SORTIE.

Ma femme sort ce soir...

Nous Ă©tions en Ă©tĂ©, au mois d’aoĂ»t, Ă  la fin d’une belle journĂ©e ensoleillĂ©e, chaude mais sans canicule.
Pour une fois, je dĂ©cidais de ne pas rentrer trop tard Ă  la maison, je rentre habituellement vers 20h15, car c’était les vacances scolaires et donc moins de monde au bureau, et je voulais profiter de cette belle soirĂ©e avec ma petite femme.
Il faut dire que nous Ă©tions un peu en froid depuis quelques jours.
Nous nous Ă©tions accrochĂ©s pour des bĂȘtises, faisions la tĂȘte chacun de notre cĂŽtĂ© en attendant que l’autre fasse le premier pas

J’avais dĂ©cidĂ© de faire le premier pas ce soir-lĂ 
Je rentrai donc Ă  la maison vers 19 h 00.
Ma femme Ă©tait sous la douche.
J’étais Ă©tonnĂ©, car ce n’est pas son habitude de prendre une douche en dĂ©but de soirĂ©e.
A la cuisine, aucune trace d’un quelconque diner pour le soir.
Lorsque ma femme sortit de la douche, je lui posai la question :
- « On fait la paix et je t’emmĂšne au restau ce soi. Ok ? »
Elle me regardait en se séchant les cheveux avec sa serviette et me répondit :
- « Moi, je sors, toi, fais ce que tu veux !!! »
Interrogatif, je la bombardai de question :
- « Tu ne veux pas aller au restau ? »
- « J’y vais, mais pas avec toi »
- « Tu y vas avec qui ? »
Pensant qu‘elle allait y aller avec des collĂšgues fĂ©minines avec lesquelles elle sort quelquefois.
- « J’y vais avec un collĂšgue qui me l’a proposĂ© »
- « Mais
. Vous y allez que tous les deux ? »
Demandai-je interloqué.
En effet, quand on sort, au restau c’est en couple, tous les deux ensembles.
Mais là, la savoir aller au restau avec un autre, je n’en revenais pas

Je m’assis sur le canapĂ© sans trop savoir quoi faire, ce que j’allai manger, ce que je ferai de ma soirĂ©e.
Autant de questions dérisoires qui masquaient mes interrogations sur la sortie de ma femme avec un autre.
Quand elle sortit de la salle de bains habillĂ©e, j’étais
.
Stupéfait.
Elle avait mis une petite robe à bretelle qui ne lui permettait pas d’avoir de soutien gorges.
Une petite robe pas trùs courte, mais pas trùs longue non plus de façon à ce que l’on puisse voir ses jolies jambes.
Elle était maquillée sans excÚs.
Elle avait soulignĂ© ses yeux d’un rimmel noir faisant ressortir ses yeux noisette, et avait mis un lĂ©ger rouge Ă  lĂšvre et un fond de teint qui la rendait resplendissante.
Elle Ă©tait tout simplement craquante et sexy mais sans excĂšs

Il Ă©tait 19 h 45 et Ă©tait prĂȘte Ă  partir.
Sur le pas de la porte, je ne pus m’empĂȘcher de la prendre de mes bras et lui faire sur le ton d’un reproche interrogatif :
-« Tu m’as l’ai bien sexy
 tu veux plaire ? ».
J’en profitai pour lui passer la main sous sa robe pour la relever.
LĂ , je dĂ©couvris qu’elle avait mis un string encore plus sexy.
Un string en dentelle que je lui avais offert et qui laisse voir complĂštement ses belles fesses rebondies.
J’eus immĂ©diatement une Ă©rection.
Mais en mĂȘme temps, j’étais comme un fou.
En effet, elle ne me met jamais de string sous prĂ©texte qu’elle n’aime pas

