La RIPAILLE
AIRE de REPOS.
Jâavais pris lâhabitude de faire une petite halte sur lâAire de la Ripaille, un peu avant Annecy. Cette fois encore, lors de mon voyage, je venais mây garer pour une petite halte.
Je ne cacherai pas que je connaissais lâendroitâŠ
Pas de station mais juste une petite construction abritant les toilettes, juste une aire dortoir.
On pouvait deviner facilement ce qui se tramait ici en remarquant le ballet des hommes qui sortaient pour revenir peu aprĂšs.
Tard dans la nuit, lâendroit servait de lieu de rencontre aux voyageurs isolĂ©s.
Sur la gauche, des bosquets rabougris et faciles dâaccĂšs, parmi lesquels disparaissaient parfois des hommes de passage, routiers ou simples voyageurs Ă la recherche dâune discrĂ©tion relative.
Nous Ă©tions peu nombreux Ă stationner sur lâaire.
IntriguĂ© par le manĂšge de cet homme qui, sorti quelques instants plus tĂŽt des toilettes, y retournait, je me dĂ©cidais de mây rendre Ă mon tour.
Lâendroit Ă©tait glauque, lâodeur presque dĂ©rangeante.
Lâhomme, la quarantaine probablement feignait pisser au fond des lieux.
Je mâarrĂȘtais Ă quelques urinoirs de lui, pour lâimiter.
Je sentais son regard pressantâŠ
Il sâest lĂ©gĂšrement reculĂ©, comme pour me laisser voir sa queue tendue et dĂ©jĂ bien raide.
Jâai timidement regardĂ©.
Il lui restait Ă ferrer le poisson, ce quâil fit en se tournant vers moi !
Sa bite dressée paraissait me viser.
Jâai levĂ© les yeux, il souriait.
PlongĂ© dans mon regard, il avait compris lâintĂ©rĂȘt que je portais Ă son encontre et se masturbait maintenant fiĂšrement.
Je me suis tourné vers lui à mon tour, laissant descendre un peu plus mon short et mon slip.
Un autre homme est entré.
Je me rajustais rapidement.
Le premier est resté tranquille, rangeant son attirail sans précipitation.
En sortant avant moi, je vis ce petit signe discret de la tĂȘte qui mâintimait de le suivre.
Jâen avais le palpitant qui battait Ă tout rompre dans ma poitrine quand je suis sorti Ă mon tour.
Tranquillement, lâhomme marchait en direction des buissons Ă©parses qui marquaient la limite de lâAire.
Je lui emboitais le pas, comme hypnotisé.
ArrivĂ© Ă lâabri des vues, nous dĂ©couvrions un peu plus loin un couple en pleine action !
Il sâest arrĂȘtĂ© me faisant signe de le rejoindre, sorti Ă nouveau sa bite et profita du spectacle quâoffrait les deux amants dĂ©couverts.
- « Câest sympa ici, tu ne trouves pas ? »
- « Oui. »
- « Regarde, ils savent quâon les matte⊠Branle toi aussi ! »
AppuyĂ© Ă une branche basse, le baisĂ© couinait comme une petite chienne Ă chaque coup de biteâŠ
Je lâenviais !
Lâautre, conscient aussi de notre prĂ©sence, se dĂ©chainait, nous montrant parfois les fesses quâil tenait Ă©cartĂ©es.
Je baissais mon slip et mon shortâŠ
Moi, je bandais Ă lâidĂ©e de prendre la place de cette petite salopeâŠ
Mon compagnon, dâun soir, certainement celle dâĂȘtre celui qui baise.
Il sâest approchĂ© de moi et jâai senti sa main se poser sur mes hanches et me tirer vers lui.
Mon short glissait Ă mes chevilles.
Jâai senti sa cuisse contre mes fesses, son gland me touchait parfois pendant quâil se branlait. Il a senti que je creusais les reins !
- « Tâaimerais te faire baiser comme ça ? »
- « Oui⊠Oh ouiiiii !!! »
Pendant ce temps, les grognements du baiseur se firent plus concretsâŠ
Il assenait de vĂ©ritables coups de boutoir Ă la tarlouze quâil dĂ©fonçait sans vergogne, la faisant sauter sur place Ă chaque fois.
Les yeux rivĂ©s sur la scĂšne, jâentrais presque en transe.
Mon mec sâĂ©tait glissĂ© derriĂšre moi, tentant de mâĂ©carter les jambes prisonniĂšres de mon short.
- « Aller, vire ton short et ton slip !!! »
Jâai obĂ©i machinalement.
Me dĂ©couvrant docile, il mâa alors retirĂ© mon tee-shirt.
Il nâavait fallu que quelques minutes pour que je sois nu, avec juste mes baskets aux pieds, mes fringues posĂ©es au sol nĂ©gligemment.
Il mâa attrapĂ© le poignet pour que jâarrĂȘte de me branler et mâa guidĂ© vers sa bite.
Bien sûr, je me suis laissé faire, empoignant délicatement le pieu de chair sur mon cÎté.
