Sabine07 39-1

Après ma frayeur avec les gendarmes et la douce détente avec Gérard, j’ai passé la nuit chez lui. J’avais besoin de me sentir rassurée, c’était bien de partager son lit comme ça, tranquillement. Au réveil, Gérard est déjà sous la douche, aussi, je passe la nuisette de la veille, glisse mes pieds dans mes mules et file faire le café. C’est vite prêt et Gérard me rejoint pour prendre le petit-déjeuner. Il m’embrasse tendrement, avec une main qui glisse sur mes fesses, c’est presque romantique… Puis, nous bavardons un peu et il me dit qu’il doit filer, il a plein de rendez-vous ce matin. Il me propose de rester chez lui encore un peu et de laisser sa clef dans la boite aux lettres en partant. J’accepte volontiers, ça me laissera le temps de me préparer tranquillement. Il se lève pour partir et je l’accompagne à la porte, il m’embrasse encore une fois, toujours avec une main sur mes fesses, même mieux, avec un doigt dans ma raie, j’adore…

Restée seule, je lave les affaires du petit-déjeuner, fais le lit et je file prendre une douche. L’eau chaude me fait du bien, mes doigts lavent profondément ma rondelle, j’ai aimé qu’elle avale la queue de Gérard, hier, après toutes ces émotions… Lorsque j’ai fini de me laver, je prends le temps de bien me maquiller, j’ai envie d’être très féminine ce matin. Je mets ensuite mes suceurs, j’aime les pointes qu’ils me font, d’ailleurs, mes tétons ont beaucoup grossis depuis que je les porte et ça me plait énormément… Je lubrifie abondamment ma rondelle et y glisse un plug de bonne taille, j’ai besoin de me sentir remplie…

Je remets ma robe évasée d’hier, elle moule bien mes pointes et laisse mon clito libre sans le dévoiler. Je mets aussi quelques bijoux, je trouve que cela me rend encore plus féminine. Puis, je vais chercher des chaussures dans l’armoire de Gérard, il y en a quelques paires et j’arrête mon choix sur une belle paire de sandales blanches à talons hauts.

Enfin, prête, je prends mes affaires et sors de l’appartement. Je ferme à clef à descends vers le rez-de-chaussée, mettre les clefs dans la boite aux lettres de Gérard. Le bruit de mes talons qui claquent sur le sol me plait beaucoup. Je me sens très féminine aujourd’hui et j’aime ça. Je descends les marches avec un plaisir non dissimulé et j’arrive aux boites aux lettres. Alors que je rentre les clefs de Gérard dans sa boite aux lettres, la porte d’entrée de l’immeuble s’ouvre et je vois apparaitre la voisine qui m’a regardée bizarrement hier matin. Nos regards se croisent et elle semble surprise. Puis, ses yeux deviennent plus noirs et elle me dévisage avec une certaine méchanceté. « On n’a pas besoin de toi ici » me dit-elle… Je suis surprise d’une telle violence verbale et ne réponds rien… « C’est dégoutant ce que tu fais et la façon dont tu t’affiches dans l’immeuble » ajoute-t-elle… « Tu fais peut-être tourner la tête à certains hommes avec ton cul, mais moi je m’en moque, tu es une petite salope qui n’a rien à faire ici » dit-elle encore avec de la fureur dans la voix… Décidément, entre hier les gendarmes et elle, je suis gâtée… Alors que je cherche quoi répondre, elle rajoute « on ne veut pas de jeune comme toi ici, qui s’habille en fille et qui se trémousse avec des talons en jouant à la femme »… « Je ne comprends pas pourquoi vous réagissez comme ça, même si je m’habille en femme, je n’embête personne » dis-je enfin… Elle s’approche le regard mauvais et sa main montre mes seins en me disant « et ça salope, tu as des seins maintenant ? »… « Déjà que tu es maquillée comme une pute !!! »… Avant que je n’aie le temps de rien dire, son autre main soulève ma jupe et elle lance « tu t’affiches en femme de partout avec des tenues courtes de petites putes et… »… Ses mots s’arrêtent car elle vient de se rendre compte que je n’ai pas de culotte et qu’elle est face à mon clito… Elle a les yeux horrifiés et elle reste sans voix quelques instants… « Oh mon dieu, cette pute n’a même pas de culotte en plus »… « Tu n’as pas honte de t’afficher comme ça ? Salope » hurle-t-elle… Je reprends mes esprits et d’une main, je rabaisse ma robe, écartant sa main… Cela ne lui plait pas et elle tente de saisir à nouveau ma robe… Alors que j’essaye de l’en empêcher, elle saisit ma robe et tire violemment dessus… Elle a tiré si fort que j’en perds l’équilibre et en tombant, ma robe craque et se déchire, dévoilant mon cul… C’est à ce moment-là qu’elle voit que je porte un plug… « Mais, sale pute, qu’est-ce que c’est que ça ? Tu as un truc dans le cul aussi ? » dit-elle les yeux hors de la tête… « Ça ne m’étonne pas, de toute façon je t’ai vue l’autre jour, dans la cage d’escalier, avec tous ces gars, à poil avec un truc dans le cul, mais plus gros »… « Finalement, tu es comme ta mère, qui maintenant est devenue lesbienne avec l’autre salope, une belle famille de tarés » dit-elle encore… Ah ces mots, je me sens humiliée et en colère car je ne supporte pas qu’elle puisse parler *** de ma mère, qui n’a jamais fait de *** à personne… Je me relève le plus rapidement possible et malgré que le pan de ma robe déchirée ne cache plus grand chose de mon intimité, je m’en moque… Une fois debout, plus grande qu’elle grâce à mes talons, je lui tire une tarte magistrale, histoire de la calmer… La claque fait grand bruit et surprend tellement la voisine qu’elle en reste sans voix… Nous restons toutes les deux un moment sans rien dire, puis, constatant qu’elle n’aura pas le dessus physiquement, elle s’éloigne en me traitant de tous les noms… Je reste un moment sans savoir quoi faire… Puis, je monte à mon tour les escaliers, mes talons claquent de nouveau mais la magie a disparue… Tout en montant, j’entends la porte de la voisine s’ouvrir et se fermer, c’est mieux, au moins elle n’est plus dans l’escalier quand j’arrive sur son palier. Je rentre chez moi, je suis perplexe, je ne pensais pas que tout allait se mettre en vrac comme ça… Que vais-je faire maintenant ?…

