Une rencontre à Paris - 3
C’est à ce moment précis que l’orage éclata. La pluie se mit à tomber sous forme de trombes d’eau.
Le crépitement sur la verrière donnait l’impression que nous étions sous le feu d’un régiment ennemi dont les munitions étaient inépuisables.
Marion vit que je regardais la verrière, probablement d’un regard circonspect.
- Ca fait toujours comme ça. Certains soirs, je ne m’entends même plus. Mais on s’habitue, il y d’autres compensations.
Pour Marion, les compensations étaient la terrasse, à laquelle on accédait par un tout petit escalier métallique en colimaçon. Elle faisait pas loin de vingt mètres carrés et on y avait une vue imprenable sur Paris.
- Dommage qu’il pleuve, ajouta t’elle. J’aurais bien fait quelques photos de toi, là-haut…
- Je suis frileuse, on attendra le printemps !
Elle rit. Je découvris sa salle de bains. Il fallait monter quatre marches, depuis la chambre et on découvrait une baignoire ancienne qui était placée exactement sous la verrière. Le verre était dépoli mais je me demandais si, la nuit, la lumière de la pièce ne découpait pas la silhouette de Marion en ombre chinoise.
- Possible… Mais je ne crois pas, il me semble que le mur d’en face est aveugle.
Elle fit couler un bain et c’est avec délice que je me glissais, avec elle, dans l’eau très chaude. Au dessus de nous, Jupiter lançait ses éclairs, probablement furieux de ne pas pouvoir nous mater à son aise, à cause du verre dépoli.
Marion était allongée dan la baignoire et j’étais installée sur elle, entre ses cuisses. Elle me savonnait doucement, prenant bien soin de n’oublier aucune zone. J’appréciais vraiment ses mains sur moi et je sentais ma peau et ma chair se revitaliser sous ses caresses expertes.
De là ou j’étais, je pouvais voir sa chambre et, dans le prolongement, une partie de son loft. Au-delà, la verrière offrait une belle vue sur les toits des immeubles voisins, plus bas d’un étage.
Je posais ma nuque sur l’épaule de Marion et je savourais le plaisir d’être caressée partout, et surtout sur les parties les plus érogènes de mon corps.
Elle tourna légèrement la tête vers moi et déposa quelques baisers sur ma tempe et mon front.
J’allongeais le cou et, me tournant vers elle, lui tendis mes lèvres. Elle m’embrassa. Sa bouche était chaude et je sentais qu’elle était dans le même état d’esprit que moi. Elle avait à nouveau envie que nous fassions l’amour.
Elle prétexta qu’elle n’avait pas pu me passer de savon sur mon postérieur. C’était exact, j’essais assise dessus. Elle me poussa à me redresser et je lui présentais mon cul, tout en agrippant les bords de la baignoire
Je sentis ses mains parcourir mon fessier et mes reins. La douceur du savon était un vrai plaisir en soi.
Elle était tellement consciencieuse que je sentis bientôt son doigt forcer le passage étroit qui ferme mon anus, surement afin de le nettoyer.
Elle se pencha vers l’extérieur, déclenchant un mini tsunami dans la baignoire. Je me retournais et vis qu’elle avait un objet à la main. Il était rouge translucide et avait une forme ergonomique qui ne laissait pas le moindre doute quant à son utilité.
Elle l’enduit de savon et commença à l’enfoncer dans mon cul. Je me cramponnais à la baignoire, cambrant les reins et le gode entra dans mon rectum comme si ce dernier l’avait aspiré.
- Ho, ho ! fit Marion. Je ne suis pas la première à passer par là !
- Non ! admis-je en riant. C’est l’endroit le plus visité de Paris, après le Sacré-Cœur !
- Je comprends l’intérêt du public, fit-elle. C’est nettement plus doux que les Catacombes.
Le gode allait et venait en moi, piloté par la main sûre de Marion. De son autre main, elle caressait mon sexe. J’étais désormais à demi couchée sur le rebord de la baignoire, la laissant me mener tout droit vers le paradis.
Lorsque je jouis, mon ventre se gonfla et j’expulsais un long jet d’urine dans la baignoire.
