Maryse (suite 3)

J’arrive chez moi peu de temps avant mon mari. Ouf, je n’aurais pas Ă  chercher un prĂ©texte pour un retour aussi tardif alors que je dĂ©bauchais Ă  14H, par contre pas le temps de prendre une douche 
 Tant pis, je passerai la soirĂ©e remplie de mon amant, gardant en moi les traces de ma forfaiture. Lorsqu’il rentre nous Ă©changeons les banalitĂ©s habituelles de ces « vieux couples ». Le seul point positif de cette soirĂ©e est qu’au cours du repas, il m’annonce que nos amis de Tarbes, lui ont demandĂ© s’il pourrait venir les aider le weekend prochain Ă  effectuer des petits travaux dans leur maison. Comme il semble hĂ©sitant, je l’encourage Ă  y aller et pour l’en persuader je lui raconte que j’ai Ă©tĂ© obligĂ©e de prendre le weekend d’astreinte d’une collĂšgue qui est tombĂ©e malade et qui donc ne pourra pas l’assurer.
Je n’en reviens pas d’avoir rĂ©ussi Ă  improviser ce mensonge. En tout cas cela marche car sitĂŽt le repas terminĂ©, il tĂ©lĂ©phone Ă  nos amis en leur disant qu’il les rejoindra le samedi matin. Je me prĂ©cipite sur mon tĂ©lĂ©phone et j’envoie le texto suivant Ă  JoĂ«l :
« j’espĂšre que tu n’as rien de prĂ©vu ce weekend car je serais toute Ă  toi Ă  partir de samedi. »
Sa réponse ne tarde pas.
« Comment ça toute à moi? »
«  Mon mari s’absente tout le week end. Je t’expliquerais demain. mais toi es tu libre? »
«  oui bien sĂ»r, je n’ai pas mon fils le weekend prochain. »
« A demain. Je t’embrasse »
« Moi aussi ; Bisous. »
J’efface les messages et j’éteins mon tĂ©lĂ©phone. Je pars sous la douche puis me coucher mais je suis bien trop excitĂ©e entre mon aprĂšs-midi avec JoĂ«l et la perspective d’un weekend entier Ă  faire l’amour avec lui pour rĂ©ussir Ă  trouver le sommeil.

Le lendemain, nous nous retrouvons uniquement vers 12H car JoĂ«l travaille d’aprĂšs-midi. Nous trouvons tout de mĂȘme quelques minutes pour que je lui prĂ©cise au sujet du weekend prochain. Il semble ravi de cette opportunitĂ© et me dit qu’il n’y a aucun problĂšme Ă  ce que je le rejoigne chez lui dĂšs que mon mari sera parti.

Le samedi matin mon mari quitte la maison de trĂšs bonne heure. Hier soir, il a voulu me faire l’amour, J’ai prĂ©textĂ© la fatigue de la semaine et une migraine dĂ©butante 
. Le pauvre 
 Je ne lui ai mĂȘme pas fait une petite pipe pour le soulager. Il passera le weekend avec les couilles pleines pendant que moi je sombrerai dans la luxure avec un amant exceptionnel.
Une fois seule, je fonce dans la salle de bain prendre une douche et me prĂ©parer pour rejoindre JoĂ«l. Je suis excitĂ©e comme une adolescente Ă  son premier rendez vous. Je prĂ©pare un petit sac avec quelques affaires de rechange car je n‘ai pas l’intention de revenir chez moi avant dimanche soir. Je vais dĂ©coucher pour la premiĂšre fois depuis mon mariage et Ă©trangement, je n’éprouve aucune culpabilitĂ©. Au contraire je ressens mĂȘme un immense plaisir et une terrible excitation. J’ai pensĂ© Ă  tout depuis le moment oĂč j’ai inventĂ© « la garde », j’ai mĂȘme confiĂ© mon fils Ă  mes parents pour le weekend, prĂ©textant que ce serait plus simple pour moi de ne pas avoir Ă  le gĂ©rer en cas d’appel du service.

JoĂ«l m’accueille sur le pas de sa porte par un sifflement admiratif.
