Rendez-vous inconnu
Depuis peu, nous sommes en contact.
Nous nous sommes jamais vu, mais comme tu habites près de chez moi, tu m'as donné rendez-vous...chez toi.
Sur ton dernier message, tu m'as communiqué soigneusement les détails pour accéder à ta maison.
La rue est facile à trouver, c'est à deux pas de chez moi, je décide donc d'y aller à pied. Arrivé sur les lieux, le quartier est plutôt calme, de grandes maisons espacées laissent entre-apercevoir de beaux jardins bien entretenus.
Devant moi, le numéro 22.
Impossible de discerner l'intérieur tant les haies qui entoure le domaine sont denses et fournies.
J'entre. La porte est ouverte, mon coeur commence à battre. Je suis à deux doigts de rebrousser chemin.
Suis-je bien dans la bonne maison?
J'hésite...
mais emporté par l'inconnu, je me lance et traverse le jardin pour me diriger vers la porte principale de cette belle demeure.
Sur le seuil, tout est calme.
Es-tu là?
A l'intérieur à m'attendre comme convenu?
Un mélange d'angoisse et d'excitation me noue l'estomac.
Je reste un instant la main sur la poignée.
Je sais qu'une fois ce dernier obstacle franchi, je ne pourrais plus faire marche arrière.
Je décide de rentrer.
La porte n'est pas fermée à clef. Tu n'as pour l'instant ommis aucun détail.
Mes yeux parcourent le rez de chaussée. Pas un bruit, ni personne en vue.
En face de moi, l'escalier.
J'approche à pas de velours pour garder un maximum de discrétion.
Quelle étrange sensation de pénétrer dans un lieu étranger. Les palpitations au niveau du coeur se font plus plus présentes.
Je monte doucement les marches. Quelques questions tournent dans ma tête. Que fais-je ici, pourquoi? Que vas t'il se passer?
Dans les consignes que tu m'as laissé, tu m'attends dans ta chambre.
Celle-ci est situé au fond du couloir à droite. Toujours aucun bruit, la tension monte au fur et à mesure que je me rapproche de toi. Devant la porte, une crainte soudaine m'envahit.
Mon corps tétanisé me fait comprendre la situation surréaliste que je suis en train de vivre. Je tends l'oreille histoire de capter quelques sons éventuels, mais là encore, toujours rien.
Es-tu comme tu le me l'as annoncé sur ton lit à m'attendre?
Es-tu comme je te l'ai demandé en mode chienne, à quatre pattes, offerte à moi?
Je pousse légèrement la porte qui me sépare de toi. Mes yeux balayent la chambre. Tu es là!
Je suis soulagé de te voir. L'autre bonne surprise est que tu m'attends comme je te l'ai ordonné, en mode soumise, talons hauts, bas et porte-jartelle.
Ton cul dressé vers moi, cambré, ouverte par tout les trous.
M'as-tu entendu rentrer?
Je ne sais pas...
Sans mot dire, je m'avance délicatement vers le lit.
Je démarre par une bonne fessée. Il faut dire que ces fesses bien relevées sont une belle invitation.
Enfin je t'entends, des gémissements sortent timidement de ta bouche. Mais plus j'augmente la cadence et plus tes cris se font aigüs.
Je m'arrête alors que tes fesses virent au rouge, te tire les cheveux en arrière tout en te caressant le cul pour apaiser la douleur.
Tu halètes.
Ton visage semble transcendé par l'excitation.
J'inspincte ton entre-jambe, elle est déjà toute trempée. Et ton trou du cul déjà bien ouvert aussi.
Je dégraphe mon pantalon, sors ma queue deja bien raide et te la fourre de force dans ta bouche qui n'attends que ça. Avec frénésie je lance de grands mouvements de va et viens pour te baiser jusqu'à la gorge.
-Alors grosse pute, c'est ça que tu voulais, te faire défoncer ta gueule de chienne?"
Tu ne réponds pas, trop occupé à engloutir mon sexe.
Cependant les petits cris qui sortent de ta bouche me font dire que ça ne te déplait pas, bien au contraire.
- tu vas voir salope, je vais te baiser comme une truie!"
Après quelques minutes de fellation gourmande et alors que la bave n'en finit plus de couler de tes lèvres, je sors ma bite de ta bouche pour m'attaquer à tes autres orifices. D'abbord ta chatte, qui après ce deboitage oral est ruisselante de mouille.
Je comprends que tu es plus qu'excitée, tu ne réponds plus de rien.
Tu subis irrémédiablement mes assauts successifs.
-C'est bon ça, cochonne, tu aimes te faire baiser sauvagement par un inconnu."
Je profite de ma levrette pour te tirer les cheveux. Ta tête légèrement relevée, j'en profite pour te cracher au visage.
