April In Paris
Avril Ă Paris câest supposĂ© ĂȘtre la meilleure pĂ©riode mais lĂ il y a un vent glacial et il fait un froid de loup. Tant pis jâirai me rĂ©chauffer dans des lieux de perditions.
Dâabord lâAtlas.
On est lundi, câest le dĂ©but de lâaprĂšs-midi. Le caissier sâest absentĂ©, je rentre gratuitement. Câest toujours ça de pris. La salle du bas, noir complet, un type assez jeune debout Ă cĂŽtĂ© de lâentrĂ©e, jâavance Ă tĂątons dans lâallĂ©e..personne. Je ne mâattarde pas. La salle du haut. Deux ou trois seniors assis de-ci de-la. Au fond des anciens waters, dans le noir total, je frĂŽle une ombre, jâentends des ahanements..un coup de tĂ©lĂ©phone me rĂ©vĂšle deux types entrain de se caresser. Je crois que lâun dâeux est jambes nues. Je passe mon chemin.
Je mâassois au fond de la salle pour passer le temps en regardant le film (une black avec une forte poitrine qui se fait baiser) et surtout le va et vient des clients. Pas grand monde. Tiens, voilĂ un senior ventripotent qui sort des waters-backroom. Effectivement il nâa pas de culotte. Il se balade cul nu, jambes nus, la bite et les couilles ballotant entre ses grosses cuisses, dans le cinĂ©. Y a pas Ă se gĂȘner, on est comme chez soi Ă lâAtlas. Je le reverrai un peu plus tard assis au fond en train de se branler avec un autre type dans la mĂȘme tenue.
Mais jâaperçois une silhouette « fĂ©minine (?) », cheveux long , minijupe, qui monte lâescalier et entre dans le water-backroom. Au bout de quelques minutes, comme elle ne ressort pas, jây vais voir. Si on peut dire, car lĂ bas câest le noir total. Tout au fond je frĂŽle des formes, plusieurs personnes, une minijupe, une cuisse, une bite que, naturellement, je branle..apparemment il/elle est en train de se faire prendre par derriĂšre ce qui bien sĂ»r, laisse lâavant disponible. Jâouvre mon pantalon pour participer Ă lâaction et permettre Ă lâun ou lâautre des participants de me branler aussi. Y a pas de raison. Assez rapidement je laisse mes camarades Ă leurs activitĂ©s pour regagner la lumiĂšre ou plutĂŽt la pĂ©nombre de la salle.
Ăa sâanime doucement. Dans la salle du bas, un trav avec de larges Ă©paules, enfile sa tenue : un genre de nuisette trĂšs fine et ajourĂ©e.. il est motivĂ© car il ne fait pas trĂšs chaud, mĂȘme Ă lâintĂ©rieur du cinĂ©. Il est accompagnĂ© dâun grand black et je ne crois pas possible de lâapprocher. Je mâassois quand mĂȘme proximitĂ© pour profiter du spectacle. Quand il est prĂȘt il se penche pour prendre son compagnon en bouche. Excitant.
Bon il est temps de quitter les lieux. Comme dâhabitude je file Ă lâEMC ou je pourrai au moins me rĂ©chauffer dans le sauna et le hammam. Câest ça qui est bien dans ce genre dâĂ©tablissement : on peut toujours dire quâon nây va pas pour baiser et sucer mais pour faire du sauna et puis si on nâest pas en forme pour baiser on peut toujours faire du sauna, hammam, jacuzzi..
Moi je commence toujours effectivement par le hammam, puis un coup de jacuzzi, puis un quart dâheure de sauna. Si au court de ces activitĂ©s quelquâun vient mâaborder je ne suis pas contre mais ce nâest pas indispensable. Ensuite je vais mâĂ©tendre dans une cabine pour somnoler, porte ouverte et bite en main.
Rapidement je suis entrepris par un homme entre deux Ăąges dâorigine asiatique, qui me branle, me suce et me demande de lâenculer.
