SORTIE.
Ma femme sort ce soir...
Nous Ă©tions en Ă©tĂ©, au mois dâaoĂ»t, Ă la fin dâune belle journĂ©e ensoleillĂ©e, chaude mais sans canicule.
Pour une fois, je dĂ©cidais de ne pas rentrer trop tard Ă la maison, je rentre habituellement vers 20h15, car câĂ©tait les vacances scolaires et donc moins de monde au bureau, et je voulais profiter de cette belle soirĂ©e avec ma petite femme.
Il faut dire que nous Ă©tions un peu en froid depuis quelques jours.
Nous nous Ă©tions accrochĂ©s pour des bĂȘtises, faisions la tĂȘte chacun de notre cĂŽtĂ© en attendant que lâautre fasse le premier pasâŠ
Jâavais dĂ©cidĂ© de faire le premier pas ce soir-lĂ
Je rentrai donc Ă la maison vers 19 h 00.
Ma femme Ă©tait sous la douche.
JâĂ©tais Ă©tonnĂ©, car ce nâest pas son habitude de prendre une douche en dĂ©but de soirĂ©e.
A la cuisine, aucune trace dâun quelconque diner pour le soir.
Lorsque ma femme sortit de la douche, je lui posai la question :
- « On fait la paix et je tâemmĂšne au restau ce soi. Ok ? »
Elle me regardait en se séchant les cheveux avec sa serviette et me répondit :
- « Moi, je sors, toi, fais ce que tu veux !!! »
Interrogatif, je la bombardai de question :
- « Tu ne veux pas aller au restau ? »
- « Jây vais, mais pas avec toi »
- « Tu y vas avec qui ? »
Pensant quâelle allait y aller avec des collĂšgues fĂ©minines avec lesquelles elle sort quelquefois.
- « Jây vais avec un collĂšgue qui me lâa proposĂ© »
- « MaisâŠ. Vous y allez que tous les deux ? »
Demandai-je interloqué.
En effet, quand on sort, au restau câest en couple, tous les deux ensembles.
Mais lĂ , la savoir aller au restau avec un autre, je nâen revenais pasâŠ
Je mâassis sur le canapĂ© sans trop savoir quoi faire, ce que jâallai manger, ce que je ferai de ma soirĂ©e.
Autant de questions dérisoires qui masquaient mes interrogations sur la sortie de ma femme avec un autre.
Quand elle sortit de la salle de bains habillĂ©e, jâĂ©taisâŠ.
Stupéfait.
Elle avait mis une petite robe Ă bretelle qui ne lui permettait pas dâavoir de soutien gorges.
Une petite robe pas trĂšs courte, mais pas trĂšs longue non plus de façon Ă ce que lâon puisse voir ses jolies jambes.
Elle était maquillée sans excÚs.
Elle avait soulignĂ© ses yeux dâun rimmel noir faisant ressortir ses yeux noisette, et avait mis un lĂ©ger rouge Ă lĂšvre et un fond de teint qui la rendait resplendissante.
Elle Ă©tait tout simplement craquante et sexy mais sans excĂšsâŠ
Il Ă©tait 19 h 45 et Ă©tait prĂȘte Ă partir.
Sur le pas de la porte, je ne pus mâempĂȘcher de la prendre de mes bras et lui faire sur le ton dâun reproche interrogatif :
-« Tu mâas lâai bien sexy⊠tu veux plaire ? ».
Jâen profitai pour lui passer la main sous sa robe pour la relever.
LĂ , je dĂ©couvris quâelle avait mis un string encore plus sexy.
Un string en dentelle que je lui avais offert et qui laisse voir complĂštement ses belles fesses rebondies.
Jâeus immĂ©diatement une Ă©rection.
Mais en mĂȘme temps, jâĂ©tais comme un fou.
En effet, elle ne me met jamais de string sous prĂ©texte quâelle nâaime pasâŠ
« Ăa lui rentre dans les fesses ⊠»
Dit elle a chaque fois que je lui demande dâen porter un.
Je ne pus mâempĂȘcher de lui demander :
- « Tu mets un string ? Je croyais que tu n âaimais pas ? Câest pour plaire Ă ton collĂšgue ? »
Lui demandais-je sur un ton jaloux.
Comme elle se doutait que cela mâexcitait et⊠mâĂ©nervait, elle eut un sourire et me dit
- « Ne tâexcite pas⊠»
Et répondit à ma question
- « Oui je veux plaire, et alors ????, je fais ce que je veux !!! »
Je nâavais pas le choix et lui dit simplement comme on dit Ă un enfant :
- « Fais attention, Ă toi. Ne fais pas de bĂȘtise⊠»
Elle sourit Ă nouveau, puis sâen alla prendre lâascenseur puisquâelle Ă©tait dĂ©jĂ un peu en retard.