- Oups… Désolée… fit-je un peu contrite d’avoir souillé l’eau de notre bain.
- Mais non, pas de souci !
- Je vais sortir et finir dans les toilettes.
- Non, attend ! Je… tu as déjà uriné sur quelqu’un ?
Je lui dis la vérité, à savoir que oui et que l’on avait aussi uriné sur moi. D’innocents jeux d’adolescentes en pensionnat, ajoutais-je, bien que ce ne fût pas exactement la vérité, puisque des femmes avaient également joué à ces jeux avec moi, plus récemment.
- Bien ! dit-elle, ravie. Alors, s’il te plait, pisse-moi dessus !
J’étais stupéfaite de constater que bien des fantasmes de Marion rejoignaient les miens. Nous ne nous connaissions que depuis quelques heures et j’avais l’impression que nous nous connaissions depuis toujours.
Elle se méprit sur ce qui pouvait ressembler à une hésitation.
- Enfin… Si tu ne veux pas, c’est pas grave, tu sais…
Je me mis debout, face à elle qui était restée à genoux dans le bain. De mes doigts, j’orientais le jet de mon méat vers elle et je l’arrosais.
Elle frémit et se plaça exactement sous le jet, afin que je mouille ses cheveux et son visage. Puis, elle ouvrit la bouche et me but, laissant le trop-plein dégoûter par les commissures de sa bouche.
Ma vessie vide, je saisis le pommeau de la douche et rinçais Marion qui me remerciait. Puis, à mon tour, je la savonnais soigneusement. Je saisis le gode et lui fit visiter le vagin de ma partenaire, puis son anus.
Je me dis que j’aimerais bien être un gode pour voir en détail ce qu’il y a dans un sexe de femme et dans son rectum.
Lorsque nous quittâmes la salle de bains, enveloppées dans des draps en éponge, mon corps était comme engourdi par la torpeur du bain et, surement aussi, par le plaisir.
Le lit nous tendait les bras. Nous nous y sommes endormies.
C’est l’odeur du café qui me réveilla. Je me levais, enveloppée dans le drap de bain.
- J’étais sûre que ça te ferait lever ! fit Marion.
Je passais mes bras autour de son cou et l’embrassais langoureusement. Mon corps était totalement reposé et je me sentais merveilleusement bien.
- Tu as prévu quelque chose pour aujourd’hui ? me demanda t’elle.
- Non, je suis toute à toi !
- J’ai envie de faire ton portrait, me dit-elle.
Nous sommes donc allées dans la partie atelier de son loft, ou la verrière occupait deux des murs et le plafond. La lumière était spéciale, un peu déformée par les irrégularités du verre.
Elle était habillée et moi nue. J’étais étendue sur une banquette recouverte d’un drap blanc immaculé.
J’avais déjà posée pour une amie, mais c’était pour un dessin au fusain. Elle avait mis une heure pour obtenir le dessin qu’elle voulait.
Avec Marion, cela dura plusieurs heures, entrecoupées de pauses café et du déjeuner.
Finalement, elle décida d’arrêter, sans doute parce qu’elle en avait, elle aussi, un peu marre de sa position stoïque derrière un chevalet.
Elle avait les mains tâchées de peinture. Ca me donnait une idée.
- Ca part facilement, ces tâches ?
- Oui, à l’eau et au savon, ne t’inquiètes pas, me dit-elle.
- Je ne m’inquiète pas, j’ai eu une idée un peu… bizarre.
- Je t’écoute…
- Peins-moi et, ensuite, prends-moi en photo !
- Heu… Moi pas comprendre ! fit-elle.
- Tu me couvres le corps de peinture, tu y dessines de jolies arabesques et, ensuite, tu immortalises cette œuvre éphémère !
Elle ouvrit la bouche, étonnée. Et accepta avec enthousiasme. Après avoir recouvert le parquet afin de na pas le tâcher, elle se mit à peindre sur moi. Il y avait une psyché vers le fond de la pièce et je pus aller voir le résultat, au fur et à mesure.