Je me souviens de lâavoir trouvĂ© doux comme du velours, et raide comme une poutre.
Sa peau glissait soyeusement dans ma paume lui arrachant de petites contractions.
Je jouais avec précaution sur son gland entre pouce et index.
Devant nous, le couple sâĂ©tait figĂ©.
LâĂ©talon tirait de ses mains le bassin quâil venait de fĂ©conder pour mieux se planter au fond.
Il grognait des mots incomprĂ©hensibles dâoĂč nous Ă©tions.
Il a fini par se retirer en nous regardant et se reculer suffisamment pour nous laisser voir les fesses trempées de son petit PD.
Sans empressement, ils se sont tous deux rajustés et sont passés prÚs de nous, sourire aux lÚvres, pour retourner à leur véhicule respectif.
Ă notre niveau, mon mec, comme pour mâhumilier devant eux, rompait le silence :
- « Câest ton tout maintenant, Je vais tâenculer moi aussi ! »
Le couple sâĂ©loignait, jâĂ©tais dans un Ă©tat second.
Je gigotais, plaqué aux cuisses de mon futur amant, tiraillé entre crainte et envie.
- « Ce nâest pas trĂšs discret ici. »
- « On sâen fout ! Je sais que tu en as envie ! »
- « Dâaccord, mais pas ici. »
- « Suis moi⊠»
Jâai voulu ramasser mes vĂȘtements mais il mâen a empĂȘchĂ©. »
- « Laisse, on ne va pas loin, yâa personne qui viendra te les voler. »
- « Oui, mais jâai mes clefs⊠»
- « Oh, ne fais pas chier ! Suis-moi je te dis⊠Obéis un peu si tu veux que je te baise ! »
Et câest ce que jâai fait !
PaniquĂ© mais trop excitĂ© pour mâopposer Ă lui.
Il devait ĂȘtre habituĂ© de lâendroit car il mâa guidĂ© vers le petit muret qui ceinturait la zone.
Là , caché du parking, le grillage était ouvert, probablement par les habitués.
Nous nous sommes retrouvĂ©s hors de lâAire, sur un petit chemin de terre bordant cette derniĂšre.
De petits bosquets, éclairés par la lueur blafarde de la lune, proposaient des petits coins tranquilles.
On pouvait voir les toilettes et le parking, ce qui me rassura un peu.
Je marchais, nu, devant lui en ondulant des fesses consciemmentâŠ
Jâavais vraiment, comme le dit lâexpression, le feu au cul !
LĂ , Ă quelques mĂštres du chemin, nous nous sommes enfoncĂ©s un peu jusquâĂ un genre de clairiĂšre, propice Ă nos futurs Ă©bats.
Il mâa tirĂ© vers lui pour me prendre dans ses brasâŠ
Je sentais sa queue quâil avait gardĂ© hors de sa braguette, sur ma peauâŠ
Et jâen avais envie !
Il susurrait des mots qui mâĂ©lectrisaient encore plus.
- « Tu as envie dâĂȘtre ma salope, ma petite pute docile ? »
- « Oh Oui ! »
- « Non, je ne veux pas que tu rĂ©pondes comme ça, je veux tâentendre parler, me supplier⊠»
- « Je veux ĂȘtre votre salope, votre pute. »
- « Bien, ça tâa excitĂ© de voir la tapette se faire enculer tout Ă lâheure. Tu voulais prendre sa place !? »
- « Oh oui, jâaurais aimĂ© ça. »
- « Je vais mâoccuper de ton petit cul⊠Ou tu prĂ©fĂšres que je parle de ta chatte ? »
- « ⊠»
Alors, tarlouze, je tâai posĂ© une question, tu rĂ©ponds !
- « De ma chatte⊠»
Il Ă©tait devenu plus autoritaire, je ne voulais pas le contrarier.
Jâavoue mĂȘme prĂ©fĂ©rer endosser le rĂŽle de femelle que de simple tapette.
Ses mains se sont posĂ©es sur mes Ă©paules pour mâindiquer que je devais mâagenouiller. Ensuite, une main derriĂšre ma nuque, de lâautre Il guida son gland luisant vers mon visage.
Mon hĂ©sitation fut de courte durĂ©eâŠ
DĂ©licatement, je pris le bout de chair qui mâĂ©tait prĂ©sentĂ©, entre mes lĂšvres.
Il était chaud, soyeux et finalement bien agréable à téter.
Jâosais parfois, le lĂącher pour simplement le lĂ©cher ou laisser ma langue glisser le long du mandrin quâil surmontait.
La pression sur ma nuque mâimposa dâengamer plus profondĂ©ment le membre pour quâen « bonne salope », je taille une pipe Ă son propriĂ©taire.
Ce que je fis avec application !
Pendant un petit quart dâheure, jâai sucĂ©, lĂ©chĂ© et branlĂ© avec dĂ©lectation cet homme qui mâĂ©tait encore inconnu une heure auparavant.