Je la voyais sâĂ©loigner avec une rage indescriptible, bien que je voulais lâempĂȘcher dây aller, je ne pouvais pas la retenir.
Toute la soirĂ©e, je ne pus mâempĂȘcher dâimaginer ce quâelle pouvait faire avec ce collĂšgueâŠ
Je lâimaginais en train de se rĂ©galer avec un bon repas, de boire un peu, parce quâelle commence Ă apprĂ©cier le bon vin, de rire aux remarques de son compagnon du soir.
Je regardais la télé sans la voir.
JâĂ©tais comme un fou, mon cerveau Ă©tait en Ă©bullition.
Je me rassurais en me disant « mais non, elle est simplement allĂ©e faire un bon diner avec un collĂšgue, il nây a rien de mal ». âŠOui mais avec un string quand mĂȘme !!!
Alors dans la mĂȘme minute mon imagination sâemballait :
Je lâimaginais assise dans la voiture avec son collĂšgue Ă cĂŽtĂ© lui posant une main sur la cuisse. Je lâimaginais encore aller « boire un dernier verre » chez lui.
Je lâimaginais, lui, en train dâembrasser ma femme en lui passant la main sous sa robe pour caresser ses fesses.
Je lâimaginais, elle, se laissant faire en lui donnant sa bouche pour y laisser pĂ©nĂ©trer la langue de son collĂšgue âŠ
Je lâimaginai, lui, descendre une bretelle de sa robe pour laisser apparaitre un sein de ma femme tout en passant la main sous ce string, sous MON string transparent pour mieux sentir la peau de ses fesses, et enfin, essayer de sâinsinuer dans le sillon fessier pour aller chercher une intimitĂ© plus chaude et surement humideâŠ
Je lâimaginais, elle, toujours se laissant faire, et glissant sa main sur le pantalon de son collĂšgue pour sentir lâeffet quâelle faisait.
Elle commençait à caresser le sexe du mùle, pour mieux le faire grossir.
Jâimaginais ma femme sourire face Ă lâeffet produit.
Physiologiquement et naturellement, le sexe de son collĂšgue allait gonfler, durcir et elle sâamusait de cette rĂ©action masculine.
Puis, passant aux choses plus sĂ©rieuses, je lâimaginais aller chercher et sortir ce sexe devenu raide et Ă©norme, pour le masturber dĂ©licatement, pendant que lui avait atteint le sexe de ma femme.
Ce sexe trempĂ©, quâil tentait dâouvrir encore plus avec un ou deux doigtsâŠ
Je les imaginais ensuite faire lâamour par devant, par derriĂšre pour finir dans un orgasme commun.
Jâavais le souffle coupĂ© et JâĂ©tais comme un con sur mon canapĂ© Ă attendre ma femme.
Je dĂ©cidais de me masturber en imaginant encore ce quâils pouvaient faire Ă cet instant.
Je pensais que jouir et Ă©jaculer allait me calmer.
JâĂ©jacula, mais mon malaise ne passait pas.
Vers 23 h 45 jâentendis les clĂ©s pĂ©nĂ©trer dans la serrure.
LĂ encore, sachant que ma femme nâaime pas se coucher tard, jâĂ©tais surpris par lâhoraire.
Ma femme rentrait enfin Ă la maison.
JâĂ©tais sur le canapĂ©, trĂšs nerveux.
Je ne savais plus exactement ce que je faisais, Ă part attendre son retour et savoir ce quâelle avait fait
- « Tu as attendu tout ce temps ? »
Demanda ma femme avec un grand sourire.
- « Viens ici ! »
Lui dis-je sur un ton qui ne lui laissait pas le choix.
Elle sâexĂ©cuta et sâapprocha de moi.
Comme jâĂ©tais assis, et, elle debout, jâavais ma tĂȘte au niveau de son nombril.
Je collais ma tĂȘte contre son ventre, puis glissais mes mains sur ses mollets.
En mĂȘme temps que je priais pour que ce que jâavais imaginĂ© toute la soirĂ©e ne se soit pas passĂ©, je remontais mes mains petit Ă petit le long de ses jambes.
Je voyais bien, ou je sentais, quâelle avait un sourire amusĂ©.
Jâarrivais au niveau de lâarriĂšre de ses cuisses et commençais donc Ă passer sous sa robe.
Jâavais le cĆur qui battait trĂšs fort et les quelques centimĂštres que mes mains allaient parcourir allaient ĂȘtre fatidiques.
En effet, je remontais encore pour arriver au niveau de ses fesses, et lĂ , jâeu un tel coup au cĆur que je crus ne plus pouvoir respirer.
Son string nâĂ©tait plus lĂ âŠ
Elle Ă©tait maintenant nue sous sa robe.
Jâavais la preuve matĂ©rielle quâelle, ou son collĂšgue, avait enlevĂ© cette culotte pour faire les « choses » que jâavais imaginĂ©.
