Mission à N'Djamena

Je me prénomme Joël, je suis anesthésiste dans un centre hospitalier universitaire d’une grande ville. Je fais également partie, avec d’autres anesthésistes, d’une association qui participe à la formation du personnel médical de pays qui n’ont pas la chance d’avoir un cursus universitaire comparable au notre. Avec cette association, nous sommes intervenus dans différents pays tel le Cambodge il y a quelques années, le Laos plus récemment et dernièrement c’est au Tchad que nous intervenons. Notre but est d’apporter notre concours à la formation de la spécialité d’anesthésie et de réanimation tant pour les médecins que pour les infirmiers qui souhaitent se spécialiser dans cette discipline.

Je suis arrivé depuis quelques semaines maintenant sur N’Djamena, et je profite de mon week-end de repos pour quitter la capitale et découvrir les environs. Mon idée est de descendre un peu vers le sud et de pouvoir photographier la faune à proximité du fleuve Chari.

J’ai trouvé un bus qui va m’amener à Mailao, bourgade en bordure du fleuve, où j’espère bien pouvoir faire de belles photos. Lorsque je monte dans le bus, inutile de préciser que je suis le seul blanc, je m’approche de la seule place qui reste libre, à côté d’un homme plutôt âgé dont la tenue vestimentaire me parait plutôt « bizarre ». Une tenue bigarrée qui ne correspond pas avec les tenues des autres hommes présents. Il ressemble davantage à un « sorcier » comme on les représente dans les films, il ne lui manque plus qu’un os au milieu du nez pour en être l’exacte caricature !!! Je lui demande s’il accepte que je m’assoie à ses côtés. Il me répond dans une langue que je ne comprend pas et qui ne ressemble même pas à l’arabe tchadien.
Je tente tout de même un :

Al hamdu l’llah, pour le remercier, mais je n’ai droit qu’à un vague hochement de tête.

Nous roulons depuis un moment, lorsque pour une raison que j’ignore, le bus fait une embardée sur le bas côté. Le chauffeur tente de redresser, mais le bus termine sa course assez brutalement contre un baobab et se renverse sur le côté gauche.

La plupart des passagers réussissent à s’extraire seuls, les plus valides aidant les plus sonnés, et à mon tour, j’aide mon voisin à sortir et à gagner la sortie. Après quoi je retourne à l’intérieur pour extraire le chauffeur qui lui est *********** derrière son volant. Avec l’aide d’un autre homme nous réussissons à l’amener dehors en l’éloignant du véhicule et en le couchant sur le sol.

Je fais un rapide bilan lésionnel, il est *********** certes mais il respire. Je le place en P.L.S. confectionne un attelle de fortune pour lui immobiliser la jambe et pars voir les autres passagers pour savoir s’il n’y a pas d’autres blessés. Coup de chance, il y a des gens plus ou moins sonnés, mais aucun autre blessé grave n’est à déplorer. Parmi les passagers, il y en a qui ont déjà prévenu les « secours ».
Je reviens vers le chauffeur pour m’assurer que son état n’empire pas, et c’est là qu’il se produit quelque chose de très particulier. L’homme à côté duquel je m’étais assis, s’approche de moi, me saisit par les poignets doucement, et se tenant face à moi les yeux fermés commence, toujours dans son dialecte, des « incantations ». J’en conclue que ce doit être sa façon de me remercier.

Notre chance sourie sous la forme d’un convoi militaire français qui rentre vers N’Djamena et qui s’arrête à notre hauteur. Il y a un médecin et un infirmier avec lesquels je refais le tour des passagers, mais surtout qui prodiguent les soins plus complets au chauffeur. Grace à eux, celui ci est évacués très rapidement, et nous réussissons à regagner la capitale sans encombres.