« Ça lui rentre dans les fesses 
 »
Dit elle a chaque fois que je lui demande d’en porter un.
Je ne pus m’empĂȘcher de lui demander :
- « Tu mets un string ? Je croyais que tu n ‘aimais pas ? C’est pour plaire Ă  ton collĂšgue ? »
Lui demandais-je sur un ton jaloux.
Comme elle se doutait que cela m’excitait et
 m’énervait, elle eut un sourire et me dit
- « Ne t’excite pas
 »
Et répondit à ma question
- « Oui je veux plaire, et alors ????, je fais ce que je veux !!! »
Je n’avais pas le choix et lui dit simplement comme on dit à un enfant :
- « Fais attention, Ă  toi. Ne fais pas de bĂȘtise
 »
Elle sourit Ă  nouveau, puis s’en alla prendre l’ascenseur puisqu’elle Ă©tait dĂ©jĂ  un peu en retard.
Je la voyais s’éloigner avec une rage indescriptible, bien que je voulais l’empĂȘcher d’y aller, je ne pouvais pas la retenir.
Toute la soirĂ©e, je ne pus m’empĂȘcher d’imaginer ce qu’elle pouvait faire avec ce collĂšgue

Je l’imaginais en train de se rĂ©galer avec un bon repas, de boire un peu, parce qu’elle commence Ă  apprĂ©cier le bon vin, de rire aux remarques de son compagnon du soir.
Je regardais la télé sans la voir.
J’étais comme un fou, mon cerveau Ă©tait en Ă©bullition.
Je me rassurais en me disant « mais non, elle est simplement allĂ©e faire un bon diner avec un collĂšgue, il n’y a rien de mal ». 
Oui mais avec un string quand mĂȘme !!!
Alors dans la mĂȘme minute mon imagination s’emballait :
Je l’imaginais assise dans la voiture avec son collĂšgue Ă  cĂŽtĂ© lui posant une main sur la cuisse. Je l’imaginais encore aller « boire un dernier verre » chez lui.
Je l’imaginais, lui, en train d’embrasser ma femme en lui passant la main sous sa robe pour caresser ses fesses.
Je l’imaginais, elle, se laissant faire en lui donnant sa bouche pour y laisser pĂ©nĂ©trer la langue de son collĂšgue 

Je l’imaginai, lui, descendre une bretelle de sa robe pour laisser apparaitre un sein de ma femme tout en passant la main sous ce string, sous MON string transparent pour mieux sentir la peau de ses fesses, et enfin, essayer de s’insinuer dans le sillon fessier pour aller chercher une intimitĂ© plus chaude et surement humide

Je l’imaginais, elle, toujours se laissant faire, et glissant sa main sur le pantalon de son collùgue pour sentir l’effet qu’elle faisait.
Elle commençait à caresser le sexe du mùle, pour mieux le faire grossir.
J’imaginais ma femme sourire face à l’effet produit.
Physiologiquement et naturellement, le sexe de son collĂšgue allait gonfler, durcir et elle s’amusait de cette rĂ©action masculine.
Puis, passant aux choses plus sĂ©rieuses, je l’imaginais aller chercher et sortir ce sexe devenu raide et Ă©norme, pour le masturber dĂ©licatement, pendant que lui avait atteint le sexe de ma femme.
Ce sexe trempĂ©, qu’il tentait d’ouvrir encore plus avec un ou deux doigts

