April In Paris

Avril Ă  Paris c’est supposĂ© ĂȘtre la meilleure pĂ©riode mais lĂ  il y a un vent glacial et il fait un froid de loup. Tant pis j’irai me rĂ©chauffer dans des lieux de perditions.
D’abord l’Atlas.
On est lundi, c’est le dĂ©but de l’aprĂšs-midi. Le caissier s’est absentĂ©, je rentre gratuitement. C’est toujours ça de pris. La salle du bas, noir complet, un type assez jeune debout Ă  cĂŽtĂ© de l’entrĂ©e, j’avance Ă  tĂątons dans l’allĂ©e..personne. Je ne m’attarde pas. La salle du haut. Deux ou trois seniors assis de-ci de-la. Au fond des anciens waters, dans le noir total, je frĂŽle une ombre, j’entends des ahanements..un coup de tĂ©lĂ©phone me rĂ©vĂšle deux types entrain de se caresser. Je crois que l’un d’eux est jambes nues. Je passe mon chemin.
Je m’assois au fond de la salle pour passer le temps en regardant le film (une black avec une forte poitrine qui se fait baiser) et surtout le va et vient des clients. Pas grand monde. Tiens, voilĂ  un senior ventripotent qui sort des waters-backroom. Effectivement il n’a pas de culotte. Il se balade cul nu, jambes nus, la bite et les couilles ballotant entre ses grosses cuisses, dans le cinĂ©. Y a pas Ă  se gĂȘner, on est comme chez soi Ă  l’Atlas. Je le reverrai un peu plus tard assis au fond en train de se branler avec un autre type dans la mĂȘme tenue.
Mais j’aperçois une silhouette « fĂ©minine (?) », cheveux long , minijupe, qui monte l’escalier et entre dans le water-backroom. Au bout de quelques minutes, comme elle ne ressort pas, j’y vais voir. Si on peut dire, car lĂ  bas c’est le noir total. Tout au fond je frĂŽle des formes, plusieurs personnes, une minijupe, une cuisse, une bite que, naturellement, je branle..apparemment il/elle est en train de se faire prendre par derriĂšre ce qui bien sĂ»r, laisse l’avant disponible. J’ouvre mon pantalon pour participer Ă  l’action et permettre Ă  l’un ou l’autre des participants de me branler aussi. Y a pas de raison. Assez rapidement je laisse mes camarades Ă  leurs activitĂ©s pour regagner la lumiĂšre ou plutĂŽt la pĂ©nombre de la salle.
Ça s’anime doucement. Dans la salle du bas, un trav avec de larges Ă©paules, enfile sa tenue : un genre de nuisette trĂšs fine et ajourĂ©e.. il est motivĂ© car il ne fait pas trĂšs chaud, mĂȘme Ă  l’intĂ©rieur du cinĂ©. Il est accompagnĂ© d’un grand black et je ne crois pas possible de l’approcher. Je m’assois quand mĂȘme proximitĂ© pour profiter du spectacle. Quand il est prĂȘt il se penche pour prendre son compagnon en bouche. Excitant.
Bon il est temps de quitter les lieux. Comme d’habitude je file Ă  l’EMC ou je pourrai au moins me rĂ©chauffer dans le sauna et le hammam. C’est ça qui est bien dans ce genre d’établissement : on peut toujours dire qu’on n’y va pas pour baiser et sucer mais pour faire du sauna et puis si on n’est pas en forme pour baiser on peut toujours faire du sauna, hammam, jacuzzi..
Moi je commence toujours effectivement par le hammam, puis un coup de jacuzzi, puis un quart d’heure de sauna. Si au court de ces activitĂ©s quelqu’un vient m’aborder je ne suis pas contre mais ce n’est pas indispensable. Ensuite je vais m’étendre dans une cabine pour somnoler, porte ouverte et bite en main.
Rapidement je suis entrepris par un homme entre deux ñges d’origine asiatique, qui me branle, me suce et me demande de l’enculer.
Je ne me fais pas prier. Il m’équipe d’une capote, se tient debout penchĂ© sur la banquette, je suis derriĂšre lui et ça entre sans difficultĂ©. Je bande bien, je lime de mon mieux, lent, rapide, Ă  fond, dehors, dedans. Je respire bruyamment, ahane, geint..Mon camarade apprĂ©cie, il chaloupe des anches, gĂ©mi, m’encourage
 c’est bon. Comme notre porte est grand ouverte, nous attirons des spectateurs, voyeurs, branleurs. Il y en un mĂȘme un qui entre pour participer. Mais la place est prise, merci. Un jeune et bel arabe viens me caresser les tĂ©tons, m’embrasser et me rouler une pelle bien baveuse pendant que je suis en train de saillir mon asiatique. Il m’invite Ă  le rejoindre dans la cabine d’à cĂŽtĂ© ! Je dĂ©cline bien sĂ»r mais il est trĂšs attirant et la façon dont il m’a caressĂ© et embrassĂ© est pleine de promesses. En tout cas je suis flattĂ© de me sentir dĂ©sirĂ©. Je suis un hĂ©ros ! Je lime longtemps, un quart d’heure, une demie heure ..? Ça marche bien, j’adore. On est en sueur, excitĂ©, c’est bon. Bien sĂ»r les meilleures choses ont une fin et il faut se calmer. On s’assoit sur la banquette pour se caresser tout en parlant.
