ©nagement et pour me remercier, ils mâont invitĂ© ce soir.
Une vingtaine de personnes sont dĂ©jĂ prĂ©sentes. Ăa parle fort, ça rit beaucoup, je ne connais pas grand monde. Je me glisse vers la table oĂč sont disposĂ©s les boissons et les plats dâamuses-bouches en tout genre.
Je suis lĂ depuis une dizaine de minutes Ă mâempiffrer de toasts et Ă descendre une troisiĂšme coupe de champagne, lorsque je remarque une trĂšs belle femme qui elle aussi semble ĂȘtre venue seule.
Je vais trouver Mathilde et lui demande :
Dis moi Mathilde, qui est cette belle jeune femme aux cheveux rouges ?
Ah ah, je vois que tu nâas pas perdu ton sens de lâobservation !
Difficile de passer à cÎté !
Elle se prĂ©nomme Charline, et câest une trĂšs bonne amie.
Elle est libre ?
Disons que ce soir elle est venue seule ! Sinon elle a un copain mais cela ne va pas trÚs fort entre eux en ce moment. Veux tu que je te la présente ?
Ah oui carrément.
Mathilde me prĂ©cĂšde et mâentraine auprĂšs de son amie.
Charline, je tiens Ă te prĂ©senter LĂ©o dont je tâai dĂ©jĂ parlĂ©. Câest lui qui nous a trouvĂ© cette maison. LĂ©o, je te prĂ©sente Charline une trĂšs bonne amie.
Bonsoir Charline. Enchanté.
Bonsoir LĂ©o, de mĂȘme.
Excusez moi les amis, nous dit Mathilde, il faut que jâaille voir les copains qui viennent dâarriver.
Nous nous retrouvons Charline et moi tous les deux au milieu de la piĂšce.
Veux tu boire ou manger quelque chose ? lui demandé-je.
Oui, je veux bien une coupe de champagne., me répondit elle.
Nous nous dirigeons vers le buffet, et je lui sers une coupe puis nous partons nous installer dans le canapĂ© un peu Ă lâĂ©cart.
Alors comme ça, tu est un ami de Mathilde ?
Oui, câest une trĂšs vieille amie ! Et toi ?
On sâest rencontrĂ©e cela fait quelques temps lors dâune soirĂ©e, on a sympathisĂ© et depuis on est toujours restĂ©e en contact. Je peux dire que câest une bonne amie.
Tu fais quoi dans la vie ?
Je suis infirmiĂšre.
Ah, oĂč çà ?
A lâhĂŽpital, dans un service de soins intensifs de cardiologie.
Oh, çà ne doit pas ĂȘtre facile tous les jours !
Non câest vrai et câest pour ça que jâaime sortir pour me changer les idĂ©es. Tâas une copine toi ?
Non je suis célibataire⊠Et toi ?
Euh oui⊠jâai un mec, mais en ce moment câest comment dire, câest⊠un peu tendu entre nous. Câest pour ça que je suis venue seule ce soir. On sâest pris la tĂȘte hier justement Ă propos de cette soirĂ©e. Il ne voulait pas venir parce que Mossieur est fatiguĂ© en ce moment, mais il ne voulait pas non plus que je sorte. Limite crise de jalousie, tu vois !!!
Ah oui, pas trĂšs cool !
Oui pas cool du tout. Alors ça mâa gonflĂ© et je lâai renvoyĂ© chier.
Charline semble intarissable. Je nâarrive pas Ă en placer une, mais ce quâelle vient de me dire Ă propos de son copain fait immĂ©diatement « tilt » dans ma tĂȘte. Mathilde ne mâa pas menti.
Charline continue la conversation toujours aussi loquace. Elle parle Ă©normĂ©ment de son travail qui manifestement reprĂ©sente beaucoup pour elle, de ce quâelle vit au quotidien dans son service, de la pĂ©riode du covid qui a changĂ© beaucoup de choses, mais par moment, revient sur son copain, sur la mauvaise passe quâils traversent. Elle me confie que celui ci ne comprend pas que lâon puisse autant sâinvestir dans son travail⊠etc etc !!!