« hum mais que tu es belle !!! »
« merci c’est gentil »
« c’est surtout sincĂšre. Tu es magnifique 
. sexy Ă  souhaits » dit il en me prenant dans ses bras 
. « et tu sens comme toujours merveilleusement bon » !!!
Nous nous embrassons fougueusement et il m’entraine Ă  l’intĂ©rieur de son appartement. SitĂŽt la porte refermĂ©e, je subit un vĂ©ritable « assaut » de sensualitĂ©. Il me presse contre lui, me serre entre ses bras, me plaque contre son torse puissant. Nos bouches sont collĂ©es l’une Ă  l’autre, nos langues se mĂ©langent, ses mains parcourent mon dos, descendent le long de ma taille, de mes hanches, de mes cuisses, s’insinuent sous ma jupe, remontent sur mes fesses et les caressent.
Il presse son bassin contre mon ventre et je sens dĂ©jĂ  toute son excitation. Je laisse glisser mes mains sur cette bosse qui marque son entrejambe. Je dĂ©fait son pantalon en m’accroupissant devant lui et je libĂšre son sexe bien trop Ă  l’étroit dans son boxer. Il est dĂ©jĂ  terriblement gonflĂ©, je le prend dans une main tandis que l’autre je masse doucement ses testicules. Son pĂ©nis ne tarde pas Ă  atteindre sa taille maximale. Je suis subjuguĂ©e par ce sexe gigantesque que je prend le temps d’admirer. Je peux poser mes deux mains cĂŽte Ă  cĂŽte le long de son arbre et je ne recouvre pas le gland. Et que dire de son diamĂštre, je n’arrive pas Ă  en faire le tour avec une seule main, mon pouce n’arrive pas Ă  rejoindre mon index. Pas Ă©tonnant que j’ai l’impression d’exploser chaque fois qu’il est en moi

Je commence par lĂ©cher le gland, il soupire de plaisir. Je fais courir ma langue sur toute la longueur de son arbre. J’ai recommencĂ© le massage de ses testicules pendant que ma langue monte et descend le long de sa hampe. Il s’appuie contre le mur, ferme les yeux et gĂ©mit de plaisir sous mes caresses. Je continue Ă  le lĂ©cher et je descend jusqu’à ses bourses qu’il a le bon goĂ»t d’avoir rasĂ©es. Je les lĂšche et les suce tout en caressant d’une main son pĂ©nis dressĂ© au zĂ©nith, dur comme un chĂȘne. Et je me met Ă  le sucer tout d’abord juste du bout des lĂšvres, j’adore commencer comme cela par titiller le gland tout en douceur et en prenant mon temps. Puis je le prend en bouche, lĂ  encore lentement, je dĂ©guste cette merveilleuse « gourmandise » que j’avale petit Ă  petit sur la moitiĂ© de sa longueur seulement. Je ne peux pas davantage, il me remplit la bouche. Je sens le goĂ»t d’un liquide visqueux qui commence Ă  s’écouler. Je recule et lĂšche son gland en titillant du bout de ma langue son mĂ©at avant de replonger son pĂ©nis dans ma bouche. Il pose ses mains sur ma tĂȘte, m’imprimant un lĂ©ger mouvement de va et viens. Trouve t il que je ne le prend pas assez profondĂ©ment en bouche? Je fais de mon mieux pourtant, mais il est trop gros pour moi. Ses mains se crispent, empoignent mes cheveux, attirent mon visage vers lui, me forcent Ă  enfoncer davantage son sexe dans ma bouche. Je prend appui contre son ventre, essaie de me repousser, mais il me tient fermement. Sa queue s’enfonce lentement dans ma gorge, mes cris de protestations sont Ă©touffĂ©s, je bave, ma salive coule hors de ma bouche, je n’arrive pas Ă  respirer, je sens mĂȘme des larmes qui coulent sur mes joues. Enfin il relĂąche son Ă©treinte et je peux reprendre ma respiration.
