La RIPAILLE

AIRE de REPOS.

J’avais pris l’habitude de faire une petite halte sur l’Aire de la Ripaille, un peu avant Annecy. Cette fois encore, lors de mon voyage, je venais m’y garer pour une petite halte.
Je ne cacherai pas que je connaissais l’endroit

Pas de station mais juste une petite construction abritant les toilettes, juste une aire dortoir.
On pouvait deviner facilement ce qui se tramait ici en remarquant le ballet des hommes qui sortaient pour revenir peu aprĂšs.
Tard dans la nuit, l’endroit servait de lieu de rencontre aux voyageurs isolĂ©s.
Sur la gauche, des bosquets rabougris et faciles d’accĂšs, parmi lesquels disparaissaient parfois des hommes de passage, routiers ou simples voyageurs Ă  la recherche d’une discrĂ©tion relative.La RIPAILLE
Nous Ă©tions peu nombreux Ă  stationner sur l’aire.
IntriguĂ© par le manĂšge de cet homme qui, sorti quelques instants plus tĂŽt des toilettes, y retournait, je me dĂ©cidais de m’y rendre Ă  mon tour.
L’endroit Ă©tait glauque, l’odeur presque dĂ©rangeante.
L’homme, la quarantaine probablement feignait pisser au fond des lieux.
Je m’arrĂȘtais Ă  quelques urinoirs de lui, pour l’imiter.
Je sentais son regard pressant

Il s’est lĂ©gĂšrement reculĂ©, comme pour me laisser voir sa queue tendue et dĂ©jĂ  bien raide.
J’ai timidement regardĂ©.
Il lui restait à ferrer le poisson, ce qu’il fit en se tournant vers moi !
Sa bite dressée paraissait me viser.
J’ai levĂ© les yeux, il souriait.
PlongĂ© dans mon regard, il avait compris l’intĂ©rĂȘt que je portais Ă  son encontre et se masturbait maintenant fiĂšrement.
Je me suis tourné vers lui à mon tour, laissant descendre un peu plus mon short et mon slip.
Un autre homme est entré.
Je me rajustais rapidement.
Le premier est resté tranquille, rangeant son attirail sans précipitation.
En sortant avant moi, je vis ce petit signe discret de la tĂȘte qui m’intimait de le suivre.
J’en avais le palpitant qui battait à tout rompre dans ma poitrine quand je suis sorti à mon tour.
Tranquillement, l’homme marchait en direction des buissons Ă©parses qui marquaient la limite de l’Aire.
Je lui emboitais le pas, comme hypnotisé.
ArrivĂ© Ă  l’abri des vues, nous dĂ©couvrions un peu plus loin un couple en pleine action !
Il s’est arrĂȘtĂ© me faisant signe de le rejoindre, sorti Ă  nouveau sa bite et profita du spectacle qu’offrait les deux amants dĂ©couverts.
- « C’est sympa ici, tu ne trouves pas ? »
- « Oui. »
- « Regarde, ils savent qu’on les matte
 Branle toi aussi ! »
Appuyé à une branche basse, le baisé couinait comme une petite chienne à chaque coup de bite

Je l’enviais !
L’autre, conscient aussi de notre prĂ©sence, se dĂ©chainait, nous montrant parfois les fesses qu’il tenait Ă©cartĂ©es.
Je baissais mon slip et mon short

Moi, je bandais Ă  l’idĂ©e de prendre la place de cette petite salope

Mon compagnon, d’un soir, certainement celle d’ĂȘtre celui qui baise.
Il s’est approchĂ© de moi et j’ai senti sa main se poser sur mes hanches et me tirer vers lui.
Mon short glissait Ă  mes chevilles.
J’ai senti sa cuisse contre mes fesses, son gland me touchait parfois pendant qu’il se branlait. Il a senti que je creusais les reins !
- « T’aimerais te faire baiser comme ça ? »
- « Oui
 Oh ouiiiii !!! »
Pendant ce temps, les grognements du baiseur se firent plus concrets