Il sâest enfin penchĂ© sur moi, sa main est descendue de ma nuque Ă mes fesses doucement.
Il nâa pas perdu de temps pour venir me prĂ©parer car, un, puis deux doigts sont venus me fouiller.
Jâoffrais peu de rĂ©sistance tant lâenvie Ă©tait forte.
- « Tâes prĂȘte, relĂšve-toi ! »
Il me parlait comme Ă une fille !
Je me suis levĂ©, retournĂ© et penchĂ© vers lâavant sans quâil ait besoin de le demander.
- « Câest bien ! Ăcarte tes fesses ! Montre-moi que tu veux devenir ma petite femme, ma salope ! »
Je nâai pas eu Ă rĂ©pondre.
Il a crachĂ© sur ses doigts pour venir me lubrifier et mâa abandonnĂ© un instant.
Il avait sorti un prĂ©servatif quâil avait aussitĂŽt enfilĂ©.
Jâai apprĂ©ciĂ© ce geste bien que dans lâĂ©tat second dans lequel je me trouvais, il aurait pu me baiser Ă cru sans que je mây oppose.
Du pied, il mâa ouvert encore plus les jambes et a appuyĂ© sur mes reins pour me signifier de me baisser vers lâavant.
La tĂȘte au niveau des cuisses, jâavais maintenant le cul en lâair et de mes deux mains, jâĂ©cartais exagĂ©rĂ©ment mes fesses.
Il a guidé sa bite entre elles pour venir me caresser la rondelle de son gland.
Il sâest ensuite figĂ© et jâai senti la pression tant attendue.
Je reculais discrĂštement vers le braquemard pour lâaider.
- « Parle, dis-moi que tâes ma petite pute⊠Que tu veux que je te baise la chatte ! »
Jâentrais Ă©videmment dans son jeu sans quâil ait besoin dâinsister.
- « Ma chatte de pute est à vous. »
Sa queue sâest enfoncĂ©e lentement sans rencontrer de rĂ©elle rĂ©sistance.
Jâondulais du bassin comme le ferait une vraie femelle au rythme des « oui » discrets que je poussais.
Fermement ancré sur mes hanches, il entreprit des mouvements de piston de plus en plus profond, prononçant des insanités trÚs excitantes.
Tout ça me plaisait tellement !
Ătait-ce la circulation ou simplement Ă©tions nous trop occupĂ©s, nous nâavions pas entendu un autre homme arriver.
Je lâai remarquĂ© sur notre gauche et me suis redressĂ© pour le faire savoir Ă mon amant.
Je ne pouvais pas me cacher, encore moins me revĂȘtir !
Peur et excitation mĂȘlĂ©es, je me retrouvais debout, exposĂ© une bite dans le fondement au regard vicieux de lâarrivant.
Mon mec (Ben oui, câest ainsi quâil Ă©tait devenu) tentant de me rassurer, me glissa Ă lâoreille :
- « Nâaie pas peur, je suis là ⊠Laisse le regarder, câest juste un voyeur. »
- « Ăa me gĂȘne ! »
- « Non, ça tâexcite ! On est allĂ© trop loin pour sâarrĂȘter ainsi. »
Jâabdiquais en faisant tourner dĂ©licatement mes fesses sur son pubis.
Il mâenserra la poitrine, me fit tourner en direction du type qui, manifestement se masturbait.
Remontant ses mains au-dessus de mes Ă©paules pour venir les joindre derriĂšre ma tĂȘte, il lui montrait sans vergogne que jâĂ©tais sa proie.
Je me retrouvais prisonniÚre, les bras en croix, affichée sans pudeur.
Ses ruades reprirent, berçant la nuit dâun bruit semblable Ă des claques sur mes fesses, mâarrachant des petites plaintes Ă©touffĂ©es au dĂ©but.
Il relĂącha sa clef pour me remettre dans la position prĂ©cĂ©dente en prenant soin de tirer ma tĂȘte en arriĂšre.
JâĂ©tais cambrĂ© Ă lâextrĂȘme, le visage face au voyeur, le cul bien relevĂ© Ă subir ses ruades ponctuĂ©es de ses quolibets.
Ses mots crus me transportaient.
Il me semblait ĂȘtre une femelle Ă la saillie et comme telle, ressentir ces coups de pilon dans mon vagin.
Jâagissais maintenant comme telle !
Pas Ă pas, discrĂštement, lâautre larron sâĂ©tait approchĂ© pour se planter face Ă moiâŠ
Jâimaginais, probablement Ă tort, que ce nâĂ©tait que pour mieux voir, mieux entendre.
Je devinais son gland sortir de son fourreau tandis quâil se masturbait.
CâĂ©tait une premiĂšre pour moi !
Jâavais secrĂštement une envie folle de me jeter sur sa queue.
Ce fut fait quand les assauts de mon mec mâenvoyĂšrent vers lâavant, jâai pris appui sur les cuisses du gars qui se raidit.
Il pouvait alors frapper mes lĂšvres en sâastiquant et jâai machinalement ouvert la bouche comme une putain le ferait.