« salaud 
 tu veux m’étouffer  »
« surement pas, j’ai trop envie de toi »
Sur ces mots, il me redresse et me plaque face contre le mur. Il enlĂšve mon petit haut et dĂ©grafe mon soutien gorge qui finissent par terre. Je m’appuie contre le mur en me repoussant sur les avants bras, et il se met Ă  me pĂ©trir furieusement les seins. Je ressens son sexe contre mes fesses. Je me cambre davantage pour sentir encore plus sa virilitĂ©. Il s’accroupit derriĂšre moi, fait glisser mon string qui rejoint mes autres vĂȘtements, une main se glisse entre mes cuisses et commence Ă  caresser ma vulve, je ruisselle. Il me lĂšche et son visage s’enfonce entre mes fesses. Sa langue s’attaque bientĂŽt Ă  mon petit trou tandis qu’il insĂšre un doigt dans ma chatte puis un deuxiĂšme alors que de son autre main, il malaxe mes seins et joue avec mes tĂ©tons. Je sens monter en moi le plaisir, ma respiration se fait bruyante, ma jouissance est imminente, je suis envahie depuis mon ventre et parcourue de frissons et enfin j’explose dans un hurlement. Mon dieu que c’est bon. Je garde les yeux fermĂ©, je reprend difficilement mon souffle que dĂ©jĂ  je sens son pĂ©nis qui se faufile entre mes lĂšvres. Il force le passage, son gland distend ma vulve et s’enfonce en moi. Mon vagin est de nouveau Ă©cartelĂ©, martelĂ© par son pieu qui me laboure. JoĂ«l m’a attrapĂ© par les hanches des deux mains, et rythme la pĂ©nĂ©tration selon son bon vouloir. J’ai toute les peines du monde Ă  garder mon Ă©quilibre. A chacun de ses coups de bassin, je dĂ©colle du sol. C’est un fauve en rut qui me fait l’amour mais avec lui j’aime cette bestialitĂ© qui me change tellement de ma routine. Il explose en moi dans un orgasme bruyant. Je n’en peux dĂ©jĂ  plus, je met quelques minutes Ă  reprendre mon souffle et Ă  retrouver mes esprits. Il me retourne, je suis maintenant dos au mur, il m’embrasse tendrement, me caresse doucement dĂ©pose des baisers sur mes seins, titille du bout de sa langue mes mamelons, cela en est presque douloureux. Il m’entraine dans son salon et je m’installe dans son canapĂ©. Je n’ai plus que ma jupe autour de la taille et je sens sa semence qui s’échappe et coule le long de mes cuisses.
« veux tu boire quelque chose? 
 un cafĂ©? »
« oui je veux bien s’il te plait 
 et un grand verre d’eau surtout !!! »
Il s’éloigne en souriant et revient avec le verre d’eau.
« tiens voilĂ  dĂ©jĂ  pour commencer
 Je ne voudrais pas que tu meures de soif »
Quelques instant aprĂšs il revient avec les deux tasses de cafĂ© et s’installe Ă  cĂŽtĂ© de moi.
« je trouve que tu es un peu trop habillĂ© par rapport Ă  moi » lui fis je, « tu ne veux pas que je te dĂ©barrasse de tous ces vĂȘtements ».
Joignant le geste Ă  la parole et sans attendre sa rĂ©ponse, je lui enlĂšve son teeshirt et fait glisser pantalon et boxer par terre. Je saisi sa verge dans ma main et recommence Ă  la caresser. Elle ne tarde pas Ă  reprendre de la vigueur et Ă  se redresser. J’approche ma bouche et me remet Ă  la lĂ©cher et Ă  la sucer. Elle a le goĂ»t de ma chatte et de son sperme, mais je m’en accommode trĂšs bien. Il pousse un soupir de plaisir et s’enfonce un peu plus dans le canapĂ© s’abandonnant totalement Ă  mes caresses buccales. J’ai jouĂ© ainsi un long moment, alternant lĂ©chage et succion, interrompant seulement lorsque je le sens prĂȘt Ă  jouir. Il se laisse totalement aller, s’abandonne Ă  ma bouche. Je lui offre une des plus belles fellations que j’ai pu donner Ă  ce jour. Pour lui, je me surpasse. Je me surprend moi mĂȘme Ă  une telle dĂ©monstration de sensualitĂ©.