Il assenait de vĂ©ritables coups de boutoir Ă  la tarlouze qu’il dĂ©fonçait sans vergogne, la faisant sauter sur place Ă  chaque fois.
Les yeux rivĂ©s sur la scĂšne, j’entrais presque en transe.
Mon mec s’était glissĂ© derriĂšre moi, tentant de m’écarter les jambes prisonniĂšres de mon short.
- « Aller, vire ton short et ton slip !!! »
J’ai obĂ©i machinalement.
Me dĂ©couvrant docile, il m’a alors retirĂ© mon tee-shirt.
Il n’avait fallu que quelques minutes pour que je sois nu, avec juste mes baskets aux pieds, mes fringues posĂ©es au sol nĂ©gligemment.
Il m’a attrapĂ© le poignet pour que j’arrĂȘte de me branler et m’a guidĂ© vers sa bite.
Bien sûr, je me suis laissé faire, empoignant délicatement le pieu de chair sur mon cÎté.
Je me souviens de l’avoir trouvĂ© doux comme du velours, et raide comme une poutre.
Sa peau glissait soyeusement dans ma paume lui arrachant de petites contractions.
Je jouais avec précaution sur son gland entre pouce et index.
Devant nous, le couple s’était figĂ©.
L’étalon tirait de ses mains le bassin qu’il venait de fĂ©conder pour mieux se planter au fond.
Il grognait des mots incomprĂ©hensibles d’oĂč nous Ă©tions.
Il a fini par se retirer en nous regardant et se reculer suffisamment pour nous laisser voir les fesses trempées de son petit PD.
Sans empressement, ils se sont tous deux rajustés et sont passés prÚs de nous, sourire aux lÚvres, pour retourner à leur véhicule respectif.
À notre niveau, mon mec, comme pour m’humilier devant eux, rompait le silence :
- « C’est ton tout maintenant, Je vais t’enculer moi aussi ! »
Le couple s’éloignait, j’étais dans un Ă©tat second.
Je gigotais, plaqué aux cuisses de mon futur amant, tiraillé entre crainte et envie.
- « Ce n’est pas trĂšs discret ici. »
- « On s’en fout ! Je sais que tu en as envie ! »
- « D’accord, mais pas ici. »
- « Suis moi
 »
J’ai voulu ramasser mes vĂȘtements mais il m’en a empĂȘchĂ©. »
- « Laisse, on ne va pas loin, y’a personne qui viendra te les voler. »
- « Oui, mais j’ai mes clefs
 »
- « Oh, ne fais pas chier ! Suis-moi je te dis
 ObĂ©is un peu si tu veux que je te baise ! »
Et c’est ce que j’ai fait !
PaniquĂ© mais trop excitĂ© pour m’opposer Ă  lui.
Il devait ĂȘtre habituĂ© de l’endroit car il m’a guidĂ© vers le petit muret qui ceinturait la zone.
Là, caché du parking, le grillage était ouvert, probablement par les habitués.
Nous nous sommes retrouvĂ©s hors de l’Aire, sur un petit chemin de terre bordant cette derniĂšre.
De petits bosquets, éclairés par la lueur blafarde de la lune, proposaient des petits coins tranquilles.
On pouvait voir les toilettes et le parking, ce qui me rassura un peu.
Je marchais, nu, devant lui en ondulant des fesses consciemment

J’avais vraiment, comme le dit l’expression, le feu au cul !
LĂ , Ă  quelques mĂštres du chemin, nous nous sommes enfoncĂ©s un peu jusqu’à un genre de clairiĂšre, propice Ă  nos futurs Ă©bats.
Il m’a tirĂ© vers lui pour me prendre dans ses bras