Je ne me fais pas prier. Il mâĂ©quipe dâune capote, se tient debout penchĂ© sur la banquette, je suis derriĂšre lui et ça entre sans difficultĂ©. Je bande bien, je lime de mon mieux, lent, rapide, Ă fond, dehors, dedans. Je respire bruyamment, ahane, geint..Mon camarade apprĂ©cie, il chaloupe des anches, gĂ©mi, mâencourage⊠câest bon. Comme notre porte est grand ouverte, nous attirons des spectateurs, voyeurs, branleurs. Il y en un mĂȘme un qui entre pour participer. Mais la place est prise, merci. Un jeune et bel arabe viens me caresser les tĂ©tons, mâembrasser et me rouler une pelle bien baveuse pendant que je suis en train de saillir mon asiatique. Il mâinvite Ă le rejoindre dans la cabine dâĂ cĂŽtĂ© ! Je dĂ©cline bien sĂ»r mais il est trĂšs attirant et la façon dont il mâa caressĂ© et embrassĂ© est pleine de promesses. En tout cas je suis flattĂ© de me sentir dĂ©sirĂ©. Je suis un hĂ©ros ! Je lime longtemps, un quart dâheure, une demie heure ..? Ăa marche bien, jâadore. On est en sueur, excitĂ©, câest bon. Bien sĂ»r les meilleures choses ont une fin et il faut se calmer. On sâassoit sur la banquette pour se caresser tout en parlant.
-« DâoĂč es tu ? »
-« Tu viens souvent..? »
Il me raconte sa vie, trouve que je suis bien bĂąti⊠câest sympa. On se roule une derniĂšre pelle et il quitte les lieux. Je mâĂ©tends Ă nouveau pour me reposer.
Jâai Ă peine le temps de mâassoupirai que je suis rĂ©veillĂ© par une main sur la bite. Jâaurai dĂ» fermer la porte. MalgrĂ© tout je ne proteste pas. Mon visiteur passe rapidement Ă la caresse buccale, puis il me prĂ©sente son sexe que je nâhĂ©site pas Ă emboucher. Il est gros, circoncis et bien raide. Je tĂȘte le gland, remonte avec la langue des couilles jusquâau sommet, titille le frein, le mĂ©at, englouti lâengin tout entier, jusquâau fond de la gorge, branle avec la bouche, en haut, en bas, je manque dâĂȘtre Ă©touffĂ© quand il me maintient la tĂȘte contre son ventre ⊠mais jâaime ça. Vraiment une bonne pipe. Il apprĂ©cie et moi aussi. Maintenons passons en 69. Jâadore. Il se couche sur moi de ton son poids qui nâest pas mince. Jâai la tĂȘte coincĂ©e entre ses cuisse et sa bite au fond de la gorge. De son cĂŽtĂ© il me suce la bite et me doigte le trou du cul. AprĂšs un bon moment je souhaite passer Ă autre chose. Il se relĂšve et entreprend de mâenculer. Je suis sur le dos, les jambes sur ses Ă©paules. Jâadore cette position. Il mâenduit de lub, me doigte le trou puis y prĂ©sente sa bite. Il pousse, il pousse mais ça ne rentre pas vraiment. Re-lub, re-doigtage, bien profond. Rien, ça nâentre pas. DĂ©cidĂ©ment je suis trop serrĂ©. AprĂšs plusieurs tentatives je lui dit de renoncer. On se roule des pelles, on se remercie puis chacun va vivre sa vie. Encore une bonne sĂ©ance.