Si lâhomme restait muet, mon baiseur Ă©tait plus loquace.
- « Suce-le, salope ! Sois une bonne chienne ! »
Il avait le don pour me rendre folle.
Il devinait mes envies.
Jâai pris la queue offerte dans ma bouche pour lui prodiguer une fellation digne de ce nom.
JâĂ©tais prise en Ă©tau entre ces deux hommes, une bite dans chaque trou, Ă gĂ©mir sans retenue.
Les couilles de mon mec frappaient les miennes maintenant.
Ses mains sur mes hanches me tiraient vers lui et ses coups me renvoyaient Ă la rencontre de lâautre queue.
Je mâĂ©tais entiĂšrement libĂ©rĂ©e, acceptant mon sort en couinant de plaisir comme une bonne chienne que jâĂ©tais devenueâŠ
PartagĂ©e entre ces deux types qui ne voyaient en moi, quâun moyen de se vider les couilles.
Jâen oubliais la rĂ©alitĂ© et profitais pleinement de lâinstant.
Le voyeur sâest reculĂ© sans dire un mot, me laissant bouche ouverte avant de comprendre quâil allait jouir.
Jâai reçu ses giclĂ©es sur le visage et la poitrine.
Jâaime Ă penser que câest le spectacle que nous lui avions offert qui avait eu raison de lui.
Il sâest rajustĂ© et sâest Ă©loignĂ© comme il Ă©tait arrivĂ©, sans bruits, sans mĂȘme me remercier !
Mon mec semblait satisfait de ma prestation en sâacharnant dans mes entrailles presque violemment.
Ses coups redoublaient fébrilement entre mes fesses.
Ses insultes incompréhensibles pleuvaient.
JâĂ©tais aux anges Ă me faire dĂ©licieusement Ă©ventrer sans rechigner.
Le dard qui me labourait le ventre mâinondait dâun plaisir subtil.
Il me disait que jâallais pouvoir faire le tapin (oups) et que je ne devais plus me cacher.
Pour lui, jâavais le cul dont pouvaient rĂȘver tous les hommes et une meilleur chatte quâune femmeâŠ
Il mâencourageait de ses commentaires quand je gĂ©missais sans retenue !
- « Humm⊠Prends ça dit-il en se figeant au plus profond de ma chatte. »
Il jouissait !
Je tentais de gigoter encore sur sa bite mais il me bloquait contre lui, ne me laissant que lâopportunitĂ© de jouer de petites contractions.
Je ne regrettais que de ne pas avoir pu ĂȘtre insĂ©minĂ©e du fait de la capote mais ce simulacre de fĂ©condation mâavait vraiment emportĂ©.
Nous sommes restĂ©s ainsi, collĂ©s lâun Ă lâautre, Ă apprĂ©cier le moment.
Je me suis redressĂ© doucement quand jâai senti sa raideur disparaitre jusquâĂ ce quâil se retire. En me retournant, jâai pu constater quâil me montrait fiĂšrement le prĂ©servatif rempli qui pendait au bout de sa bite.
- « Regarde ce que tu as loupé ma salope ! »
CâĂ©tait comme sâil retournait le couteau dans la plaie, jâaurais tant aimĂ© le recevoir en moi.
Il a enlevé la protection pour ranger son attirail en prétextant devoir rentrer chez lui.
Une fausse excuse que jâacceptais malgrĂ© moi.
Jâavais quand mĂȘme, en moins dâune heure, connu un plaisir nouveau pour moi, soumise Ă un homme, offerte Ă un autre !
JâĂ©tais bien dĂ©cidĂ© Ă retenter une telle aventure si lâavenir me le proposait.
Nous sommes donc revenus en faisant chemin inverse.
Toujours nu, il mâa passĂ© la main aux fesses quand jâai enjambĂ© le muret.
Effronté, je les ai écartées pour sentir une derniÚre fois ses doigts caresser ma chatte.
De lâautre cĂŽtĂ©, je retrouvais avec satisfaction mon short et mon tee-shirt ! Cette fois, câest moi qui ai pris les devants :
- « Merci⊠Merci beaucoup ! »
- « Jâai tout de suite compris ce que tu cherchais quand tu mâas regardĂ© aux chiottes. »
- « Ah bon ? »
- « Oui, jâai vu une tapette⊠Je me suis doutĂ© que tu avais envie dâĂȘtre prise comme une salope. »
- « Ce nâest pas mon habitude ! »
- « Pas encore, mais ça viendra. Tu aimeras ça de plus en plus. Il ne te reste quâĂ te travestir ! »
Nous avons échangé encore quelques minutes, pour finalement, retourner chacun de notre cÎté à nos véhicules respectifs.
Il a repris la route, moi, je suis resté dans la pénombre à me branler en repensant au délicieux moment passé précédemment.
Mes convictions Ă©taient Ă revoir, je nâĂ©tais plus vraiment un mĂąle mais en route de devenir (secrĂštement) une salope.