Quelques jours plus tard, ma mission s’achève et je retourne en France. Cathy, ma femme, m’accueille à l’aéroport avec joie, et aux vêtements qu’elle porte, un chemisier dont elle a laissé défait les premiers boutons révélant un magnifique décolleté très suggestif ainsi qu’une jupe en jean lui arrivant à mi-cuisses (je devine qu’en dessous elle a du revêtir de la lingerie chic et sexy qu’elle affectionne tout particulièrement), la soirée de nos retrouvailles s’annonce torride.

Et je ne me suis pas trompé. Après un délicieux repas, nous nous retrouvons dans la chambre où ma femme après m’avoir offert un magnifique « 69 » au cours duquel elle a eu un orgasme explosif, se positionne sur moi, s’empale sur mon sexe dans la position d’Andromaque et commence à onduler du bassin, lentement au début puis de plus en plus vite jusqu’à devenir une vraie furie, poussant des râles de plaisir, et enfin s’effondre sur moi terrassée par un second orgasme. Aussitôt après, elle se met dans sa position favorite à 4 pattes pour que je la prenne en levrette. Je réalise au moment de la pénétrer que mon sexe n’est pas comme d’habitude !!! Non seulement il parait un peu plus long mais surtout plus massif, plus large !!!
Comme l’heure n’est pas à ce genre de considérations, je m’occupe de prendre ma femme et d’aller et venir en elle en m’accrochant à ses hanches. Il faut la voir, les mains crispées, s’accrocher aux draps et enfouir sa tête entre les oreillers, hurlant de plaisir sans discontinuer, et m’encourageant par des cris et des jurons jusqu’à ce qu’un troisième orgasme la submerge :

- Oh oui, oui, c’est bon… Continue… Putain, c’est trop bon… Continue, ça vient, ça vient… Oh putain… OOUUIIIIIII.

Toujours fermement accroché à ses hanches, je continue de la pistonner de plus en plus virilement, bestialement serait même plus approprié, jusqu’à jouir moi même au fond de sa chambre d’amour.

Il lui faut quelques minutes pour reprendre ses esprits, et ses premiers mots sont :

Putain mon salaud, qu’est ce que tu m’as mis !!! Hummm… c’était trop bon mon chéri !!! Si tu doit me faire l’amour comme cela à chaque fois que tu reviens de mission, je vais souhaiter que tu en fasses plus souvent !!!
Tu m’as manqué, et en te voyant à l’aéroport belle et sexy comme tu l’étais, j’ai eu tout de suite très envie de toi.
C’est ce que j’ai cru remarquer et… je l’ai bien senti également !!! « Popaul » est particulièrement en « forme » ce soir, je crois que je ne l’ai jamais vu aussi gros ni aussi dur que ce soir !!!
Moi aussi je me sens très en forme ce soir. Je me sens prêt à recommencer de suite et à te faire l’amour toute la nuit.
Chiche !!!

Sa réponse sonnant comme une provocation, je me redresse et la pénètre en missionnaire en lui repliant les jambes sur la poitrine. Mon intromission brutale lui fait pousser un cri de surprise. Il faut dire que je suis arrivé d’un coup au fond de sa chatte que je pistonne à grands coups de reins sans ménagement. Mon sexe frotte contre les parois et tape au fond de son vagin comme rarement je l’ai ressenti.

Cathy recommence à hurler de plaisir sous mes coups de boutoirs. Elle croise ses jambes derrière mon dos et plante ses ongles dans mes omoplates. Comme tout à l’heure, elle crie et jure comme rarement je l’ai entendue. Il n’y a aucun doute sur l’intensité du plaisir qu’elle éprouve ce soir.

De mon côté, s’il est vrai que je ne me suis jamais senti autant à l’étroit dans ma femme que ce soir, il y a autre chose qui me surprend… c’est mon endurance !!! Il faut être honnête, à part peut être lorsque j’avais 20 ou 30 ans, cela fait quelques temps que je n’ai pas été en mesure de faire l’amour comme cela, aussi longtemps sans cracher la purée en 5/6 minutes, de pouvoir recommencer sans débander plusieurs fois de suite avec autant d’ardeur et surtout de ne pas m’*******r comme une masse quelques instants seulement après m’être retiré !!!