Il faut se dĂ©tendre maintenant : hammam, sauna, jacuzzi..câest agrĂ©able. Avant de partir je mâĂ©tends une derniĂšre fois dans une cabine au premier sous-sol cette fois ci. La banquette est plus large, le coussin plus gros, lumiĂšre tamisĂ©e, miroir au mur, bite et cul enduit de lub, on est bien. Je nâai pas longtemps Ă attendre. Il entre, prend ma bite en main, branle, suce..mais ce nâest pas ça qui lâintĂ©resse. Alors que je suis couchĂ© sur la banquette il se met debout Ă cĂŽtĂ© et me prĂ©sente son trou quâil enduit de lub. Je comprends que je dois doigter, un, deux, puis trois doigts et maintenant toute la main ! Ăa rentre avec difficultĂ© mais ça rentre. Il rajoute du lub, respire un poper et sâenfonce de plus en plus. Jâai la moitiĂ© de lâavant bras enfoncĂ© dans son trou ! Ăa mâinquiĂšte un peu mais câest lui qui dirige, moi je ne demande rien. De mon cĂŽtĂ© je me branle avec la main gauche, qui nâest pas ma meilleure, mais je joui quand mĂȘme abondamment. Finalement il se retire et je me retrouve avec la main pleine dâexcrĂ©ments ! Câest quand mĂȘme degeu. Il me donne un sopalin mais câest trĂšs insuffisant pour nettoyer le tout. En plus toute la soirĂ©e jâai eu la main qui sentait la merde. Une expĂ©rience que jâĂ©viterai la prochaine fois. Le plus curieux câest que mon partenaire, avec lequel je nâai pas Ă©changĂ© trois mots avait lâair dâun parfait bourgeois, fonctionnaire sĂ©rieux, certainement pĂšre de famille qui va Ă la messe le dimanche. On nâimagine pas .
Le lendemain je prĂ©vois dâaller dâabord Ă lâEMC pour ensuite finir lâaprĂšs-midi Ă lâAtlas. Je suis vers quinze heure dans le sauna, mais, je ne sais pas pourquoi, je nâai pas envie. Peut-ĂȘtre suis-je traumatisĂ© par mon expĂ©rience de la vieille ? Il y a aussi la fatigue car on est sortis le soir. Quoiquâil en soit je traine Ă droite Ă gauche et je quitte rapidement les lieux. Je renonce Ă monter Ă lâAtlas mais je passe rue de Saint Denis voir si Sylvie est en poste. Je monterais bien avec elle pour me faire fouetter et enculer comme elle sait si bien le faire, mais elle nâest pas lĂ . Dans ces conditions je rentre Ă lâhĂŽtel faire une sieste.
Nous voilĂ mercredi. Cette fois je suis Ă lâAtlas en dĂ©but dâaprĂšs-midi. Jây rentre au moment oĂč une trav blonde dotĂ©e de trĂšs gros faux seins vient dĂ©poser ses affaires Ă la caisse. Ăa sâannonce bien, mais en fait cette blonde refusera mes avances polies.
Au fond de la salle du bas il y a lâhabituel groupe de senior. Lâun dâeux a les jambes nues. Il a oubliĂ© son pantalon. Ăa arrive ici. Je lui tourne le dos mais par derriĂšre il me caresse les fesses, puis la bite. Jâouvre ma braguette et sors ma bite pour quâil puisse me branler. En mĂȘme temps je lui attrape sa bite, petite et molle. Devant moi un autre sâagenouille pour me prendre en bouche. Mon camarade arriĂšre essaye de glisser sa main dans mon pantalon pour mâatteindre le trou. Je lâaide en me dĂ©culottant et il peut me doigter pendant que lâautre me suce. Naturellement notre sympathique groupe attire les voyeurs et ceux qui veulent participer. Pour Ă©viter la bousculade je mâĂ©loigne non sans en avoir remarquĂ© que celui qui me travaillait lâanus Ă©tait lui mĂȘme pris par derriĂšre par un troisiĂšme larron. Quelle ambiance !