Je sens que je dois la laisser parler et lâĂ©couter sans chercher Ă parler de moi, et encore moins la questionner sur son mec. Lui prĂȘter seulement une oreille attentive, ĂȘtre son confident silencieux mais attentif. Je me dis que câest mon jour de chance, que je viens de ferrer une superbe femme, et que si je lui tĂ©moigne suffisamment de comprĂ©hension et dâempathie, jâai toute les chances de me la faire dĂšs ce soir.
Tout le temps quâelle me parle, je la dĂ©taille attentivement, jâadmire ses formes, un physique de sportive assurĂ©ment. Elle est belle, un magnifique sourire illumine son joli visage. Sa petit robe noire ne lui recouvre que la moitiĂ© des cuisses. Elle a de grandes jambes aux mollets parfaitement galbĂ©s. Tout chez elle me plait et me donne de plus en plus envie dâelle.
Je ne me suis jamais fait une infirmiĂšre. Câest lâoccasion de vĂ©rifier si leur rĂ©putation est justifiĂ©e !
Je lâinterrompt pour lui demander :
Cela te dit que lâon aille danser ?
Oh oui, tu as raison jâadore ce morceau !
Nous nous levons, je la prends par la main et lâentraine vers la piste. On se mĂ©lange aux autres convives et commençons Ă danser. Au dĂ©but nous restons face Ă face, mes yeux se noient dans les siens, elle me sourit. Rapidement nous nous rapprochons de plus en plus, je la prends par la taille et la serre un peu contre moi. Mes mains caressent ses bras, sa peau est douce, ce contact mâĂ©lectrise, je suis pris dâune Ă©rection incontrĂŽlable.
Mes mains se font de plus en plus gourmandes et commencent Ă parcourir son corps par dessus le tissus de sa robe.
Le DJ choisi ce moment pour lancer une sĂ©rie de slows. Je lâattire davantage contre moi. Son ventre se colle au mien. Elle sent contre elle mon sexe dressĂ© au zĂ©nith et dĂ©jĂ dur comme un roc.
Loin de sâen offusquer, elle sâappuie encore plus fort contre moi et frotte son pubis contre le mien, en se dĂ©hanchant dâune façon terriblement sensuelle.
Je la caresse de plus belle, mes mains se perdant réguliÚrement sur ses fesses, les palpant et les pétrissant.
De son cĂŽtĂ©, elle passe ses mains derriĂšre ma tĂȘte, me caresse les cheveux et la nuque avec une douceur exquise tout en me regardant droit dans les yeux.
Nos lĂšvres se rapprochent, nous Ă©changeons un premier baiser, suivi dâun autre plus appuyĂ©, et enfin nos langues se mĂ©langent. Notre baiser devient langoureux puis de plus en plus passionnĂ©.
Mon excitation ne cesse de croitre.
La musique change, et le DJ nous passe maintenant un mĂ©lange de rythmes latinos et antillais. La tempĂ©rature monte encore dâun cran entre nous.
Charline danse maintenant dâune façon terriblement sensuelle et provocante. Sans se dĂ©coller de moi, elle tourne sur elle mĂȘme frottant maintenant sans aucune retenue ses fesses contre mon entrejambe.
Je lâattrape par les hanches mâappuyant encore plus fort. Mes mains caressent son ventre, remontent vers sa poitrine et pelotent ses seins sans aucune pudeur.
Nous en oublions totalement les autres invités qui dansent autour de nous et doivent se délecter du spectacle érotique que nous leur offrons.
Je dépose maintenant de doux baisers dans son cou en remontant vers son oreille dont je mordille doucement le lobe tout en continuant mes caresses sur son ventre et sa poitrine.
Au summum de lâexcitation, je lui glisse doucement dans le creux de lâoreille :
Je nâen peux plus Charline, tu me rends dingue.
