Mission à N'Djamena (suite)
Le soir après le repas, je rejoins Cathy qui est dans la salle d’eau. Après m’être déshabillé, je m’approche d’elle, me colle dans son dos, et commence à la caresser tendrement. Je suis immédiatement en érection, mon sexe tendu au zénith entre ses fesses. Je caresse sa jolie poitrine généreuse à pleines mains, frottant mon sexe entre ses deux globes charnus. Elle saisit immédiatement l’intensité de mon désir, et se laisse faire sans mots dire.
Je l’attire sous la douche sans interrompre mes caresses sur son corps et tout en faisant couler l’eau, nous commençons à nous savonner mutuellement et tout naturellement, nous nous caressons de manière intime. Mon envie est trop forte, et je ne tarde pas à la soulever du sol en passant mes mains sous ses fesses. Spontanément elle passe ses bras autour de mon cou et croise ses jambes dans mon dos. Je la fait descendre en dirigeant ma queue vers sa chatte et la pénètre d’un coup en la laissant glisser. Elle s’enfonce jusqu’à la garde en poussant un petit cri :
Oouuh, mais dis moi tu es en grande forme !!! me dit elle.
Nous nous embrassons passionnément, et je commence à la faire monter et descendre lentement sur toute la longueur de ma hampe. Sur son visage, je lis une expression de bonheur. Elle garde les yeux fermés mais elle sourit en gémissant doucement, et pousse de petits « ooh » chaque fois que mon gland vient taper au fond de son vagin.
Sentant son plaisir monter, j’accentue le mouvement. Ses gémissements se sont progressivement transformés en cris, et m’encouragent à continuer ainsi :
Oui, oui, oui… vas y, continue, continue… c’est bon, c’est trop bon… continue, ça vient, ça vient…. OOUUIIIIIII !!!
Je reste enfoncé au plus profond de son intimité sans bouger. Elle reprend ses esprits, et me lance
Oh putain mon salaud… que c’était bon !!!
Attend ma chérie, ce n’est que le début. J’ai trop envie de toi, je vais te faire passer une nuit blanche !!!
Huummm… je veux voir ça !!!
Toujours accrochée à moi et sans sortir ma queue de sa chatte, je quitte la salle d’eau et me dirige vers notre chambre. Je m’assoie sur le bord du lit, Cathy toujours profondément empalée sur moi commence à onduler du bassin. Je saisis ses merveilleux seins à pleines mains et les pétris sans ménagement, pinçant ses tétons gonflés de désir, qui pointent fièrement vers ma bouche. Je les prends entre les lèvres et les sucent avidement.
Cathy pendant ce temps continue de s’agiter sur mon pieu, tantôt montant et descendant sur toute la longueur de ma tige, tantôt allant et venant d’avant en arrière , frottant sa vulve et son clitoris de toutes ses forces contre mon pubis, la tête rejetée en arrière, les yeux clos, gémissant de plaisir sans discontinuer. Un second orgasme ne tarde pas à la submerger au moins aussi intense que le précédent. Cathy s’effondre sur le lit
A ce moment là, je ressens une irrépressible envie d’un « 69 », de me retrouver sur elle, de m’enfoncer au fond de sa gorge et de jouir ainsi tout en lui offrant un cunni qui la fera jouir une nouvelle fois.
Je m’approche de son visage et viens poser ma queue toujours fièrement dressée sur ses lèvres. Elle m’embouche tout en malaxant mes bourses d’une main et en tenant ma queue de l’autre.
Je me couche sur elle et commence à sucer son clito, jouant avec avec ma langue, le pinçant entre mes doigts ou le suçotant entre mes lèvres, tout en enfonçant un pouce dans sa chatte et le majeur dans son petit trou.
Ainsi prise, Cathy ne tarde pas à jouir une nouvelle fois. Tout son corps se crispe, se tend et se détend sous moi secoué par les spasmes d’un plaisir immense. Elle crie, mais ses hurlements sont étouffés par ma queue toujours profondément enfoncée au fond de sa gorge. Elle cherche à se dégager, mais je la bloque entre mes genoux, et éjacule une belle quantité de sperme qu’elle déglutit non sans mal.
Toujours pas rassasié, je me dégage pour venir entre ses cuisses, replie ses jambes sur sa poitrine, et entreprend de la besogner dans un missionnaire lent et profond.
Je prend tout mon temps pour m’enfoncer complètement en elle et me retire lentement en ne laissant que mon gland entre ses lèvres intimes avant de me renfoncer jusqu’à la garde et de venir taper tout au fond de sa chambre d’amour, frottant contre les parois de son fourreau qui m’apparait désormais si étroit.
C’est ainsi que pendant de longues minutes, je baise Cathy qui gémit sans interruption, m’encourageant à continuer ainsi comme si elle redoutait que je m’arrête soudainement.