Je suis restée longtemps à me demander quoi faire et comment gérer cette situation… Quand ma mère rentre du travail, je lui explique ce qu’il s’est passé depuis deux jours… Elle est triste pour moi et très en colère à l’encontre de la voisine. « Ne te laisse pas impressionner par cette morue, depuis toujours elle nous emmerde, elle est conne cette femme » me dit ma mère… « Tu as bien fait de lui mettre une claque, pour qui elle se prend ? »… « En plus, son fils a été arrêté pour vol l’année dernière, elle n’a pas de leçon à nous donner, et toi, même si tu t’habilles en fille, tu n’embêtes personne » ajoute-t-elle… Enfin, à vrai dire, je n’embêtais personne, jusqu’à ce que Gérard et les gars du rugby décident de me monter chez moi à poil, avec le plug qui dépasse planté dans la rondelle… C’est finalement ça qui a mis le feu aux poudres… Je finis d’ailleurs par l’avouer à ma mère, qui en reste sans voix… « Mais tu es folle, vivre ta vie en fille est une chose, mais t’exhiber nue avec un truc dans le cul devant les voisins, ça ne se fait pas » s’écrie ma mère… « Si tu croix que je l’ai choisie » dis-je tristement… « Oh mon dieu, encore un coup de Gérard !!! » s’exclame-t-elle… « Mais non maman, enfin oui, un peu, mais pas complètement » dis-je pour tenter de minimiser les choses… « Ça ne m’étonne pas, ce Gérard est la cause de tous nos malheurs… » reprend-elle… « Mais maman, arrêtes, Gérard est mon amant, c’est tout, je lui dois beaucoup et rappelles-toi l’époque où tu me disais d’être gentille avec lui » dis-je… « Oui mais ça c’est quand je ne savais pas toutes les cochonneries qu’ils te faisaient faire » réplique-t-elle… Ça, ce n’est pas faux, elle ne savait rien et croyait au bon samaritain… « D’ailleurs, si on en est là, c’est parce qu’il t’a livrée en pâture à tous ces types pour qu’ils abusent de toi, voilà ! » ajoute-t-elle en pleurant un peu… Certes c’est vrai, mais je ne peux pas lui dire que j’ai adoré me faire défoncer le cul par tous ces gars… Y’a que la remontée à poil avec le plug dans la rondelle qui a été moins bien… Encore que, si les voisins ne m’avaient pas vue ainsi, ça resterait un bon souvenir coquin…