Humm, je crois que je le sens bien !
Jâai trop envie de toi.
Moi aussi jâai bien envie. Mais oĂč peut on aller ?
Je connais cette maison, Il y a une chambre dâami. On nâa quâĂ y aller !
Tu crois ?
Oui bien sûr !
Je la prends par la main et lâattire tout au fond du couloir. SitĂŽt la porte refermĂ©e, nous nous jetons dans les bras lâun de lâautre et recommençons Ă nous embrasser fougueusement en nous dĂ©shabillant mutuellement.
Elle déboutonne ma chemise pendant que je fais glisser la fermeture éclair de sa robe qui finit par terre.
Je dĂ©couvre une magnifique paire de seins retenus dans un sublime soutien gorge corbeille tout en dentelle rouge. Je prends un instant pour dĂ©tailler cette beautĂ© qui sâoffre Ă moi.
Elle est splendide. Son ventre est plat et ferme. Elle porte un tanga assorti Ă son soutien gorge, qui remonte haut sur ses hanches et lui fait des jambes qui paraissent interminables.
Mon **** ne fait quâun tour, et mon excitation redouble. Je fais sauter lâagrafe de son soutien gorge qui rejoint nĂ©gligemment sa robe sur le sol, et me jette sur ses seins que je pĂ©tris Ă pleines mains. Je joue un instant avec ses tĂ©tons bien fermes que je pince et fait rouler entre mes doigts avant de les emboucher et de les sucer avidement.
Une main descend vers son pubis et glisse sous la dentelle de son tanga. Je dĂ©couvre sa chatte totalement Ă©pilĂ©e et dĂ©jĂ ruisselante de cyprine. Mes doigts sâinsinuent entre ses lĂšvres intimes et je commence Ă la doigter sans interrompre la succion de ses tĂ©tons. Charline gĂ©mit doucement de plaisir.
Je la pousse vers le lit. Elle sâallonge en travers les jambes pendantes. Je couvre son ventre de doux baisers en descendant lentement vers son pubis Je lui retire son tanga et mâagenouille entre ses cuisses. Je commence Ă la lĂ©cher sa vulve totalement glabre et dĂ©couvre son petit bouton dâamour que je suce dĂ©licatement tout en continuant de la doigter. Ma langue dessine des figures gĂ©omĂ©triques imaginaires sur sa vulve, sâenfonce aussi loin quâelle peut dans son vagin, revient lĂ©cher sa chatte. Je me dĂ©lecte de son jus, et recommence lĂ©chage de la chatte et succion du clito.
Je sens monter chez Charline le plaisir. Sa respiration sâaccĂ©lĂšre, ses mains se crispent dâabord sur les draps, puis dans mes cheveux. Elle me maintient la tĂȘte comme si elle avait peur que jâinterrompe subitement ce cunni. Elle est parcourue de spasmes, les yeux clos, sa tĂȘte roule de droite Ă gauche, son corps se tend et se relĂąche. Elle gĂ©mit de plus en plus fort en lĂąchant par moment quelques mots crus :
Oh putain LĂ©o, câest bon, câest trop bon, vas y continue, ça vient, continue, ça vientâŠ
Elle est emportĂ©e par un premier orgasme fulgurant. Elle me gratifie dâun jet de cyprine dans la bouche tout en criant sans retenue.
Son souffle retrouvĂ©, elle se redresse et sâempresse de me dĂ©shabiller. Nerveusement, elle dĂ©fait mon pantalon et retire mon boxer, dĂ©couvrant mon sexe gonflĂ© et fiĂšrement dressĂ©.
Oh, fait elle, putain quâest ce quâelle est grosse !!! Tâes super bien montĂ© toi !!! Jâai trop envie de te sucer.
Vas y ma belle, ne te retiens surtout pas⊠ câest le moment de quitter la routine !!!