Je sentais sa queue qu’il avait gardĂ© hors de sa braguette, sur ma peau

Et j’en avais envie !
Il susurrait des mots qui m’électrisaient encore plus.
- « Tu as envie d’ĂȘtre ma salope, ma petite pute docile ? »
- « Oh Oui ! »
- « Non, je ne veux pas que tu rĂ©pondes comme ça, je veux t’entendre parler, me supplier
 »
- « Je veux ĂȘtre votre salope, votre pute. »
- « Bien, ça t’a excitĂ© de voir la tapette se faire enculer tout Ă  l’heure. Tu voulais prendre sa place !? »
- « Oh oui, j’aurais aimĂ© ça. »
- « Je vais m’occuper de ton petit cul
 Ou tu prĂ©fĂšres que je parle de ta chatte ? »
- « 
 »
Alors, tarlouze, je t’ai posĂ© une question, tu rĂ©ponds !
- « De ma chatte
 »
Il Ă©tait devenu plus autoritaire, je ne voulais pas le contrarier.
J’avoue mĂȘme prĂ©fĂ©rer endosser le rĂŽle de femelle que de simple tapette.
Ses mains se sont posĂ©es sur mes Ă©paules pour m’indiquer que je devais m’agenouiller. Ensuite, une main derriĂšre ma nuque, de l’autre Il guida son gland luisant vers mon visage.
Mon hésitation fut de courte durée

DĂ©licatement, je pris le bout de chair qui m’était prĂ©sentĂ©, entre mes lĂšvres.
Il était chaud, soyeux et finalement bien agréable à téter.
J’osais parfois, le lĂącher pour simplement le lĂ©cher ou laisser ma langue glisser le long du mandrin qu’il surmontait.
La pression sur ma nuque m’imposa d’engamer plus profondĂ©ment le membre pour qu’en « bonne salope », je taille une pipe Ă  son propriĂ©taire.
Ce que je fis avec application !
Pendant un petit quart d’heure, j’ai sucĂ©, lĂ©chĂ© et branlĂ© avec dĂ©lectation cet homme qui m’était encore inconnu une heure auparavant.
Il s’est enfin penchĂ© sur moi, sa main est descendue de ma nuque Ă  mes fesses doucement.
Il n’a pas perdu de temps pour venir me prĂ©parer car, un, puis deux doigts sont venus me fouiller.
J’offrais peu de rĂ©sistance tant l’envie Ă©tait forte.
- « T’es prĂȘte, relĂšve-toi ! »
Il me parlait comme Ă  une fille !
Je me suis levĂ©, retournĂ© et penchĂ© vers l’avant sans qu’il ait besoin de le demander.
- « C’est bien ! Écarte tes fesses ! Montre-moi que tu veux devenir ma petite femme, ma salope ! »
Je n’ai pas eu Ă  rĂ©pondre.
Il a crachĂ© sur ses doigts pour venir me lubrifier et m’a abandonnĂ© un instant.
Il avait sorti un prĂ©servatif qu’il avait aussitĂŽt enfilĂ©.
J’ai apprĂ©ciĂ© ce geste bien que dans l’état second dans lequel je me trouvais, il aurait pu me baiser Ă  cru sans que je m’y oppose.
Du pied, il m’a ouvert encore plus les jambes et a appuyĂ© sur mes reins pour me signifier de me baisser vers l’avant.
La tĂȘte au niveau des cuisses, j’avais maintenant le cul en l’air et de mes deux mains, j’écartais exagĂ©rĂ©ment mes fesses.
Il a guidé sa bite entre elles pour venir me caresser la rondelle de son gland.
Il s’est ensuite figĂ© et j’ai senti la pression tant attendue.
Je reculais discrùtement vers le braquemard pour l’aider.
- « Parle, dis-moi que t’es ma petite pute
 Que tu veux que je te baise la chatte ! »
J’entrais Ă©videmment dans son jeu sans qu’il ait besoin d’insister.
- « Ma chatte de pute est à vous. »
Sa queue s’est enfoncĂ©e lentement sans rencontrer de rĂ©elle rĂ©sistance.
J’ondulais du bassin comme le ferait une vraie femelle au rythme des « oui » discrets que je poussais.
Fermement ancré sur mes hanches, il entreprit des mouvements de piston de plus en plus profond, prononçant des insanités trÚs excitantes.
Tout ça me plaisait tellement !
Était-ce la circulation ou simplement Ă©tions nous trop occupĂ©s, nous n’avions pas entendu un autre homme arriver.
Je l’ai remarquĂ© sur notre gauche et me suis redressĂ© pour le faire savoir Ă  mon amant.
Je ne pouvais pas me cacher, encore moins me revĂȘtir !
Peur et excitation mĂȘlĂ©es, je me retrouvais debout, exposĂ© une bite dans le fondement au regard vicieux de l’arrivant.
Mon mec (Ben oui, c’est ainsi qu’il Ă©tait devenu) tentant de me rassurer, me glissa Ă  l’oreille :
- « N’aie pas peur, je suis là
 Laisse le regarder, c’est juste un voyeur. »
- « Ça me gĂȘne ! »
- « Non, ça t’excite ! On est allĂ© trop loin pour s’arrĂȘter ainsi. »
J’abdiquais en faisant tourner dĂ©licatement mes fesses sur son pubis.
Il m’enserra la poitrine, me fit tourner en direction du type qui, manifestement se masturbait.
Remontant ses mains au-dessus de mes Ă©paules pour venir les joindre derriĂšre ma tĂȘte, il lui montrait sans vergogne que j’étais sa proie.
Je me retrouvais prisonniÚre, les bras en croix, affichée sans pudeur.
Ses ruades reprirent, berçant la nuit d’un bruit semblable Ă  des claques sur mes fesses, m’arrachant des petites plaintes Ă©touffĂ©es au dĂ©but.
Il relĂącha sa clef pour me remettre dans la position prĂ©cĂ©dente en prenant soin de tirer ma tĂȘte en arriĂšre.
J’étais cambrĂ© Ă  l’extrĂȘme, le visage face au voyeur, le cul bien relevĂ© Ă  subir ses ruades ponctuĂ©es de ses quolibets.
Ses mots crus me transportaient.
Il me semblait ĂȘtre une femelle Ă  la saillie et comme telle, ressentir ces coups de pilon dans mon vagin.
J’agissais maintenant comme telle !
Pas Ă  pas, discrĂštement, l’autre larron s’était approchĂ© pour se planter face Ă  moi

