Maryse (suite 4)

Il est bientĂŽt 18H et mon tĂ©lĂ©phone sonne. C’est mon mari. Je quitte la chambre et part dans le salon m’isoler pour lui rĂ©pondre.
« oui quoi de neuf »



« Nadine et Jean vont bien? »



« Vous avez pu avancer? »



« oui j’ai Ă©tĂ© appelĂ©e au boulot   »



« oui j’y suis encore pour un moment, je ne sais pas Ă  quelle heure nous allons terminer   »




Tout en parlant Ă  mon mari je sens une prĂ©sence dans mon dos. JoĂ«l est venu se coller contre moi et sans dire un mot commence Ă  me serrer dans ses bras contre lui. Une main sur ma poitrine et l’autre sur mon ventre, il commence Ă  me caresser et Ă  m’embrasser dans le cou. Je suis tĂ©tanisĂ©e. Je sens son sexe qui commence Ă  gonfler dans le bas de mon dos contre mes fesses. D’une main il pĂ©trit mes seins et joue avec mes tĂ©tons qui deviennent durs instantanĂ©ment, de l’autre il caresse mon ventre et ses doigts partent fouiller ma vulve, il m’embrasse dans le cou, me mordille le lobe de l’oreille. Je me mord les lĂšvres pour Ă©viter de gĂ©mir, je tente de repousser ses mains mais c’est peine perdue. Je sens monter en moi l’excitation. Ma vulve devient humide. Ses doigts s’immiscent entre mes lĂšvres et s’enfoncent dans mon vagin. Je retiens Ă  grand peine un cri de plaisir. Son pĂ©nis est maintenant tendu, je le sens durcir et tenter de s’insinuer entre mes fesses. J’ai toutes les peines du monde Ă  Ă©couter ce que dit mon mari et Ă  lui rĂ©pondre. JoĂ«l se joue de mon embarras. Il saisit son sexe d’une main et le dirige contre ma vulve. Il frotte son gland entre mes lĂšvres dĂ©goulinante de cyprine. J’abrĂšge la conversation avec mon mari en prĂ©textant que l’on a besoin de moi en salle et je raccroche, juste avant que JoĂ«l ne me pĂ©nĂštre.
« non mais ça ne va pas bien? 
 Tu es complĂštement fou 
 j’ai cru mourir   »
JoĂ«l ne m’écoute pas. Il m’entraine vers la table de son sĂ©jour et me pĂ©nĂštre en levrette sans mĂ©nagement. Mon ventre et ma poitrine sont collĂ©s au verre du plateau de sa table. Il me maintient ainsi fermement avec ses mains dans mon dos et Ă  grand coup de bassin me dĂ©fonce bestialement.
«  Pourquoi as tu raccrochĂ© avant que je te prenne? J’avais trĂšs envie d’ĂȘtre en toi pendant que tu parlais Ă  ton mari. » me lance-t-il tout en continuant de me pilonner.
« Non mais tu es malade   »
« Tu n’es vraiment pas joueuse 
 c’est excitant pourtant? »
« Ah pour toi c’est sĂ»r 
 J’ai bien remarquĂ©. Mais moi j’ai cru que mon coeur allait s’arrĂȘter. »
Il continue ses va et vient un moment et juste avant de jouir, me redresse, m’oblige Ă  m’agenouiller devant lui, me saisit par les cheveux et enfonce son arbre dans ma bouche. Un premier jet de sperme inonde ma bouche, les suivants me tapissent le fond de la gorge. Il maintient ma tĂȘte jusqu’à ce qu’il ait fini de jouir, m’obligeant Ă  le sucer jusqu’à la derniĂšre goutte.
J’avale tout son sperme. Je suis impressionnĂ©e par la quantitĂ© qu’il vient encore de lĂącher dans ma bouche alors qu’il a joui je ne sais combien de fois depuis ce matin. DĂ©cidĂ©ment c’est vraiment un amant hors normes dans tous les sens du terme.