Jâavais pris lâhabitude de faire une petite halte sur lâAire de la Ripaille, un peu avant Annecy. Cette fois encore, lors de mon voyage, je venais mây garer pour une petite halte.
Je ne cacherai pas que je connaissais lâendroitâŠ
Pas de station mais juste une petite construction abritant les toilettes, juste une aire dortoir.
On pouvait deviner facilement ce qui se tramait ici en remarquant le ballet des hommes qui sortaient pour revenir peu aprĂšs.
Tard dans la nuit, lâendroit servait de lieu de rencontre aux voyageurs isolĂ©s.
Sur la gauche, des bosquets rabougris et faciles dâaccĂšs, parmi lesquels disparaissaient parfois des hommes de passage, routiers ou simples voyageurs Ă la recherche dâune discrĂ©tion relative.

Nous Ă©tions peu nombreux Ă stationner sur lâaire.
IntriguĂ© par le manĂšge de cet homme qui, sorti quelques instants plus tĂŽt des toilettes, y retournait, je me dĂ©cidais de mây rendre Ă mon tour.
Lâendroit Ă©tait glauque, lâodeur presque dĂ©rangeante.
Lâhomme, la quarantaine probablement feignait pisser au fond des lieux.
Je mâarrĂȘtais Ă quelques urinoirs de lui, pour lâimiter.
Je sentais son regard pressantâŠ
Il sâest lĂ©gĂšrement reculĂ©, comme pour me laisser voir sa queue tendue et dĂ©jĂ bien raide.
Jâai timidement regardĂ©.
Il lui restait Ă ferrer le poisson, ce quâil fit en se tournant vers moi !
Sa bite dressée paraissait me viser.
Jâai levĂ© les yeux, il souriait.
PlongĂ© dans mon regard, il avait compris lâintĂ©rĂȘt que je portais Ă son encontre et se masturbait maintenant fiĂšrement.
Je me suis tourné vers lui à mon tour, laissant descendre un peu plus mon short et mon slip.
Un autre homme est entré.
Je me rajustais rapidement.
Le premier est resté tranquille, rangeant son attirail sans précipitation.
En sortant avant moi, je vis ce petit signe discret de la tĂȘte qui mâintimait de le suivre.
Jâen avais le palpitant qui battait Ă tout rompre dans ma poitrine quand je suis sorti Ă mon tour.
Tranquillement, lâhomme marchait en direction des buissons Ă©parses qui marquaient la limite de lâAire.
Je lui emboitais le pas, comme hypnotisé.
ArrivĂ© Ă lâabri des vues, nous dĂ©couvrions un peu plus loin un couple en pleine action !
Il sâest arrĂȘtĂ© me faisant signe de le rejoindre, sorti Ă nouveau sa bite et profita du spectacle quâoffrait les deux amants dĂ©couverts.
- « Câest sympa ici, tu ne trouves pas ? »
- « Oui. »
- « Regarde, ils savent quâon les matte⊠Branle toi aussi ! »
AppuyĂ© Ă une branche basse, le baisĂ© couinait comme une petite chienne Ă chaque coup de biteâŠ
Je lâenviais !
Lâautre, conscient aussi de notre prĂ©sence, se dĂ©chainait, nous montrant parfois les fesses quâil tenait Ă©cartĂ©es.
Je baissais mon slip et mon shortâŠ
Moi, je bandais Ă lâidĂ©e de prendre la place de cette petite salopeâŠ
Mon compagnon, dâun soir, certainement celle dâĂȘtre celui qui baise.
Il sâest approchĂ© de moi et jâai senti sa main se poser sur mes hanches et me tirer vers lui.
Mon short glissait Ă mes chevilles.
Jâai senti sa cuisse contre mes fesses, son gland me touchait parfois pendant quâil se branlait. Il a senti que je creusais les reins !
- « Tâaimerais te faire baiser comme ça ? »
- « Oui⊠Oh ouiiiii !!! »
Pendant ce temps, les grognements du baiseur se firent plus concretsâŠ
Il assenait de vĂ©ritables coups de boutoir Ă la tarlouze quâil dĂ©fonçait sans vergogne, la faisant sauter sur place Ă chaque fois.
Les yeux rivĂ©s sur la scĂšne, jâentrais presque en transe.
Mon mec sâĂ©tait glissĂ© derriĂšre moi, tentant de mâĂ©carter les jambes prisonniĂšres de mon short.
- « Aller, vire ton short et ton slip !!! »
Jâai obĂ©i machinalement.
Me dĂ©couvrant docile, il mâa alors retirĂ© mon tee-shirt.
Il nâavait fallu que quelques minutes pour que je sois nu, avec juste mes baskets aux pieds, mes fringues posĂ©es au sol nĂ©gligemment.
Il mâa attrapĂ© le poignet pour que jâarrĂȘte de me branler et mâa guidĂ© vers sa bite.
Bien sûr, je me suis laissé faire, empoignant délicatement le pieu de chair sur mon cÎté.