Il pose ses mains sur ma tĂȘte m’incitant Ă  enfoncer plus profondĂ©ment son pĂ©nis dans ma bouche.
« non 
 arrĂȘte 
 tu me laisse faire »
Il retire ses mains sans mots dire, les place derriĂšre sa tĂȘte et je reprend ma fellation. Il ferme les yeux et gĂ©mit de plaisir. Je le vois se tendre, son corps tout entier se raidit, ses mains se crispent et il explose dans ma bouche. Il dĂ©charge son liquide chaud qui glisse au fond de ma gorge. Je l’avale sans difficultĂ© mais je continue tout de mĂȘme Ă  le lĂ©cher. Il se tord de plaisir. Le contact de ma langue sur son gland est comme une torture pour lui au point qu’il me supplie d’arrĂȘter.
Je me redresse et lui adresse un sourire malicieux tout en passant ma langue sur mes lĂšvres de maniĂšre lascive comme pour recueillir les derniĂšres gouttes de sperme.
Nous restons ainsi quelques minutes, immobiles. Je me suis blottie contre lui, ma tĂȘte sur son torse puissant, mes mains caressant son ventre, ses bras m’entourent, ses mains courent sur mon . Nous finissons par nous assoupir.
Je ne sais pas combien de temps nous restons ainsi, blottis dans les bras l’un de l’autre, nos corps nus enlacĂ©s, lorsque je le sens bouger. J’ouvre Ă  peine les yeux.
« viens   » me dit il en se redressant et en me prenant par la main.
Il m’entraine dans sa chambre, fait tomber ma petite jupe et me fait allonger en travers de son lit à plat ventre.
« est ce que tu aimes ĂȘtre massĂ©e? »
« oui bien sûr »
« J’ai trĂšs envie de te masser 
 est ce que tu es bien installĂ©e? »
Je me dĂ©tend totalement. Comment lui dire que j’adore les massages sensuels, que cela fait des annĂ©es que mon mari ne prend plus le temps de m’en faire alors que je ne rĂȘve que de cela.
Il att**** un flacon d’huile de massage dans sa table de nuit, en verse au creux de sa main qu’il prend le temps de rĂ©chauffer avant de l’appliquer sur mon dos. Ses mains sont chaudes, je suis envahie par une douce sensation de bien ĂȘtre. Ses grosses mains s’avĂšrent ĂȘtre trĂšs douces en rĂ©alitĂ©, et il masse divinement bien. Ses mains courent dĂ©licatement sur mon dos, vont de mes Ă©paules Ă  mes fesses. Il est merveilleux de douceur. Je m’abandonne totalement Ă  ses mains expertes. Je glisse comme hypnotisĂ©e par ses caresses qui n’en finissent pas. Ses mains insistent maintenant sur mes fesses, les pĂ©trissent doucement. Son sexe est en train de durcir. Je le sens appuyer entre ma vulve et mon anus, s’insinuer dans ma vallĂ©e entre mes fesses. Il m’écarte lĂ©gĂšrement les cuisses et frotte son pĂ©nis sur ma vulve. Il me pĂ©nĂštre doucement, lentement. Il s’introduit entiĂšrement et commence un lent va et vient. Avec une extrĂȘme douceur, il s’enfonce en moi et se retire presque entiĂšrement ne laissant que l’extrĂ©mitĂ© de son gland entre mes lĂšvres, marque une courte pause et recommence. Je ne tarde pas Ă  ressentir le plaisir qui me gagne de nouveau. Il reste ainsi en moi de longues minutes, Ă  me faire l’amour. Je suis incapable de dire combien exactement car je ne suis plus habituĂ©e Ă  une telle voluptĂ©. Un nouvel orgasme m’envahit, profond, apaisant, relaxant mĂȘme. Lui reste imperturbable et continue ses longs et doux va et viens en moi. Il est en train d’atomiser mon vagin. Je n’ai jamais ressenti cela avec mon mari, mĂȘme au tout dĂ©but de notre relation. Il finit par jouir en poussant un long rĂąle de plaisir et s’effondre sur moi extĂ©nuĂ© et haletant, tout en sueur. Il m’écrase mais je n’ai pas envie qu’il bouge tant je suis bien. AprĂšs quelques minutes, il trouve la force de se tourner et de s’allonger Ă  cĂŽtĂ© de moi. Je me redresse sur mes coudes pour le regarder.