Tout à coup, on sonne à la porte… Ma mère va ouvrir, et, surprise, c’est le mari de la voisine en quastion… Il n’a pas l’air content et reproche à ma mère que son fils, moi, enfin la pédale qui s’habille en gonzesse, ait frappé sa femme tout à l’heure… S’en suit une dispute carabinée, où se mélangent pêle-mêle, des noms d’oiseaux, des remarques grossières, des insultes à caractère sexuel et autres joyeusetés… Il faut dire, que ma mère, sous ses airs tranquilles de femme qui n’embête personne, est loin de se laisser marcher sur les pieds quand on l’agresse… Hélas, le gars croit avoir à faire à une faible femme, mais il reçoit une volée de bois vert et ma mère termine en lui précisant qu’elle n’a pas de leçon à recevoir de la part de parents d’un délinquant et qu’il devrait mieux s’occuper de sa femme, qui se fait sauter dès qu’il n’est pas là… Le gars reste sans voix et repart…

Ma mère ferme la porte violemment et revient vers moi en furie. « Non mais quel con ce gars, il venait se plaindre de la gifle que tu as donné à sa femme, alors que c’est elle qui t’a agressée » dit-elle furieuse… Je me sens bien avec ma mère, elle prend soin de moi… Ceci dit, je ne regrette pas d’avoir giflé cette connasse… « Et en plus, il se permet de juger ma vie avec Evelyne, non mais pour qui se prend-il !!! » reprend ma mère… « Nous sommes entourées de cons !!! » ajoute-t-elle… J’en profite pour lui demander pourquoi elle a dit au mari de sa femme se faisait baiser dès qu’il n’est pas là ? Ma mère me répond qu’elle a vu plusieurs fois des hommes inconnus sortir de chez la voisine quand son mari travaillait… Elle a vite compris qu’ils ne venaient pas relever le compteur d’eau… Ah, je ne savais pas, intéressant… Elle ajoute que cette salope ne va pas régenter notre vie… Là, je suis bien d’accord, mais du coup qu’allons-nous faire ? Ma mère me dit de ne pas m’inquiéter et qu’elle va voir avec Evelyne pour la suite… Bon, je suis tranquille, si ma mère et Evelyne s’en occupent, ça devrait aller…

J’aide ma mère à préparer le repas et nous mangeons tranquillement toutes les deux. Après le repas, nous regardons un peu la télé, puis, nous allons nous coucher, moi, j’en profite pour préparer les affaires car demain je vois Nathalie et j’en suis ravie, j’ai plein de choses à lui dire, sans parler de celles à lui faire…

Lorsque je me réveille, je suis en pleine forme et les évènements des jours derniers me semblent moins compliqués. Et puis surtout, je vois Nathalie aujourd’hui et rien ne pourrait me faire plus plaisir. Je dois la retrouver chez elle à dix heures, je peux même y aller en fille car ses parents sont absents deux jours, aussi je ne traine pas…

Quand je me lève, ma mère est à la salle de bains, aussi j’en profite pour préparer le petit-déjeuner. Lorsqu’elle a fini, elle me rejoint et je la vois apparaitre avec des mules compensées à talons hauts, une jupe assez courte, un petit haut presque transparent et pas de soutient gorges… Ses seins qui pointent se dessinent admirablement et dansent à chaque mouvement, je trouve cela très érotique… Wow, la classe… Je me demande si elle a une culotte et si elle porte un plug… Elle en serait capable maintenant… Comme je la complimente, elle sourit et me demande si ça ne fait pas trop vulgaire. Je la rassure, elle est parfaite ainsi, coquine mais pas trop… Nous blaguons en prenant notre collation. Bien sûr, le sujet revient sur les voisins et ma mère me dit qu’elle en a marre de tous ces hypocrites qui habitent avec nous dans l’immeuble… Je la comprends… Elle me dit qu’elle verra Evelyne ce soir et qu’elles verront pour la suite. J’en profite pour lui dire que je ne serai pas là pendant deux jours, précisant que je serai chez Nathalie. Ma mère sourit et me dit « tu es étonnante quand même, je te trouve récemment en plein ébat avec Gérard et plusieurs hommes et là tu m’annonces gentiment que tu vas roucouler avec ta Nathalie, comme si de rien n’était »… Je sourie et lui répond « oui maman, tu as raison, j’aime ce que je vis avec les hommes, particulièrement Gérard, mais Nathalie c’est plus une histoire d’amour »… « Elle est belle, c’est la seule fille que je connaisse qui m’apprécie en femme et qui n’a rien contre, je serai bête de m’en priver »…

Il est temps d’aller me préparer. Après une bonne douche, où j’ai pris soin de bien nettoyer ma rondelle en profondeur, je me lubrifie abondamment avant de glisser un plug dans mon petit trou. Hummm, c’est bon quand il rentre… Puis, je me maquille avec soin, mets quelques bijoux, mes suceurs et enfile une robe courte et évasée blanche. Je mets des mules blanches à hauts talons, je me regarde dans la glace et me trouve très féminine… Je passe à la chambre prendre les affaires que j’ai préparées et je retrouve ma mère dans la cuisine. Elle est prête à partir elle aussi et je lui propose de la déposer à son travail. Elle est contente, moi aussi et nous partons.

