PROMENADE.
Promenade en forĂŞt.
Cette histoire date d’une bonne dizaine d’années.
Une belle journée de printemps m’a donné envie de m’aérer et je me suis rendu dans cette forêt bien connue des Annéciens.
Laissant mon véhicule sur un parking proche d’un domaine, j’empruntais un sentier me permettant de profiter de la douce chaleur d’un soleil revenu.
Je marchais lentement et répondais agréablement aux saluts des quelques promeneurs rencontrés.
Un homme me rattrapa et, m’ayant salué d’un « Bonjour », resta à ma hauteur.
Nous engageâmes la conversation sur la météo agréable ainsi que sur d’autres banalités tout en poursuivant notre cheminement.
D’un âge sensiblement égal au mien, une cinquantaine bien sonnée, sa voix était douce et son physique agréable.
C’est aussi tout naturellement que nous avons quitté ensemble ce chemin pour emprunter un sentier plus étroit nous amenant dans les sous-bois.
Le cheminement étant moins large, nos corps se sont donc rapprochés et je sentais parfois le frôlement de son bras contre le mien et aussi, parfois, celui, plus discret, de sa main sur ma cuisse.
Ne ressentant aucun recul de ma part, il m’a pris la main et nous nous sommes arrêtés face à face.
Notre solitude vérifiée, nos visages se sont rapprochés et nos lèvres se sont rencontrées.
D’abord timides, nos langues sont entrées en action et se sont mêlées pour un baiser plus profond pendant que nos mains vérifiaient l’éveil de nos virilités respectives.
Nos sexes grossissaient sous nos caresses et l’envie d’un contact bien plus rapproché a grandi en nous.
Conscients du manque de discrétion du milieu du sentier sur lequel nous nous trouvions, nous avons repris notre progression jusqu’à une petite sente s’enfonçant dans les fourrés.
Quelques pas ont suffi pour ne plus être visibles du chemin et nous nous sommes arrêtés dans une petite clairière.
Presque timidement, nous nous sommes rapprochés et nos mains sont parties à la découverte du corps de l’autre.
La température clémente faisait que nous ne portions qu’un tee-shirt et un pantalon de toile.
Mes mains se sont rapidement glissées sous son tee-shirt pour en sentir la douceur de sa peau alors que ses mains faisaient de même.
Je sentais contre mon ventre, au travers de la faible épaisseur de nos vêtements, son sexe durcir tandis que nos langues se mêlaient et luttaient pour la possession de la bouche de l’autre.
Ses mains Ă©taient douces sur ma peau.
Nos bouches se sont un instant désolidarisé pour nous permettre d’ôter nos maillots mais ont vite repris leur plaisir alors que nos torses se collaient l’un à l’autre.
Je sentais ses mains parcourir mon dos et tenter de se glisser sous la ceinture de mon pantalon pour atteindre mes fesses.
Nous nous sommes un peu écartés l’un de l’autre et nos mains ont eu vite fait de dégrafer nos pantalons et de les faire glisser vers le sol, descendant en même temps nos slips.
Nous avons pris le temps de dégager nos jambes de ces vêtements et c’est entièrement nu que nous nous sommes recollés l’un à l’autre pour reprendre nos embrassades.
Nos sexes tendus palpitaient l’un contre l’autre.
Nos mains se sont faites plus fureteuses.
Sa peau Ă©tait douce et chaude.
Je sentais ses mains caresser ma poitrine et titiller les pointes de mes tétons pour les faire se dresser, se glisser sur mon ventre, caresser mes cuisses, remonter vers mon membre tendu, caresser mes couilles, repartir vers mon dos pour redescendre vers mes fesses et glisser son doigt dans mon sillon.
Ma bouche a quitté la sienne et j’ai descendu mes lèvres le long de son cou, vers sa poitrine.
Ma langue a un moment titillé ses seins sensibles et, en me penchant, ma tête a continué sa progression sur son ventre, vers son sexe.
Cette position lui permettait de continuer à me caresser les fesses, ce dont il ne se privait pas, humidifiant même son doigt avec sa salive pour qu’il glisse mieux dans mon sillon.
Mes lèvres ont alors atteint son pubis recouvert d’une toison courte, son membre caressant ma joue.
J’ai remonté lentement ma bouche le long de son membre en le chatouillant de la langue et mes lèvres ont atteint son gland.
Une goutte de plaisir perlait à l’entrée de son méat.