Disons que je ressemblais à une Arlequine, peinte de multiples couleurs vives et avec un troisième œil au milieu du front.
Elle prit son appareil photo et me shoota sous tous les angles. Elle me montra ensuite le résultat.
- Bon, fis-je, il va falloir que j’aille prendre un bain !
- Je vais t’aider ! fit-elle, serviable.
Je commençais à barboter quand elle me rejoignit. Elle était nue, sauf qu’à la taille, elle avait attachée un gode-ceinture.
- C’est ton nouveau pinceau ? demandais-je.
- Ha ha ! Oui !
Comme la veille, elle me savonna et me lava. Sauf que ce fut beaucoup plus long car la peinture adhérait quand même sur ma peau. Je sentais mon épiderme innervé et hypersensible.
Quand je fus propre, elle m’embrassa et le baiser dura une éternité. Puis, sa bouche parcourut mon corps rendu si sensible par le nettoyage de la peinture.
Je m’assis sur le rebord de la baignoire et elle lécha ma chatte. Sa langue, comme la veille, fit des merveilles et je n’étais bientôt plus qu’une boule de plaisir, prête à exploser.
Elle me fit changer de position et j’appuyais les mains sur le rebord de la baignoire, lui offrant ma croupe. Elle fit glisser le gode entre mes cuisses, me couvrant en partie de son corps.
Puis, elle me prit. Le gode entra lentement, pas à pas, dans mon vagin. Ses hanches entrainaient les miennes dans une danse complètement indécente, mais, ô combien, érotique.
Quand je commençais à gémir, elle saisit mes cheveux et me força à me redresser un peu, comme on force une jument rétive. Puis elle accéléra le rythme en me saisissant par les épaules et le cou.
Je jouissais, le faux sexe qui me baisait faisait monter dans mon ventre des boules de plaisir successives et de plus en plus puissantes. Enfin, je m’écroulais à moitié, criant mon plaisir sans me soucier du voisinage. Marion, in extremis, me retint pour que je ne tombe pas à l’extérieur de la baignoire.
C’est à ce moment que le portable de Marion se mit à sonner.
Le crépitement sur la verrière donnait l’impression que nous étions sous le feu d’un régiment ennemi dont les munitions étaient inépuisables.
Marion vit que je regardais la verrière, probablement d’un regard circonspect.
- Ca fait toujours comme ça. Certains soirs, je ne m’entends même plus. Mais on s’habitue, il y d’autres compensations.
Pour Marion, les compensations étaient la terrasse, à laquelle on accédait par un tout petit escalier métallique en colimaçon. Elle faisait pas loin de vingt mètres carrés et on y avait une vue imprenable sur Paris.
- Dommage qu’il pleuve, ajouta t’elle. J’aurais bien fait quelques photos de toi, là-haut…
- Je suis frileuse, on attendra le printemps !
Elle rit. Je découvris sa salle de bains. Il fallait monter quatre marches, depuis la chambre et on découvrait une baignoire ancienne qui était placée exactement sous la verrière. Le verre était dépoli mais je me demandais si, la nuit, la lumière de la pièce ne découpait pas la silhouette de Marion en ombre chinoise.
- Possible… Mais je ne crois pas, il me semble que le mur d’en face est aveugle.
Elle fit couler un bain et c’est avec délice que je me glissais, avec elle, dans l’eau très chaude. Au dessus de nous, Jupiter lançait ses éclairs, probablement furieux de ne pas pouvoir nous mater à son aise, à cause du verre dépoli.
Marion était allongée dan la baignoire et j’étais installée sur elle, entre ses cuisses. Elle me savonnait doucement, prenant bien soin de n’oublier aucune zone. J’appréciais vraiment ses mains sur moi et je sentais ma peau et ma chair se revitaliser sous ses caresses expertes.
De là ou j’étais, je pouvais voir sa chambre et, dans le prolongement, une partie de son loft. Au-delà, la verrière offrait une belle vue sur les toits des immeubles voisins, plus bas d’un étage.
Je posais ma nuque sur l’épaule de Marion et je savourais le plaisir d’être caressée partout, et surtout sur les parties les plus érogènes de mon corps.