-« D’oĂč es tu ? »
-« Tu viens souvent..? »
Il me raconte sa vie, trouve que je suis bien bĂąti
 c’est sympa. On se roule une derniĂšre pelle et il quitte les lieux. Je m’étends Ă  nouveau pour me reposer.
J’ai Ă  peine le temps de m’assoupirai que je suis rĂ©veillĂ© par une main sur la bite. J’aurai dĂ» fermer la porte. MalgrĂ© tout je ne proteste pas. Mon visiteur passe rapidement Ă  la caresse buccale, puis il me prĂ©sente son sexe que je n’hĂ©site pas Ă  emboucher. Il est gros, circoncis et bien raide. Je tĂȘte le gland, remonte avec la langue des couilles jusqu’au sommet, titille le frein, le mĂ©at, englouti l’engin tout entier, jusqu’au fond de la gorge, branle avec la bouche, en haut, en bas, je manque d’ĂȘtre Ă©touffĂ© quand il me maintient la tĂȘte contre son ventre 
 mais j’aime ça. Vraiment une bonne pipe. Il apprĂ©cie et moi aussi. Maintenons passons en 69. J’adore. Il se couche sur moi de ton son poids qui n’est pas mince. J’ai la tĂȘte coincĂ©e entre ses cuisse et sa bite au fond de la gorge. De son cĂŽtĂ© il me suce la bite et me doigte le trou du cul. AprĂšs un bon moment je souhaite passer Ă  autre chose. Il se relĂšve et entreprend de m’enculer. Je suis sur le dos, les jambes sur ses Ă©paules. J’adore cette position. Il m’enduit de lub, me doigte le trou puis y prĂ©sente sa bite. Il pousse, il pousse mais ça ne rentre pas vraiment. Re-lub, re-doigtage, bien profond. Rien, ça n’entre pas. DĂ©cidĂ©ment je suis trop serrĂ©. AprĂšs plusieurs tentatives je lui dit de renoncer. On se roule des pelles, on se remercie puis chacun va vivre sa vie. Encore une bonne sĂ©ance.
Il faut se dĂ©tendre maintenant : hammam, sauna, jacuzzi..c’est agrĂ©able. Avant de partir je m’étends une derniĂšre fois dans une cabine au premier sous-sol cette fois ci. La banquette est plus large, le coussin plus gros, lumiĂšre tamisĂ©e, miroir au mur, bite et cul enduit de lub, on est bien. Je n’ai pas longtemps Ă  attendre. Il entre, prend ma bite en main, branle, suce..mais ce n’est pas ça qui l’intĂ©resse. Alors que je suis couchĂ© sur la banquette il se met debout Ă  cĂŽtĂ© et me prĂ©sente son trou qu’il enduit de lub. Je comprends que je dois doigter, un, deux, puis trois doigts et maintenant toute la main ! Ça rentre avec difficultĂ© mais ça rentre. Il rajoute du lub, respire un poper et s’enfonce de plus en plus. J’ai la moitiĂ© de l’avant bras enfoncĂ© dans son trou ! Ça m’inquiĂšte un peu mais c’est lui qui dirige, moi je ne demande rien. De mon cĂŽtĂ© je me branle avec la main gauche, qui n’est pas ma meilleure, mais je joui quand mĂȘme abondamment. Finalement il se retire et je me retrouve avec la main pleine d’excrĂ©ments ! C’est quand mĂȘme degeu. Il me donne un sopalin mais c’est trĂšs insuffisant pour nettoyer le tout. En plus toute la soirĂ©e j’ai eu la main qui sentait la merde. Une expĂ©rience que j’éviterai la prochaine fois. Le plus curieux c’est que mon partenaire, avec lequel je n’ai pas Ă©changĂ© trois mots avait l’air d’un parfait bourgeois, fonctionnaire sĂ©rieux, certainement pĂšre de famille qui va Ă  la messe le dimanche. On n’imagine pas .
Le lendemain je prĂ©vois d’aller d’abord Ă  l’EMC pour ensuite finir l’aprĂšs-midi Ă  l’Atlas. Je suis vers quinze heure dans le sauna, mais, je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas envie. Peut-ĂȘtre suis-je traumatisĂ© par mon expĂ©rience de la vieille ? Il y a aussi la fatigue car on est sortis le soir. Quoiqu’il en soit je traine Ă  droite Ă  gauche et je quitte rapidement les lieux. Je renonce Ă  monter Ă  l’Atlas mais je passe rue de Saint Denis voir si Sylvie est en poste. Je monterais bien avec elle pour me faire fouetter et enculer comme elle sait si bien le faire, mais elle n’est pas lĂ . Dans ces conditions je rentre Ă  l’hĂŽtel faire une sieste.