Oh c’est bon mon chéri… c’est vraiment trop bon. Continue comme ça, ne t’arrête surtout pas !!!
Sois tranquille ma chérie, je ne suis pas prêt de m’arrêter !!!
Et je continue ainsi de besogner ma femme, alternant les va et viens tantôt lents et doux, tantôt rapides, profonds et virils, ralentissant lorsque je sens mon plaisir monter avant de passer le point de non retour, accélérant lorsque je sens que le plaisir monte chez Cathy et qu’elle va avoir un nouvel orgasme.
Je connais ma femme, je sais que même si elle jouit dans cette position, pour elle rien ne vaut une levrette.
Je la retourne sur le ventre et accentue mes coups de reins en me tenant fermement à ses hanches. Elle adore cela, sentir mon sexe qui laboure sa chatte, qui frotte contre les parois de sa grotte, mon gland qui vient exploser le fond de son vagin. Elle aime lorsque je lui fait l’amour bestialement, lorsque sans interrompre mon pilonnage, je viens glisser mes mains sur ses seins pour les pétrir fermement et jouer avec ses tétons en les pinçant et les triturant entre mes doigts.
Elle aime également lorsque tout en la besognant, je viens glisser mes doigts dans son petit trou, pour la préparer à une sodomie qui marquera la fin de notre coït et qui se soldera inéluctablement par mon éjaculation dans ses entrailles.
Mais ce soir, Cathy s’inquiète :
- Oh, chéri, j’ai peur… tu es tellement gros !!!
Ne t’inquiète pas, je vais bien te préparer. Je vais te mettre plein de gel.
Oui mais quand même, je ne t’ai jamais vu aussi gonflé et dur… Tu vas me déchirer !!!
Mais non ce n’est pas la première fois allons. Détend toi, tu vas voir tout va bien se passer.
Après avoir déposer une bonne dose de lubrifiants sa rosette, j’approche mon gland de son oeillet et commence à pousser lentement.
Cathy s’effondre à plat ventre sur le lit en poussant un cri :
Oh putain, putain, non arrête je ne vais pas pouvoir… tu es vraiment trop gros !!!
Détend toi je suis déjà rentré.
Aaahhh… attend ne bouge plus, laisse moi reprendre mon souffle !!!
Quelques instant après, je recommence tout doucement à m’enfoncer en elle.
Oh putain, mon salaud que c’est dur !!! Vas y doucement mais dépêche toi de jouir Je n’en peux plus !!!
Au bout de quelques minutes, je me laisse aller à jouir dans son cul sans chercher, non sans regrets, à prolonger cet instant.
Allongés l’un contre l’autre tendrement enlacés, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Mais, quelle est cette lumière ?
Ça y est docteur, il commence à se réveiller !!!
Pupilles égales et réactives… normo-dilatées.
Mais qu’est ce qui se passe ? C’est à moi que l’on s’adresse comme ça ?
Pourquoi me met on cette lumière dans les yeux ?
Monsieur, monsieur serrez moi la main… c’est bien l’autre main maintenant…oui c’est bien, bougez les jambes s’il vous plait… c’est bon, aucun déficit moteur !!!
…..
Ne vous agitez pas monsieur, vous ne pouvez pas parler pour l’instant, mais on va retirer se tuyau que vous avez dans la gorge.
Quel tuyau ? Mais de quoi parle-t-on ? Et qui parle d’ailleurs ?
Ah ça y est, il est réveillé.
Ben alors mon vieux, comment te sens tu? Tu sais que tu nous a fait sacrément peur lorsqu’on nous a informé que l’on te rapatriait du Tchad dans le coma.
Qu’est ce qu’il s’est passé ? demandé-je. Où suis je?
Je finis par reconnaitre un de mes collègue réanimateur de mon service, e réalise que je suis dans un lit d’une chambre de réanimation.
Et bien je vais te la faire courte. Tu étais au Tchad et tu as eu un accident sur une piste. Chance pour toi, il y avait un détachement de militaires français qui passait par là avec des médecins qui t’ont pris immédiatement en charge, ont fait toute la réanimation nécéssaire et ont organisés ton rapatriement sanitaire. Tu es arrivé chez nous il y a trois jours, on t’a fait passer un scanner cérébral dès ton arrivée, et comme tu n’avais pas de lésions cérébrales graves on a levé la sédation. Voila tu sais tout. Allez repose toi, On va prévenir ta femme que tu es réveillé et que tout va bien. Elle va pouvoir te rendre visite cet après-midi.
Une fois seul dans mon box, ma mémoire me reviens petit à petit.
Ah oui le Tchad… la piste… l’accident de bus… je me souviens de ça !!! Mes souvenirs sont confus, tout s’est mélangé dans ma tête. Mais alors si j’ai été plongé dans le coma lorsque j’étais au Tchad, tout ce que j’ai cru vivre n’était en fait qu’un rêve érotique !!!