AprĂšs une bonne douche, il m’emmĂšne diner dans un super restaurant. En rentrant chez lui, il me dĂ©shabille en me conduisant directement dans sa chambre. Il me couche sur le lit, et prend des « accessoires » dans le tiroir de sa table de nuit. Je le vois en sortir des menottes. Il m’attache les poignets aux montants de son lit et me bande les yeux avec un foulard. Me voilĂ  entiĂšrement nue et totalement offerte Ă  son bon vouloir. Il se couche sur moi et commence par m’embrasser dans le cou, puis c’est au tour de mes seins, il joue de sa bouche avec mes tĂ©tons. Il descend, embrasse mon ventre, descend encore un peu et saisit mon clitoris entre ses lĂšvres, me suce, me mordille, joue avec sa langue, lĂšche ma vulve, sa langue s’immisce entre mes lĂšvres. Je ruisselle et lui se dĂ©lecte de mon jus. Un orgasme monte en moi, puissant, ravageur. Je me tord sur le lit en criant sans retenue. Il me pĂ©nĂštre alors tout en douceur. Je sens son Ă©norme pĂ©nis s’enfoncer en moi et se retirer dans un merveilleux va et vient lent et profond. Son sexe tape au fond de mon vagin qui l’enserre comme un Ă©crin. Un nouvel orgasme m’envahit de nouveau encore plus intense que le prĂ©cĂ©dent. JoĂ«l s’interrompt un instant. Je l’entend chercher quelque chose dans sa table de nuit. JoĂ«l saisit mes jambes, et les replie trĂšs haut au dessus de ma tĂȘte. Je ressens un gel frais qui coule sur ma vulve puis sur mon petit trou. Un doigt s’enfonce dans mon oeillet et ouvre mon sphincter anal. Puis je reconnais son gros gland qui vient s’appuyer sur mon orifice et le force Ă  s’ouvrir. Je pousse un rĂąle de plaisir et de douleur et sentant son pieu entrer dans mon intimitĂ©. Il est bientĂŽt enfoncĂ© jusqu’à la garde. Je sens ses couilles qui viennent taper contre mes fesses. Il va et vient lentement et avec une telle douceur, que j’éprouve mĂȘme du plaisir dans cette sodomie. Mais il ne s’arrĂȘte pas lĂ . Je l’entend de nouveau att****r quelque chose. Que fait il ? Quelques secondes aprĂšs, je sens quelque chose frotter ma vulve, s’insinuer entre mes lĂšvres intimes. Je ne vois pas ce que c’est, mais maintenant je devine. Il m’enfonce un gode dans la chatte tout en me sodomisant. Il a arrĂȘtĂ© tout mouvement avec son sexe et se concentre sur le jouet qu’il enfonce et retire selon son bon plaisir. AprĂšs quelques allĂ©es et venues, je sens des vibrations en moi, et je rĂ©alise qu’il s’agit d’un vibromasseur. Il l’enfonce en moi et recommence Ă  faire naviguer son sexe dans mon cul. C’est la premiĂšre fois que je suis ainsi pĂ©nĂ©trĂ©e. Je n’ai encore jamais utilisĂ© ce genre d’objet et encore moins imaginĂ© que j’en dĂ©couvrirais l’utilisation de cette façon. Et le plus beau, c’est que je me surprend Ă  aimer ça. Les vibrations me procurent un plaisir inouĂŻ. Un nouvel orgasme m’envahit, me submerge tel un tsunami de plaisir. Je me tord sur le lit toujours « aveugle » et menottĂ©e, incapable de me dĂ©gager, criant, suppliant JoĂ«l de retirer le vibro qui m’inflige une dĂ©licieuse torture. Celui ci reste sourd Ă  mes suppliques et continue de me pilonner l’anus inlassablement jusqu’au moment oĂč il se retire de mon fondement, et remonte vers mon visage, retire le bandeau de mes yeux et Ă©jacule sur ma bouche, mes yeux, mes joues. Son sperme coule dans mon cou, il frotte son chibre sur ma bouche et finit par l’introduire entre mes lĂšvres, me forçant Ă  le lĂ©cher et le sucer. LĂ  encore je dĂ©couvre une pratique totalement inconnue qui me surprend mais qui bizarrement, ne me dĂ©range mĂȘme pas. Qui m’aurait dit qu’un jour je sucerais une queue qui sort de mon anus et que j’aimerais cela !!!
Visiblement satisfait, Joël me détache et nous ne tardons pas à nous endormir totalement épuisés.


