GOÛT.
LE GOUT DU SPERME.
Dès que j’ai découvert la masturbation, j’ai eu envie de gouter au sperme.
Cette envie m’est venue très tôt, voire très jeune
Le mien pour commencer puis l’envie m’est venu de gouter celui d’un autre
Souvent, lors d’une branlette, je prenais la précaution de recueillir mon sperme dans la main, puis je délectais de ma semence.
Plus tard, j’ai découvert le plaisir de me branler avec les jambes en l’air.
Mon plaisir était différent d’une branlette ordinaire.
Surtout, cela avait l’avantage de recevoir sur mon visage et ma bouche grande ouverte, les jets de sperme lorsque je jouissais.
Puis, j’ai essayé l’auto-suce.
Petit à petit, j’ai réussi à me sucer la queue lorsque je me branlais.
Finalement, en me branlant puis en me faisant une pipe…
J’ai joui dans ma bouche…
Quel plaisir !
J’ai renouvelé plusieurs fois cette expérience, puis j’ai arrêté.
D’abord, cela occasionnait des douleurs dorsales.
Ensuite, et surtout, le plaisir que j’éprouvais en me suçant et en éjaculant dans ma bouche était très diminué par l’effort physique pour y arriver.
Et plus de 40 ans après avoir découvert ce plaisir…
Je continue régulièrement à avaler mon sperme.
Pour cela, je me branle longuement, en faisant des pauses afin de recueillir ma mouille, le «précum»
Puis, je m’excite jusqu’à la limite de la jouissance.
Ma bite frémie de plaisir…
Quelques gouttes de sperme montent à l’extrémité de mon gland.
Je les recueille avec mes doigts et je les savoure.
Je répète plusieurs fois cette manœuvre : un vrai délice !
À la fin, je me branle jusqu’à la jouissance complète…
Je récupère mon sperme qui a giclé sur mon torse, et je m’en délecte.
Je me délecte, bien sur aussi, de celui de mes partenaires lors de mes rencontres !
Dès que j’ai découvert la masturbation, j’ai eu envie de gouter au sperme.
Cette envie m’est venue très tôt, voire très jeune

Le mien pour commencer puis l’envie m’est venu de gouter celui d’un autre
Souvent, lors d’une branlette, je prenais la précaution de recueillir mon sperme dans la main, puis je délectais de ma semence.
Plus tard, j’ai découvert le plaisir de me branler avec les jambes en l’air.
Mon plaisir était différent d’une branlette ordinaire.
Surtout, cela avait l’avantage de recevoir sur mon visage et ma bouche grande ouverte, les jets de sperme lorsque je jouissais.
Puis, j’ai essayé l’auto-suce.
Petit à petit, j’ai réussi à me sucer la queue lorsque je me branlais.
Finalement, en me branlant puis en me faisant une pipe…
J’ai joui dans ma bouche…
Quel plaisir !
J’ai renouvelé plusieurs fois cette expérience, puis j’ai arrêté.
D’abord, cela occasionnait des douleurs dorsales.
Ensuite, et surtout, le plaisir que j’éprouvais en me suçant et en éjaculant dans ma bouche était très diminué par l’effort physique pour y arriver.
Et plus de 40 ans après avoir découvert ce plaisir…
Je continue régulièrement à avaler mon sperme.
Pour cela, je me branle longuement, en faisant des pauses afin de recueillir ma mouille, le «précum»
Puis, je m’excite jusqu’à la limite de la jouissance.
Ma bite frémie de plaisir…
Quelques gouttes de sperme montent à l’extrémité de mon gland.
Je les recueille avec mes doigts et je les savoure.
Je répète plusieurs fois cette manœuvre : un vrai délice !
À la fin, je me branle jusqu’à la jouissance complète…
Je récupère mon sperme qui a giclé sur mon torse, et je m’en délecte.
Je me délecte, bien sur aussi, de celui de mes partenaires lors de mes rencontres !
1 year ago