De savoir que son collĂšgue avait vu ses fesses, en avait profitĂ©, jâavais le cĆur qui battait et allait exploser.
Je levais la tĂȘte et lui posa simplement cette question
- « Tu as joui ? »
Elle me répondit dans un murmure et avec un léger sourire un « oui » assassin
- « Pourquoi tu as fait ça ? »
Lui demandais-je
- « Parce que tu mâas Ă©nervĂ©e cette semaine. Jâavais envie de te le faire payer. Et aussi, parce que mon collĂšgue me drague depuis pas mal de temps. Câest souvent quâil mâa proposĂ© des 5 Ă 7 et lĂ , ça me faisait envie ! »
- « Donc, tu as baisĂ© avec un autre pour mâemmerder, et tu avais envie de te faire prendre par ton collĂšgue ?»
Lui demandais-je Ă nouveau.
- « Bien sĂ»r, que jâen avais envie. Il est pas mal physiquement, il est drĂŽle et il voulait mes fesses depuis pas mal de temps⊠»
Pendant ce temps, mes mains continuaient et allĂšrent ente ses fesses et son entrejambe.
Je rĂ©ussis Ă atteindre sa chatte et lâĂ©cartais et je me rendis alors compte que son sexe Ă©tait encore plein de sperme de son amant du soir.
Alors, dans un mouvement brusque et autoritaire, je la couchais sur le canapĂ©, lui relevais sa robe et plongeais la tĂȘte sur son sexe.
Elle tentait de tenir les cuisses fermĂ©es, de repousser ma tĂȘte en rigolant et en justifiant
- « Non câest sale ⊠»
Câest bien ce qui mâexcitait.
Câest pourquoi jâinsistais, jâessayais de lui Ă©carter les cuisses avec ma tĂȘte et ma langue cherchait Ă atteindre son sexe.
Quand je réussis à atteindre ce que je voulais, je léchais frénétiquement les lÚvres, puis le clitoris, puis au plus profond de son sexe.
Je mettais ma langue le plus profond possible pour récupérer la semence de son amant mélangé à son liquide vaginal.
Ce mĂ©lange Ă©tait excellentâŠ
Je compris quâelle y prenait du plaisir quand, dâelle-mĂȘme, elle Ă©carta les cuisses pour laisser le passage.
Je pouvais maintenant mettre ma langue encore plus profondĂ©ment, la lĂ©cher, sucer son sexe. Maintenant, elle prenait ma tĂȘte entre ses mains, non plus pour la repousser, mais pour la plaquer contre sa chatte en me disant
- « Oh ouiiii, vas-y, câest bon, lĂšche-moi bien avec ta langue. Nettoie tout ! »
Je continuais frénétiquement et commençait à sentir les contractions de son ventre.
Elle continuaâŠ
- « Ahh câest bon, jâai dĂ©jĂ joui avec une grosse queue, maintenant, câest avec ta langue⊠câest tellement bon. »
Jâen profitai de son Ă©tat dĂ©sinhibĂ©, entre deux coups de langue, pour la questionner sur sa soirĂ©e.
- « OĂč est ton string ? »
Demandais-je.
- « Il lâa gardĂ© en souvenir⊠»
Me répondit-elle
- « Il tâa bien fais jouir ? Il tâa prise comment ? »
Et elle commença à me décrire son aventure tout en gémissant :
- « il mâa prise par derriĂšre, Ă la sauvage ⊠Il a mis ses mains sur ma croupe et mâa enfoncĂ© sa grosse queue »
- « Tu la sentais bien ? »
- « Ahhhh oui, elle Ă©tait tellement grosse et tellement dure⊠Il me la mettait bien et câĂ©tait bon de la sentir me prendreâŠ. Ă chaque coup de queue, câĂ©tait encore meilleur »
- « Et aprÚs ? »
- « AprĂšs, il mâa retournĂ©e pour me prendre par devant. Il mâa remis sa queue et mâa donnĂ© encore des coups avec sa bite. Je la sentais jusque dans mon ventreâŠ. »
- « Câest lĂ que tu as joui ? »
- « La premiĂšre fois, ouiâŠ. »
Jâapprenais quâelle avait joui plusieurs fois âŠ
- « Il tâa baisĂ©e combien de fois ? Tu as eu combien dâorgasme ? »
- « Ahh deux fois, il mâa fait jouir deux fois ! »
- « Tu lâas sucĂ© ? Il tâa lĂ©chĂ©e ? »
Demandais-je encore avidement
- « Ahh oui, sa bite Ă©tait tellement grosse que je nâai pas pu rĂ©sister de la prendre dans ma bouche âŠet pendant ce temps il me lĂ©chait la chatte âŠ. CâĂ©tait booonnnn⊠»
La salope, dire que moi, elle ne me suce jamaisâŠ
Elle nâaime pas.