AprĂšs cette bonne introduction je dĂ©ambule en bas, en haut, dans les escaliers, les waters-backroom du premier, la salle du haut, celle du basâŠil y a un peu de monde, deux ou trois travs en plus de la blonde que jâai vu Ă lâentrĂ©e. Au premier rang de la salle du bas une brune suce un jeune qui est presquâentiĂšrement dĂ©shabillĂ© ! Un peu plus tard je croise cette brune Ă lâentrĂ©e de la salle du bas. En talons hauts, bas noirs, et un genre de guĂȘpiĂšre noire qui la laisse presquâentiĂšrement nue. TrĂšs excitant. Je le lui dit et elle mâinvite Ă la suivre. On sâinstalle dans une rangĂ©e, elle mâaide Ă quitter mon pantalon, mon caleçon et Ă ouvrir ma chemise. Elle me prend en bouche et alors que je veux lâaider en chaloupant des anches elle me demande de rester tranquille et de la laisser faire. Effectivement elle est experte. Elle lĂšche, elle suce, elle pompe.. câest bon. De mon cĂŽtĂ© je lui caresse le dos, je glisse ma main sous elle pour lui triturer les tĂ©tons quâelle a proĂ©minents, je descends jusquâĂ son cul pour lui caresser le trou aprĂšs avoir enduit mes doigts de salive. Elle aime apparemment puisquâelle arrĂȘte de pomper pour se mettre Ă quatre pattes sur le fauteuil et mâinviter Ă lâenculer. Je ne laisse pas passer lâoccasion. Jâadore cette situation : pantalon aux pieds, bite dans le cul dâun trav, devant le public dâun cinĂ©âŠet le tout pour 11 ⏠! Je lime un bon moment. Un jeune vient de lâautre cĂŽtĂ© offrir sa bite Ă la bouche de ma partenaire qui le suce Ă son tour pendant que je lui travaille le cul. Quelle obscĂ©nitĂ© ! Quelle excitation ! Nâayant pas de capote jâĂ©vite de dĂ©charger, mais jâai bien apprĂ©ciĂ©.
AprĂšs cela je suis descendu Ă lâEMC, oĂč il ne se passera rien dâextraordinaire : aprĂšs le hammam je fais vraiment une sieste dans une cabine dont jâai fermĂ© la porte, je suce une queue dans le cinĂ©, Ă genoux entre les jambes de mon partenaire, la queue et les couilles ballotant entre mes cuisses, je me suis fait branler dans la nouvelle backroom, frĂŽler ici ou lĂ puis je rentre.
A part le temps, jâai adorĂ© mon sĂ©jour Ă Paris.
Dâabord lâAtlas.
On est lundi, câest le dĂ©but de lâaprĂšs-midi. Le caissier sâest absentĂ©, je rentre gratuitement. Câest toujours ça de pris. La salle du bas, noir complet, un type assez jeune debout Ă cĂŽtĂ© de lâentrĂ©e, jâavance Ă tĂątons dans lâallĂ©e..personne. Je ne mâattarde pas. La salle du haut. Deux ou trois seniors assis de-ci de-la. Au fond des anciens waters, dans le noir total, je frĂŽle une ombre, jâentends des ahanements..un coup de tĂ©lĂ©phone me rĂ©vĂšle deux types entrain de se caresser. Je crois que lâun dâeux est jambes nues. Je passe mon chemin.
Je mâassois au fond de la salle pour passer le temps en regardant le film (une black avec une forte poitrine qui se fait baiser) et surtout le va et vient des clients. Pas grand monde. Tiens, voilĂ un senior ventripotent qui sort des waters-backroom. Effectivement il nâa pas de culotte. Il se balade cul nu, jambes nus, la bite et les couilles ballotant entre ses grosses cuisses, dans le cinĂ©. Y a pas Ă se gĂȘner, on est comme chez soi Ă lâAtlas. Je le reverrai un peu plus tard assis au fond en train de se branler avec un autre type dans la mĂȘme tenue.
Mais jâaperçois une silhouette « fĂ©minine (?) », cheveux long , minijupe, qui monte lâescalier et entre dans le water-backroom. Au bout de quelques minutes, comme elle ne ressort pas, jây vais voir. Si on peut dire, car lĂ bas câest le noir total. Tout au fond je frĂŽle des formes, plusieurs personnes, une minijupe, une cuisse, une bite que, naturellement, je branle..apparemment il/elle est en train de se faire prendre par derriĂšre ce qui bien sĂ»r, laisse lâavant disponible. Jâouvre mon pantalon pour participer Ă lâaction et permettre Ă lâun ou lâautre des participants de me branler aussi. Y a pas de raison. Assez rapidement je laisse mes camarades Ă leurs activitĂ©s pour regagner la lumiĂšre ou plutĂŽt la pĂ©nombre de la salle.
