Vanessa (Part 1)

De retour chez moi, j’ai plaisir à me maquiller de nouveau, me travestir pour me sentir une femme désirable. Le regard admiratif des hommes, les clins d’œil discrets, les mains qui te frôlent les fesses dans les files d’attente... est ce qui m’a le plus manqué en Thaïlande, se sentir désirée est si excitant. Quelques jours plus tard, en regardant la page d’annonces, j’en vois une qui attire mon attention. Un jeune gars qui a envie de se travestir et demande si quelqu’un pourrait l’aider. Je lui réponds que je suis disposée à l’aider. On correspond par internet, il me dit qu’il a 18 ans, une petite copine mais qu’il ne se sent pas bien dans sa peau de garçon. Je lui propose de venir me voir que j’ai tout ce qu’il faut pour le travestir pour voir s'il aime ça. Il vient en bus, je le récupère à la station et l’emmène chez moi. En route je lui demande s'il n’a pas de voiture, il me dit qu’il n’a pas l’âge pour passer le permis, qu’il a dit 18 ans parce que c’est l’âge légal pour passer des annonces mais qu’il n’en a que 16.

Je porte une petite jupe de cuir, un bustier, des bas résilles rouges, j’ai coiffé une perruque mi-longue châtain clair. Dans la voiture il me dit d’une voix timide que je suis très beau en femme, je lui dis qu’il faut dire belle parce que je me sens réellement femme et que je ferais de lui une jeune fille encore plus belle. Il est fin, pas très grand, un peu efféminé, peau claire avec un joli sourire, un léger diastème sépare ses incisives et lui donne un aspect encore plus juvénile. Il parle peu, rougit chaque fois que je lui fais un compliment, il est très timide. En arrivant dans les allées qui mènent à mon bungalow, il marche en regardant partout d’un air apeuré. Je le rassure, ici tout le monde sais que je suis travestie et il n’y a pas de problèmes.

On rentre, je lui sers un jus de fruit pour le détendre, plaisante avec lui, lui montre mes vêtements et accessoires en cherchant ce que je vais pouvoir lui faire porter, il est un peu plus petit mais de corpulence similaire à la mienne. Je lui dis déshabilles toi, sors une paire de bas, porte-jarretelles, une petite culotte de dentelle mauve et me retourne en disant mets ça. Il s’est déshabillé mais a gardé son slip quand il commence à enfiler un bas, je ris et lui dit ce slip ne va pas avec des bas, quitte-le. Il hésite, rougit, je lui dis en riant que j’en ai vu, caressé et sucer des centaines, que le sien ne va pas me faire peur. Il l’enlève gêné prend la petite culotte rapidement pour essayer de cacher son sexe. Attends ! lui dis-je je vois que tu as un peu de poils, il faut te dépiler pour être belle. Je vais chercher une pince à la salle de bain, lui dis ; laisse-moi faire j’ai l’habitude, il est assis sur le bord du lit, je le pousse pour le coucher, il a un sexe assez long mais fin au repos. Je commence à quitter les poils fins de son pubis, prend son sexe entre deux doigts. Il rougit, son sexe se met à durcir, je le caresse un peu entre mes doigts et aussitôt bande complètement. Pardon murmure-t-il, sans répondre je le prends dans ma bouche, il n’y a pas deux minutes que je le suce qu’il éjacule. J’avale son sperme qui a un gout sucré puis dis ; maintenant je peux te dépiler tranquillement. Il est rouge comme une tomate, j’enlève les quelques poils qu’il y a en bougeant sa bite dans tous les sens.

Maintenant tu peux t’habiller, il met la petite culotte, enfile les bas, attache maladroitement le porte-jarretelles. Je lui dis, et maintenant comment tu fais pour aller aux toilettes si tu ne peux pas baisser ta culotte pour t’assoir ? Toujours mettre les bas et porte-jarretelles en premier, la culotte vient par-dessus, je lui fais passer les tirants par dedans la culotte, lui pince la bite à travers la dentelle en disant, n’oublie pas la prochaine fois. Je prends une perruque blonde cheveux mi-longs ondulée, la lui ajuste. Il reste toujours sans bouger, je quitte ma jupe et mon bustier en disant ; il fait chaud. Il porte les yeux sur la bosse de mon string., tu peux toucher, ça ne **** pas lui dis-je en riant, pendant ce temps je vais te maquiller. Il tend timidement la main et la pose sur mon sexe, caresse-le dis-je en continuant de le maquiller. Il me masse doucement et me fait bander. Le rouge à lèvre mis, j’ai fini de le maquiller. Je le regarde, siffle admirative, c’est très réussi. Je cherche à qui il me fait penser, ça y est, je sais, il a un air de Vanessa Paradis à ses débuts.

Maintenant tu es une fille lui dis-je en l’entrainant vers le miroir, tu te plais ? Oui souffle-t-il, ses yeux pétillent. Je lui donne une paire de sandales à petits talons. C'est parfait, tu es très excitante en dessous et talons. Maintenant il te faut un prénom de fille, tu aimerais que l’on t’appelle Vanessa ? Il dit qu’il aime bien. Adjugé, à partir de maintenant tu es Vanessa.

Je m’assois sur le divan en disant ; Vanessa, la première chose que doit apprendre à faire une jeune fille comme toi, c’est apprendre à sucer. Elle devient toute rouge, viens et fais ce que je te dis :

-Caresse mon sexe! sors-le par l’échancrure de mon string.

-Il est doux dit-t-elle.