Je me souviens de lâavoir trouvĂ© doux comme du velours, et raide comme une poutre.
Sa peau glissait soyeusement dans ma paume lui arrachant de petites contractions.
Je jouais avec précaution sur son gland entre pouce et index.
Devant nous, le couple sâĂ©tait figĂ©.
LâĂ©talon tirait de ses mains le bassin quâil venait de fĂ©conder pour mieux se planter au fond.
Il grognait des mots incomprĂ©hensibles dâoĂč nous Ă©tions.
Il a fini par se retirer en nous regardant et se reculer suffisamment pour nous laisser voir les fesses trempées de son petit PD.
Sans empressement, ils se sont tous deux rajustés et sont passés prÚs de nous, sourire aux lÚvres, pour retourner à leur véhicule respectif.
Ă notre niveau, mon mec, comme pour mâhumilier devant eux, rompait le silence :
- « Câest ton tout maintenant, Je vais tâenculer moi aussi ! »
Le couple sâĂ©loignait, jâĂ©tais dans un Ă©tat second.
Je gigotais, plaqué aux cuisses de mon futur amant, tiraillé entre crainte et envie.
- « Ce nâest pas trĂšs discret ici. »
- « On sâen fout ! Je sais que tu en as envie ! »
- « Dâaccord, mais pas ici. »
- « Suis moi⊠»
Jâai voulu ramasser mes vĂȘtements mais il mâen a empĂȘchĂ©. »
- « Laisse, on ne va pas loin, yâa personne qui viendra te les voler. »
- « Oui, mais jâai mes clefs⊠»
- « Oh, ne fais pas chier ! Suis-moi je te dis⊠Obéis un peu si tu veux que je te baise ! »
Et câest ce que jâai fait !
PaniquĂ© mais trop excitĂ© pour mâopposer Ă lui.
Il devait ĂȘtre habituĂ© de lâendroit car il mâa guidĂ© vers le petit muret qui ceinturait la zone.
Là , caché du parking, le grillage était ouvert, probablement par les habitués.
Nous nous sommes retrouvĂ©s hors de lâAire, sur un petit chemin de terre bordant cette derniĂšre.
De petits bosquets, éclairés par la lueur blafarde de la lune, proposaient des petits coins tranquilles.
On pouvait voir les toilettes et le parking, ce qui me rassura un peu.
Je marchais, nu, devant lui en ondulant des fesses consciemmentâŠ
Jâavais vraiment, comme le dit lâexpression, le feu au cul !
LĂ , Ă quelques mĂštres du chemin, nous nous sommes enfoncĂ©s un peu jusquâĂ un genre de clairiĂšre, propice Ă nos futurs Ă©bats.
Il mâa tirĂ© vers lui pour me prendre dans ses brasâŠ
Je sentais sa queue quâil avait gardĂ© hors de sa braguette, sur ma peauâŠ
Et jâen avais envie !
Il susurrait des mots qui mâĂ©lectrisaient encore plus.
- « Tu as envie dâĂȘtre ma salope, ma petite pute docile ? »
- « Oh Oui ! »
- « Non, je ne veux pas que tu rĂ©pondes comme ça, je veux tâentendre parler, me supplier⊠»
- « Je veux ĂȘtre votre salope, votre pute. »
- « Bien, ça tâa excitĂ© de voir la tapette se faire enculer tout Ă lâheure. Tu voulais prendre sa place !? »
- « Oh oui, jâaurais aimĂ© ça. »
- « Je vais mâoccuper de ton petit cul⊠Ou tu prĂ©fĂšres que je parle de ta chatte ? »
- « ⊠»
Alors, tarlouze, je tâai posĂ© une question, tu rĂ©ponds !
- « De ma chatte⊠»
Il Ă©tait devenu plus autoritaire, je ne voulais pas le contrarier.
Jâavoue mĂȘme prĂ©fĂ©rer endosser le rĂŽle de femelle que de simple tapette.
Ses mains se sont posĂ©es sur mes Ă©paules pour mâindiquer que je devais mâagenouiller. Ensuite, une main derriĂšre ma nuque, de lâautre Il guida son gland luisant vers mon visage.
Mon hĂ©sitation fut de courte durĂ©eâŠ
DĂ©licatement, je pris le bout de chair qui mâĂ©tait prĂ©sentĂ©, entre mes lĂšvres.
Il était chaud, soyeux et finalement bien agréable à téter.
Jâosais parfois, le lĂącher pour simplement le lĂ©cher ou laisser ma langue glisser le long du mandrin quâil surmontait.
La pression sur ma nuque mâimposa dâengamer plus profondĂ©ment le membre pour quâen « bonne salope », je taille une pipe Ă son propriĂ©taire.
Ce que je fis avec application !
Pendant un petit quart dâheure, jâai sucĂ©, lĂ©chĂ© et branlĂ© avec dĂ©lectation cet homme qui mâĂ©tait encore inconnu une heure auparavant.