J’imaginais, probablement Ă  tort, que ce n’était que pour mieux voir, mieux entendre.
Je devinais son gland sortir de son fourreau tandis qu’il se masturbait.
C’était une premiĂšre pour moi !
J’avais secrùtement une envie folle de me jeter sur sa queue.
Ce fut fait quand les assauts de mon mec m’envoyùrent vers l’avant, j’ai pris appui sur les cuisses du gars qui se raidit.
Il pouvait alors frapper mes lùvres en s’astiquant et j’ai machinalement ouvert la bouche comme une putain le ferait.
Si l’homme restait muet, mon baiseur Ă©tait plus loquace.
- « Suce-le, salope ! Sois une bonne chienne ! »
Il avait le don pour me rendre folle.
Il devinait mes envies.
J’ai pris la queue offerte dans ma bouche pour lui prodiguer une fellation digne de ce nom.
J’étais prise en Ă©tau entre ces deux hommes, une bite dans chaque trou, Ă  gĂ©mir sans retenue.
Les couilles de mon mec frappaient les miennes maintenant.
Ses mains sur mes hanches me tiraient vers lui et ses coups me renvoyaient à la rencontre de l’autre queue.
Je m’étais entiĂšrement libĂ©rĂ©e, acceptant mon sort en couinant de plaisir comme une bonne chienne que j’étais devenue