Cueillie par ma langue gourmande, je l’ai trouvé douce et sucrée.
De mes lèvres, j’ai coiffé ce gland gouteux et, tout en le massant de ma langue contre mon palais, je l’ai laissé ma pénétrer la bouche.
Il me semblait qu’il grandissait encore plus et j’en ressentais les palpitations.
Ses mains continuaient à s’occuper de mes fesses et j’en ressentais la douceur et leur progressivité.
Un doigt est venu rapidement se poser sur mon petit trou et a tenté de le pénétrer.
J’ai senti sa main se retirer et bien vite revenir.
Il avait dû y remettre de la salive car son doigt m’a pénétré facilement, vite rejoint par au moins un autre.
Il m’a alors relevé de cette position et nos lèvres se sont à nouveau jointes et nos mains ont repris nos caresses.
Me prenant aux épaules, il m’a retourné pour se placer derrière moi et a commencé à m’embrasser le cou, les épaules, tout en me caressant les seins.
Son corps collé conte le mien, je sentais son sexe tendu contre mes fesses.
Mes mains les ont écartées pour qu’il se cale bien entre elles et que je le sente mieux.
Tout en restant calé conte moi, il a pris mes mains et les a guidées pour les poser contre un arbre proche, me faisant me pencher en avant.
J’ai senti sa langue glisser le long de ma colonne vertébrale et descendre vers mes fesses qu’elles ont vite atteint pour se glisser entre elles et atteindre ma rosette.
Sa langue était chaude à cet endroit et j’en ressentais sa pression sur mon petit trou et j’avais l’impression qu’elle allait me pénétrer.
Je sentais ses mains bien écarter mes fesses pour en faciliter l’accès.
Mon accord acquis pour une prise de possession plus profonde des lieux, il s’est relevé, a pris un préservatif dans son pantalon, l’a enfilé rapidement et est vite revenu derrière moi.
Les fesses à nouveau bien écartées par ses mains, j’ai senti son gland se poser sur mon œillet frémissant et bien enduit de salive.
La pression de son membre sur mon anus s’est faite plus forte et je l’ai senti me pénétrer lentement et régulièrement jusqu’à coller son pubis contre mes fesses et que sente ses couilles contre les miennes.
Il est resté dans cette position un moment pour que je m’habitue à cette présence en moi puis a commencé de lents et profonds mouvements de va-et-vient ponctués parfois de vigoureuses claques sur mes fesses.
Surpris par ces claques cuisantes, je me suis surpris à les attendre, à les espérer et c’est entièrement décontracté que j’ai savouré le plaisir de me sentir pénétré par ce sexe bien vivant.
Ses mouvements se sont progressivement accrus, jusqu’à parfois sortir entièrement de mon fondement et d’y revenir brusquement, j’entendais son ventre claquer sur mes fesses, ils se sont aussi accélérés puis interrompus.
Sentant sa jouissance venir, il m’a alors demandé où je préférais qu’il se laisse aller.
Accédant à ma demande, il s’est alors retiré de mon fondement, a ôté son préservatif et je me suis agenouillé devant lui pour prendre ce beau membre chaud en bouche.
J’ai commencé à le lécher lentement, tout le long, puis à en chatouiller le gland de la pointe de la langue et, sentant sa jouissance très proche…
Je l’ai pris en bouche pour mieux le sentir palpiter et gonfler encore plus.
Il n’a pu tenir plus longtemps et j’ai senti son jus chaud et doux gicler et se répandre dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge.
Je gardai son membre dans ma bouche jusqu’à sentir son érection le quitter.
Je l’ai alors nettoyé soigneusement d’une langue gourmande.
Il m’a alors relevé, posé ses lèvres sur les miennes et m’a embrassé goulument.
Il s’est ensuite baissé et, accroupi devant moi, a pris lentement mon sexe dans sa bouche pour me prodiguer une douce fellation.
Mon excitation étant déjà forte, ma jouissance est vite arrivée et c’est aussi dans sa bouche que j’ai craché ma liqueur de plaisir.
Il m’a bien nettoyé avec sa langue douce et chaude, s’est redressé et m’a de nouveau embrassé, me faisant goûter aux gouttes de mon plaisir restées dans sa bouche.
Après encore quelques câlineries, nous avons retrouvé une tenue correcte pour rejoindre la civilisation, avons ramassé nos quelques déchets, avons rejoint nos véhicules dans l’espoir de nous rencontrer à nouveau.