Il sâest enfin penchĂ© sur moi, sa main est descendue de ma nuque Ă mes fesses doucement.
Il nâa pas perdu de temps pour venir me prĂ©parer car, un, puis deux doigts sont venus me fouiller.
Jâoffrais peu de rĂ©sistance tant lâenvie Ă©tait forte.
- « Tâes prĂȘte, relĂšve-toi ! »
Il me parlait comme Ă une fille !
Je me suis levĂ©, retournĂ© et penchĂ© vers lâavant sans quâil ait besoin de le demander.
- « Câest bien ! Ăcarte tes fesses ! Montre-moi que tu veux devenir ma petite femme, ma salope ! »
Je nâai pas eu Ă rĂ©pondre.
Il a crachĂ© sur ses doigts pour venir me lubrifier et mâa abandonnĂ© un instant.
Il avait sorti un prĂ©servatif quâil avait aussitĂŽt enfilĂ©.
Jâai apprĂ©ciĂ© ce geste bien que dans lâĂ©tat second dans lequel je me trouvais, il aurait pu me baiser Ă cru sans que je mây oppose.
Du pied, il mâa ouvert encore plus les jambes et a appuyĂ© sur mes reins pour me signifier de me baisser vers lâavant.
La tĂȘte au niveau des cuisses, jâavais maintenant le cul en lâair et de mes deux mains, jâĂ©cartais exagĂ©rĂ©ment mes fesses.
Il a guidé sa bite entre elles pour venir me caresser la rondelle de son gland.
Il sâest ensuite figĂ© et jâai senti la pression tant attendue.
Je reculais discrĂštement vers le braquemard pour lâaider.
- « Parle, dis-moi que tâes ma petite pute⊠Que tu veux que je te baise la chatte ! »
Jâentrais Ă©videmment dans son jeu sans quâil ait besoin dâinsister.
- « Ma chatte de pute est à vous. »
Sa queue sâest enfoncĂ©e lentement sans rencontrer de rĂ©elle rĂ©sistance.
Jâondulais du bassin comme le ferait une vraie femelle au rythme des « oui » discrets que je poussais.
Fermement ancré sur mes hanches, il entreprit des mouvements de piston de plus en plus profond, prononçant des insanités trÚs excitantes.
Tout ça me plaisait tellement !
Ătait-ce la circulation ou simplement Ă©tions nous trop occupĂ©s, nous nâavions pas entendu un autre homme arriver.
Je lâai remarquĂ© sur notre gauche et me suis redressĂ© pour le faire savoir Ă mon amant.
Je ne pouvais pas me cacher, encore moins me revĂȘtir !
Peur et excitation mĂȘlĂ©es, je me retrouvais debout, exposĂ© une bite dans le fondement au regard vicieux de lâarrivant.
Mon mec (Ben oui, câest ainsi quâil Ă©tait devenu) tentant de me rassurer, me glissa Ă lâoreille :
- « Nâaie pas peur, je suis là ⊠Laisse le regarder, câest juste un voyeur. »
- « Ăa me gĂȘne ! »
- « Non, ça tâexcite ! On est allĂ© trop loin pour sâarrĂȘter ainsi. »
Jâabdiquais en faisant tourner dĂ©licatement mes fesses sur son pubis.
Il mâenserra la poitrine, me fit tourner en direction du type qui, manifestement se masturbait.
Remontant ses mains au-dessus de mes Ă©paules pour venir les joindre derriĂšre ma tĂȘte, il lui montrait sans vergogne que jâĂ©tais sa proie.
Je me retrouvais prisonniÚre, les bras en croix, affichée sans pudeur.
Ses ruades reprirent, berçant la nuit dâun bruit semblable Ă des claques sur mes fesses, mâarrachant des petites plaintes Ă©touffĂ©es au dĂ©but.
Il relĂącha sa clef pour me remettre dans la position prĂ©cĂ©dente en prenant soin de tirer ma tĂȘte en arriĂšre.
JâĂ©tais cambrĂ© Ă lâextrĂȘme, le visage face au voyeur, le cul bien relevĂ© Ă subir ses ruades ponctuĂ©es de ses quolibets.
Ses mots crus me transportaient.
Il me semblait ĂȘtre une femelle Ă la saillie et comme telle, ressentir ces coups de pilon dans mon vagin.
Jâagissais maintenant comme telle !
Pas Ă pas, discrĂštement, lâautre larron sâĂ©tait approchĂ© pour se planter face Ă moiâŠ
Jâimaginais, probablement Ă tort, que ce nâĂ©tait que pour mieux voir, mieux entendre.
Je devinais son gland sortir de son fourreau tandis quâil se masturbait.
CâĂ©tait une premiĂšre pour moi !
Jâavais secrĂštement une envie folle de me jeter sur sa queue.
Ce fut fait quand les assauts de mon mec mâenvoyĂšrent vers lâavant, jâai pris appui sur les cuisses du gars qui se raidit.
Il pouvait alors frapper mes lĂšvres en sâastiquant et jâai machinalement ouvert la bouche comme une putain le ferait.