Surprise mais pas écoeuré de mon geste, tu ouvres grand ta bouche comme pour m'en redemander.
-Ça te plait, t'en veux encore salope."
Je continue à t'innonder la bouche avec ma salive. Les insultes fusent autant que les gémissements de plaisir. Je sens que tu es à ton paroxysme.
Je sors alors ma bite de ton vagin, crache ma salive sur tes trous béants et te pénètre sans préliminaires par le cul.
Tes cris deviennent plus stridents.
Je sens que je t'ai touché au plus profond du plaisir.
-C'est bon ça, grosse pute! T'aimes te faire enculer!"
Toujours pas de réponse de ta part.
Mais à voir ton ton cul se dechainer sur ma bite pendant que je te baise sauvagement, j'ai ma réponse.
J'accélère la cadence. .Je veux te faire jouir en anal!
Tu m'as dit par message que c'est ce que tu préfères, alors tu ne vas pas être déçue.
Enfin tu jouis!
L'orgasme est total tant tes cris résonnent. Les contractions de ton anus contractent puis soulage mon sexe, qui sous l'effet de cette fusion demande lui aussi à jaillir sa libération.
Je sors en hâte.
Approche mon gland surgonflé au plus près de tes lèvres.
La main gauche tirant tes cheveux, la droite astiquant mon manche, je t'envoie une bonne rasade de sperme en pleine tronche!
-Tiens, prends ça chiennasse! T'aime le foutre, hein salope!"
Tu n'aimes pas, tu adores!
Tu t'en lèches les babines.
Tu n'hésites pas non plus à me nettoyer ma bite avec ta langue généreuse afin de ne pas en perdre une miette.
-J'en ai pas fini avec toi petite trainée, tu vas rester à genous, et marcher à quatre pattes jusqu'à la salle de bain comme une bonne chienne!"
Tu t'exécutes. Je te suis...
J'ai le choix entre la douche où la baignoire.
"Rentre dans la douche et présente toi face à moi, je vais te pisser dessus pour me soulager la vessie et après tu pourras prendre ta douche, sale pute!"
Après mon nectar, tu gouttes maintenant à mon jus doré.
Je t'arrose copieusement des pieds à la tête et toi, toujours impassible, tu subis mes fluides souiller ton corps nu.
-un vrai sac à jus cette putain! T'es vraiment qu'un sale trou a bite."
Après avoir expluser mes derniers liquides et mes derniers mots, je reboutonne mon pantalon et prend le chemin du retour.
Nous nous sommes jamais vu, mais comme tu habites près de chez moi, tu m'as donné rendez-vous...chez toi.
Sur ton dernier message, tu m'as communiqué soigneusement les détails pour accéder à ta maison.
La rue est facile à trouver, c'est à deux pas de chez moi, je décide donc d'y aller à pied. Arrivé sur les lieux, le quartier est plutôt calme, de grandes maisons espacées laissent entre-apercevoir de beaux jardins bien entretenus.
Devant moi, le numéro 22.
Impossible de discerner l'intérieur tant les haies qui entoure le domaine sont denses et fournies.
J'entre. La porte est ouverte, mon coeur commence à battre. Je suis à deux doigts de rebrousser chemin.
Suis-je bien dans la bonne maison?
J'hésite...
mais emporté par l'inconnu, je me lance et traverse le jardin pour me diriger vers la porte principale de cette belle demeure.
Sur le seuil, tout est calme.
Es-tu là?
A l'intérieur à m'attendre comme convenu?
Un mélange d'angoisse et d'excitation me noue l'estomac.
Je reste un instant la main sur la poignée.
Je sais qu'une fois ce dernier obstacle franchi, je ne pourrais plus faire marche arrière.
Je décide de rentrer.
La porte n'est pas fermée à clef. Tu n'as pour l'instant ommis aucun détail.
Mes yeux parcourent le rez de chaussée. Pas un bruit, ni personne en vue.
En face de moi, l'escalier.
J'approche à pas de velours pour garder un maximum de discrétion.
Quelle étrange sensation de pénétrer dans un lieu étranger. Les palpitations au niveau du coeur se font plus plus présentes.
Je monte doucement les marches. Quelques questions tournent dans ma tête. Que fais-je ici, pourquoi? Que vas t'il se passer?
Dans les consignes que tu m'as laissé, tu m'attends dans ta chambre.
Celle-ci est situé au fond du couloir à droite. Toujours aucun bruit, la tension monte au fur et à mesure que je me rapproche de toi. Devant la porte, une crainte soudaine m'envahit.
Mon corps tétanisé me fait comprendre la situation surréaliste que je suis en train de vivre. Je tends l'oreille histoire de capter quelques sons éventuels, mais là encore, toujours rien.
Es-tu comme tu le me l'as annoncé sur ton lit à m'attendre?