Et sans plus attendre, elle embouche ma queue tout en me malaxant les boules. Elle sâavĂšre extrĂȘmement douĂ©e dans cet exercice. Jâai droit Ă une pipe digne dâune actrice porno. Elle me suce le gland puis me lĂšche sur toute la longueur de ma hampe en me jetant par moment un regard lascif et reprend de plus belle sa fellation.
Je nâen peux plus, je suis dĂ©jĂ au bord de lâexplosion. Bien que ce soit dĂ©licieux, je lui demande dâinterrompre cette pipe parce que je voudrais durer beaucoup plus longtemps.
Jâattrape des prĂ©servatifs dans la poche de mon pantalon que je pose sur la table de nuit et en enfile un.
Charline sâest allongĂ©e sur le dos et ouvre totalement ses jambes mâoffrant une vue parfaite sur son petit abricot. Je mâapproche dâelle, frotte ma queue encapuchonnĂ©e entre ses lĂšvres intimes avant de la pĂ©nĂ©trer.
Sâil te plait, LĂ©o, vas y doucement tâes vraiment gros, je ne suis pas habituĂ©e Ă un tel engin !!!
Je souris amusé par cette remarque et mon indice de confiance sur ma virilité grimpe en flÚche autant que mon sexe.
Je mâintroduit dĂ©licatement dans sa chambre dâamour mais elle ne peut retenir un :
Oh putain LĂ©o, elle est trop grosse ta queue !!!
Tu veux que jâarrĂȘte ?
Oh non, non, câest trop bon, continue, putain que câest bon !!!
Ainsi rassuré, je reprend ma pénétration et vient buter au fond de son vagin. Je me retire en douceur et recommence mon va et vient le plus lentement et le plus doucement possible.
Câest vrai que je me sens serrĂ© dans cette chatte. Je mâenfonce centimĂštre par centimĂštre avec une infinie douceur comme si je la dĂ©florais.
AprĂšs quelques allers-retours, jâaugmente un peu la cadence. Charline qui jusque lĂ gĂ©mit doucement, replie ses jambes sur sa poitrine et ce met Ă pousser de petits cris. ExcitĂ© par son attitude, je dĂ©bute des mouvements de bassin de plus en plus amples en me tenant bras tendus au dessus dâelle, et ma queue sâenfonce jusquâĂ la garde, tape tout au fond de sa grotte. Elle plante ses ongles dans ma peau et me laboure le dos.
Je continue ainsi pendant quelques minute jusquâĂ ce que Charline soit emportĂ©e par un nouvel orgasme.
Sans lui laisser trop le temps de se remettre, je bascule sur le cĂŽtĂ© en lâentrainant avec moi sans me retirer de son Ă©crin. Je me retrouve sur le dos, Charline me chevauche. Ma bite est profondĂ©ment enfoncĂ©e en elle.
Je pétris ses seins et les suce goulument tout en donnant quelques coups de bassin. Je saisis ma maitresse par les hanches et lui impose mon rythme. Elle a du mal à suivre la cadence et gémit toujours en prenant appui, tantÎt sur mon torse, tantÎt sur mes cuisses.
AprĂšs quelques minutes de ce traitement, je sens de nouveau que je ne vais pas tarder Ă jouir. Je la re-bascule sur le ventre et me retire de sa chatte. Je viens me glisser entre ses jambes, lui Ă©carte les fesses, et plonge la bouche la premiĂšre entre ses joues. Je recommence Ă lĂ©cher tout dâabord son petit abricot juteux, mais trĂšs vite mâoccupe de son petit oeillet. Ma langue vient titiller sa corolle brune et sâinsinue Ă lâintĂ©rieur. Charline est tellement surprise, quâelle se contracte brusquement.
Sans faire cas de sa rĂ©action, je continue de la lĂ©cher, ma langue cherchant Ă entrer dans son petit trou, pendant que je me remet Ă la doigter. Un doigt tout dâabord puis un deuxiĂšme sâenfoncent dans sa chatte vigoureusement.