Si lâhomme restait muet, mon baiseur Ă©tait plus loquace.
- « Suce-le, salope ! Sois une bonne chienne ! »
Il avait le don pour me rendre folle.
Il devinait mes envies.
Jâai pris la queue offerte dans ma bouche pour lui prodiguer une fellation digne de ce nom.
JâĂ©tais prise en Ă©tau entre ces deux hommes, une bite dans chaque trou, Ă gĂ©mir sans retenue.
Les couilles de mon mec frappaient les miennes maintenant.
Ses mains sur mes hanches me tiraient vers lui et ses coups me renvoyaient Ă la rencontre de lâautre queue.
Je mâĂ©tais entiĂšrement libĂ©rĂ©e, acceptant mon sort en couinant de plaisir comme une bonne chienne que jâĂ©tais devenueâŠ
PartagĂ©e entre ces deux types qui ne voyaient en moi, quâun moyen de se vider les couilles.
Jâen oubliais la rĂ©alitĂ© et profitais pleinement de lâinstant.
Le voyeur sâest reculĂ© sans dire un mot, me laissant bouche ouverte avant de comprendre quâil allait jouir.
Jâai reçu ses giclĂ©es sur le visage et la poitrine.
Jâaime Ă penser que câest le spectacle que nous lui avions offert qui avait eu raison de lui.
Il sâest rajustĂ© et sâest Ă©loignĂ© comme il Ă©tait arrivĂ©, sans bruits, sans mĂȘme me remercier !
Mon mec semblait satisfait de ma prestation en sâacharnant dans mes entrailles presque violemment.
Ses coups redoublaient fébrilement entre mes fesses.
Ses insultes incompréhensibles pleuvaient.
JâĂ©tais aux anges Ă me faire dĂ©licieusement Ă©ventrer sans rechigner.
Le dard qui me labourait le ventre mâinondait dâun plaisir subtil.
Il me disait que jâallais pouvoir faire le tapin (oups) et que je ne devais plus me cacher.
Pour lui, jâavais le cul dont pouvaient rĂȘver tous les hommes et une meilleur chatte quâune femmeâŠ
Il mâencourageait de ses commentaires quand je gĂ©missais sans retenue !
- « Humm⊠Prends ça dit-il en se figeant au plus profond de ma chatte. »
Il jouissait !
Je tentais de gigoter encore sur sa bite mais il me bloquait contre lui, ne me laissant que lâopportunitĂ© de jouer de petites contractions.
Je ne regrettais que de ne pas avoir pu ĂȘtre insĂ©minĂ©e du fait de la capote mais ce simulacre de fĂ©condation mâavait vraiment emportĂ©.
Nous sommes restĂ©s ainsi, collĂ©s lâun Ă lâautre, Ă apprĂ©cier le moment.
Je me suis redressĂ© doucement quand jâai senti sa raideur disparaitre jusquâĂ ce quâil se retire. En me retournant, jâai pu constater quâil me montrait fiĂšrement le prĂ©servatif rempli qui pendait au bout de sa bite.
- « Regarde ce que tu as loupé ma salope ! »
CâĂ©tait comme sâil retournait le couteau dans la plaie, jâaurais tant aimĂ© le recevoir en moi.
Il a enlevé la protection pour ranger son attirail en prétextant devoir rentrer chez lui.
Une fausse excuse que jâacceptais malgrĂ© moi.
Jâavais quand mĂȘme, en moins dâune heure, connu un plaisir nouveau pour moi, soumise Ă un homme, offerte Ă un autre !
JâĂ©tais bien dĂ©cidĂ© Ă retenter une telle aventure si lâavenir me le proposait.
Nous sommes donc revenus en faisant chemin inverse.
Toujours nu, il mâa passĂ© la main aux fesses quand jâai enjambĂ© le muret.
Effronté, je les ai écartées pour sentir une derniÚre fois ses doigts caresser ma chatte.
De lâautre cĂŽtĂ©, je retrouvais avec satisfaction mon short et mon tee-shirt ! Cette fois, câest moi qui ai pris les devants :
- « Merci⊠Merci beaucoup ! »
- « Jâai tout de suite compris ce que tu cherchais quand tu mâas regardĂ© aux chiottes. »
- « Ah bon ? »
- « Oui, jâai vu une tapette⊠Je me suis doutĂ© que tu avais envie dâĂȘtre prise comme une salope. »
- « Ce nâest pas mon habitude ! »
- « Pas encore, mais ça viendra. Tu aimeras ça de plus en plus. Il ne te reste quâĂ te travestir ! »
Nous avons échangé encore quelques minutes, pour finalement, retourner chacun de notre cÎté à nos véhicules respectifs.
Il a repris la route, moi, je suis resté dans la pénombre à me branler en repensant au délicieux moment passé précédemment.
Mes convictions Ă©taient Ă revoir, je nâĂ©tais plus vraiment un mĂąle mais en route de devenir (secrĂštement) une salope.
1 year ago