Elle trouve cela « trop sale »
Alors que lĂ , elle avait pris la bite de ce type dans sa bouche pour lui lĂ©cher le gland, lui passer la langue le long de sa queue en y prenant surement du plaisirâŠ
A ce moment-là , je commençais à « glisser » ma langue sur son anus.
Elle mâarrĂȘta brusquement.
- « ArrĂȘte, non, pas lĂ . »
Je compris alors ce que je nâosais croire.
- « Il⊠Il tâa sodomisĂ©e ??? »
Demandais-je fou de rage.
En effet, en 25 ans de vie commune, ma femme ne mâa jamais autorisĂ© Ă la prendre par son petit cul, alors que jâen rĂȘve.
« Ăa fait trop mal, tu veux voir ce que ça fait de prendre un bĂąton dans le cul ? »
Me prétextait-elle à chacune de mes tentatives.
Et lĂ , jâapprenais que ce type avait accĂ©dĂ© en une soirĂ©e ce que je n âavais jamais eu en 25 ansâŠ
Je reposai ma question :
- « tu tâes laissĂ©e enculer ???? »
- « Il en avait trop envie » me répondit-elle.
Elle qui cherche toujours son plaisir, elle sâĂ©tait soumise devant ce type pour lui donner du plaisirâŠ
- « Raconte-moi tout ce quâil tâa fait, tout ce que tu lui a laissĂ© faire »
- « Comme je tâai dit, il mâa fait jouir par devant avec sa grosse queue. AprĂšs, il sâest allongĂ© et je me suis mise sur lui. Il mâa remis sa bite dans ma petite chatte et pendant quâil allait et venait, il a mis ses mains sur mes fesses, les a Ă©cartĂ©es et, petit Ă petit, mâa mis un doigt dans mon anus. Il le remuait, le rentrait de plus en plus profond et, trĂšs vite, jâai joui Ă nouveau. Comme lui nâavait pas Ă©jaculĂ©, il mâa retournĂ©e et mise Ă quatre pattes. Il mâa Ă©cartĂ© les fesses et jâai senti un liquide sur mon anus. Je sentais quâil crachait sur mon petit cul pour y mettre un doigt, puis deux. Je lui ai dit que je nâaimais pas beaucoup cela, mais il a continuĂ©. Jâai senti sa queue se prĂ©senter contre mon petit rectum. Il la frottait contre mon anus pour le dilater puis jâai senti son gland me pĂ©nĂ©trer. Une fois quâil Ă©tait dedans, il enfonçait sa bite doucement au fur et Ă mesure de ses va et vient »
- « Il te lâa mise jusquâoĂč ? Ăa tâa fait mal ?»
- « Je crois quâil me la mise jusquâĂ ses couilles. Au dĂ©but ça faisait un peu mal, mais, aprĂšs, se sentir empalĂ©e profondĂ©ment, ça mâa donnĂ© de nouvelles sensations. »
En plus, elle semblait avoir aimĂ© cela âŠ
- « Et il a éjaculé dans ton cul aussi ? »
- « Je lui ai dit de ne pas le faire dedans, mais je crois quâil lâa fait quand mĂȘme. »
Je regardais aussitĂŽt son petit cul et je voyais aussi des traces de sperme sâĂ©couler de sa petite rondelleâŠ
JâĂ©tais encore plus fou.
Il lâavait possĂ©dĂ©e complĂštement.
Je me mis à la lécher frénétiquement tout en me branlant.
Elle ne pouvait plus tenir en place sous mes coups de langue.
Elle gĂ©missait et je sentais son ventre avoir des contractionsâŠ
Je lâentendis haleter en disant :
- « Ahh, oui, ça va venir, continue, tâarrĂȘtes pas⊠Ahhh putain, câest bon, ça vient, je jouis⊠Mets ta langue encore, Ahh putain ce que câest bon⊠encore, encoreeee. »
Pendant ce temps je lui répétais :
- « Alors petite salope, tu jouis encore ? Tu aimes ça jouir ? trois fois en une soirĂ©e, tâes une vĂ©ritable petite pute⊠Dis-moi que tâes une pute ⊠»
Ce Ă quoi, elle confirmait :
- « Ahh oui, je suis une salope, une pute qui aime jouir⊠»
JâĂ©jaculais et nous avons eu un orgasme tous les deux.
Nous étions complÚtement crevés.
Ma femme avait eu trois orgasmes dans la soirĂ©e, et moi, je mâĂ©tais branlĂ© deux foisâŠ
Avant de nous coucher, je lui indiquais
- « Plus jamais sans moi⊠Tu as compris ? Tu ne baiseras plus jamais sans moi. Je veux assister à tous tes parties de baise, te voir jouir devant moi⊠»
Elle sourit et me répondit
- « Et bien, on invitera mon collÚgue à la maison ⊠»
Nous Ă©tions en Ă©tĂ©, au mois dâaoĂ»t, Ă la fin dâune belle journĂ©e ensoleillĂ©e, chaude mais sans canicule.