Alors que nous sommes en train de prendre le petit dĂ©jeuner dans sa cuisine, attablĂ©s tous les deux entiĂšrement nus, mon tĂ©lĂ©phone sonne. C’est mon mari. Je fais signe Ă  JoĂ«l de ne pas parler en mettant un doigt en travers de mes lĂšvres, et en montrant l’écran de mon tĂ©lĂ©phone afin qu’il voit qui est l’interlocuteur. Je me lĂšve et me dirige vers son salon. Je me suis Ă  peine assise depuis quelques secondes dans son canapĂ©, que JoĂ«l apparait devant moi le sexe tendu. Il s’approche de moi et place son Ă©norme pĂ©nis devant mon visage Ă  quelques centimĂštres Ă  peine de mes yeux. Il est dĂ©jĂ  gonflĂ© et raide. Il le tient d’une main et s’approche un peu plus encore, me touche la joue, puis commence Ă  frotter son gland sur ma bouche. Je me retiens d’éclater de rire en me pinçant les lĂšvres aussi fort que je peux tout en essayant de rĂ©pondre Ă  mon mari sans trop bafouiller. Je finit par lui donner un coup de langue furtif sur le gland, ce qui semble rĂ©jouir JoĂ«l qui continue Ă  exhiber son sexe et Ă  le frotter sur ma bouche et mon visage. Il insiste, je redonne un deuxiĂšme coup de langue un peu plus prononcĂ©. JoĂ«l me saisit par derriĂšre la tĂȘte et sa bite vient forcer mes lĂšvres. Le salaud !!! Il a rĂ©ussi Ă  faire entrer son arbre dans ma bouche alors que je suis en train de parler Ă  mon mari !!! Je suis rouge de confusion mais terriblement excitĂ©e par ce nouveau jeu auquel mon amant me soumet. Je retire son sexe de ma bouche et pose des questions Ă  mon mari, obligeant celui ci Ă  tenir la conversation pendant que je reprend en bouche cette merveilleuse friandise gĂ©ante. JoĂ«l ne dit pas un mot et me laisse totalement faire. Entre deux paroles Ă©changĂ©es avec mon mari, je lĂšche et suce ce gland tout en obstruant le micro de mon tĂ©lĂ©phone avec ma main. Mon mari doit se demander ce que je fabrique, car il finit par me demander quels sont les bruits qu’il entend. Je rĂ©pond bĂȘtement que je n’entend rien de mon cĂŽtĂ© et que ce doit ĂȘtre des « parasites ».
JoĂ«l s’assoit alors sur le canapĂ© et me fait comprendre qu’il veut que je vienne sur lui. Il m’aide Ă  me redresser et je m’installe face Ă  lui Ă  califourchon sur ses genoux. Son pieu est dressĂ©, Ă©norme et dur. Je viens me positionner au dessus de lui et doucement me laisse glisser sur ce monstre de chair. Je m’empale sur toute la longueur de cette hampe en me retenant difficilement de gĂ©mir. Je n’ose plus bouger de peur de crier de plaisir. JoĂ«l a prit mes seins dans chacune de ses mains et me pĂ©trit fermement, me pince les tĂ©tons qui pointent gonflĂ©s et durs devant ses yeux. Il se met Ă  me sucer. Je n’en peux plus, mes seins sont gonflĂ©s, mes tĂ©tons tout dur, ma vulve ruisselle. Je sens monter en moi les prĂ©mices d’un orgasme, je n’arrive plus Ă  parler. Je finis par raccrocher brutalement au nez de mon mari au moment oĂč un orgasme me submerge. Je pousse un hurlement de plaisir aussi intense que l’orgasme qui vient de me traverser. Je me suis tellement retenue que je crie comme une bĂȘte, totalement dĂ©sinhibĂ©e.
« Oh putain 
 putain 
 que c’est bon 
 salaud va 
 je vais mourir avec toi 
. »
Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits, mon tĂ©lĂ©phone sonne de nouveau. C’est encore mon mari. Je dĂ©croche pas trĂšs rassurĂ©e :
« DĂ©solĂ©e mon chĂ©ri, j’ai raccrochĂ© sans faire exprĂšs   »