« c’était merveilleux »
« quoi donc 
 le massage? » me fait il malicieux.
« idiot 
 oui le massage 
 tu es bĂȘte »
« merci »
« à ce rythme lĂ , je ne sais pas si je vais pouvoir tenir tout le weekend 
. Tu vas vraiment finir par me tuer »
« j’espĂšre bien que non, c’est bien la derniĂšre chose que je souhaite »
« hummm 
 tu es merveilleux mon amour   » Qu’est ce que j’ai dit !!! Je viens de lui dire « mon amour » !!! Qu’est ce qu’il m’arrive? Heureusement il ne relĂšve pas car je n’aurais pas su quoi lui rĂ©pondre. Mais c’est vrai que je suis tellement bien.
« Est ce que tu me prĂȘtes ta salle de bain, j’ai envie de me rafraĂźchir un peu. »
« bien sûr vas y »
Je me glisse dans sa douche et laisse couler l’eau Ă  peine tiĂšde sur moi sans bouger, puis je dirige le jet sur ma vulve. Elle est rouge et gonflĂ©e, la fraicheur de l’eau me fait du bien.
Je reviens dans la chambre, il est toujours sur le lit, il n’a pas bougĂ©. Je m’allonge contre lui tout en le caressant. Ma main court sur son torse, son ventre, ses Ă©paules, ses bras, ses cuisses. Il est incroyablement musclĂ© de partout. Ma main frĂŽle son sexe. Il est flasque et malgrĂ© tout dĂ©jĂ  de bonne taille. Je me met Ă  jouer avec, Ă  le caresser, je l’examine sous « toutes les coutures » et il ne tarde pas Ă  reprendre de la vigueur.
« mais dis moi, tu n’es jamais fatiguĂ©? » lui dis je
« la faute Ă  qui 
 tu m’excites et aprĂšs tu t’étonnes de me voir bander »
« non 
. je m’étonne surtout de ta capacitĂ© Ă  rĂ©cupĂ©rer aussi vite !!! »
Je continue de jouer avec son pĂ©nis qui ne cesse de s’allonger retrouvant trĂšs vite sa taille et sa rigiditĂ© maximale. Je viens alors m’assoir sur lui, Ă  califourchon sur son bassin et je saisis son chibre entre mes doigts. Je le dirige vers ma vulve et caresses mes lĂšvres avec son gland. Je me soulĂšve lĂ©gĂšrement afin de pouvoir faire entrer cet arbre dans ma chatte et lorsque je le sens Ă  l’entrĂ©e de mon vagin, je me laisse glisser le long de sa hampe. Je m’empale toute seule sur ce « monstre » de chair dur comme un roc. Je ferme les yeux et je prend appui sur son torse sans bouger pour savourer cet instant. Il reste Ă©galement immobile. Il a compris ce dont j’avais le plus envie ; sentir son pieu s’enfoncer profondĂ©ment en moi et me laisser onduler tout doucement sur lui, Ă  mon rythme. Il me laisse bouger tout doucement mon bassin, mon clitoris frotte doucement sur son pubis tandis que mon vagin enserre son pĂ©nis. De nouveau l’ivresse du plaisir me gagne. Je gĂ©mis doucement. Je me penche en arriĂšre en prenant appui sur mes bras, rejetant ma tĂȘte, gardant les yeux fermĂ©s. Mon excitation monte, j’accĂ©lĂšre mes ondulations, ma respiration se fait haletante, bruyante, mes gĂ©missements ont fait place Ă  des rĂąles de plaisir. Je sens ses mains se poser sur mon ventre, remonter sur mes seins. Il me pĂ©trit et pince mes tĂ©tons gonflĂ©s et durs. Je suis au paroxysme du plaisir. Une de ses main redescend sur mon pubis. Son pouce se pose sur mon clitoris et vient le stimuler. Je m’effondre sur lui, emportĂ©e par un nouvel orgasme encore plus violent que les prĂ©cĂ©dents. Sans se retirer, il me retourne sur le dos et viens sur moi. Je replie instinctivement les jambes, entourant sa taille en croisant mes pieds dans son dos. Maintenant c’est lui qui ondule en moi et qui rythme la pĂ©nĂ©tration. Ces longues et lentes ondulations ont de nouveau raison de moi. Je jouis une nouvelle fois. Qu’est ce qu’il m’arrive? C’est bien la premiĂšre fois que j’ai des orgasmes aussi rapprochĂ©s. Je n’ai jamais connu cela auparavant. Il faut bien le reconnaitre, je n’ai pas en matiĂšre d’homme une grande expĂ©rience, mais je rĂ©alise qu’en ce qui concerne le sexe, je suis finalement 
 une « novice ».