En descendant les marches, mes talons claquent plus fort que ceux de ma mère et ce bruit me plait. Je me sens étrangement bien, en fille, au bras de ma mère. Nous ne croisons personne et quand nous arrivons dans le parking, juste avant ma voiture, je fais tomber mes clefs. Je me penche pour les ramasser et ce faisant, je ne me rends pas compte que ma robe se soulève à la moitié de mes fesses et révèle mon cul et le plug qui s’y trouve… Ma mère éclate de rire et me dit « mon dieu, tu es sans culotte avec un truc dans le… »… Je sourie sans rien répondre et elle ajoute en riant « comme dirait Evelyne, tu es une petite salope »… Nous rions toutes les deux en entrant dans la voiture et je lui dis « et toi maman, tu ne porterais pas un plug par hasard ? »… « Comment le sais-tu ? » me demande-t-elle surprise… « Maman, tu pars au boulot dans une tenue sexy, sans soutien-gorge, en me précisant que ce soir tu vois Evelyne »… « Forcément, j’en déduis qu’elle va venir te chercher au travail et je devine que tu veux lui faire plaisir »… « Comme en plus je ne suis pas là ce soir, vous pourrez vous amuser » lui dis-je… « Oui, c’est vrai, Evelyne aime bien que j’en porte et j’avoue que ce n’est pas désagréable, je comprends que tu en mettes » me répond-elle… « En plus, savoir que mes collègues de bureau ne savent pas que j’en porte me plait beaucoup » ajoute-t-elle… Mon dieu, si ma mère se dévergonde autant en suivant mon exemple, je vais bientôt la retrouver en train de s’exhiber avec Evelyne… Nous sortons du parking et je roule pour accompagner ma mère au travail. Ce n’est pas très loin en voiture et nous y sommes vite. Je la dépose et la regarde partir, c’est vrai qu’elle est sexy comme ça, je comprends qu’elle plaise à Evelyne.

Je reprends la route pour aller chez Nathalie. J’ai l’impression d’être une femme maintenant, plus le temps passe et plus je me sens libre de m’habiller comme je veux, c’est chouette. Le trajet me parait court et j’arrive au Teil rapidement. Je trouve facilement une place pas loin de chez Nathalie et je me gare. Je prends mes affaires et file chez elle. Sur le trottoir, en talons avec ma robe courte, mes affaires et mon plug, je me sens plus féminine que jamais…

J’arrive à sa porte et sonne. Quelques instants plus tard, elle m’ouvre et le spectacle est très séduisant… Nathalie porte un déshabillé blanc transparent de toute beauté, avec de petites mules blanches très bien assorties… wow, elle est magnifique… Sa poitrine orgueilleuse se dresse et tend le tissu, un vrai régal pour les yeux… Je prends quelques secondes pour admirer sa silhouette, sa chatte sans poil se dessine à peine sous le voile et ses hanches sont un appel à la luxure… Elle me tire de ma rêverie en m’enlaçant et me fait entrer avant de me prodiguer un long baiser qui me ravit… Tandis que sa langue fouille ma bouche et joue avec la mienne, ses mains parcourent mon corps et viennent saisir mes fesses… Un doigts glisse dans ma raie et vient toucher le plug… Mon dieu que c’est bon… De mon côté, une de mes mains caresse son sein et l’autre tient une fesse bien chaude… Nous restons là un moment, enlacées, se caressant doucement, puis, quand notre baiser cesse, elle me dit « tu m’as manquée, viens »…