En soulevant le drap du lit, j’en ai la certitude... car de toute évidence, mon sexe est rigoureusement comme avant !!!
Je l’attire sous la douche sans interrompre mes caresses sur son corps et tout en faisant couler l’eau, nous commençons à nous savonner mutuellement et tout naturellement, nous nous caressons de manière intime. Mon envie est trop forte, et je ne tarde pas à la soulever du sol en passant mes mains sous ses fesses. Spontanément elle passe ses bras autour de mon cou et croise ses jambes dans mon dos. Je la fait descendre en dirigeant ma queue vers sa chatte et la pénètre d’un coup en la laissant glisser. Elle s’enfonce jusqu’à la garde en poussant un petit cri :
Oouuh, mais dis moi tu es en grande forme !!! me dit elle.
Nous nous embrassons passionnément, et je commence à la faire monter et descendre lentement sur toute la longueur de ma hampe. Sur son visage, je lis une expression de bonheur. Elle garde les yeux fermés mais elle sourit en gémissant doucement, et pousse de petits « ooh » chaque fois que mon gland vient taper au fond de son vagin.
Sentant son plaisir monter, j’accentue le mouvement. Ses gémissements se sont progressivement transformés en cris, et m’encouragent à continuer ainsi :
Oui, oui, oui… vas y, continue, continue… c’est bon, c’est trop bon… continue, ça vient, ça vient…. OOUUIIIIIII !!!
Je reste enfoncé au plus profond de son intimité sans bouger. Elle reprend ses esprits, et me lance
Oh putain mon salaud… que c’était bon !!!
Attend ma chérie, ce n’est que le début. J’ai trop envie de toi, je vais te faire passer une nuit blanche !!!
Huummm… je veux voir ça !!!
Toujours accrochée à moi et sans sortir ma queue de sa chatte, je quitte la salle d’eau et me dirige vers notre chambre. Je m’assoie sur le bord du lit, Cathy toujours profondément empalée sur moi commence à onduler du bassin. Je saisis ses merveilleux seins à pleines mains et les pétris sans ménagement, pinçant ses tétons gonflés de désir, qui pointent fièrement vers ma bouche. Je les prends entre les lèvres et les sucent avidement.
Cathy pendant ce temps continue de s’agiter sur mon pieu, tantôt montant et descendant sur toute la longueur de ma tige, tantôt allant et venant d’avant en arrière , frottant sa vulve et son clitoris de toutes ses forces contre mon pubis, la tête rejetée en arrière, les yeux clos, gémissant de plaisir sans discontinuer. Un second orgasme ne tarde pas à la submerger au moins aussi intense que le précédent. Cathy s’effondre sur le lit
A ce moment là, je ressens une irrépressible envie d’un « 69 », de me retrouver sur elle, de m’enfoncer au fond de sa gorge et de jouir ainsi tout en lui offrant un cunni qui la fera jouir une nouvelle fois.
Je m’approche de son visage et viens poser ma queue toujours fièrement dressée sur ses lèvres. Elle m’embouche tout en malaxant mes bourses d’une main et en tenant ma queue de l’autre.
Je me couche sur elle et commence à sucer son clito, jouant avec avec ma langue, le pinçant entre mes doigts ou le suçotant entre mes lèvres, tout en enfonçant un pouce dans sa chatte et le majeur dans son petit trou.
Ainsi prise, Cathy ne tarde pas à jouir une nouvelle fois. Tout son corps se crispe, se tend et se détend sous moi secoué par les spasmes d’un plaisir immense. Elle crie, mais ses hurlements sont étouffés par ma queue toujours profondément enfoncée au fond de sa gorge. Elle cherche à se dégager, mais je la bloque entre mes genoux, et éjacule une belle quantité de sperme qu’elle déglutit non sans mal.
Toujours pas rassasié, je me dégage pour venir entre ses cuisses, replie ses jambes sur sa poitrine, et entreprend de la besogner dans un missionnaire lent et profond.
Je prend tout mon temps pour m’enfoncer complètement en elle et me retire lentement en ne laissant que mon gland entre ses lèvres intimes avant de me renfoncer jusqu’à la garde et de venir taper tout au fond de sa chambre d’amour, frottant contre les parois de son fourreau qui m’apparait désormais si étroit.
C’est ainsi que pendant de longues minutes, je baise Cathy qui gémit sans interruption, m’encourageant à continuer ainsi comme si elle redoutait que je m’arrête soudainement.
Oh c’est bon mon chéri… c’est vraiment trop bon. Continue comme ça, ne t’arrête surtout pas !!!
Sois tranquille ma chérie, je ne suis pas prêt de m’arrêter !!!