Ăa sâanime doucement. Dans la salle du bas, un trav avec de larges Ă©paules, enfile sa tenue : un genre de nuisette trĂšs fine et ajourĂ©e.. il est motivĂ© car il ne fait pas trĂšs chaud, mĂȘme Ă lâintĂ©rieur du cinĂ©. Il est accompagnĂ© dâun grand black et je ne crois pas possible de lâapprocher. Je mâassois quand mĂȘme proximitĂ© pour profiter du spectacle. Quand il est prĂȘt il se penche pour prendre son compagnon en bouche. Excitant.
Bon il est temps de quitter les lieux. Comme dâhabitude je file Ă lâEMC ou je pourrai au moins me rĂ©chauffer dans le sauna et le hammam. Câest ça qui est bien dans ce genre dâĂ©tablissement : on peut toujours dire quâon nây va pas pour baiser et sucer mais pour faire du sauna et puis si on nâest pas en forme pour baiser on peut toujours faire du sauna, hammam, jacuzzi..
Moi je commence toujours effectivement par le hammam, puis un coup de jacuzzi, puis un quart dâheure de sauna. Si au court de ces activitĂ©s quelquâun vient mâaborder je ne suis pas contre mais ce nâest pas indispensable. Ensuite je vais mâĂ©tendre dans une cabine pour somnoler, porte ouverte et bite en main.
Rapidement je suis entrepris par un homme entre deux Ăąges dâorigine asiatique, qui me branle, me suce et me demande de lâenculer.
Je ne me fais pas prier. Il mâĂ©quipe dâune capote, se tient debout penchĂ© sur la banquette, je suis derriĂšre lui et ça entre sans difficultĂ©. Je bande bien, je lime de mon mieux, lent, rapide, Ă fond, dehors, dedans. Je respire bruyamment, ahane, geint..Mon camarade apprĂ©cie, il chaloupe des anches, gĂ©mi, mâencourage⊠câest bon. Comme notre porte est grand ouverte, nous attirons des spectateurs, voyeurs, branleurs. Il y en un mĂȘme un qui entre pour participer. Mais la place est prise, merci. Un jeune et bel arabe viens me caresser les tĂ©tons, mâembrasser et me rouler une pelle bien baveuse pendant que je suis en train de saillir mon asiatique. Il mâinvite Ă le rejoindre dans la cabine dâĂ cĂŽtĂ© ! Je dĂ©cline bien sĂ»r mais il est trĂšs attirant et la façon dont il mâa caressĂ© et embrassĂ© est pleine de promesses. En tout cas je suis flattĂ© de me sentir dĂ©sirĂ©. Je suis un hĂ©ros ! Je lime longtemps, un quart dâheure, une demie heure ..? Ăa marche bien, jâadore. On est en sueur, excitĂ©, câest bon. Bien sĂ»r les meilleures choses ont une fin et il faut se calmer. On sâassoit sur la banquette pour se caresser tout en parlant.
-« DâoĂč es tu ? »
-« Tu viens souvent..? »
Il me raconte sa vie, trouve que je suis bien bĂąti⊠câest sympa. On se roule une derniĂšre pelle et il quitte les lieux. Je mâĂ©tends Ă nouveau pour me reposer.