Pour une fois, je dĂ©cidais de ne pas rentrer trop tard Ă la maison, je rentre habituellement vers 20h15, car câĂ©tait les vacances scolaires et donc moins de monde au bureau, et je voulais profiter de cette belle soirĂ©e avec ma petite femme.
Il faut dire que nous Ă©tions un peu en froid depuis quelques jours.
Nous nous Ă©tions accrochĂ©s pour des bĂȘtises, faisions la tĂȘte chacun de notre cĂŽtĂ© en attendant que lâautre fasse le premier pasâŠ
Jâavais dĂ©cidĂ© de faire le premier pas ce soir-lĂ
Je rentrai donc Ă la maison vers 19 h 00.
Ma femme Ă©tait sous la douche.
JâĂ©tais Ă©tonnĂ©, car ce nâest pas son habitude de prendre une douche en dĂ©but de soirĂ©e.
A la cuisine, aucune trace dâun quelconque diner pour le soir.
Lorsque ma femme sortit de la douche, je lui posai la question :
- « On fait la paix et je tâemmĂšne au restau ce soi. Ok ? »
Elle me regardait en se séchant les cheveux avec sa serviette et me répondit :
- « Moi, je sors, toi, fais ce que tu veux !!! »
Interrogatif, je la bombardai de question :
- « Tu ne veux pas aller au restau ? »
- « Jây vais, mais pas avec toi »
- « Tu y vas avec qui ? »
Pensant quâelle allait y aller avec des collĂšgues fĂ©minines avec lesquelles elle sort quelquefois.
- « Jây vais avec un collĂšgue qui me lâa proposĂ© »
- « MaisâŠ. Vous y allez que tous les deux ? »
Demandai-je interloqué.
En effet, quand on sort, au restau câest en couple, tous les deux ensembles.
Mais lĂ , la savoir aller au restau avec un autre, je nâen revenais pasâŠ
Je mâassis sur le canapĂ© sans trop savoir quoi faire, ce que jâallai manger, ce que je ferai de ma soirĂ©e.
Autant de questions dérisoires qui masquaient mes interrogations sur la sortie de ma femme avec un autre.
Quand elle sortit de la salle de bains habillĂ©e, jâĂ©taisâŠ.
Stupéfait.
Elle avait mis une petite robe Ă bretelle qui ne lui permettait pas dâavoir de soutien gorges.
Une petite robe pas trĂšs courte, mais pas trĂšs longue non plus de façon Ă ce que lâon puisse voir ses jolies jambes.
Elle était maquillée sans excÚs.
Elle avait soulignĂ© ses yeux dâun rimmel noir faisant ressortir ses yeux noisette, et avait mis un lĂ©ger rouge Ă lĂšvre et un fond de teint qui la rendait resplendissante.
Elle Ă©tait tout simplement craquante et sexy mais sans excĂšsâŠ
Il Ă©tait 19 h 45 et Ă©tait prĂȘte Ă partir.
Sur le pas de la porte, je ne pus mâempĂȘcher de la prendre de mes bras et lui faire sur le ton dâun reproche interrogatif :
-« Tu mâas lâai bien sexy⊠tu veux plaire ? ».
Jâen profitai pour lui passer la main sous sa robe pour la relever.
LĂ , je dĂ©couvris quâelle avait mis un string encore plus sexy.
Un string en dentelle que je lui avais offert et qui laisse voir complĂštement ses belles fesses rebondies.
Jâeus immĂ©diatement une Ă©rection.
Mais en mĂȘme temps, jâĂ©tais comme un fou.
En effet, elle ne me met jamais de string sous prĂ©texte quâelle nâaime pasâŠ
« Ăa lui rentre dans les fesses ⊠»
Dit elle a chaque fois que je lui demande dâen porter un.
Je ne pus mâempĂȘcher de lui demander :
- « Tu mets un string ? Je croyais que tu n âaimais pas ? Câest pour plaire Ă ton collĂšgue ? »
Lui demandais-je sur un ton jaloux.
Comme elle se doutait que cela mâexcitait et⊠mâĂ©nervait, elle eut un sourire et me dit
- « Ne tâexcite pas⊠»
Et répondit à ma question
- « Oui je veux plaire, et alors ????, je fais ce que je veux !!! »
Je nâavais pas le choix et lui dit simplement comme on dit Ă un enfant :
- « Fais attention, Ă toi. Ne fais pas de bĂȘtise⊠»
Elle sourit Ă nouveau, puis sâen alla prendre lâascenseur puisquâelle Ă©tait dĂ©jĂ un peu en retard.