Elle tourna légèrement la tête vers moi et déposa quelques baisers sur ma tempe et mon front.
J’allongeais le cou et, me tournant vers elle, lui tendis mes lèvres. Elle m’embrassa. Sa bouche était chaude et je sentais qu’elle était dans le même état d’esprit que moi. Elle avait à nouveau envie que nous fassions l’amour.
Elle prétexta qu’elle n’avait pas pu me passer de savon sur mon postérieur. C’était exact, j’essais assise dessus. Elle me poussa à me redresser et je lui présentais mon cul, tout en agrippant les bords de la baignoire
Je sentis ses mains parcourir mon fessier et mes reins. La douceur du savon était un vrai plaisir en soi.
Elle était tellement consciencieuse que je sentis bientôt son doigt forcer le passage étroit qui ferme mon anus, surement afin de le nettoyer.
Elle se pencha vers l’extérieur, déclenchant un mini tsunami dans la baignoire. Je me retournais et vis qu’elle avait un objet à la main. Il était rouge translucide et avait une forme ergonomique qui ne laissait pas le moindre doute quant à son utilité.
Elle l’enduit de savon et commença à l’enfoncer dans mon cul. Je me cramponnais à la baignoire, cambrant les reins et le gode entra dans mon rectum comme si ce dernier l’avait aspiré.
- Ho, ho ! fit Marion. Je ne suis pas la première à passer par là !
- Non ! admis-je en riant. C’est l’endroit le plus visité de Paris, après le Sacré-Cœur !
- Je comprends l’intérêt du public, fit-elle. C’est nettement plus doux que les Catacombes.
Le gode allait et venait en moi, piloté par la main sûre de Marion. De son autre main, elle caressait mon sexe. J’étais désormais à demi couchée sur le rebord de la baignoire, la laissant me mener tout droit vers le paradis.
Lorsque je jouis, mon ventre se gonfla et j’expulsais un long jet d’urine dans la baignoire.
- Oups… Désolée… fit-je un peu contrite d’avoir souillé l’eau de notre bain.
- Mais non, pas de souci !
- Je vais sortir et finir dans les toilettes.
- Non, attend ! Je… tu as déjà uriné sur quelqu’un ?
Je lui dis la vérité, à savoir que oui et que l’on avait aussi uriné sur moi. D’innocents jeux d’adolescentes en pensionnat, ajoutais-je, bien que ce ne fût pas exactement la vérité, puisque des femmes avaient également joué à ces jeux avec moi, plus récemment.
- Bien ! dit-elle, ravie. Alors, s’il te plait, pisse-moi dessus !
J’étais stupéfaite de constater que bien des fantasmes de Marion rejoignaient les miens. Nous ne nous connaissions que depuis quelques heures et j’avais l’impression que nous nous connaissions depuis toujours.
Elle se méprit sur ce qui pouvait ressembler à une hésitation.
- Enfin… Si tu ne veux pas, c’est pas grave, tu sais…
Je me mis debout, face à elle qui était restée à genoux dans le bain. De mes doigts, j’orientais le jet de mon méat vers elle et je l’arrosais.
Elle frémit et se plaça exactement sous le jet, afin que je mouille ses cheveux et son visage. Puis, elle ouvrit la bouche et me but, laissant le trop-plein dégoûter par les commissures de sa bouche.
Ma vessie vide, je saisis le pommeau de la douche et rinçais Marion qui me remerciait. Puis, à mon tour, je la savonnais soigneusement. Je saisis le gode et lui fit visiter le vagin de ma partenaire, puis son anus.
Je me dis que j’aimerais bien être un gode pour voir en détail ce qu’il y a dans un sexe de femme et dans son rectum.
Lorsque nous quittâmes la salle de bains, enveloppées dans des draps en éponge, mon corps était comme engourdi par la torpeur du bain et, surement aussi, par le plaisir.
Le lit nous tendait les bras. Nous nous y sommes endormies.
C’est l’odeur du café qui me réveilla. Je me levais, enveloppée dans le drap de bain.
- J’étais sûre que ça te ferait lever ! fit Marion.