Cette histoire date d’une bonne dizaine d’années.
Une belle journée de printemps m’a donné envie de m’aérer et je me suis rendu dans cette forêt bien connue des Annéciens.
Laissant mon véhicule sur un parking proche d’un domaine, j’empruntais un sentier me permettant de profiter de la douce chaleur d’un soleil revenu.
Je marchais lentement et répondais agréablement aux saluts des quelques promeneurs rencontrés.
Un homme me rattrapa et, m’ayant salué d’un « Bonjour », resta à ma hauteur.
Nous engageâmes la conversation sur la météo agréable ainsi que sur d’autres banalités tout en poursuivant notre cheminement.
D’un âge sensiblement égal au mien, une cinquantaine bien sonnée, sa voix était douce et son physique agréable.
C’est aussi tout naturellement que nous avons quitté ensemble ce chemin pour emprunter un sentier plus étroit nous amenant dans les sous-bois.
Le cheminement étant moins large, nos corps se sont donc rapprochés et je sentais parfois le frôlement de son bras contre le mien et aussi, parfois, celui, plus discret, de sa main sur ma cuisse.
Ne ressentant aucun recul de ma part, il m’a pris la main et nous nous sommes arrêtés face à face.
Notre solitude vérifiée, nos visages se sont rapprochés et nos lèvres se sont rencontrées.
D’abord timides, nos langues sont entrées en action et se sont mêlées pour un baiser plus profond pendant que nos mains vérifiaient l’éveil de nos virilités respectives.
Nos sexes grossissaient sous nos caresses et l’envie d’un contact bien plus rapproché a grandi en nous.
Conscients du manque de discrétion du milieu du sentier sur lequel nous nous trouvions, nous avons repris notre progression jusqu’à une petite sente s’enfonçant dans les fourrés.
Quelques pas ont suffi pour ne plus être visibles du chemin et nous nous sommes arrêtés dans une petite clairière.
Presque timidement, nous nous sommes rapprochés et nos mains sont parties à la découverte du corps de l’autre.
La température clémente faisait que nous ne portions qu’un tee-shirt et un pantalon de toile.
Mes mains se sont rapidement glissées sous son tee-shirt pour en sentir la douceur de sa peau alors que ses mains faisaient de même.
Je sentais contre mon ventre, au travers de la faible épaisseur de nos vêtements, son sexe durcir tandis que nos langues se mêlaient et luttaient pour la possession de la bouche de l’autre.
Ses mains Ă©taient douces sur ma peau.
Nos bouches se sont un instant désolidarisé pour nous permettre d’ôter nos maillots mais ont vite repris leur plaisir alors que nos torses se collaient l’un à l’autre.
Je sentais ses mains parcourir mon dos et tenter de se glisser sous la ceinture de mon pantalon pour atteindre mes fesses.
Nous nous sommes un peu écartés l’un de l’autre et nos mains ont eu vite fait de dégrafer nos pantalons et de les faire glisser vers le sol, descendant en même temps nos slips.
Nous avons pris le temps de dégager nos jambes de ces vêtements et c’est entièrement nu que nous nous sommes recollés l’un à l’autre pour reprendre nos embrassades.
Nos sexes tendus palpitaient l’un contre l’autre.
Nos mains se sont faites plus fureteuses.
Sa peau Ă©tait douce et chaude.
Je sentais ses mains caresser ma poitrine et titiller les pointes de mes tétons pour les faire se dresser, se glisser sur mon ventre, caresser mes cuisses, remonter vers mon membre tendu, caresser mes couilles, repartir vers mon dos pour redescendre vers mes fesses et glisser son doigt dans mon sillon.
Ma bouche a quitté la sienne et j’ai descendu mes lèvres le long de son cou, vers sa poitrine.
Ma langue a un moment titillé ses seins sensibles et, en me penchant, ma tête a continué sa progression sur son ventre, vers son sexe.
Cette position lui permettait de continuer à me caresser les fesses, ce dont il ne se privait pas, humidifiant même son doigt avec sa salive pour qu’il glisse mieux dans mon sillon.
Mes lèvres ont alors atteint son pubis recouvert d’une toison courte, son membre caressant ma joue.
J’ai remonté lentement ma bouche le long de son membre en le chatouillant de la langue et mes lèvres ont atteint son gland.
Une goutte de plaisir perlait à l’entrée de son méat.