Et je continue ainsi de besogner ma femme, alternant les va et viens tantôt lents et doux, tantôt rapides, profonds et virils, ralentissant lorsque je sens mon plaisir monter avant de passer le point de non retour, accélérant lorsque je sens que le plaisir monte chez Cathy et qu’elle va avoir un nouvel orgasme.
Je connais ma femme, je sais que même si elle jouit dans cette position, pour elle rien ne vaut une levrette.
Je la retourne sur le ventre et accentue mes coups de reins en me tenant fermement à ses hanches. Elle adore cela, sentir mon sexe qui laboure sa chatte, qui frotte contre les parois de sa grotte, mon gland qui vient exploser le fond de son vagin. Elle aime lorsque je lui fait l’amour bestialement, lorsque sans interrompre mon pilonnage, je viens glisser mes mains sur ses seins pour les pétrir fermement et jouer avec ses tétons en les pinçant et les triturant entre mes doigts.
Elle aime également lorsque tout en la besognant, je viens glisser mes doigts dans son petit trou, pour la préparer à une sodomie qui marquera la fin de notre coït et qui se soldera inéluctablement par mon éjaculation dans ses entrailles.
Mais ce soir, Cathy s’inquiète :
- Oh, chéri, j’ai peur… tu es tellement gros !!!
Ne t’inquiète pas, je vais bien te préparer. Je vais te mettre plein de gel.
Oui mais quand même, je ne t’ai jamais vu aussi gonflé et dur… Tu vas me déchirer !!!
Mais non ce n’est pas la première fois allons. Détend toi, tu vas voir tout va bien se passer.
Après avoir déposer une bonne dose de lubrifiants sa rosette, j’approche mon gland de son oeillet et commence à pousser lentement.
Cathy s’effondre à plat ventre sur le lit en poussant un cri :
Oh putain, putain, non arrête je ne vais pas pouvoir… tu es vraiment trop gros !!!
Détend toi je suis déjà rentré.
Aaahhh… attend ne bouge plus, laisse moi reprendre mon souffle !!!
Quelques instant après, je recommence tout doucement à m’enfoncer en elle.
Oh putain, mon salaud que c’est dur !!! Vas y doucement mais dépêche toi de jouir Je n’en peux plus !!!
Au bout de quelques minutes, je me laisse aller à jouir dans son cul sans chercher, non sans regrets, à prolonger cet instant.
Allongés l’un contre l’autre tendrement enlacés, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Mais, quelle est cette lumière ?
Ça y est docteur, il commence à se réveiller !!!
Pupilles égales et réactives… normo-dilatées.
Mais qu’est ce qui se passe ? C’est à moi que l’on s’adresse comme ça ?
Pourquoi me met on cette lumière dans les yeux ?
Monsieur, monsieur serrez moi la main… c’est bien l’autre main maintenant…oui c’est bien, bougez les jambes s’il vous plait… c’est bon, aucun déficit moteur !!!
…..
Ne vous agitez pas monsieur, vous ne pouvez pas parler pour l’instant, mais on va retirer se tuyau que vous avez dans la gorge.
Quel tuyau ? Mais de quoi parle-t-on ? Et qui parle d’ailleurs ?
Ah ça y est, il est réveillé.
Ben alors mon vieux, comment te sens tu? Tu sais que tu nous a fait sacrément peur lorsqu’on nous a informé que l’on te rapatriait du Tchad dans le coma.
Qu’est ce qu’il s’est passé ? demandé-je. Où suis je?
Je finis par reconnaitre un de mes collègue réanimateur de mon service, e réalise que je suis dans un lit d’une chambre de réanimation.
Et bien je vais te la faire courte. Tu étais au Tchad et tu as eu un accident sur une piste. Chance pour toi, il y avait un détachement de militaires français qui passait par là avec des médecins qui t’ont pris immédiatement en charge, ont fait toute la réanimation nécéssaire et ont organisés ton rapatriement sanitaire. Tu es arrivé chez nous il y a trois jours, on t’a fait passer un scanner cérébral dès ton arrivée, et comme tu n’avais pas de lésions cérébrales graves on a levé la sédation. Voila tu sais tout. Allez repose toi, On va prévenir ta femme que tu es réveillé et que tout va bien. Elle va pouvoir te rendre visite cet après-midi.
Une fois seul dans mon box, ma mémoire me reviens petit à petit.
Ah oui le Tchad… la piste… l’accident de bus… je me souviens de ça !!! Mes souvenirs sont confus, tout s’est mélangé dans ma tête. Mais alors si j’ai été plongé dans le coma lorsque j’étais au Tchad, tout ce que j’ai cru vivre n’était en fait qu’un rêve érotique !!!
En soulevant le drap du lit, j’en ai la certitude... car de toute évidence, mon sexe est rigoureusement comme avant !!!
11 months ago