Il se redresse, saisit mes jambes par les chevilles, et les Ă©carte en grand. Il me pilonne encore un moment avant de reposer mes jambes sur ces Ă©paules, et prenant appuis sur ses bras de part et d’autre de moi, recommence un va et viens encore plus profond. J’admire son torse puissant et sa musculature. Je le caresse d’une main et de l’autre je le prend par la nuque. Mes doigts se crispent dans sa chevelure, mes ongles se plantent dans sa peau au niveau de ses Ă©paules et un nouvel orgasme me submerge. C’est ce moment que JoĂ«l choisit lui aussi pour jouir en moi.

Je suis allongĂ©e sur le dos, JoĂ«l est sur moi, son sexe se retire tout seul de mon Ă©crin. Je ferme les yeux, je n’ai aucune envie de bouger. Je viens d’avoir autant d’orgasmes en quelques heures Ă  peine, qu’avec mon mari au cours de ces derniĂšres annĂ©es !!!
La voix de Joël me sort de mes pensées :
« ne bouge pas, je reviens » me dit il.
Il se lĂšve, je le regarde s’éloigner, j’entend des bruit venant de sa cuisine. Il revient avec une bouteille de champagne rosĂ© Veuve Cliquot mon prĂ©fĂ©rĂ©, deux flutes et une corbeille de fruits.
«  j’ai pensĂ© qu’un petit remontant serait le bienvenu !!! »
«  des fruits 
 qu’elle bonne idĂ©e 
  mais le champagne 
 tu veux me saouler?»
«  je veux seulement que tu soies merveilleusement bien »
Je me redresse, saisit la coupe de champagne qu’il me tend, nous trinquons Ă  ce week-end. Nous mangeons des fruits et buvons ce dĂ©licieux breuvage. La tĂȘte commence Ă  me tourner. Je m’allonge sur le ventre 

« j’ai envie que tu me masses » lui dis je.
Il ne se fait pas prier. Il s’installe Ă  mes cĂŽtĂ©s, reprend son flacon d’huile et commence par me masser les jambes. C’est bon, ses mains courent sur mes mollets et remontent vers mes cuisses, puis vers mes fesses. Il vient ensuite s’assoir Ă  califourchon sur mes cuisses et me masse maintenant le dos et les Ă©paules. Je suis merveilleusement bien, dĂ©tendue, heureuse de sentir ses mains sur moi, de voir un homme prendre autant soin de moi, de me faire ressentir tellement femme, tellement dĂ©sirable et dĂ©sirĂ©e. Je m’abandonne totalement Ă  lui,. Mon cerveau est comme dans les brumes d’un rĂȘve. Chaque fois qu’il se penche pour venir masser mes Ă©paules, je sens son pĂ©nis frotter contre mes fesses. Il est de nouveau gonflĂ© et dur comme un roc. J’ai de nouveau envie de le sentir en moi.