Ouf 
 Il ne se doute de rien.
JoĂ«l me fait comprendre qu’il veut que je me lĂšve et que je reprenne ma place, assise dans le canapĂ©. Il se lĂšve, rapproche son sexe toujours gonflĂ© de ma bouche et entre deux paroles, me force Ă  le sucer. Mon mari est en train de m’expliquer qu’ils ont bien avancĂ© et qu’il reprendra la route sitĂŽt le repas de midi terminĂ©. C’est ce moment que choisit JoĂ«l pour Ă©jaculer dans ma bouche. Je manque de m’étouffer en recevant sa premiĂšre giclĂ©e de sperme qui me surprend. Instinctivement, je me retire et je reçois les suivantes sur la joue, le nez et dans les yeux. Je rĂ©ussis Ă  terminer la conversation en l’écourtant quelque peu tout de mĂȘme.
JoĂ«l est hilare. je lui jette un coussin Ă  la figure comme si j’étais en colĂšre contre lui, mais en fait je ris comme une adolescente qui a montĂ© un bateau Ă  ses parents. Je m’essuie le visage et nous repartons finir de dĂ©jeuner.
Il est 11H nous partons dans sa salle de bain tous les deux. Une fois dans la douche, je ne peux me retenir devant son sexe Ă  moitiĂ© gonflĂ© et pourtant de si belle taille. Je m’accroupis devant lui et entame une derniĂšre fellation. Je saisis son pĂ©nis d’une main pour le diriger vers ma bouche, et de l’autre je caresse ses couilles. Je les lui masse tout en suçant le gland. Je lĂšche ensuite son arbre sur toute la longueur de la hampe. Il est maintenant totalement dur et magnifiquement gonflĂ©. Je le prend en bouche, jouant de ma langue sur le frein, la faisant tourner autour de son gland puis enfonçant davantage ce sexe Ă©norme jusque dans ma gorge.
JoĂ«l n’en peut plus. Il me saisit par les bras et me relĂšve. Il me dĂ©colle du sol, passe ses mains sous mes fesses, et dirige son sexe vers ma chatte qu’il pĂ©nĂštre sans mĂ©nagement.
Je m’accroche Ă  son cou et entoure sa taille de mes jambes. Son pieu s’enfonce en moi d’un coup jusqu’à la garde. Son gland tape directement au fond de mon vagin. Je pousse un petit cri de douleur et de plaisir mĂ©langĂ© comme Ă  chaque fois qu’il me pĂ©nĂštre bestialement. J’aime maintenant cette virilitĂ© Ă  laquelle je n’ai jamais Ă©tĂ© habituĂ©e jusque lĂ . JoĂ«l me plaque contre le carrelage de sa douche et me pilonne tout en m’embrassant avidement. Je sens monter en moi un Ă©niĂšme orgasme pour ce week-end. Je jouis encore, un orgasme intense, violent mĂȘme. Mes mains se crispent, je plante mes ongles dans la peau de son dos et je ne peux m’empĂȘcher de le mordre au niveau de l’épaule. Cela semble l’exciter davantage encore car ses coups de boutoir redoublent d’intensitĂ©. Il explose en moi criant comme un fauve. Son sperme chaud inonde mon vagin. Nous restons ainsi un instant immobiles,. Nous sommes tous les deux repus de sexe, Ă©puisĂ©s mais heureux.