Je les imaginais ensuite faire l’amour par devant, par derriùre pour finir dans un orgasme commun.
J’avais le souffle coupĂ© et J’étais comme un con sur mon canapĂ© Ă  attendre ma femme.
Je dĂ©cidais de me masturber en imaginant encore ce qu’ils pouvaient faire Ă  cet instant.
Je pensais que jouir et Ă©jaculer allait me calmer.
J’éjacula, mais mon malaise ne passait pas.
Vers 23 h 45 j’entendis les clĂ©s pĂ©nĂ©trer dans la serrure.
LĂ  encore, sachant que ma femme n’aime pas se coucher tard, j’étais surpris par l’horaire.
Ma femme rentrait enfin Ă  la maison.
J’étais sur le canapĂ©, trĂšs nerveux.
Je ne savais plus exactement ce que je faisais, à part attendre son retour et savoir ce qu’elle avait fait
- « Tu as attendu tout ce temps ? »
Demanda ma femme avec un grand sourire.
- « Viens ici ! »
Lui dis-je sur un ton qui ne lui laissait pas le choix.
Elle s’exĂ©cuta et s’approcha de moi.
Comme j’étais assis, et, elle debout, j’avais ma tĂȘte au niveau de son nombril.
Je collais ma tĂȘte contre son ventre, puis glissais mes mains sur ses mollets.
En mĂȘme temps que je priais pour que ce que j’avais imaginĂ© toute la soirĂ©e ne se soit pas passĂ©, je remontais mes mains petit Ă  petit le long de ses jambes.
Je voyais bien, ou je sentais, qu’elle avait un sourire amusĂ©.
J’arrivais au niveau de l’arriùre de ses cuisses et commençais donc à passer sous sa robe.
J’avais le cƓur qui battait trĂšs fort et les quelques centimĂštres que mes mains allaient parcourir allaient ĂȘtre fatidiques.
En effet, je remontais encore pour arriver au niveau de ses fesses, et là, j’eu un tel coup au cƓur que je crus ne plus pouvoir respirer.
Son string n’était plus là

Elle Ă©tait maintenant nue sous sa robe.
J’avais la preuve matĂ©rielle qu’elle, ou son collĂšgue, avait enlevĂ© cette culotte pour faire les « choses » que j’avais imaginĂ©.
De savoir que son collĂšgue avait vu ses fesses, en avait profitĂ©, j’avais le cƓur qui battait et allait exploser.
Je levais la tĂȘte et lui posa simplement cette question
- « Tu as joui ? »
Elle me répondit dans un murmure et avec un léger sourire un « oui » assassin
- « Pourquoi tu as fait ça ? »
Lui demandais-je
- « Parce que tu m’as Ă©nervĂ©e cette semaine. J’avais envie de te le faire payer. Et aussi, parce que mon collĂšgue me drague depuis pas mal de temps. C’est souvent qu’il m’a proposĂ© des 5 Ă  7 et lĂ , ça me faisait envie ! »
- « Donc, tu as baisĂ© avec un autre pour m’emmerder, et tu avais envie de te faire prendre par ton collĂšgue ?»
Lui demandais-je Ă  nouveau.
- « Bien sĂ»r, que j’en avais envie. Il est pas mal physiquement, il est drĂŽle et il voulait mes fesses depuis pas mal de temps
 »
Pendant ce temps, mes mains continuaient et allĂšrent ente ses fesses et son entrejambe.
Je rĂ©ussis Ă  atteindre sa chatte et l’écartais et je me rendis alors compte que son sexe Ă©tait encore plein de sperme de son amant du soir.
Alors, dans un mouvement brusque et autoritaire, je la couchais sur le canapĂ©, lui relevais sa robe et plongeais la tĂȘte sur son sexe.
Elle tentait de tenir les cuisses fermĂ©es, de repousser ma tĂȘte en rigolant et en justifiant
- « Non c’est sale 
 »
C’est bien ce qui m’excitait.
C’est pourquoi j’insistais, j’essayais de lui Ă©carter les cuisses avec ma tĂȘte et ma langue cherchait Ă  atteindre son sexe.
Quand je réussis à atteindre ce que je voulais, je léchais frénétiquement les lÚvres, puis le clitoris, puis au plus profond de son sexe.
Je mettais ma langue le plus profond possible pour récupérer la semence de son amant mélangé à son liquide vaginal.
Ce mélange était excellent