La pression Ă©tant retombĂ©e mais nâayant pas pour autant dĂ©bandĂ©, je me redresse, saisis Charline par les hanches, et lâattire au bord du lit pour la prendre en levrette.
Ma pĂ©nĂ©tration est vigoureuse et ma queue sâenfonce dâun coup jusquâĂ la garde. Charline pousse un cri. Ses mains se crispent sur les draps, et elle enfonce sa tĂȘte dans les oreillers pour Ă©touffer ses cris.
Je la ramone ainsi pendant de longues minutes en ahanant comme un bucheron. Charline crie de plaisir sans interruption en mordant le coussin pour attĂ©nuer ses cris. Mon excitation ne fait quâaugmenter. Jâattrape ses cheveux, en fait une sorte de queue de cheval que je tire en arriĂšre pour lui faire sortir le visage des coussins, et lui donne deux ou trois gifles bien sonores sur ses fesses qui rougissent instantanĂ©ment.
Ce soir jâai une chance inouĂŻe. Je suis avec une femme qui a une envie de baiser extraordinaire et que je nâai pas envie de dĂ©cevoir. Si son copain nâest pas capable de prendre soin dâelle, je vais lui montrer ce quâun vrai mec peut lui faire connaitre.
JâarrĂȘte brusquement mon va et vient et me retire sans la prĂ©venir. Elle est surprise et se retourne pour me regarder cherchant Ă comprendre ce qui se passe.
Sans mot dire, je la prends par les mains, la redresse, la retourne face Ă moi, la saisis par les hanche et la soulĂšve du sol.
Elle comprend de suite oĂč je veux en venir, et passe ses deux bras autour de mon cou et croise ses jambes derriĂšre mon dos.
En la soutenant dâune main sous les fesses, je prends mon chibre dans lâautre et le dirige directement dans sa chatte.
Je la laisse glisser sans trop la retenir et elle sâempale dâun coup sur ma tige. Mon gland vient taper directement au fond de sa chatte. Charline pousse de nouveau un cri de surprise ou de douleur je ne sais pas trop. Et je recommence Ă la limer en la faisant monter et descendre sur toute la longueur de ma hampe.
Dans cette position, jâen profite pour lâembrasser fougueusement et enfoncer un doigt dans son petit trou.
Cette position mâĂ©puise plus rapidement que je ne le pensais. Je repose Charline sur le sol, la retourne et la pousse vers la porte de la chambre, contre laquelle elle prend appui sur ses avant bras tout en restant debout. Elle se cambre, Ă©carte les jambes et me laisse la pĂ©nĂ©trer de nouveau par derriĂšre. Toujours solidement accrochĂ© Ă ses hanches, je donne de grands coups de reins, en criant comme un fauve en rut.
Charline crie sous mes coups de boutoirs ce qui ne fait quâaccroitre mon excitation. Toujours ferment accrochĂ© Ă ses hanches, jâaccĂ©lĂšre encore le rythme de mes coups de reins. Je la dĂ©fonce bestialement encouragĂ© par ses cris :
Putain, LĂ©o, câest bon⊠câest vraiment trop bon⊠continue, putain jâai jamais connu ça avant !!!
Tu aimes ?
Oh oui, ta queue est si grosse, câest trop bon, continue, je vais jouir encore !!!
Et en effet Charline est de nouveau emportée par un orgasme tout aussi fulgurant.
Epuisée, elle se laisse glisser au sol, les jambes flageolantes, incapables de la soutenir.
Je mâassoie Ă ses cĂŽtĂ©s, tout en continuant Ă lâembrasser et la caresser.
Cette interruption, je ne vais pas le cacher me fait du bien, car jâĂ©tais tout prĂšs de jouir malgrĂ© tous les efforts pour me retenir.
Nous retrouvons un moment de tendresse pendant lequel nous Ă©changeons des baisers langoureux et nous caressons sensuellement. Un moment qui contraste totalement avec les instants que nous venons de passer oĂč la *********Ă© mâavait envahie.