Jâai Ă peine le temps de mâassoupirai que je suis rĂ©veillĂ© par une main sur la bite. Jâaurai dĂ» fermer la porte. MalgrĂ© tout je ne proteste pas. Mon visiteur passe rapidement Ă la caresse buccale, puis il me prĂ©sente son sexe que je nâhĂ©site pas Ă emboucher. Il est gros, circoncis et bien raide. Je tĂȘte le gland, remonte avec la langue des couilles jusquâau sommet, titille le frein, le mĂ©at, englouti lâengin tout entier, jusquâau fond de la gorge, branle avec la bouche, en haut, en bas, je manque dâĂȘtre Ă©touffĂ© quand il me maintient la tĂȘte contre son ventre ⊠mais jâaime ça. Vraiment une bonne pipe. Il apprĂ©cie et moi aussi. Maintenons passons en 69. Jâadore. Il se couche sur moi de ton son poids qui nâest pas mince. Jâai la tĂȘte coincĂ©e entre ses cuisse et sa bite au fond de la gorge. De son cĂŽtĂ© il me suce la bite et me doigte le trou du cul. AprĂšs un bon moment je souhaite passer Ă autre chose. Il se relĂšve et entreprend de mâenculer. Je suis sur le dos, les jambes sur ses Ă©paules. Jâadore cette position. Il mâenduit de lub, me doigte le trou puis y prĂ©sente sa bite. Il pousse, il pousse mais ça ne rentre pas vraiment. Re-lub, re-doigtage, bien profond. Rien, ça nâentre pas. DĂ©cidĂ©ment je suis trop serrĂ©. AprĂšs plusieurs tentatives je lui dit de renoncer. On se roule des pelles, on se remercie puis chacun va vivre sa vie. Encore une bonne sĂ©ance.
Il faut se dĂ©tendre maintenant : hammam, sauna, jacuzzi..câest agrĂ©able. Avant de partir je mâĂ©tends une derniĂšre fois dans une cabine au premier sous-sol cette fois ci. La banquette est plus large, le coussin plus gros, lumiĂšre tamisĂ©e, miroir au mur, bite et cul enduit de lub, on est bien. Je nâai pas longtemps Ă attendre. Il entre, prend ma bite en main, branle, suce..mais ce nâest pas ça qui lâintĂ©resse. Alors que je suis couchĂ© sur la banquette il se met debout Ă cĂŽtĂ© et me prĂ©sente son trou quâil enduit de lub. Je comprends que je dois doigter, un, deux, puis trois doigts et maintenant toute la main ! Ăa rentre avec difficultĂ© mais ça rentre. Il rajoute du lub, respire un poper et sâenfonce de plus en plus. Jâai la moitiĂ© de lâavant bras enfoncĂ© dans son trou ! Ăa mâinquiĂšte un peu mais câest lui qui dirige, moi je ne demande rien. De mon cĂŽtĂ© je me branle avec la main gauche, qui nâest pas ma meilleure, mais je joui quand mĂȘme abondamment. Finalement il se retire et je me retrouve avec la main pleine dâexcrĂ©ments ! Câest quand mĂȘme degeu. Il me donne un sopalin mais câest trĂšs insuffisant pour nettoyer le tout. En plus toute la soirĂ©e jâai eu la main qui sentait la merde. Une expĂ©rience que jâĂ©viterai la prochaine fois. Le plus curieux câest que mon partenaire, avec lequel je nâai pas Ă©changĂ© trois mots avait lâair dâun parfait bourgeois, fonctionnaire sĂ©rieux, certainement pĂšre de famille qui va Ă la messe le dimanche. On nâimagine pas .
Le lendemain je prĂ©vois dâaller dâabord Ă lâEMC pour ensuite finir lâaprĂšs-midi Ă lâAtlas. Je suis vers quinze heure dans le sauna, mais, je ne sais pas pourquoi, je nâai pas envie. Peut-ĂȘtre suis-je traumatisĂ© par mon expĂ©rience de la vieille ? Il y a aussi la fatigue car on est sortis le soir. Quoiquâil en soit je traine Ă droite Ă gauche et je quitte rapidement les lieux. Je renonce Ă monter Ă lâAtlas mais je passe rue de Saint Denis voir si Sylvie est en poste. Je monterais bien avec elle pour me faire fouetter et enculer comme elle sait si bien le faire, mais elle nâest pas lĂ . Dans ces conditions je rentre Ă lâhĂŽtel faire une sieste.