-Lèche le en le tenant dans ta main ouverte, maintenant humidifie tes lèvres et prends le gland entre elle, fais jouer ta langue autour (elle suit mes ordres à la lettre) enfonce le doucement dans ta bouche en faisant des va et vient chaque fois plus grands, ne te forces pas, si tu ne peux pas le prendre entier ce n’est pas grave, avec l’habitude tu en prendras plus. elle me suce un moment comme ça, elle ne le fait pas mal pour une première fois. Je l’arrête, reposes toi un peu. Ça l’a excitée car sa bite est à nouveau toute dure.

-Tu as aimée ?

-Oui c’est agréable et doux, encore plus que ce que j’imaginais.

-Tu verras que faire l’amour comme femme c’est divin.

-C’est ce dont je rêve dit-elle.

Je la renverse et prends sa bite, Tu vas voir comme on fait avec l’expérience et je me mets à la sucer cette fois ci en m’appliquant au maximum. Heureusement qu’elle avait joui avant, ça lui a permis résister un bon moment, elle se tortille et gémis de plaisir, j’accélère un peu et la fait jouir à nouveau. Ton sperme est vraiment doux, goute-le dis-je en lui roulant une pelle.

-Tu aimes ?

-Oui, c’est sucré, c’est bon.

-Tu en viendras vite accro comme moi dis-je en souriant. Elle s’enhardit :

-J’ai envie de gouter le tien dis-t-elle rosissant.

-Ne t’en prive pas, suces moi tant que tu veux.

Elle se met à me suer une autre fois avec plus d’assurance, elle apprend vite et bien. Au bout d’un moment je suis prête à jouir, je l’avertis, elle ne se retire pas au contraire accélère un peu et e laisse éjaculer dans sa bouche, elle pompe pour avaler tout jusqu’à la dernière goutte. Se relève satisfaite en disant, j’en rêvais depuis des années.

-Tu es déjà une experte lui dis-je en souriant, tu m’as donné beaucoup de plaisir.

On passe à la douche puis lui dis, essayes ça, je lui donne des bas resilles blancs autofixants, en petit string blanc et le soutien-gorge assorti, lui mets deux petits aux seins dans les bonnets, une jupette de tennis blanche très courte et un top blanc court et moulant et de petits talons de 10cms blancs aussi. Un collier et bracelet fantaisie assortis perles cylindriques arc en ciel. Je la fais marcher face au miroir en la tenant par la main. On fait quelques aller et retour, je la lâche, elle a pris le truc pour marcher avec les talons.

-Regarde comme tu es belle dis-je

-je n’arrive pas à croire que c’est moi dit-elle.

C’est vrai qu’elle est belle et très sexy, la jupette laisse voir deux centimètres de ses cuisses au-dessus des bas, elle volette laissant entrevoir ses fesses à chaque pas. C'est la fin d’après-midi, il fait doux.

-Viens, on va faire un tour.

-Non, on peut me reconnaitre.

-Tu viens de me dire que même toi tu ne crois pas que c’est toi.

-Mais que vont penser les gens ?

-Ce que pensent les gens tu t’en fous, l’important c’est te faire plaisir, il n’y aura pas beaucoup de monde à cette heure et les gens penseront qu’on est la mère et la fille qui se promènent ensemble.

Elle se laisse convaincre, je passe une robe fourreau juste au-dessus du genou un peu plus “femme mure” mais moulante et sexy, des talons assortis 14cms, lui donne un petit sac à main à bretelle et prend un plus grand pour moi.

Nous voilà dehors, on va sur la promenade de bord de mer, on marche lentement en papotant, au début je la tiens par la main, beaucoup des personnes qu’on croise se retournent sur nous, les hommes regardant ses petites fesses rondes et fermes danser ************tte.

-Tu vois qu’il n’y a pas de problèmes et que c’est agréable se sentir attirante.

-Oui, ça m’excite voir les hommes me dévorer des yeux.

Je pose mon bras sur ses hanches et laisse baisser ma main sur ses fesses, elle se raidit un peu mais ne dit rien, je laisse descendre ma main un peu plus et là caresse ses fesses directement ************tte.

Là on ne va plus nous prendre pour la mère et la fille dit-t-elle gênée en baisant la tête.

Il n’y a plus grand monde sur la promenade, seulement quelques touristes attardés, la pénombre arrive, Je la lâche un instant, fouille dans mon sac, j’ai toujours un petit pot de vaseline dedans, je mets discrètement mon majeur dedans, repasse mon bras comme il était, passe mon doigt entre ses fesses et le pousse dans son anus, l’effet la fait se redresser au moment où je lui dis ; lève la tête, une jeune fille doit toujours marcher la tête haute. Je la doigte un peu, elle est tout excitée et moi aussi. On s’assoit sur un banc, elle e tends ses lèvres ans un baiser passionné, nos langues jouent un bon moment, elle pose sa main sur a robe et masse délicatement. J’ai encore envie de te sucer chuchote-t-elle. Je lui dis viens, on rentre. En repartant j’ai une grosse bosse sous ma robe fourreau, c’est moi qui me fais remarquer.

En arrivant elle m’aide à enlever rapidement ma robe et se jette comme une affamée sur ma queue, je sors la sienne du string et la masturbe pendant qu’elle me suce, au bout d’une dizaine de minutes on jouit pratiquement ensemble.

Il se fait tard, je lui propose de rester coucher mais me dit qu’elle ne peut pas, ses parents pourraient se douter de quelque chose. Je l’aide à se changer et démaquiller et le ramène près de chez lui, lui dis, appelle-moi quand tu veux. Le lendemain il m’appelle pour me demander s’il peut revenir le samedi, qu’il dira à ses parents qu’il dort chez un copain pour pouvoir passer le WE ensembles.