Quelques jours plus tard, alors que j’ai repris mon activité au sein de mon service, je travaille dans la même salle que Maryse, une infirmière du bloc opératoire, qui est ma maitresse depuis quelques temps maintenant. Je profite d’un moment où nous sommes seuls pour lui demander ce qu’elle fait en débauchant. Elle me répond que son mari est en déplacement et que nous pouvons passer l’après midi chez elle.

Il est à peine 15 heures, lorsque j’arrive devant sa maison. Elle m’accueille sur le pas de sa porte, et à peine rentré se jette sur moi. Nous nous embrassons fougueusement, nos lèvres ne peuvent se décoller et nos langues restent mélangées tandis que nos mains se font baladeuses sur le corps de l’autre.

Alors que mes mains sont passées sous son crop top, pelotent ses seins et jouent avec ses gros mamelons tout durs, les siennes on défait ma ceinture et baissées mon pantalon, libérant mon sexe du boxer qui l’emprisonne.

Je suis déjà en érection et Maryse qui tient mon chibre dans ses mains, commence à me branler doucement, et très vite s’agenouille devant moi. Au moment de me prendre en bouche, elle marque un temps d’arrêt et regarde ma queue comme si c’était la première fois qu’elle la voyait.

Humm, ben mon cochon tu es en forme dis moi !!! Cela fait plaisir de constater à quel point je te fais envie !!!

Et elle m’embouche tout en me caressant les couilles. J’ai droit à une pipe extraordinaire, digne d’une production de Marc Dorcel réalisée par la meilleure des actrices porno. Au bout de quelques minutes, elle se redresse et m’attire dans sa chambre. Nous finissons de nous déshabiller et elle s’allonge sur son lit, m’invitant à venir sur elle pour un « 69 ».

Je viens au dessus d’elle, enfonce mon sexe dans sa bouche et à mon tour commence à déguster sa petite chatte totalement épilée. En plus de la lécher et de jouer avec son clito, je la doigte méticuleusement en enfonçant mes doigts dans sa chatte ainsi que dans son petit trou qui s’ouvre sans résistance.
De son côté, elle me suce consciencieusement tout en me caressant les bourses. Les bruits de succion me parviennent ainsi que ses gémissements mais de manière plus étouffée. Je suis merveilleusement bien dans sa bouche, tellement bien que je tente de m’enfoncer plus profondément dans sa gorge. Mais aujourd’hui, Maryse qui m’a pourtant déjà gratifié de gorges profondes, n’arrive pas à avaler mon chibre. Elle se dégage promptement en toussant, et les yeux larmoyants me dit :

Je ne sais pas ce que tu as mangé au Tchad, mais ta queue est vraiment trop grosse pour que je puisse l’avaler totalement. Viens plutôt sur moi, j’ai envie de te sentir en moi.

Je m’exécute, repliant ses jambes sur sa poitrine et je la prend en missionnaire. Je la pénètre doucement, mais comme avec ma femme, bien que Maryse soit du genre à mouiller abondamment, je sens ma queue terriblement à l’étroit dans son fourreau. Cela frotte tellement sur ses parois vaginales qu’elle ne cesse à chacun de mes va et vient, de pousser un cri et de me demander de faire doucement.

Elle parvient tout de même au bout de quelques minutes à s’habituer à ma pénétration et finit par jouir. Je continue de la pilonner puis la retourne et la prend en levrette. Bien accroché à ses hanches, j’accélère mes mouvements et accentue mes coups de reins.
Maryse hurle maintenant à chacun de mes coups de boutoir, cherchant à étouffer ses cris en mordant l’oreiller.

Vas y doucement, me dit elle suppliante, je ne t’ai jamais senti comme ça !!!