Je la voyais sâĂ©loigner avec une rage indescriptible, bien que je voulais lâempĂȘcher dây aller, je ne pouvais pas la retenir.
Toute la soirĂ©e, je ne pus mâempĂȘcher dâimaginer ce quâelle pouvait faire avec ce collĂšgueâŠ
Je lâimaginais en train de se rĂ©galer avec un bon repas, de boire un peu, parce quâelle commence Ă apprĂ©cier le bon vin, de rire aux remarques de son compagnon du soir.
Je regardais la télé sans la voir.
JâĂ©tais comme un fou, mon cerveau Ă©tait en Ă©bullition.
Je me rassurais en me disant « mais non, elle est simplement allĂ©e faire un bon diner avec un collĂšgue, il nây a rien de mal ». âŠOui mais avec un string quand mĂȘme !!!
Alors dans la mĂȘme minute mon imagination sâemballait :
Je lâimaginais assise dans la voiture avec son collĂšgue Ă cĂŽtĂ© lui posant une main sur la cuisse. Je lâimaginais encore aller « boire un dernier verre » chez lui.
Je lâimaginais, lui, en train dâembrasser ma femme en lui passant la main sous sa robe pour caresser ses fesses.
Je lâimaginais, elle, se laissant faire en lui donnant sa bouche pour y laisser pĂ©nĂ©trer la langue de son collĂšgue âŠ
Je lâimaginai, lui, descendre une bretelle de sa robe pour laisser apparaitre un sein de ma femme tout en passant la main sous ce string, sous MON string transparent pour mieux sentir la peau de ses fesses, et enfin, essayer de sâinsinuer dans le sillon fessier pour aller chercher une intimitĂ© plus chaude et surement humideâŠ
Je lâimaginais, elle, toujours se laissant faire, et glissant sa main sur le pantalon de son collĂšgue pour sentir lâeffet quâelle faisait.
Elle commençait à caresser le sexe du mùle, pour mieux le faire grossir.
Jâimaginais ma femme sourire face Ă lâeffet produit.
Physiologiquement et naturellement, le sexe de son collĂšgue allait gonfler, durcir et elle sâamusait de cette rĂ©action masculine.
Puis, passant aux choses plus sĂ©rieuses, je lâimaginais aller chercher et sortir ce sexe devenu raide et Ă©norme, pour le masturber dĂ©licatement, pendant que lui avait atteint le sexe de ma femme.
Ce sexe trempĂ©, quâil tentait dâouvrir encore plus avec un ou deux doigtsâŠ
Je les imaginais ensuite faire lâamour par devant, par derriĂšre pour finir dans un orgasme commun.
Jâavais le souffle coupĂ© et JâĂ©tais comme un con sur mon canapĂ© Ă attendre ma femme.
Je dĂ©cidais de me masturber en imaginant encore ce quâils pouvaient faire Ă cet instant.
Je pensais que jouir et Ă©jaculer allait me calmer.
JâĂ©jacula, mais mon malaise ne passait pas.
Vers 23 h 45 jâentendis les clĂ©s pĂ©nĂ©trer dans la serrure.
LĂ encore, sachant que ma femme nâaime pas se coucher tard, jâĂ©tais surpris par lâhoraire.
Ma femme rentrait enfin Ă la maison.
JâĂ©tais sur le canapĂ©, trĂšs nerveux.
Je ne savais plus exactement ce que je faisais, Ă part attendre son retour et savoir ce quâelle avait fait
- « Tu as attendu tout ce temps ? »
Demanda ma femme avec un grand sourire.
- « Viens ici ! »
Lui dis-je sur un ton qui ne lui laissait pas le choix.
Elle sâexĂ©cuta et sâapprocha de moi.
Comme jâĂ©tais assis, et, elle debout, jâavais ma tĂȘte au niveau de son nombril.
Je collais ma tĂȘte contre son ventre, puis glissais mes mains sur ses mollets.
En mĂȘme temps que je priais pour que ce que jâavais imaginĂ© toute la soirĂ©e ne se soit pas passĂ©, je remontais mes mains petit Ă petit le long de ses jambes.
Je voyais bien, ou je sentais, quâelle avait un sourire amusĂ©.
Jâarrivais au niveau de lâarriĂšre de ses cuisses et commençais donc Ă passer sous sa robe.
Jâavais le cĆur qui battait trĂšs fort et les quelques centimĂštres que mes mains allaient parcourir allaient ĂȘtre fatidiques.
En effet, je remontais encore pour arriver au niveau de ses fesses, et lĂ , jâeu un tel coup au cĆur que je crus ne plus pouvoir respirer.
Son string nâĂ©tait plus lĂ âŠ
Elle Ă©tait maintenant nue sous sa robe.
Jâavais la preuve matĂ©rielle quâelle, ou son collĂšgue, avait enlevĂ© cette culotte pour faire les « choses » que jâavais imaginĂ©.