Cueillie par ma langue gourmande, je l’ai trouvé douce et sucrée.
De mes lèvres, j’ai coiffé ce gland gouteux et, tout en le massant de ma langue contre mon palais, je l’ai laissé ma pénétrer la bouche.
Il me semblait qu’il grandissait encore plus et j’en ressentais les palpitations.
Ses mains continuaient à s’occuper de mes fesses et j’en ressentais la douceur et leur progressivité.
Un doigt est venu rapidement se poser sur mon petit trou et a tenté de le pénétrer.
J’ai senti sa main se retirer et bien vite revenir.
Il avait dû y remettre de la salive car son doigt m’a pénétré facilement, vite rejoint par au moins un autre.
Il m’a alors relevé de cette position et nos lèvres se sont à nouveau jointes et nos mains ont repris nos caresses.
Me prenant aux épaules, il m’a retourné pour se placer derrière moi et a commencé à m’embrasser le cou, les épaules, tout en me caressant les seins.
Son corps collé conte le mien, je sentais son sexe tendu contre mes fesses.
Mes mains les ont écartées pour qu’il se cale bien entre elles et que je le sente mieux.
Tout en restant calé conte moi, il a pris mes mains et les a guidées pour les poser contre un arbre proche, me faisant me pencher en avant.
J’ai senti sa langue glisser le long de ma colonne vertébrale et descendre vers mes fesses qu’elles ont vite atteint pour se glisser entre elles et atteindre ma rosette.
Sa langue était chaude à cet endroit et j’en ressentais sa pression sur mon petit trou et j’avais l’impression qu’elle allait me pénétrer.
Je sentais ses mains bien écarter mes fesses pour en faciliter l’accès.
Mon accord acquis pour une prise de possession plus profonde des lieux, il s’est relevé, a pris un préservatif dans son pantalon, l’a enfilé rapidement et est vite revenu derrière moi.
Les fesses à nouveau bien écartées par ses mains, j’ai senti son gland se poser sur mon œillet frémissant et bien enduit de salive.
La pression de son membre sur mon anus s’est faite plus forte et je l’ai senti me pénétrer lentement et régulièrement jusqu’à coller son pubis contre mes fesses et que sente ses couilles contre les miennes.
Il est resté dans cette position un moment pour que je m’habitue à cette présence en moi puis a commencé de lents et profonds mouvements de va-et-vient ponctués parfois de vigoureuses claques sur mes fesses.
Surpris par ces claques cuisantes, je me suis surpris à les attendre, à les espérer et c’est entièrement décontracté que j’ai savouré le plaisir de me sentir pénétré par ce sexe bien vivant.
Ses mouvements se sont progressivement accrus, jusqu’à parfois sortir entièrement de mon fondement et d’y revenir brusquement, j’entendais son ventre claquer sur mes fesses, ils se sont aussi accélérés puis interrompus.
Sentant sa jouissance venir, il m’a alors demandé où je préférais qu’il se laisse aller.
Accédant à ma demande, il s’est alors retiré de mon fondement, a ôté son préservatif et je me suis agenouillé devant lui pour prendre ce beau membre chaud en bouche.
J’ai commencé à le lécher lentement, tout le long, puis à en chatouiller le gland de la pointe de la langue et, sentant sa jouissance très proche…
Je l’ai pris en bouche pour mieux le sentir palpiter et gonfler encore plus.
Il n’a pu tenir plus longtemps et j’ai senti son jus chaud et doux gicler et se répandre dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge.
Je gardai son membre dans ma bouche jusqu’à sentir son érection le quitter.
Je l’ai alors nettoyé soigneusement d’une langue gourmande.
Il m’a alors relevé, posé ses lèvres sur les miennes et m’a embrassé goulument.
Il s’est ensuite baissé et, accroupi devant moi, a pris lentement mon sexe dans sa bouche pour me prodiguer une douce fellation.
Mon excitation étant déjà forte, ma jouissance est vite arrivée et c’est aussi dans sa bouche que j’ai craché ma liqueur de plaisir.
Il m’a bien nettoyé avec sa langue douce et chaude, s’est redressé et m’a de nouveau embrassé, me faisant goûter aux gouttes de mon plaisir restées dans sa bouche.
Après encore quelques câlineries, nous avons retrouvé une tenue correcte pour rejoindre la civilisation, avons ramassé nos quelques déchets, avons rejoint nos véhicules dans l’espoir de nous rencontrer à nouveau.
1 year ago