Nous voilĂ mercredi. Cette fois je suis Ă lâAtlas en dĂ©but dâaprĂšs-midi. Jây rentre au moment oĂč une trav blonde dotĂ©e de trĂšs gros faux seins vient dĂ©poser ses affaires Ă la caisse. Ăa sâannonce bien, mais en fait cette blonde refusera mes avances polies.
Au fond de la salle du bas il y a lâhabituel groupe de senior. Lâun dâeux a les jambes nues. Il a oubliĂ© son pantalon. Ăa arrive ici. Je lui tourne le dos mais par derriĂšre il me caresse les fesses, puis la bite. Jâouvre ma braguette et sors ma bite pour quâil puisse me branler. En mĂȘme temps je lui attrape sa bite, petite et molle. Devant moi un autre sâagenouille pour me prendre en bouche. Mon camarade arriĂšre essaye de glisser sa main dans mon pantalon pour mâatteindre le trou. Je lâaide en me dĂ©culottant et il peut me doigter pendant que lâautre me suce. Naturellement notre sympathique groupe attire les voyeurs et ceux qui veulent participer. Pour Ă©viter la bousculade je mâĂ©loigne non sans en avoir remarquĂ© que celui qui me travaillait lâanus Ă©tait lui mĂȘme pris par derriĂšre par un troisiĂšme larron. Quelle ambiance !
AprĂšs cette bonne introduction je dĂ©ambule en bas, en haut, dans les escaliers, les waters-backroom du premier, la salle du haut, celle du basâŠil y a un peu de monde, deux ou trois travs en plus de la blonde que jâai vu Ă lâentrĂ©e. Au premier rang de la salle du bas une brune suce un jeune qui est presquâentiĂšrement dĂ©shabillĂ© ! Un peu plus tard je croise cette brune Ă lâentrĂ©e de la salle du bas. En talons hauts, bas noirs, et un genre de guĂȘpiĂšre noire qui la laisse presquâentiĂšrement nue. TrĂšs excitant. Je le lui dit et elle mâinvite Ă la suivre. On sâinstalle dans une rangĂ©e, elle mâaide Ă quitter mon pantalon, mon caleçon et Ă ouvrir ma chemise. Elle me prend en bouche et alors que je veux lâaider en chaloupant des anches elle me demande de rester tranquille et de la laisser faire. Effectivement elle est experte. Elle lĂšche, elle suce, elle pompe.. câest bon. De mon cĂŽtĂ© je lui caresse le dos, je glisse ma main sous elle pour lui triturer les tĂ©tons quâelle a proĂ©minents, je descends jusquâĂ son cul pour lui caresser le trou aprĂšs avoir enduit mes doigts de salive. Elle aime apparemment puisquâelle arrĂȘte de pomper pour se mettre Ă quatre pattes sur le fauteuil et mâinviter Ă lâenculer. Je ne laisse pas passer lâoccasion. Jâadore cette situation : pantalon aux pieds, bite dans le cul dâun trav, devant le public dâun cinĂ©âŠet le tout pour 11 ⏠! Je lime un bon moment. Un jeune vient de lâautre cĂŽtĂ© offrir sa bite Ă la bouche de ma partenaire qui le suce Ă son tour pendant que je lui travaille le cul. Quelle obscĂ©nitĂ© ! Quelle excitation ! Nâayant pas de capote jâĂ©vite de dĂ©charger, mais jâai bien apprĂ©ciĂ©.
AprĂšs cela je suis descendu Ă lâEMC, oĂč il ne se passera rien dâextraordinaire : aprĂšs le hammam je fais vraiment une sieste dans une cabine dont jâai fermĂ© la porte, je suce une queue dans le cinĂ©, Ă genoux entre les jambes de mon partenaire, la queue et les couilles ballotant entre mes cuisses, je me suis fait branler dans la nouvelle backroom, frĂŽler ici ou lĂ puis je rentre.
A part le temps, jâai adorĂ© mon sĂ©jour Ă Paris.
11 months ago