De savoir que son collĂšgue avait vu ses fesses, en avait profitĂ©, jâavais le cĆur qui battait et allait exploser.
Je levais la tĂȘte et lui posa simplement cette question
- « Tu as joui ? »
Elle me répondit dans un murmure et avec un léger sourire un « oui » assassin
- « Pourquoi tu as fait ça ? »
Lui demandais-je
- « Parce que tu mâas Ă©nervĂ©e cette semaine. Jâavais envie de te le faire payer. Et aussi, parce que mon collĂšgue me drague depuis pas mal de temps. Câest souvent quâil mâa proposĂ© des 5 Ă 7 et lĂ , ça me faisait envie ! »
- « Donc, tu as baisĂ© avec un autre pour mâemmerder, et tu avais envie de te faire prendre par ton collĂšgue ?»
Lui demandais-je Ă nouveau.
- « Bien sĂ»r, que jâen avais envie. Il est pas mal physiquement, il est drĂŽle et il voulait mes fesses depuis pas mal de temps⊠»
Pendant ce temps, mes mains continuaient et allĂšrent ente ses fesses et son entrejambe.
Je rĂ©ussis Ă atteindre sa chatte et lâĂ©cartais et je me rendis alors compte que son sexe Ă©tait encore plein de sperme de son amant du soir.
Alors, dans un mouvement brusque et autoritaire, je la couchais sur le canapĂ©, lui relevais sa robe et plongeais la tĂȘte sur son sexe.
Elle tentait de tenir les cuisses fermĂ©es, de repousser ma tĂȘte en rigolant et en justifiant
- « Non câest sale ⊠»
Câest bien ce qui mâexcitait.
Câest pourquoi jâinsistais, jâessayais de lui Ă©carter les cuisses avec ma tĂȘte et ma langue cherchait Ă atteindre son sexe.
Quand je réussis à atteindre ce que je voulais, je léchais frénétiquement les lÚvres, puis le clitoris, puis au plus profond de son sexe.
Je mettais ma langue le plus profond possible pour récupérer la semence de son amant mélangé à son liquide vaginal.
Ce mĂ©lange Ă©tait excellentâŠ
Je compris quâelle y prenait du plaisir quand, dâelle-mĂȘme, elle Ă©carta les cuisses pour laisser le passage.
Je pouvais maintenant mettre ma langue encore plus profondĂ©ment, la lĂ©cher, sucer son sexe. Maintenant, elle prenait ma tĂȘte entre ses mains, non plus pour la repousser, mais pour la plaquer contre sa chatte en me disant
- « Oh ouiiii, vas-y, câest bon, lĂšche-moi bien avec ta langue. Nettoie tout ! »
Je continuais frénétiquement et commençait à sentir les contractions de son ventre.
Elle continuaâŠ
- « Ahh câest bon, jâai dĂ©jĂ joui avec une grosse queue, maintenant, câest avec ta langue⊠câest tellement bon. »
Jâen profitai de son Ă©tat dĂ©sinhibĂ©, entre deux coups de langue, pour la questionner sur sa soirĂ©e.
- « OĂč est ton string ? »
Demandais-je.
- « Il lâa gardĂ© en souvenir⊠»
Me répondit-elle
- « Il tâa bien fais jouir ? Il tâa prise comment ? »
Et elle commença à me décrire son aventure tout en gémissant :
- « il mâa prise par derriĂšre, Ă la sauvage ⊠Il a mis ses mains sur ma croupe et mâa enfoncĂ© sa grosse queue »
- « Tu la sentais bien ? »
- « Ahhhh oui, elle Ă©tait tellement grosse et tellement dure⊠Il me la mettait bien et câĂ©tait bon de la sentir me prendreâŠ. Ă chaque coup de queue, câĂ©tait encore meilleur »
- « Et aprÚs ? »
- « AprĂšs, il mâa retournĂ©e pour me prendre par devant. Il mâa remis sa queue et mâa donnĂ© encore des coups avec sa bite. Je la sentais jusque dans mon ventreâŠ. »
- « Câest lĂ que tu as joui ? »
- « La premiĂšre fois, ouiâŠ. »
Jâapprenais quâelle avait joui plusieurs fois âŠ
- « Il tâa baisĂ©e combien de fois ? Tu as eu combien dâorgasme ? »
- « Ahh deux fois, il mâa fait jouir deux fois ! »
- « Tu lâas sucĂ© ? Il tâa lĂ©chĂ©e ? »
Demandais-je encore avidement
- « Ahh oui, sa bite Ă©tait tellement grosse que je nâai pas pu rĂ©sister de la prendre dans ma bouche âŠet pendant ce temps il me lĂ©chait la chatte âŠ. CâĂ©tait booonnnn⊠»
La salope, dire que moi, elle ne me suce jamaisâŠ
Elle nâaime pas.