Câest Charline qui la premiĂšre retrouve son ardeur. Elle me pousse Ă mâallonger au milieu de la chambre, entre le lit et le placard, face Ă un grand miroir. LĂ , elle mâarrache le prĂ©servatif et se remet Ă me sucer de plus belle pour me redonner de la vigueur, et les yeux dans les yeux me lance :
Câest trop bon avec toi LĂ©o, jâai encore envie de toi. Je veux sentir ta belle queue en moi. Prends moi lĂ , devant le miroir, par derriĂšre. Je veux te voir pendant que tu me baises.
Joignant le geste Ă la parole, elle se positionne Ă quatre pattes face Ă la glace. Je prends seulement le temps dâenfiler une autre capote et me voila de nouveau et train de pĂ©nĂ©trer ma maitresse du soir.
AccrochĂ© Ă ses hanches, je mâenfonce dâun coup en elle et me retire lentement en prenant soin de ne laisser que lâextrĂ©mitĂ© de mon gland dans sa chatte.
Charline regarde fixement lâimage que nous renvoie le miroir en se mordant la lĂšvre infĂ©rieure et en poussant un petit gĂ©missement Ă chacun de mes coups de reins.
Je recommence ainsi Ă pilonner virilement sa chatte sans rompre un seul instant le contact visuel.
Vas y, vas y, oui, comme ça LĂ©o, câest trop bon comme ça, continue putain, on mâa jamais baisĂ© aussi bien !!!
Tâaimes ça hein, ça te change de ton mec ?
Oh oui, toi tâas une grosse queue Ă cĂŽtĂ© de lui⊠et tu sais tâen servir !!!
Je continue ainsi mon va et vient lent et profond, humecte mon pouce de salive et lâenfonce dans son petit trou.
Humm ma belle⊠jâai bien envie de te prendre comme ça !!!
Non LĂ©o, pas ça, sâil te plait, pas comme ça. Je ne lâai jamais fait, jâai peur dâavoir mal, tu es tellement gros !!!
Je renonce donc Ă lâenculer mais reprends mon pilonnage de sa chatte de plus belle, saisissant de nouveau ses cheveux Ă pleine main. La jouissance monte en moi, je le sens, Impossible de me retenir cette fois. Dâailleurs ai-je vraiment envie de me retenir ?
JâaccĂ©lĂšre la vitesse de mes coups de reins, jâai dĂ©passĂ© le point de non retour, je vais jouir.
Je me retire, me redresse dâun coup, arrache ma capote, et sans lĂącher les cheveux de Charline, approche ma queue de son visage. JâĂ©jacule en hurlant mon bonheur comme un fauve dans un grognement qui nâa rien dâhumain.
Un premier jet de foutre sâĂ©crase sur ses yeux et son nez, un deuxiĂšme sur sa bouche recouvrant tout son visage dâune Ă©paisse couche de sperme chaud. Mes derniers spasmes Ă©claboussent ses cheveux, et les derniĂšres gouttes coulent sur ses magnifiques seins.
Ăa y est, je me suis vidĂ© les couilles. Je profite des derniers instants avant de dĂ©bander en enfonçant ma bite dans la bouche de Charline pour quâelle me suce et me nettoie.
Elle est magnifique avec ces trainées de sperme qui lui recouvre le visage. La plus grosse partie de ma semence se trouve sur ses yeux et son nez et coule sur sa bouche. Une autre giclée a atterri sur ses cheveux, et quelques gouttes sont tombées sur ses nichons.
Je la contemple ainsi décorée, elle est toute souriante et me dit :
LĂ©o, câĂ©tait trop bon. Câest la premiĂšre fois que je trompe mon copain, mais je ne regrette vraiment pas !!!
Cela marque la fin de notre partie de jambes en lâair.
âŠâŠ. Ă suivre
11 months ago