Je termine à regrets de la besogner en jouissant en elle. Elle s’effondre à plat ventre sur le lit épuisée.
Une fois qu’elle a récupéré, elle se tourne vers moi.

Jamais je ne t’ai senti aussi gros ni aussi dur. Tu as fait quoi pendant ton séjour en Afrique ?
Rien, que veux tu que j’ai fait ?
Je ne sais pas moi, mais reconnais que ton sexe est plus long et plus gros qu’avant.
Bah, comment veux tu qu’il ait grossi ?
Je ne sais pas, mais je t’assure qu’il est différent. Avant ton départ j’arrivais à t’avaler entièrement, et même si je te sentais bien lorsque tu me pénétrais, jamais je n’ai eu cette sensation. Aujourd’hui j’ai eu l’impression que tu allais me déchirer, me défoncer. Certes mon mari n’est pas bien monté, mais là je n’ai jamais connu ça.
Ecoute, je pense que c’est tout simplement lié aux six semaines d’abstinence que je viens de passer. J’ai très envie de toi, du reste comme tu peux le constater, je remettrai bien le couvert !!!
Mais c’est vrai que tu n’as pas débandé !!! Non mais là, je n’en peux plus, j’ai la chatte en feu.
Viens sur moi alors, tu feras ça à ton rythme !!!
Bon ok.

Maryse vient sur moi et se positionne au dessus de mon chibre tendu au zénith. Tout doucement elle dirige mon sexe vers sa fente et délicatement se laisse glisser. Elle commence à onduler du bassin très lentement, prenant appuis de ses deux bras sur mon torse pour ne pas s’enfoncer jusqu’à la garde.

Putain, même comme ça je te sens comme jamais. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.

Elle reste ainsi quelques minutes sur moi, mais fini par capituler, se retirer et me prend dans sa bouche pour me finir.

En rentrant chez moi, cela tourne dans ma tête. Cathy le premier soir, Maryse aujourd’hui, cela fait deux femmes avec lesquelles j’ai de très nombreuses fois fait l’amour qui me font la même remarque, qui trouve que mon sexe est plus long et plus gros qu’auparavant. Si Cathy ne s’en est pas trop plainte, Maryse elle a eu vraiment du mal alors qu’il m’est arrivé à maintes reprises de la baiser beaucoup plus bestialement que cet après-midi sans pour autant que ça la fasse fuir.
Et je dois bien me rendre à l’évidence qu’il y a quelque chose de différent !!!
Pourtant il ne s’est rien passé durant mon séjour qui pourrait expliquer un changement.

Et soudain me revient à l’esprit l’accident !!! Ce vieil homme à côté duquel j’étais assis. Lorsque le bus s’est renversé, je l’ai aidé à sortir, puis je suis revenu m’occuper du chauffeur. Et il y a eu ce moment étrange où il m’a saisi par les poignets et a commencé ses « incantations ». Je pensais qu’il me remerciait en priant. C’est vrai que j’ai trouvé que sa tenue était bizarre. Etait ce vraiment un sorcier ? M’as-t-il remercier à sa manière en m’offrant cette incroyable virilité ? Est ce grâce à lui que je suis aujourd’hui monté comme un âne et que j’ai cette endurance ? Cette faculté de ne pas débander ? Cette capacité de pouvoir recommencer à faire l’amour sans ressentir la fatigue ?
Il faut que j’en ai le coeur net. Même si j’ai baisé avec Maryse cet après-midi, ce soir, Cathy va repasser à la casserole et je vais bien voir si ma théorie tient la route !!!


....... à suivre
Published by jojo33bdx
11 months ago
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jojo33bdx
jojo33bdx Publisher 8 months ago
to ropaul45 : Merci
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jojo33bdx
jojo33bdx Publisher 8 months ago
to josyldo : Mercibeaucoyp.
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ropaul45
ropaul45 8 months ago
bon récit bien écrit  
jojo33bdx
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josyldo
josyldo 11 months ago
récit bien écrit....merci!
jojo33bdx
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