«  viens en moi 
 j’ai envie de te sentir en moi pendant que tu me masses. »
J’écarte lĂ©gĂšrement les cuisses et son gland viens s’appuyer sur ma vulve. Je suis dĂ©jĂ  toute humide. Il interrompt son massage pour saisir son sexe d’une main et le faire aller et venir entre mes lĂšvres. Je m’ouvre toute seule, son arbre entre en moi, cette pĂ©nĂ©tration est merveilleusement lente et douce, son pieu Ă©norme s’enfonce de toute sa longueur. Il est au fond de mon vagin.
Il reprend le massage de mon dos mais cette fois s’intĂ©resse davantage Ă  mes fesses. Il les enduit de son onguent parfumĂ©, les pĂ©trit dĂ©licatement, joue avec elles. Son sexe fait de tout petits mouvements en moi. Mon Ă©crin l’enserre. C’est l’esprit embuĂ© par le plaisir qu’il me procure et les deux flutes de champagne bues, que je finis par dire :
« prends moi comme tu en as envie 
. fais moi tout ce qui te passe par la tĂȘte   »
Sans dire un mot, il fait couler un peu plus d’huile sur mes fesses. Celle ci coule dans mon sillon et recouvre mon petit trou. Son sexe et toujours dans ma chatte et ses doigts commencent Ă  jouer avec mon anus. Il enfonce maintenant un doigt Ă  l’intĂ©rieur. Je sursaute et me contracte. Mon Dieu, qu’ai je dis? Que lui ai je proposĂ©? J’ai peur, je n’ai jamais fait cela. Il le devine car il me dit :
« dĂ©tend toi 
 respire tranquillement 
 laisse toi aller ma chĂ©rie  »
Je sens un deuxiĂšme doigt rejoindre le premier et me dilater un peu plus mon oeillet. Je referme les yeux et me laisse aller. Il continue son travail de prĂ©paration. Doucement, progressivement je sens mon sphincter se relĂącher et mon anus s’ouvrir.
Il retire son pĂ©nis de mon vagin et vient l’appuyer contre mon petit trou. Son gland est Ă  l’entrĂ©e de mon orifice vierge jusqu’à ce jour. Je n’ai jamais laissĂ© mon mari enfoncer ne serait ce qu’un doigt dans cet endroit. Il est trop tard pour lui dire non. Son gland Ă  commencer Ă  me pĂ©nĂ©trer, m’arrachant un cri de surprise plus que de douleur car JoĂ«l s’avĂšre ĂȘtre un amant trĂšs doux mĂȘme dans cette circonstance.
Je sens son pieu qui s’insĂšre lentement en moi. La pĂ©nĂ©tration semble durer une Ă©ternitĂ©. Son pĂ©nis est vraiment Ă©norme. Il s’enfonce au plus profond de mes entrailles. J’en ai le souffle coupĂ©. Les mains crispĂ©es sur les draps, le visage enfoui sous les oreillers, je pousse enfin un long rĂąle de plaisir. JoĂ«l reste un moment immobile, me permettant de m’habituer Ă  son membre qui dilate mon fondement. Il se redresse bientĂŽt et reprend un va et vient lent et profond. MalgrĂ© sa douceur, j’ai l’impression que je vais exploser. Ses mouvements s’intensifient. A chacun de ses coups de rein, son pieu s’enfonce un peu plus dans mes entrailles, ses couilles viennent taper contre ma vulve et son pubis contre mes fesses. Etrange sensation que celle ci, partagĂ©e entre douleur et plaisir, je subis ses coups de boutoirs. Je perd toute notion de temps. Il me pilonne en ahanant tel un bucheron. Ce sont de vĂ©ritables coups de boutoirs qui martĂšlent maintenant mon anus. Son sexe est tellement gros qu’il racle contre la paroi de mon rectum, mon anus est totalement distendu. Il jouit Ă  ce moment lĂ  hurlant son plaisir comme une bĂȘte. Je sens son sperme chaud s’écouler en moi, tandis que JoĂ«l est animĂ© par les derniers soubresauts de son orgasme. Il s’effondre, son pieu toujours en moi qui commence Ă  ramollir. Il se retire et s’allonge Ă  mes cĂŽtĂ©s. Nous restons un moment silencieux, Ă©puisĂ©s.