Es-tu comme je te l'ai demandé en mode chienne, à quatre pattes, offerte à moi?
Je pousse légèrement la porte qui me sépare de toi. Mes yeux balayent la chambre. Tu es là!
Je suis soulagé de te voir. L'autre bonne surprise est que tu m'attends comme je te l'ai ordonné, en mode soumise, talons hauts, bas et porte-jartelle.
Ton cul dressé vers moi, cambré, ouverte par tout les trous.
M'as-tu entendu rentrer?
Je ne sais pas...
Sans mot dire, je m'avance délicatement vers le lit.
Je démarre par une bonne fessée. Il faut dire que ces fesses bien relevées sont une belle invitation.
Enfin je t'entends, des gémissements sortent timidement de ta bouche. Mais plus j'augmente la cadence et plus tes cris se font aigüs.
Je m'arrête alors que tes fesses virent au rouge, te tire les cheveux en arrière tout en te caressant le cul pour apaiser la douleur.
Tu halètes.
Ton visage semble transcendé par l'excitation.
J'inspincte ton entre-jambe, elle est déjà toute trempée. Et ton trou du cul déjà bien ouvert aussi.
Je dégraphe mon pantalon, sors ma queue deja bien raide et te la fourre de force dans ta bouche qui n'attends que ça. Avec frénésie je lance de grands mouvements de va et viens pour te baiser jusqu'à la gorge.
-Alors grosse pute, c'est ça que tu voulais, te faire défoncer ta gueule de chienne?"
Tu ne réponds pas, trop occupé à engloutir mon sexe.
Cependant les petits cris qui sortent de ta bouche me font dire que ça ne te déplait pas, bien au contraire.
- tu vas voir salope, je vais te baiser comme une truie!"
Après quelques minutes de fellation gourmande et alors que la bave n'en finit plus de couler de tes lèvres, je sors ma bite de ta bouche pour m'attaquer à tes autres orifices. D'abbord ta chatte, qui après ce deboitage oral est ruisselante de mouille.
Je comprends que tu es plus qu'excitée, tu ne réponds plus de rien.
Tu subis irrémédiablement mes assauts successifs.
-C'est bon ça, cochonne, tu aimes te faire baiser sauvagement par un inconnu."
Je profite de ma levrette pour te tirer les cheveux. Ta tête légèrement relevée, j'en profite pour te cracher au visage.
Surprise mais pas écoeuré de mon geste, tu ouvres grand ta bouche comme pour m'en redemander.
-Ça te plait, t'en veux encore salope."
Je continue à t'innonder la bouche avec ma salive. Les insultes fusent autant que les gémissements de plaisir. Je sens que tu es à ton paroxysme.
Je sors alors ma bite de ton vagin, crache ma salive sur tes trous béants et te pénètre sans préliminaires par le cul.
Tes cris deviennent plus stridents.
Je sens que je t'ai touché au plus profond du plaisir.
-C'est bon ça, grosse pute! T'aimes te faire enculer!"
Toujours pas de réponse de ta part.
Mais à voir ton ton cul se dechainer sur ma bite pendant que je te baise sauvagement, j'ai ma réponse.
J'accélère la cadence. .Je veux te faire jouir en anal!
Tu m'as dit par message que c'est ce que tu préfères, alors tu ne vas pas être déçue.
Enfin tu jouis!
L'orgasme est total tant tes cris résonnent. Les contractions de ton anus contractent puis soulage mon sexe, qui sous l'effet de cette fusion demande lui aussi à jaillir sa libération.
Je sors en hâte.
Approche mon gland surgonflé au plus près de tes lèvres.
La main gauche tirant tes cheveux, la droite astiquant mon manche, je t'envoie une bonne rasade de sperme en pleine tronche!
-Tiens, prends ça chiennasse! T'aime le foutre, hein salope!"
Tu n'aimes pas, tu adores!
Tu t'en lèches les babines.
Tu n'hésites pas non plus à me nettoyer ma bite avec ta langue généreuse afin de ne pas en perdre une miette.
-J'en ai pas fini avec toi petite trainée, tu vas rester à genous, et marcher à quatre pattes jusqu'à la salle de bain comme une bonne chienne!"
Tu t'exécutes. Je te suis...
J'ai le choix entre la douche où la baignoire.
"Rentre dans la douche et présente toi face à moi, je vais te pisser dessus pour me soulager la vessie et après tu pourras prendre ta douche, sale pute!"
Après mon nectar, tu gouttes maintenant à mon jus doré.
Je t'arrose copieusement des pieds à la tête et toi, toujours impassible, tu subis mes fluides souiller ton corps nu.
-un vrai sac à jus cette putain! T'es vraiment qu'un sale trou a bite."
Après avoir expluser mes derniers liquides et mes derniers mots, je reboutonne mon pantalon et prend le chemin du retour.
1 year ago