Nous voilĂ  mercredi. Cette fois je suis Ă  l’Atlas en dĂ©but d’aprĂšs-midi. J’y rentre au moment oĂč une trav blonde dotĂ©e de trĂšs gros faux seins vient dĂ©poser ses affaires Ă  la caisse. Ça s’annonce bien, mais en fait cette blonde refusera mes avances polies.
Au fond de la salle du bas il y a l’habituel groupe de senior. L’un d’eux a les jambes nues. Il a oubliĂ© son pantalon. Ça arrive ici. Je lui tourne le dos mais par derriĂšre il me caresse les fesses, puis la bite. J’ouvre ma braguette et sors ma bite pour qu’il puisse me branler. En mĂȘme temps je lui attrape sa bite, petite et molle. Devant moi un autre s’agenouille pour me prendre en bouche. Mon camarade arriĂšre essaye de glisser sa main dans mon pantalon pour m’atteindre le trou. Je l’aide en me dĂ©culottant et il peut me doigter pendant que l’autre me suce. Naturellement notre sympathique groupe attire les voyeurs et ceux qui veulent participer. Pour Ă©viter la bousculade je m’éloigne non sans en avoir remarquĂ© que celui qui me travaillait l’anus Ă©tait lui mĂȘme pris par derriĂšre par un troisiĂšme larron. Quelle ambiance !
AprĂšs cette bonne introduction je dĂ©ambule en bas, en haut, dans les escaliers, les waters-backroom du premier, la salle du haut, celle du bas
il y a un peu de monde, deux ou trois travs en plus de la blonde que j’ai vu Ă  l’entrĂ©e. Au premier rang de la salle du bas une brune suce un jeune qui est presqu’entiĂšrement dĂ©shabillĂ© ! Un peu plus tard je croise cette brune Ă  l’entrĂ©e de la salle du bas. En talons hauts, bas noirs, et un genre de guĂȘpiĂšre noire qui la laisse presqu’entiĂšrement nue. TrĂšs excitant. Je le lui dit et elle m’invite Ă  la suivre. On s’installe dans une rangĂ©e, elle m’aide Ă  quitter mon pantalon, mon caleçon et Ă  ouvrir ma chemise. Elle me prend en bouche et alors que je veux l’aider en chaloupant des anches elle me demande de rester tranquille et de la laisser faire. Effectivement elle est experte. Elle lĂšche, elle suce, elle pompe.. c’est bon. De mon cĂŽtĂ© je lui caresse le dos, je glisse ma main sous elle pour lui triturer les tĂ©tons qu’elle a proĂ©minents, je descends jusqu’à son cul pour lui caresser le trou aprĂšs avoir enduit mes doigts de salive. Elle aime apparemment puisqu’elle arrĂȘte de pomper pour se mettre Ă  quatre pattes sur le fauteuil et m’inviter Ă  l’enculer. Je ne laisse pas passer l’occasion. J’adore cette situation : pantalon aux pieds, bite dans le cul d’un trav, devant le public d’un ciné et le tout pour 11 € ! Je lime un bon moment. Un jeune vient de l’autre cĂŽtĂ© offrir sa bite Ă  la bouche de ma partenaire qui le suce Ă  son tour pendant que je lui travaille le cul. Quelle obscĂ©nitĂ© ! Quelle excitation ! N’ayant pas de capote j’évite de dĂ©charger, mais j’ai bien apprĂ©ciĂ©.
AprĂšs cela je suis descendu Ă  l’EMC, oĂč il ne se passera rien d’extraordinaire : aprĂšs le hammam je fais vraiment une sieste dans une cabine dont j’ai fermĂ© la porte, je suce une queue dans le cinĂ©, Ă  genoux entre les jambes de mon partenaire, la queue et les couilles ballotant entre mes cuisses, je me suis fait branler dans la nouvelle backroom, frĂŽler ici ou lĂ  puis je rentre.
A part le temps, j’ai adorĂ© mon sĂ©jour Ă  Paris.
Published by M-Arena17
11 months ago
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M-Arena17
M-Arena17 Publisher 9 months ago
to apijo54 : Il faut venir
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apijo54 9 months ago
je ferais bien une escapade à Paris aussi avec les adresses intéressante que je découvre ici 
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EASYGOINGtoo61
EASYGOINGtoo61 9 months ago
to M-Arena17 : on connais l'atlas ! on frequente aussi un sauna a Toulon le raimbow c'est assez agÚs mais bien vicelards le glory hole est pratique ! on y vas souvent 
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M-Arena17
M-Arena17 Publisher 11 months ago
to apijo54 : Oui oui il n’y a que des avantages qui sont bien expliquĂ©s dans un des posts que j’ai mis en favoris.. j’y retourne cet aprĂšs-midi 
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apijo54 11 months ago
le sauna , le meilleur endroit , il y a de belle rencontres à faire 
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