Je rompt la premiĂšre le silence en bredouillant :
« Je 
 Tu 
 C’est 
 la premiĂšre fois que 
 je fais comme cela 
. »
« Je l’avais compris » se contente t’il de me rĂ©pondre dans un premier temps. « Est ce que tu as eu mal? »
« euh 
 non   »
« Est ce que tu regrettes? »
«  
 Non 
 c’est seulement que je ne sais pas trop quoi penser? »
« c’est Ă  dire? »
« Nous sommes amants depuis seulement quelques semaines, et je fais davantage l’amour avec toi qu’avec mon mari. Et aujourd’hui je t’ai laissĂ© me faire ce que je lui ai toujours refusĂ© 
 Me sodomiser !!! Est ce que tu imagine que je ne lui ai jamais permis de m'enfoncer ne serait ce qu'un doigt dans l'anus !!!
« C’est justement parce que je ne suis pas ton mari que tu as eu envie de cela. En fait tu dois avoir inconsciemment ce fantasme depuis fort longtemps, mais en couple il y a toujours une certaine retenue. Avec moi c’est diffĂ©rent. Au contraire braver les interdits, dĂ©passer les tabous font partis du jeu. »
«  mais je ne joue pas   »
«  moi non plus 
 c’est une façon de parler. Avec ton mari tu es l’épouse et la mĂšre de votre enfant, tu as une retenue toute naturelle. Avec moi c’est totalement diffĂ©rent. Nous n’avons rien d’autre Ă  partager que le plaisir de faire l’amour ensemble, aucune contrainte de la vie courante. »
« Je ne voudrais pas que tu me juges mal   »
« Pourquoi le ferais-je? »
«  que tu me prennes pour une fille facile 
 une 
 salope? »
« Rassure toi, je ne penses pas cela de toi. Je pense que je sais exactement Ă  qui j’ai affaire, et 
. c’est pour cela que j’ai eu trĂšs envie de te sĂ©duire !!! »
« Ah   »
« Oui 
 je sais que tu n’as pas connu beaucoup d’homme avant ton mari, que celui ci est le premier et le seul Ă  t’avoir fait l’amour avant moi. Je me trompe? » 

« Euh 
 non   »
« Je suis bien conscient de cet « honneur » et j’ai trĂšs envie de te faire dĂ©couvrir encore plus sur ta sexualité ».
Il lit en moi comme dans un livre, il m’a totalement cernĂ©e 
 Que me rĂ©serve la suite?





Published by jojo33bdx
1 year ago
Comments
3
Please or to post comments
rasoir 1 year ago
beau talent d'Ă©criture, bonne progression ...mais vous ĂȘtes inĂ©puisables ! Une fois, une de mes premiĂšre copine avec qui je suis sortis me dit : (c'Ă©tait la fin des annĂ©es 70 ,l'Ă©poque ou M Sardou chantait  "...et j'ai fais l'amour 10 fois...) elle me dit : tu crois que c'est possible ? On Ă©tait au sous sol de la maison de ses parents, on venait de faire l'amour, elle s'est mise  Ă  me masturber , j'ai joui 1 fois de plus, puis 2, puis 3, puis 4  mais j'ai pas pu aller plus loin ! Pour aller chez elle il y avait une sacrĂ©e cote  que j'avais gravi Ă  l'aller, heureusement au retour ça descendait ! 
jojo33bdx
Reply
jojo33bdx
jojo33bdx Publisher 1 year ago
to caso29 : Merci.  En plus les paroles écrites sont exactement celles qu'elle a prononcées, et le scÚne s'est déroulée de cette façon.  Encore un merveilleux souvenir !!! 
Reply Original comment
caso29
caso29 1 year ago
Superbement raconté notamment le passage de la premiÚre sodomie de Maryse qui va y prendre goût et découvrir d'autres plaisirs avec son bel amant
jojo33bdx
Reply