Elle trouve cela « trop sale »
Alors que lĂ , elle avait pris la bite de ce type dans sa bouche pour lui lĂ©cher le gland, lui passer la langue le long de sa queue en y prenant surement du plaisirâŠ
A ce moment-là , je commençais à « glisser » ma langue sur son anus.
Elle mâarrĂȘta brusquement.
- « ArrĂȘte, non, pas lĂ . »
Je compris alors ce que je nâosais croire.
- « Il⊠Il tâa sodomisĂ©e ??? »
Demandais-je fou de rage.
En effet, en 25 ans de vie commune, ma femme ne mâa jamais autorisĂ© Ă la prendre par son petit cul, alors que jâen rĂȘve.
« Ăa fait trop mal, tu veux voir ce que ça fait de prendre un bĂąton dans le cul ? »
Me prétextait-elle à chacune de mes tentatives.
Et lĂ , jâapprenais que ce type avait accĂ©dĂ© en une soirĂ©e ce que je n âavais jamais eu en 25 ansâŠ
Je reposai ma question :
- « tu tâes laissĂ©e enculer ???? »
- « Il en avait trop envie » me répondit-elle.
Elle qui cherche toujours son plaisir, elle sâĂ©tait soumise devant ce type pour lui donner du plaisirâŠ
- « Raconte-moi tout ce quâil tâa fait, tout ce que tu lui a laissĂ© faire »
- « Comme je tâai dit, il mâa fait jouir par devant avec sa grosse queue. AprĂšs, il sâest allongĂ© et je me suis mise sur lui. Il mâa remis sa bite dans ma petite chatte et pendant quâil allait et venait, il a mis ses mains sur mes fesses, les a Ă©cartĂ©es et, petit Ă petit, mâa mis un doigt dans mon anus. Il le remuait, le rentrait de plus en plus profond et, trĂšs vite, jâai joui Ă nouveau. Comme lui nâavait pas Ă©jaculĂ©, il mâa retournĂ©e et mise Ă quatre pattes. Il mâa Ă©cartĂ© les fesses et jâai senti un liquide sur mon anus. Je sentais quâil crachait sur mon petit cul pour y mettre un doigt, puis deux. Je lui ai dit que je nâaimais pas beaucoup cela, mais il a continuĂ©. Jâai senti sa queue se prĂ©senter contre mon petit rectum. Il la frottait contre mon anus pour le dilater puis jâai senti son gland me pĂ©nĂ©trer. Une fois quâil Ă©tait dedans, il enfonçait sa bite doucement au fur et Ă mesure de ses va et vient »
- « Il te lâa mise jusquâoĂč ? Ăa tâa fait mal ?»
- « Je crois quâil me la mise jusquâĂ ses couilles. Au dĂ©but ça faisait un peu mal, mais, aprĂšs, se sentir empalĂ©e profondĂ©ment, ça mâa donnĂ© de nouvelles sensations. »
En plus, elle semblait avoir aimĂ© cela âŠ
- « Et il a éjaculé dans ton cul aussi ? »
- « Je lui ai dit de ne pas le faire dedans, mais je crois quâil lâa fait quand mĂȘme. »
Je regardais aussitĂŽt son petit cul et je voyais aussi des traces de sperme sâĂ©couler de sa petite rondelleâŠ
JâĂ©tais encore plus fou.
Il lâavait possĂ©dĂ©e complĂštement.
Je me mis à la lécher frénétiquement tout en me branlant.
Elle ne pouvait plus tenir en place sous mes coups de langue.
Elle gĂ©missait et je sentais son ventre avoir des contractionsâŠ
Je lâentendis haleter en disant :
- « Ahh, oui, ça va venir, continue, tâarrĂȘtes pas⊠Ahhh putain, câest bon, ça vient, je jouis⊠Mets ta langue encore, Ahh putain ce que câest bon⊠encore, encoreeee. »
Pendant ce temps je lui répétais :
- « Alors petite salope, tu jouis encore ? Tu aimes ça jouir ? trois fois en une soirĂ©e, tâes une vĂ©ritable petite pute⊠Dis-moi que tâes une pute ⊠»
Ce Ă quoi, elle confirmait :
- « Ahh oui, je suis une salope, une pute qui aime jouir⊠»
JâĂ©jaculais et nous avons eu un orgasme tous les deux.
Nous étions complÚtement crevés.
Ma femme avait eu trois orgasmes dans la soirĂ©e, et moi, je mâĂ©tais branlĂ© deux foisâŠ
Avant de nous coucher, je lui indiquais
- « Plus jamais sans moi⊠Tu as compris ? Tu ne baiseras plus jamais sans moi. Je veux assister à tous tes parties de baise, te voir jouir devant moi⊠»
Elle sourit et me répondit
- « Et bien, on invitera mon collÚgue à la maison ⊠»

1 year ago