Je passais mes bras autour de son cou et l’embrassais langoureusement. Mon corps était totalement reposé et je me sentais merveilleusement bien.
- Tu as prévu quelque chose pour aujourd’hui ? me demanda t’elle.
- Non, je suis toute à toi !
- J’ai envie de faire ton portrait, me dit-elle.
Nous sommes donc allées dans la partie atelier de son loft, ou la verrière occupait deux des murs et le plafond. La lumière était spéciale, un peu déformée par les irrégularités du verre.
Elle était habillée et moi nue. J’étais étendue sur une banquette recouverte d’un drap blanc immaculé.
J’avais déjà posée pour une amie, mais c’était pour un dessin au fusain. Elle avait mis une heure pour obtenir le dessin qu’elle voulait.
Avec Marion, cela dura plusieurs heures, entrecoupées de pauses café et du déjeuner.
Finalement, elle décida d’arrêter, sans doute parce qu’elle en avait, elle aussi, un peu marre de sa position stoïque derrière un chevalet.
Elle avait les mains tâchées de peinture. Ca me donnait une idée.
- Ca part facilement, ces tâches ?
- Oui, à l’eau et au savon, ne t’inquiètes pas, me dit-elle.
- Je ne m’inquiète pas, j’ai eu une idée un peu… bizarre.
- Je t’écoute…
- Peins-moi et, ensuite, prends-moi en photo !
- Heu… Moi pas comprendre ! fit-elle.
- Tu me couvres le corps de peinture, tu y dessines de jolies arabesques et, ensuite, tu immortalises cette œuvre éphémère !
Elle ouvrit la bouche, étonnée. Et accepta avec enthousiasme. Après avoir recouvert le parquet afin de na pas le tâcher, elle se mit à peindre sur moi. Il y avait une psyché vers le fond de la pièce et je pus aller voir le résultat, au fur et à mesure.
Disons que je ressemblais à une Arlequine, peinte de multiples couleurs vives et avec un troisième œil au milieu du front.
Elle prit son appareil photo et me shoota sous tous les angles. Elle me montra ensuite le résultat.
- Bon, fis-je, il va falloir que j’aille prendre un bain !
- Je vais t’aider ! fit-elle, serviable.
Je commençais à barboter quand elle me rejoignit. Elle était nue, sauf qu’à la taille, elle avait attachée un gode-ceinture.
- C’est ton nouveau pinceau ? demandais-je.
- Ha ha ! Oui !
Comme la veille, elle me savonna et me lava. Sauf que ce fut beaucoup plus long car la peinture adhérait quand même sur ma peau. Je sentais mon épiderme innervé et hypersensible.
Quand je fus propre, elle m’embrassa et le baiser dura une éternité. Puis, sa bouche parcourut mon corps rendu si sensible par le nettoyage de la peinture.
Je m’assis sur le rebord de la baignoire et elle lécha ma chatte. Sa langue, comme la veille, fit des merveilles et je n’étais bientôt plus qu’une boule de plaisir, prête à exploser.
Elle me fit changer de position et j’appuyais les mains sur le rebord de la baignoire, lui offrant ma croupe. Elle fit glisser le gode entre mes cuisses, me couvrant en partie de son corps.
Puis, elle me prit. Le gode entra lentement, pas à pas, dans mon vagin. Ses hanches entrainaient les miennes dans une danse complètement indécente, mais, ô combien, érotique.
Quand je commençais à gémir, elle saisit mes cheveux et me força à me redresser un peu, comme on force une jument rétive. Puis elle accéléra le rythme en me saisissant par les épaules et le cou.
Je jouissais, le faux sexe qui me baisait faisait monter dans mon ventre des boules de plaisir successives et de plus en plus puissantes. Enfin, je m’écroulais à moitié, criant mon plaisir sans me soucier du voisinage. Marion, in extremis, me retint pour que je ne tombe pas à l’extérieur de la baignoire.
C’est à ce moment que le portable de Marion se mit à sonner.
1 year ago
And body painting. Hmm, I’m sure you have experienced this delight in real life!
Soon the answer to the telephone bell !