Elle m’entraine au salon, jette mon sac par terre, se pose sur le canapé et m’attire entre ses jambes en me disant « j’ai envie de ta langue, salope, ça fait trop longtemps qu’elle ne m’a rien fait »… Je ne pouvais pas rêver d’un meilleur accueil et ma tête plonge entre ses cuisses… Sa chatte douce et humide accueille ma langue en frémissant et j’ai énormément de plaisir à la lécher ainsi… Très vite, Nathalie gémit, cela m’excite… Elle mouille abondamment, et bouge son bassin à chaque coup de langue, elle avait vraiment envie que je lui bouffe la chatte… « Continue salope, continue, tu vas me faire jouir » me crie-t-elle entre deux râles… Ma langue s’active au mieux et à peine quelques instant plus tard, son bassin se soulève et elle jouit dans un long cri que me ravit… Elle crie longtemps, avant de resserrer les cuisses et de s’immobiliser un moment… « Ah salope, c’était bon ta langue sur ma chatte » me dit-elle essoufflée… Puis, ses cuisses s’ouvrent de nouveau et ma langue reprend son ballet… Sans surprise, Nathalie recommence à gémir… « Mets-moi un doigts dans la chatte » me supplie-telle… Je m’exécute et mon doigt glisse dans sa grotte très humide tandis que ma langue joue avec son clito… Elle gémit de plus belle… « Mets-en un autre, c’est trop bon « me dit-elle encore… Avec deux doigts, sa chatte mouille encore plus et elle bouge énormément du bassin… Je suis heureuse de nos retrouvailles aussi coquines… J’ai envie de l’entendre jouir de nouveau… Et ça ne tarde pas, une deuxième vague de jouissance l’emporte tandis qu’elle râle et que son corps est agité de soubresauts… Là encore, elle resserre les cuisses, m’immobilisant un moment… Elle reprend son souffle et relâche ses cuisses doucement… « Ah, c’est trop bon avec tes doigts en moi » me dit-elle… Ma langue reprend du service et Nathalie gémit doucement… Après quelques minutes, Nathalie n’en peut plus, elle est de nouveau au bord de la jouissance et me dit « glisses-moi tes doigts dans le cul, vite »… Je m’exécute avec joie et à peine mes doigts bien humides rentrent-ils dans sa rondelle, qu’une troisième vague l’emporte… J’adore la sentir jouir ainsi… Sa rondelle se contracte et serre mes doigts tandis qu’elle crie son plaisir, un vrai délice…

Alors qu’elle reprend ses esprits, je me rends compte que tout cela m’excite beaucoup moi aussi et que mon clito est raide comme la justice… Je m’apprête à lécher de nouveau la chatte plus que mouillée de Nathalie, quand elle me dit « je vais m’occuper de ton cul maintenant salope, viens de mettre sur le canapé le cul en l’air »…

J’obéis avec joie et me voilà à quatre pattes sur le canapé, me cul tourné vers Nathalie… Elle n’a pas manqué de s’apercevoir de l’état de mon clito et elle me donne des petites tapes dessus, ce qui m’excite encore plus… Elle prend son temps, sa main parcourt mes fesses, ma raie, puis, revient donner une tape à mon clito en me disant « alors salope, on est toute excitée ? »… « Je vais m’occuper de toi, tu vas aimer » ajoute-t-elle… J’entends qu’elle s’affaire dans mon dos, et enfin, je sens ses doigts lubrifier ma rondelle avec du gel un peu frais… Elle m’enduit copieusement le petit trou, fait glisser un doigt dedans et je gémis déjà… Puis, je sens quelque chose de plus gros s’appuyer sur ma rondelle et ****** dessus… Quand ma rondelle cède, un gode m’envahit pour mon plus grand plaisir, tandis que je pousse un long gémissement de bonheur… Il glisse lentement en moi, quel délice… Nathalie m’embroche jusqu’à la garde et je pousse un cri quand sa chatte vient toucher mes fesses… Elle reste un moment immobile, puis, recule lentement, presque à sortir de moi, avant de replonger à nouveau, mon dieu que c’est bon… « T’aimes ça, hein salope ? » me dit-elle… Je ne peux répondre que part mes gémissements… Elle accélère le rythme et je gémis sans arrêt, le cul bien ouvert, sous ses coups de reins… J’ai déjà envie de jouir… « Tu m’as bien léchée petite pute, je vais te l’ouvrir ta rondelle, tu vas jouir du cul » me dit-elle en accélérant encore ses mouvements… Elle n’a pas tort, j’ai déjà le cul en feu, c’est merveilleusement bon… Elle tape maintenant dans mon cul de toutes ses forces et j’entends son souffle s’accélérer, elle commence même à râler… Cela veut dire qu’elle me baise avec le gode double dont une partie rentre en elle, j’en suis heureuse car du coup elle peut jouir aussi en me baisant… Nous montons vers le plaisir toutes les deux, moi le cul en feu sous ses assauts, elle la chatte labourée par ses propres coups de reins… Soudain, une boule de feu quitte mes reins, traverse ma rondelle et vient exploser dans mon clito, qui se répand par saccades, tandis que je crie mon plaisir sans retenue… Alors que la jouissance me déborde et m’emporte au septième ciel, Nathalie se met à crier aussi et nous jouissons toutes les deux, pour mon plus grand bonheur…


A suivre, si vous avez aimé…

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Sabine 07