Je compris qu’elle y prenait du plaisir quand, d’elle-mĂȘme, elle Ă©carta les cuisses pour laisser le passage.
Je pouvais maintenant mettre ma langue encore plus profondĂ©ment, la lĂ©cher, sucer son sexe. Maintenant, elle prenait ma tĂȘte entre ses mains, non plus pour la repousser, mais pour la plaquer contre sa chatte en me disant
- « Oh ouiiii, vas-y, c’est bon, lĂšche-moi bien avec ta langue. Nettoie tout ! »
Je continuais frénétiquement et commençait à sentir les contractions de son ventre.
Elle continua

- « Ahh c’est bon, j’ai dĂ©jĂ  joui avec une grosse queue, maintenant, c’est avec ta langue
 c’est tellement bon. »
J’en profitai de son Ă©tat dĂ©sinhibĂ©, entre deux coups de langue, pour la questionner sur sa soirĂ©e.
- « OĂč est ton string ? »
Demandais-je.
- « Il l’a gardĂ© en souvenir
 »
Me répondit-elle
- « Il t’a bien fais jouir ? Il t’a prise comment ? »
Et elle commença à me décrire son aventure tout en gémissant :
- « il m’a prise par derriĂšre, Ă  la sauvage 
 Il a mis ses mains sur ma croupe et m’a enfoncĂ© sa grosse queue »
- « Tu la sentais bien ? »
- « Ahhhh oui, elle Ă©tait tellement grosse et tellement dure
 Il me la mettait bien et c’était bon de la sentir me prendre
. À chaque coup de queue, c’était encore meilleur »
- « Et aprÚs ? »
- « AprĂšs, il m’a retournĂ©e pour me prendre par devant. Il m’a remis sa queue et m’a donnĂ© encore des coups avec sa bite. Je la sentais jusque dans mon ventre
. »
- « C’est lĂ  que tu as joui ? »
- « La premiĂšre fois, oui
. »
J’apprenais qu’elle avait joui plusieurs fois 

- « Il t’a baisĂ©e combien de fois ? Tu as eu combien d’orgasme ? »
- « Ahh deux fois, il m’a fait jouir deux fois ! »
- « Tu l’as sucĂ© ? Il t’a lĂ©chĂ©e ? »
Demandais-je encore avidement
- « Ahh oui, sa bite Ă©tait tellement grosse que je n’ai pas pu rĂ©sister de la prendre dans ma bouche 
et pendant ce temps il me lĂ©chait la chatte 
. C’était booonnnn
 »
La salope, dire que moi, elle ne me suce jamais

Elle n’aime pas.
Elle trouve cela « trop sale »
Alors que là, elle avait pris la bite de ce type dans sa bouche pour lui lécher le gland, lui passer la langue le long de sa queue en y prenant surement du plaisir

A ce moment-là, je commençais à « glisser » ma langue sur son anus.
Elle m’arrĂȘta brusquement.
- « ArrĂȘte, non, pas lĂ . »
Je compris alors ce que je n’osais croire.
- « Il
 Il t’a sodomisĂ©e ??? »
Demandais-je fou de rage.
En effet, en 25 ans de vie commune, ma femme ne m’a jamais autorisĂ© Ă  la prendre par son petit cul, alors que j’en rĂȘve.
« Ça fait trop mal, tu veux voir ce que ça fait de prendre un bĂąton dans le cul ? »
Me prétextait-elle à chacune de mes tentatives.
Et lĂ , j’apprenais que ce type avait accĂ©dĂ© en une soirĂ©e ce que je n ‘avais jamais eu en 25 ans

Je reposai ma question :
- « tu t’es laissĂ©e enculer ???? »
- « Il en avait trop envie » me répondit-elle.
Elle qui cherche toujours son plaisir, elle s’était soumise devant ce type pour lui donner du plaisir