Je le quitte peu de temps aprĂšs pour rentrer chez moi avant que mon mari ne soit revenu.
Sur la route je repense Ă  ce que je viens de vivre 
 Pour la premiĂšre fois de ma vie, j’ai passĂ© un week-end entier avec un autre homme que mon mari, j’ai passĂ© une nuit dans le lit d’un amant exceptionnel qui m’a fait connaitre un week-end de dĂ©bauche. Le pire est que je n’éprouve aucune culpabilitĂ© envers mon mari 
.
Je suis de retour chez moi vers 17H aprĂšs avoir rĂ©cupĂ©rĂ© mon fils chez ma mĂšre. Mon mari arrive vers 18H, et me trouve en train de m’activer dans la cuisine. Nous parlons des travaux qu’il a rĂ©alisĂ©s, de nos amis chez qui il Ă©tait, de mon « week-end de garde » Ă  l’hĂŽpital 

AprĂšs le diner, je pars me coucher Ă©puisĂ©e de mon week-end. C’est sans compter sur mon mari qui ne m’a pas touchĂ© depuis plus d’une semaine et qui a une furieuse envie de baiser. Il approche sa bite de ma bouche et me l’enfourne avant de se positionner au dessus de moi pour un 69. Lorsqu’il commence Ă  me lĂ©cher la vulve une image traverse mon esprit. Et si malgrĂ© la douche que j’ai prise avant de quitter JoĂ«l, il restait du sperme de mon amant ? Ce serait trop drĂŽle qu’il boive la semence d’un autre !!! J’ai envie d’éclater de rire mais je me retiens et continue de le sucer comme une bonne petite Ă©pouse. J’ai l’impression de ne rien avoir en bouche comparĂ© au sexe de JoĂ«l qui me remplissait jusqu’à la gorge. J’ai presque honte de moi et de ces pensĂ©es, mais comment peut il en ĂȘtre autrement ? Entre mon « étalon » et mon pauvre cocu 
 Oups 
 j’ai pensĂ© cocu au lieu de mari ou de l’appeler par son prĂ©nom !!! Suis je en train de devenir une parfaite salope? Au bout de quelques minutes, il se redresse et me pĂ©nĂštre en missionnaire comme Ă  sa bonne habitude. C’est Ă  peine si je sens sa petite bite en moi. Pourtant il y va de bon coeur, va et vient en donnant de grands coup de bassin, mais je ne ressens presque rien. Un lĂ©ger frottement dans mon vagin ne me procurant aucun plaisir. Je ferme les yeux et tente de m’imaginer avec JoĂ«l, mais rien n’y fait. Heureusement comme Ă  sa "bonne" habitude, il finit par Ă©jaculer en Ă  peine 2 minutes cette fois, (oh mais tu t'amĂ©liores dis moi !!!) en rugissant comme un fauve sans m’avoir fait pousser le moindre gĂ©missement, s’effondre sur le lit Ă  cĂŽtĂ© de moi, pleinement (si j'ose dire) satisfait de s’ĂȘtre vidĂ© les couilles et s’endort sans tarder. Je file me doucher car je n’ai pas envie de sentir ce sperme en moi, puis je reviens m’allonger Ă  ma place et prend un bouquin pour me calmer.
J’ai du mal Ă  m’endormir et lorsque enfin j’y parviens, mon sommeil est agitĂ©. Je revis en rĂȘve mon week-end avec JoĂ«l.

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Published by jojo33bdx
1 year ago
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jojo33bdx
jojo33bdx Publisher 1 year ago
to caso29 : Je pourrais en ecrire des dizaines !!! Apres les billets : vacanc3s en Guadeloupe et vacances à Marie-Galante evoquent également cette relation que j'ai eu avec Maryse.  
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caso29
caso29 1 year ago
En espérant qu'il y aura une suite aux aventures de Maryse !
jojo33bdx
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