PartagĂ©e entre ces deux types qui ne voyaient en moi, qu’un moyen de se vider les couilles.
J’en oubliais la rĂ©alitĂ© et profitais pleinement de l’instant.
Le voyeur s’est reculĂ© sans dire un mot, me laissant bouche ouverte avant de comprendre qu’il allait jouir.
J’ai reçu ses giclĂ©es sur le visage et la poitrine.
J’aime à penser que c’est le spectacle que nous lui avions offert qui avait eu raison de lui.
Il s’est rajustĂ© et s’est Ă©loignĂ© comme il Ă©tait arrivĂ©, sans bruits, sans mĂȘme me remercier !
Mon mec semblait satisfait de ma prestation en s’acharnant dans mes entrailles presque violemment.
Ses coups redoublaient fébrilement entre mes fesses.
Ses insultes incompréhensibles pleuvaient.
J’étais aux anges Ă  me faire dĂ©licieusement Ă©ventrer sans rechigner.
Le dard qui me labourait le ventre m’inondait d’un plaisir subtil.
Il me disait que j’allais pouvoir faire le tapin (oups) et que je ne devais plus me cacher.
Pour lui, j’avais le cul dont pouvaient rĂȘver tous les hommes et une meilleur chatte qu’une femme

Il m’encourageait de ses commentaires quand je gĂ©missais sans retenue !
- « Humm
 Prends ça dit-il en se figeant au plus profond de ma chatte. »
Il jouissait !
Je tentais de gigoter encore sur sa bite mais il me bloquait contre lui, ne me laissant que l’opportunitĂ© de jouer de petites contractions.
Je ne regrettais que de ne pas avoir pu ĂȘtre insĂ©minĂ©e du fait de la capote mais ce simulacre de fĂ©condation m’avait vraiment emportĂ©.
Nous sommes restĂ©s ainsi, collĂ©s l’un Ă  l’autre, Ă  apprĂ©cier le moment.
Je me suis redressĂ© doucement quand j’ai senti sa raideur disparaitre jusqu’à ce qu’il se retire. En me retournant, j’ai pu constater qu’il me montrait fiĂšrement le prĂ©servatif rempli qui pendait au bout de sa bite.
- « Regarde ce que tu as loupé ma salope ! »
C’était comme s’il retournait le couteau dans la plaie, j’aurais tant aimĂ© le recevoir en moi.
Il a enlevé la protection pour ranger son attirail en prétextant devoir rentrer chez lui.
Une fausse excuse que j’acceptais malgrĂ© moi.
J’avais quand mĂȘme, en moins d’une heure, connu un plaisir nouveau pour moi, soumise Ă  un homme, offerte Ă  un autre !
J’étais bien dĂ©cidĂ© Ă  retenter une telle aventure si l’avenir me le proposait.
Nous sommes donc revenus en faisant chemin inverse.
Toujours nu, il m’a passĂ© la main aux fesses quand j’ai enjambĂ© le muret.
Effronté, je les ai écartées pour sentir une derniÚre fois ses doigts caresser ma chatte.
De l’autre cĂŽtĂ©, je retrouvais avec satisfaction mon short et mon tee-shirt ! Cette fois, c’est moi qui ai pris les devants :
- « Merci
 Merci beaucoup ! »
- « J’ai tout de suite compris ce que tu cherchais quand tu m’as regardĂ© aux chiottes. »
- « Ah bon ? »
- « Oui, j’ai vu une tapette
 Je me suis doutĂ© que tu avais envie d’ĂȘtre prise comme une salope. »
- « Ce n’est pas mon habitude ! »
- « Pas encore, mais ça viendra. Tu aimeras ça de plus en plus. Il ne te reste qu’à te travestir ! »
Nous avons échangé encore quelques minutes, pour finalement, retourner chacun de notre cÎté à nos véhicules respectifs.
Il a repris la route, moi, je suis resté dans la pénombre à me branler en repensant au délicieux moment passé précédemment.
Mes convictions Ă©taient Ă  revoir, je n’étais plus vraiment un mĂąle mais en route de devenir (secrĂštement) une salope.
Published by drd74
1 year ago
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to Janus595 : merci
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Janus595 1 year ago
superbe récit
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to jacbisex59 : merci d'apprécier 
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to jeandomino : hummmm oui
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to biroute1 : fait toi plaisir
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biroute1 1 year ago
Tes billets me font de l'effet , j'ai la bite gonflée et les couilles pleine . Merci à toi mon cochon.
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jeandomino
jeandomino 1 year ago
Tu es vraiment une bonne lopette
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jacbisex59
jacbisex59 1 year ago
Toujours aussi excitant. Merci.
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