- « Raconte-moi tout ce qu’il t’a fait, tout ce que tu lui a laissĂ© faire »
- « Comme je t’ai dit, il m’a fait jouir par devant avec sa grosse queue. AprĂšs, il s’est allongĂ© et je me suis mise sur lui. Il m’a remis sa bite dans ma petite chatte et pendant qu’il allait et venait, il a mis ses mains sur mes fesses, les a Ă©cartĂ©es et, petit Ă  petit, m’a mis un doigt dans mon anus. Il le remuait, le rentrait de plus en plus profond et, trĂšs vite, j’ai joui Ă  nouveau. Comme lui n’avait pas Ă©jaculĂ©, il m’a retournĂ©e et mise Ă  quatre pattes. Il m’a Ă©cartĂ© les fesses et j’ai senti un liquide sur mon anus. Je sentais qu’il crachait sur mon petit cul pour y mettre un doigt, puis deux. Je lui ai dit que je n’aimais pas beaucoup cela, mais il a continuĂ©. J’ai senti sa queue se prĂ©senter contre mon petit rectum. Il la frottait contre mon anus pour le dilater puis j’ai senti son gland me pĂ©nĂ©trer. Une fois qu’il Ă©tait dedans, il enfonçait sa bite doucement au fur et Ă  mesure de ses va et vient »
- « Il te l’a mise jusqu’oĂč ? Ça t’a fait mal ?»
- « Je crois qu’il me la mise jusqu’à ses couilles. Au dĂ©but ça faisait un peu mal, mais, aprĂšs, se sentir empalĂ©e profondĂ©ment, ça m’a donnĂ© de nouvelles sensations. »
En plus, elle semblait avoir aimé cela 

- « Et il a éjaculé dans ton cul aussi ? »
- « Je lui ai dit de ne pas le faire dedans, mais je crois qu’il l’a fait quand mĂȘme. »
Je regardais aussitĂŽt son petit cul et je voyais aussi des traces de sperme s’écouler de sa petite rondelle

J’étais encore plus fou.
Il l’avait possĂ©dĂ©e complĂštement.
Je me mis à la lécher frénétiquement tout en me branlant.
Elle ne pouvait plus tenir en place sous mes coups de langue.
Elle gémissait et je sentais son ventre avoir des contractions

Je l’entendis haleter en disant :
- « Ahh, oui, ça va venir, continue, t’arrĂȘtes pas
 Ahhh putain, c’est bon, ça vient, je jouis
 Mets ta langue encore, Ahh putain ce que c’est bon
 encore, encoreeee. »
Pendant ce temps je lui répétais :
- « Alors petite salope, tu jouis encore ? Tu aimes ça jouir ? trois fois en une soirĂ©e, t’es une vĂ©ritable petite pute
 Dis-moi que t’es une pute 
 »
Ce Ă  quoi, elle confirmait :
- « Ahh oui, je suis une salope, une pute qui aime jouir
 »
J’éjaculais et nous avons eu un orgasme tous les deux.
Nous étions complÚtement crevés.
Ma femme avait eu trois orgasmes dans la soirĂ©e, et moi, je mâ€˜Ă©tais branlĂ© deux fois

Avant de nous coucher, je lui indiquais
- « Plus jamais sans moi
 Tu as compris ? Tu ne baiseras plus jamais sans moi. Je veux assister Ă  tous tes parties de baise, te voir jouir devant moi
 »
Elle sourit et me répondit
- « Et bien, on invitera mon collĂšgue Ă  la maison 
 »
SORTIE.
Published by drd74
1 year ago
Comments
9
Please or to post comments
drd74
drd74 Publisher 1 year ago
avec plaisir
Reply
jeandomino
jeandomino 1 year ago
hummm oui
Reply
drd74
drd74 Publisher 1 year ago
un bonheur 
Reply
drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to aerosm : c'est tellement bon !!
Reply Original comment
aerosm
aerosm 1 year ago
un vrai rĂȘve ... j'aurai tout lĂ©cher aussi ...
Reply
drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to soumis1968 : une merveille quand cela se réalise 
Reply Original comment
soumis1968 1 year ago
Mon rĂȘve 
Reply
drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to jeandomino : hummm j'aurais aimé
Reply Original comment
jeandomino
jeandomino 1 year ago
Purée qu elle chance moi j aurai aimer la baiser devant toi
Reply